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Rose & Hoël ∇
Les mois que j'ai passé loin m'a fait du bien , mais derrière tout ça j'ai oublié quelqu'un d'important. Tout l'été je n'ai pas laisser un seul mot et j'ai profité du soleil avec aucun remord dans l'estomac. La rentrée est revenue à la charge m'écorchant et m’ébranlant l'esprit me souvenant que j,avais mal agis cette fois. Je tordais mes doigts dans mes mains observant les lueurs du soleil qui venaient d’éclaircir le ciel. Petit matin bien douillet je pris mon portable déposé sur ma table de chevet et il me renvoya l'image d'une amie. D'une jolie brune aux yeux perçant . Lien fraternel fictif , elle est devenu si importante avec son grand sourire. Un pincement m'éveille en réalisant que je l'ai tapissé au loin mon amie. L'inquiétude tords mes nerfs un par un et j’attrape le premier t-shirt qui tombe sous la main. Je ramasse tout ce que je trouve bon à avoir sous la main, bonbons chocolat film. Je me sens comme un pure égoïste qui n'a su que vouloir s'enfuir de nouveau se sentant si prisonnier de tout ce qui l'entoure. Mes neurones sont partie dans tout les sens et mes envies de liberté ont pris encore le dessus si facilement. Je ne connais point l'heure et à regarder par la fenêtre il ne doit pas être plus tard que sept heure écoulés. Les envies de meurtres seront sans doute si présent , je les sens déjà ses yeux qui me transpercent l'âme de colère.Et pas seulement dû à mon départ , mais aussi par un réveil brutal que je causerai. Il doit être écoulé une seconde entre le moment où j'ai pris la direction vers la demeure des dunster et j'ai barré la porte de ma demeure. Je martèle la porte de plusieurs coup et peu importe je vais cogner pendant des heurs s'il le faut pour avoir une réponse de sa part. Je la vois sa jolie tête brune encore dans les bruîmes du sommeil profond t'ouvrir. Le plus grand de mes sourire se dessinent en brandissant les friandises dans chaque main. Je ne lui laisse pas le temps de réagir que je le saute déjà dans les bras en la serrant fort contre ma poitrine. Je dépose un baiser sur ses cheveux puis un long sur son front . Si protecteur , j'essaie par tout moyen de la rassurer par de jolies étreintes et caresses amicales.«Je le sais je suis un pauvre enfoiré...» Je la regarde de yeux avec une mine triste qui se éclaircie sur mes iris. «Je te permets de me frapper , mais avant n'oublie pas que j'ai apporté du chocolat et des bonbons.» Je ris. Oui comme à tout les fois. L'atmosphère doit être détendue
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