Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCette fille c’est un prédateur déguisé en caniche !
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Cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche !

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J'ai chaud. Je ne sais pas si ce sont mes hormones qui me travaillent ou le désir qui monte progressivement depuis que je sais qu'il s'approche de moi. Je n'arrive plus à me contrôler et le chauffe clairement au téléphone. Je pourrais être plus crue encore dans ma façon de parler, mais je me doute que mes gestes décris lui suffisent à lui faire augmenter la cadence. Quand on parle de sexe, il est tellement malléable, c'est impressionnant. J'ai presque l'impression que je pourrais lui demander n'importe quoi. Pourtant, quand on le vois comme ça, on ne dirait pas qu'il peut se plier si facilement : cette façon de parler, un peu bourru, cette violence dans ses gestes, l'énorme carapace qu'il porte avec plus ou moins de facilité. Dans nos moments tous les deux, je me sens pourtant étrangement bien, presque protégée dans ses bras alors qu'il est le prédateur. Je l'imagine courir pour me rejoindre plus rapidement, la jalousie, cette peur de me retrouver avec un autre l’entraînant encore plus. J'aime tellement cette idée qu'il pourrait être un peu jaloux et me vouloir que pour lui seul. Il commence même à s'énerver et je ne peux m'empêcher de sourire à son agacement. « Tu appelles souvent le téléphone rose ? » Mais il ne me répond pas. Je peux entendre sa respiration s'accélérer au bout du fil et cela fait naître un long frisson le long de ma colonne vertébral. Cette attente me semble interminable, et les pas que j'entends dans le couloir me paraissent être enfin ma délivrance. Et quand je me fais engueuler par sa voix grave, je comprends que ce n'est sûrement pas lui. Il me raccroche au nez. Je ronchonne toute seule et me promets qu'il va me payer cet affront. Je déteste qu'on me raccroche au nez comme ça, je déteste son comportement de mec macho  et pourtant je n'attends que lui. Les pas dans le couloir se rapproche dangereusement et du coup, je suis presque certaine que ce n'est pas lui. Par précautions, je descends du lavabo, descends un peu ma jupe qu'il remontra rapidement si c'est bien lui. Je me tourne vers le miroir et imite une retouche maquillage, penchée un peu en avant pour bien m'approcher de la glace. Le regard posé sur le reflet de la porte d'entrée, j'ai hâte de savoir qui sera la prochaine personne qui va l'ouvrir. Gautier que je chauffe depuis quelques minutes maintenant. Ou quelqu'un que je n'attends vraiment pas ?

@Gautier Blackburn @Jonathan T. Lynch

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Urgh ! Maudite chanson qui ne veut pas quitter mon cerveau. Je la répète en boucle depuis que je suis sortit de la salle de classe. Elle devient plus obsédante, dés qu’il n’y a plus personne dans les couloirs que je parcours.
“Hey micky … Yo so fine …”
Les toilettes des mecs de cet étage sont les mieux entretenues. Je m’en suis rendu compte quand j’ai assisté un jour à une dispute entre la femme de ménage, et son superviseur.. Apparement l’un des professeur de cet étage, est un maniaque de la propreté, il faut donc porter une attention particulière à ces toilettes ci…
Depuis je ne viens qu’ici. C’est aussi calme, que clean.
Ou du moins ça l’est d’habitude.
“Hey micky … Yo so fine …so so fine you blow my mind ...”

Je pousse bruyamment la porte, énervé contre mon cerveau, et sa torture musicale… Et j’ai instantanément l’impression que quelque chose est bizarre.
Quelque chose comme la présence d’une chevelure blonde très longue dans les toilettes des hommes. Ca aurait pu passer, si cette chevelure n’était pas accompagné d’une jupe. La encore, ça aurait pu ne pas me déranger, si la fille avec la chevelure et la jupe, ne sentait pas le parfum de ma soeur … Même avec ça, ça aurait pu être Ok, et j’aurais éventuellement pu rebrousser chemin, et la laisser, accompagné par … ce qui semble être son petit ami, vu l’expression d'extase de la plus jeune des Lynch, que me renvoie le mirroire. J’aurais pu juste grimacer et ressortir. Essayer d’oublier la vision, et la position des corps, ainsi que la main du brun…
Sauf qu’il se retourne.
Et se met à parler.
“C'est qui lui ? Qu'est ce que tu veux ? Tu ne vois pas que c'est occupé ? Barres-toi.”  
Son intonation, son langage, tout en lui, me fait grimacer d’un soupçon de dégoût, et me relever, le défiant du regard.
“Oh. Excusez ma vessie qui m’a dérangé pendant un cour de littérature anglaise, je ne comprends pas comment des toilettes peuvent être occupé, je tends à penser qu’il y en a plein d'autres ici.” lui répondis je, calme. Ne détournant pas mes yeux des siens, je m’adresse à ma demi soeur
“Pénélope. Est ce que cet homme te dérange?”
Non. Bien sûre que non. Vu son halètement quand je suis entré, il est loins de la déranger, et je le sais, sans qu’elle ait à me le confirmer. Sauf qu’il m'exaspère… Alors… Je reste encore un peu.
“J’aurais pensé que t’avais des goûts… plus luxueux”
Mes yeux passent sur l’homme sans s’y attarder.
J’attendrais qu’elle me réponde, avant de certainement m’en aller et les laisser tranquil.
Ou pas.
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La présence de ce mec te met dans le mal et te rappelle l'inconscience dont tu as fait preuve. Tu ne l'as pas entendu entrer dans les toilettes pour hommes, t'as été plus qu'imprudent sur ce coup-là. Il arrive pile au moment où tu commences à laisser la chaleur et l'envie te submerger mais tu te dis que cela aurait pu être pire. Tu as encore tes vêtements sur le dos et même si ton désir pour cette fille est plus que visible, tu gardes le contrôle de ton corps et accessoirement, de la situation. Tu ne veux pas laisser cet inconnu te bousiller ton plan cul, Pénélope t'a chauffé par téléphone, elle doit recevoir la sanction qu'elle mérite, c'est une question de principe et d'honneur. Tu t'avances vers lui l'air menaçant et provocateur, tu veux lui faire comprendre qu'il n'est pas le bienvenu dans les chiottes et que tu as autre chose à faire que de rester prévenant et aimable avec lui. Il veut jouer au plus malin avec toi, cela ne te pose aucun problème. Comme à ton habitude, tes nerfs sont à vifs et la provocation parcours tes veines d'une vivacité tenace et arrogante. Tu défies quiconque se met en travers de ton chemin et ne fais aucun traitement de faveur ni aucun compromis. La pitié et la compréhension sont deux notions dont tu ignores tout, tu veux baiser Pénélope et ce n'est pas ce mec au corps ingrat qui va t'en empêcher. Tu le toises du regard en entendant ses attaques pathétiques, il parle comme la bourgeoisie des années trente. Il est sérieux pour te parler de la sorte et insinuer que tu es une sous merde en ne jugeant seulement que ton apparence dans une situation obscène. Porter un jugement hâtif, tu sais le faire aussi et rien qu'à voir sa dégaine, tu peux déjà en déduire que le mec il n'est pas fauché comme toi. Il porte de la marque mais avec un certain mauvais goût. Au premier coup d'oeil, tu remarques qu'il ne sait associer ni les formes ni les couleurs et faire un commentaire déplacé sur son allure te démange les lèvres et te brûle la gorge. Ton excitation diminue à mesure qu'il parle. Tu fais l'impasse sur le prénom qu'il annonce et ne tilte pas qu'ils peuvent éventuellement se connaître. Dans ta tête, tu es face au professeur d'histoire et si ce mec là est sexy aux yeux de Pénélope, tu as de quoi remettre en doute ses goûts et ta présence dans ces toilettes. Qu'est-ce-que tu fais encore là, ma parole tu cherches la merde toi, dégage, va voir ailleurs si on y est. Tu t'armes de ton agressivité légendaire et te prépares à attaquer sur tous les fronts, tes pas te conduisent droit vers lui mais Pénélope vient te barrer le passage. Elle se met devant toi et t'empêche d'aller plus loin en t'obligeant à t'arrêter. Tu veux continuer tes menaces, tu veux te le faire sans la moindre pitié et veux lui faire ravaler ses mots mais elle te devance et te laisse bouche bée. Elle évoque un appartement, des bruits, des hormones et un surnom qui te fait plisser les yeux. Frère ou pas, ce mec n'a rien à faire ici et n'a aucun droit sur cette fille. Satisfait de la tournure de son discours, tu affiches un sourire sur tes lèvres, témoignant toute l'animosité qui s'émane de ton être face à ton adversaire qui n'en est plus vraiment un. Tu as entendu ta soeur ? Tu t'obstines à vouloir parler et à t'imposer pour être le plus insupportable possible. Elle a besoin que je la baise, libre à toi de rester si cela te scies. Tu emploies des mots soutenus pour qu'il comprenne, tu te moques ouvertement de sa gueule et en bon bâtard que tu fais, tu enlèves les mains de Pénélope sur toi pour te rapprocher d'elle. Tu colles ton torse contre son dos et passes tes bras autour de sa taille pour venir déboutonner les boutons de son chemisier d'une lenteur nonchalante.
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Ma soeur mesdames et messieurs.
C'est sur elle que je tombe, quand je vois pour la première fois une scène quelque peu pornographique dans des toilettes publiques. Des toilettes de Harvard qui plus est.
Il est vrai que nous n'avons aucun lien de sang. Nous n'avons même pas grandis ensemble. Et nous ne
nous connaissons que depuis quelques mois. Je crois même ne l'avoir réellement apprécié que depuis notre voyage aux Philippines, 3 semaines plus tôt.
Cependant, je la considère comme "ma soeur". Pas une blonde qui vient squatter chez moi, et me mène la vie dure. Non c'est MA soeur.
Alors quand elle se retourne, très peu dévêtue, je suis bien trop gêné, et fixe son visage, en évitant de regarde quoi que ce soit d'autre. Surtout pas l'homme qui l'accompagne, et qui semble être d'une classe inexistante. Il parle. J'essaie de ne pas l'écouter, et de ne pas répondre. Rivant mes yeux dans ceux de Pénélope, préférant savoir ce qu'elle ressent elle, si elle à besoin de moi.
Mais ça devient de plus en plus dure de soutenir son regard, surtout quand elle se met à parler de ... m'écouter couiner ... et du fait qu'elle a "réellement envie de faire l'amour".
Mon dieu, aidez moi !
Je vacille entre la gène et l'hilarité. Qu'on soit claire, je ne couine pas. Ni Benji, d'ailleurs. Et je sais que l'appart' est assez grand et insonorisé pour que nos ébats ne s'ébruitent pas trop, mais, j'ai saisis. Même si les mots qu'elle utilisent sont trop directe, pour ce dont j'ai l'habitude de la part de ma famille.
Une famille assez constipé émotionnellement, pour que je m'habitue à décortiquer toutes nos conversations afin d'en comprendre le sens. Tant d'honnêteté ... Droit dans le but.
Je penses que c'est le signe que je dois quitter.

Je m'apprête à me tourner et m'exécuter, quand les paroles de son compagnon m'arrêtent. Un soupire me soulève le torse, et je réponds "Pénélope... J'aurais vraiment cru que t'aurais plus de gout." . Sans un regard vers l'homme, je me diriges finalement vers la porte et sors sans rien ajouter. Plus tard, je verrais Pénélope, et lui expliquerais que Benji à un manoir, si elle veut avoir le loft pour quelques jours, elle n'aura qu'a le demander...

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Je ne comprends pas comment cette histoire a pu en arriver là. On était bien parti, avec cet échange de sms, les photos, l'appel. J'ai tout fait pour bien le chauffer, pour quitter mon cours, pour le retrouver ici. Mais pourquoi n'avons nous même pas eu l'idée de fermer la porte à clé ? Pourquoi c'est Jonathan qui a trouvé le moyen de rentrer à ce moment là ? Non, vraiment, je n'aurais même pas pu inviter une histoire pareille. Je garde Gautier dans mon dos, laissant notre tension sexuelle redescendre doucement. L'arrivée de mon frère change mes plans rapidement, et malgré tout, je sens bien que mes envies sont présentes, un peu enfouies sous la honte de la vision de moi même que j'offre à Jo. Je ne quitte plus ses yeux, le suppliant du regard de quitter la pièce et de me laisser seule avec Gautier. Parce que d'un côté, j'ai un peu peur de la réaction du jeune homme face à mon frère. Je me demande s'il a bien fait attention à mes paroles et n'imagine pas que Jo soit le professeur que je lui ai décris un peu plus tôt. Heureusement, mon frère fait preuve d'intelligence et ne répond pas aux attaques de mon amant. Je fronce les sourcils. Gautier joue avec le feu en lui parlant comme il le fait, en utilisant des mots crus autant qu'une fin de phrase soutenue... il se fiche clairement de sa gueule. Gautier repousse mes bras et se colle contre moi. La chaleur de la pièce semble augmenter d'un seul coup quand il déboutonne ma chemise avec cette lenteur difficilement supportable. Mon regarde quitte celui de mon frère alors qu'un élan de bon sens me revient. Mes mains attrapent celles de Gautier et les empêchent d'avancer dans leur quête de me mettre en sous vêtements devant mon frère. Et alors que ce dernier était prêt à partir, il se retourne rapidement vers nous et me lance sa déception à la figure. J'hausse les épaules. Il ne peux pas comprendre, je le sais bien. Tout le monde s'attend à me voir fricoter qu'avec les gens de la haute société, mais réellement, je n'ai pas d'amis dans ce milieu là. Gautier n'a rien du gendre ni du beau frère idéal, il est détestable c'est vrai, mais il y a ce petit quelque chose chez lui qui me garde accrochée. J'attends que la porte claque pour souffler longuement et serrer les doigts de Gautier un peu plus fort entre les miens, laissant tomber ma tête en arrière sur son épaule. « J'te déteste Blackburn... » Je me sens vidée, épuisée. La honte de me retrouver en culotte devant mon frère, la peur de la violence de Gautier qui aurait pu arriver à n'importe quel moment, la provocation de Jo face à la situation de mon amant... Je me serais bien épargner ce genre de scène aujourd'hui. Je le lâche, et me retourne vivement, me retrouvant face à son torse, le chemisier à moitié ouvert. Je lui offre la vision de ma poitrine parfaitement tenue dans ce soutien gorge hors de prix. Rapidement, j'attrape son visage entre mes doigts, me mets sur la pointe des pieds et l'embrasse fougueusement. Alors que je brise le lien aussi rapidement que je l'ai formé, je recule contre la porte d'entrée et la ferme pour que cette fois ci, nous nous soyons plus dérangés. Mon corps s'appuie contre la porte, les bras dans le dos, mes yeux dans les siens. « Alors, où en étions-nous ? » Sourire aux lèvres. Allez dépêche toi, je suis certaine que la pression n'est pas tant descendue...

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