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MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux

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mila lorena
di mascio
feat elisabeth rioux
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Nom ; di mascio, le nom de mon paternel, celui que j'ai toujours refusé d'évincer de ma vie. Prénoms ; officiellement, clio mila lorena. j'ai eu de bonnes raisons de tirer un trait sur le premier et de préférer les deux autres ; le deuxième est celui que mon père a décidé de m'attribuer, le troisième est celui de ma grand-mère paternelle. âge ; sur le chemin de mon vingt-quatrième anniversaire, j'affiche pourtant vingt-trois ans actuellement. orientation sexuelle ; je préfère de loin les frites aux moules, et j'ai toujours su me faire comprendre sur ce point ; ça me répugne suffisamment d'imaginer deux femmes passer à l'acte pour le faire de mon côté. statut matrimonial ; célibataire mélancolique, toujours son visage en tête, sa voix, son rire, ses sourires. bref, totalement paumée, et encore plus depuis mon arrivée. situation financière ; je dirais que, grâce à dieu et à mon père, je m'en sors plutôt pas mal. pas pauvre, pas riche, le juste-milieu qui me suffit à ne pas me noyer sous les factures sans pour autant rouler en lambo. date et lieu de naissance ; c'est à amalfi en italie, le 7 juillet 1993, que j'ai vu le jour d'une génitrice inconnue. nationalité ; italienne, aux origines profondes ; du moins, c'est ce que m'a juré mon père. job ; manager au mcdo du campus, histoire de pouvoir garder un œil sur lui et de prendre mes marques à l'avance. depuis combien de temps ? ; depuis mars de cette année, trois semaines après mon arrivée sur le territoire américain et à boston. choix de groupe ; citizen, pour quelques mois encore du moins. crédits ; wicked game

 

 
AVEZ-VOUS ETUDIE A HARVARD ?
Je n’ai pas encore eu l’occasion d’y entrer, mais ça ne saurait tarder. Après avoir obtenu mon double-diplôme en psychologie et en droit à l’université d’Oxford l’année passée, en fin de ma quatrième année, j’ai décidé de me prendre une année sabbatique pour me ressourcer. Voir du monde, du pays, et surtout, le retrouver. Parce qu’après trois années à le chercher désespérément sans jamais réussir à retrouver sa trace, j’ai fini par comprendre que si c’était vraiment ce dont j’avais besoin, je devais persévérer. Et ça a payé. J’ai retrouvé sa trace, un peu trop tard pour intégrer Harvard puisque j’ai posé les pieds à Boston en février de cette année, mais je compte bien demander un transfert de mon dossier pour pouvoir reprendre mes études comme il se doit dès la rentrée prochaine.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
A l’époque des faits, je résidais encore en Angleterre, alors étudiante à Oxford. Et pourtant, aussi loin que j’ai pu être, je mentirais si je disais que cette histoire ne m’a pas touchée. En soi, plus que de la peur, ça a provoqué en moi une certaine parano. Je me suis posée tout un tas de questions, je me suis dit que ça aurait pu arriver à Oxford ou n’importe où ailleurs. J’ai mis un temps à réaliser qu’on parlait de vraies vies, de vraies personnes, de vraies blessures, de vrais deuils, sans doute un peu intoxiquée par tous ces films hollywoodiens qui nous paraissent si réels sans jamais l’être. Qui manipulent si aisément nos esprits et nous rend presque insensibles face au malheur d’autres contrées. Et puis, la parano est passée avec les mois, et la vie a repris son cours, presque comme si de rien n’était. Parce que depuis mon arrivée, j’ai visité. J’ai jeté un œil à tous ces lieux où se sont écroulées les victimes de ces monstres. Et ça m’a fait froid dans le dos.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Quand le tremblement de terre a eu lieu, dans les heures et les jours qui ont suivi en tout cas, j’en ai vaguement entendu parler. Mais une sensation, quelque part, que les informations rentraient par une oreille et ressortaient aussi vite par l’autre. Je me suis réellement rendue compte des choses en arrivant à Harvard, en ayant l’opportunité de discuter avec des étudiants qui ont été victimes de ce fâcheux évènement. Et encore une fois, je me suis sentie terriblement chanceuse. Parce que j’étais loin, bercée dans ma routine anglaise, à quelques semaines de mes examens finaux. Plongée dans les bouquins, j’avais la tête ailleurs, bien loin de tous ces malheurs.
CELUI QUI CACHE SON SECRET EST MAÎTRE DE SA ROUTE
Je suis la connerie meurtrière, celle qui emporte les âmes dans un monde qui n’est pas nôtre. Une faucheuse insouciante, auteure d’un homicide involontaire, supporter d’un suicide avec le sourire, au milieu d’une pièce digne de cette sordide histoire. Le bruit d’un barillet qui tourne, d’une première détente excitante. Un sourire satisfait sur mon visage, le revolver change de main, la détente retentit, et c’est la fin. La fin de ma vie, un fardeau sur ma conscience, l’innocent victime de mon inconscience.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle vixen ou mégane et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à shenhua à l'ééééépoque. Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de louve v. perol (mather). J'utilise hailey baldwin comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par wild heart. Je fais environ 200 à 600 mots et mon personnage est un personnage scénario crée par idris calabresi.

   
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
  adhérer un flood d'intégration
  je veux être parrainé

 Je recense mon avatar
   si scénario:
 
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7244]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t74886-f-reservee-come-break-me-down]►[/url] <span class="pris">HAILEY BALDWIN</span> ♦ “ Mila di Mascio ”[/size]
   

   
 
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on grandit mal sans l'ombre d'une mère. on grandit de traviole, on devient des ronces. ✻✻ On dit bien souvent que grandir sans mère est la pire des choses ; ou encore qu’un enfant a davantage besoin d’une mère que d’un père. Je suppose que je suis plutôt bien placée pour vous dire le contraire. Ma mère, ou plutôt devrais-je dire ma génitrice, cette femme pour laquelle je n’ai et je n’aurai sans doute jamais aucune estime, a décidé, du jour au lendemain, sans dire un mot, la veille de mes sept mois, de disparaître de nos vies à tout jamais. Et elle laissait là, dans le berceau, ce bébé à demi endormi sans jamais se retourner. Je me suis toujours demandée si en me laissant là, elle n’avait rien éprouvé ; car partir en laissant sa progéniture, ça me semble être plutôt dur. Et pourtant. Pourtant, mon père m’a mille fois conté qu’elle n’était jamais revenue ; que malgré ses moult tentatives pour la retrouver, il n’a jamais réussi à remettre la main sur cette femme qu’il avait tant aimé. Alors, mon père, caissier sans une supérette peu fréquentée, s’est démené pour m’élever. Pour m’offrir tout ce dont je pouvais avoir besoin, me donner à chaque repas suffisamment de nourriture pour caler mon estomac de moineau, me faire plaisir pour que mon sourire ne s’éteigne jamais. Et, devant lui, de mes yeux de biche, je le lui rendais bien. Dans mon regard se décrivait parfaitement cet amour que j’avais pour lui. Un amour intense, plus fort encore que celui que n’importe quel enfant porte à son père. Parce que mon père, cet homme, est mon héros. Et pourtant, eux, ces hommes et femmes vêtues de noir, en ont décidé autrement.

et la personne à qui tu ôtas la vie fut la seule qui sincèrement aurait pleuré ta mort. ✻✻ Ballottée de famille en famille, je trouve en ce foyer mon exutoire. Ce foyer, cette famille qui, enfin, est à la hauteur de mes espérances, je l’ai trouvé en cette bande d’amis qui sont les miens. Plus téméraire sans doute, plus inconsciente, je les entraîne toujours plus dans des aventures qui font exploser notre taux d’adrénaline. Ce jour-là, bien cachée sous mes vêtements, je transporte la mort. Sans trop m’en rendre compte, je me transforme en une faucheuse sans jugeote, emportée par mon envie d’aller toujours plus loin, de repousser les limites de chacun de ceux que je porte dans mon cœur. Le sourire aux lèvres, sans doute un peu trop influencée par le cinéma contemporain, je déballe l’arme du crime. Je me dis que tout ira bien ; je suis tombée dans ce cercle vicieux qui me fait toujours plus sombrer. Je me rends plus compte de rien, comme si, à la manière d’un chat, on avait droit à neuf vies. Comme si, à la façon d’un bon film, qu’importe ce qui arrivera, on sera toujours là. Ce n’est qu’un jeu après tout, qu’est-ce qui pourrait nous arriver ? Idris est là, à mes côtés, alors que je porte le revolver à ma tempe. Un regard provocateur prouve ma foi : même après avoir appuyé sur la détente, je serai là. Et c’est le cas. Le clic ne fait rien. La balle n’était pas dans mon trou. Les autres s’excitent, influencés par le mal qui est en moi ; il attrape à son tour le pistolet, le pose sur sa tempe, et tire. Et c’est là que je retombe sur terre. Le bruit assourdissant de l’explosion de la balle contre sa tempe me laisse sans voix et le laisse sans vie. Ce jour-là, je lui ai ôté la vie, comme d’une fleur on arrache les pétales. Inconscients, insouciants, on se cherche et, dans notre descente vers les enfers, vers la part la plus sombre de notre être, on embarque ceux qui nous sont les plus chers. Ce jour-là, je l’ai poussé vers le suicide, comme un gourou de secte, et j’y ai perdu, d’une certaine manière, une partie de ma vie.

et depuis ce jour, tu gardes au fond de toi, ce lourd fardeau qu'est ton secret. ✻✻ Huit ans. Huit ans que ma vie a pris un violent virage et pourtant, je ne me suis jamais pardonnée. Je n’ai eu d’autre choix que de changer, alors que certains êtres qui m’étaient alors chers ont disparu de ma vie. Un peu à la manière de ma mère, d’ailleurs. Sans se retourner, sans jamais donner de nouvelle, en laissant simplement ce vide en moi que mon père avait alors connu. On s’était alors promis de ne jamais rien dire, mais je n’ai jamais pu le cacher à mon père. Je me suis renfermée, muée dans un silence profond, le cœur lourd. Et dans ma tête se refont sans cesse ces images. Elles tournent en boucle, comme un fantôme qui me hante. Mon père, que j’ai fini par retrouver après des années de galère sans sa présence, m’a juré de ne jamais rien dire. Mais il était là, à mes côtés, tentant au mieux de me soutenir et de me relever, cachant à son tour les maux que provoquait la descente aux enfers de son enfant. J’ai fini par me reprendre, j’ai pris conscience des choses, du coût de la vie, de la chance d’être toujours en ce monde. Mon père a pris conscience, à son tour, que pour nous reconstruire, il fallait fuir. Quitter cette ville et ce pays qui ont pour nous été synonyme de galère. Alors, quelques affaires à peine sous le bras, on a pris la route vers cet ailleurs qui nous a permis d’aller mieux, d’avancer enfin, de vivre. On s’est installés, a la fin de l’année deux-mille-onze, à Londres. J’y ai intégré un lycée pour terminer au mieux ma scolarité, Papa a pu suivre une formation pour devenir infirmier urgentiste grâce à l’argent qu’il avait réussi toutes ces années à préserver. Je me suis découverte de nouvelles facettes ; moi qui, quelques années auparavant, n’avais que peu d’intérêt pour ma scolarité, je me suis trouvée cette soif d’apprendre et d’aller plus loin. Soutenue par la totalité de mes professeurs de lycée, j’ai décroché mon diplôme haut-la-main. Papa, de son côté, s’est démené, au détriment de son sommeil, pour amasser le plus d’argent possible dans le seul but de m’envoyer dans l’une des meilleures universités du pays. J’ai pu, par son soutien et celui de sa banque, intégrer l’université d’Oxford où je me suis lancée dans des études de psychologie et de droit, dans le seul but de devenir, après toutes ces années, psychologue judiciaire. Un peu influencée par mon passé, sans doute.

et l'espoir de le retrouver un jour est ce qui t'a toujours maintenue à flot. ✻✻ Rien n’y fait ; depuis toutes ces années, depuis cet abandon, depuis ce départ sans un mot, sans un remord, il n’a jamais quitté mon esprit. Idris, cet homme qui, alors, représentait tout pour moi et m’a laissée là, dans ma détresse. J’ai eu beau tout tenter, je n’ai jamais réussi à passer à autre chose. Et mes années à l’université n’ont que rendu plus dure encore cette absence. Sans doute était-ce le fait de côtoyer toujours plus d’hommes, toujours trop différents de lui, jamais à sa hauteur. Que chacun d’entre eux n’arrivait même à la cheville de celui qui avait rythmé mon adolescence. J’ai tenté, en vain, durant des années, de retrouver sa trace. Par les réseaux sociaux, notamment, mais rien n’y a fait. Durant des années, j’ai senti en moi le vide qu’il avait provoqué grandir toujours plus. Et ce jour, trois ans et demi après le début de mes recherches, j’ai souri. Parce que tout le mal que je m’étais donné avait fini par payer. Les Etats-Unis l’avaient adopté. Et je n’avais pas d’autre choix que de tout laisser tomber. Alors, armée de mon bachelor en psychologie et en droit, un dernier baiser déposé sur la joue de Papa, je me suis envolée pour Boston en février deux-mille-dix-sept. J’y ai trouvé un toit provisoire, puis un boulot. Un boulot que j’ai choisi de prendre au cœur du campus, pour lui tomber dessus ou, au moins, avoir un œil sur lui. Détailler ses habitudes, son emploi du temps, pour mieux le retrouver. Et ce n’est plus qu’une question de temps.
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mamamia che bella :loukas: :loukas: :loukas:
merci encore, vraiment j'ai troooop hâte MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 1508216586
rebienvenue parmi nous MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 2511619667
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Rebienvenue et bon courage pour ta fiche MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 3850463188
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rebienvenue sur le forum :heaart:
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Toi & moi = best link ever. MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 152426858

Because...:
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@idris calabresi :hump:

@n. siham delgado ça va de soi hanwii

& merciiiiii MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 73120010
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(Re)Bienvenue. :heaart:
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53977
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Bienvenue MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 1508216586
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux UqVihWUg_o
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Rebieeeenvenue MILA DI MASCIO ► elisabeth rioux 2511619667
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