Accueil
Ottis Heimann
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : 
Répertoire rps : 
Fiche de liens : 
Profil meetsachussets : 
Répertoire rps : Fiche de liens : Profil meetsachussets : Just give me a reason, just a little bit's enough. Just a second we're not broken just bent.✻ C'est bien gentil de sa part de m'avoir répondu et d'avoir accepté de me voir un moment. Même si, il m'a déjà annoncé la couleur en disant qu'il ne restera pas des masses. Il a sans doute autre chose de prévu. Je me sens un peu vexée pour le coup mais je ne peux pas faire de caprices pour ça. Je vais arrêter d'attendre qu'un homme vienne vers moi, je vais plutôt prendre les devants et aller les chercher. Le seul que j'ai envie de voir c'est Eliot. Toute cette ambiance romantique, tous ces gens qui ont l'air de flirter les uns avec les autres, ça me rend nostalgique, et forcément, mon coeur se serre. Je quitte les toilettes en frottant la peau sous mes yeux pour retirer toute trace de mascara. Je me dirigeais dehors en soulevant ma robe pour marcher et j'attendais, appuyée contre le balcon de la terrasse. Le regard froncé, regardant au loin, me demandant s'il allait vraiment venir ou pas. Je jouais avec mes ongles, je frissonnais dès que le vent faisait voler mes cheveux. Lorsque tout à coup, j'entendis sa voix dans mon dos. Je fermais les yeux, je pris une grande inspiration puis je fis demi-tour pour lui faire face. Mes yeux doublèrent de volume et je plaquais ma main sur ma bouche. « Oh mon dieu Eliot comme tu es beau. » lançai-je surprise, spontanément. Je vous ai déjà dit que j'avais pas toujours de filtre entre mes pensées et ma bouche ? Là je suis presque jalouse, non, en fait, je suis jalouse de sa cavalière. Lui au moins il a quelqu'un. « J'arrive à peine à te reconnaître. » dis-je d'un petit sourire en coin qui faisait ressortir mes fossettes. Je suis en admiration et maintenant j'ai chaud, je crois que je suis en train de rougir comme une idiote.
(Ottis Heimann)
✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you .
Just give me a reason, just a little bit's enough. Just a second we're not broken just bent.✻ Prétendre que le sms de Willa pendant la soirée du bal ne l'avait pas surpris serait mentir. Parce qu'il l'avait pire que surpris à Eliot ce sms, et pire encore, il l'avait touché à tel point qu'il ne mit pas longtemps à se décider d'aller la voir. Il ne devrait pas cela dit. Parce que pour qui il passait à abandonner sa cavalière aka la sœur de la fille qu'il convoitait pour aller voir une fille qui s'avère être son ex avec qui les choses ne semblaient pas être si finis ? Il était idiot mais 1) il avait besoin de sortir de cette table vu l'ambiance lourde qui y pesait et les histoires auxquelles Eliot n'appartenait pas qui fusaient, 2) il avait besoin de se dégourdir les jambes et de se rafraîchir et 3) le plus important sans doute, Willa avait besoin de lui. Il s'était excusé auprès de Sofia pour se diriger aux toilettes et lui promit de revenir incessamment sous peu - et prévint de la même façon Willa, il ne resterait pas longtemps. Question de respect, parce qu'il ne respectait rien ce soir le petit. Mais soit. Une fois arrivé à destination, il la reconnut facilement de dos et la héla. Sans attendre, elle se retourna et avant qu'il ne put réagir sur sa mine déconfite, elle le devança en le complimentant comme elle l'a toujours si bien fait : sans aucune retenue. Et Eliot y répondait comme il l'a toujours bien fait : avec une gêne immense, en se grattant l'arrière de la tête tout en l'observant à son tour. Et elle était... ok, ravissante. C'était le moins qu'on puisse dire. Et il se sentait réellement coupable pour le coup de trouver une fille autre Margot resplendissante mais elle l'était. « Et toi tu es.. sublime ! Qui est l'heureux élu qui accompagne la très chère Willa Cavendish au bal de promo ? » Retourna-t-il avec un sourire en coin, s'attaquant directement au cœur du problème en passant : à savoir la raison de sa solitude, de son appel à l'aide, de son expression peu enclin à la fête. « Hey, dis-moi que tu vas bien Willa ? » Parce que mine de rien, son message l'avait un peu - beaucoup - inquiété Eliot.
