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All or nothing. ▬ Camille.

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All or nothing.
Camille et Annalynne.


La soirée est déjà bien entamée, et parce que ce soir le club a attiré beaucoup de monde, c’est aussi volontairement que naturellement que je me suis glissée derrière le comptoir afin d’aider l’équipe de serveuses en s’en sortir plus facilement. Toute à côté de Sarah qui s’active de la manière dont je l’ai formé, elle semble aussi contente que moi de l’entrain qui pèse en ce moment sur le Nirvana. Je ne pensais pas, me trouver ici une alliée comme elle, je me dois de l’avouer. Je n’ai sur mes employés qu’un contrôle constant, une relation loyale mais toujours distante, maîtrisée. Un respect mutuel même lorsque je me décide à les tyranniser. Avec elle, c’est tout l’inverse, c’est son entrain naturel qui m’a tout de suite charmée, sa façon de toujours vouloir contrer mes attaques cinglantes, ma façon de la rembarrer. Et si cela aurait pu m’énerver, me donner une raison de l’envoyer voir ailleurs si quelqu’un voudrait l’engager. C’est avec force, qu’elle s’est fait une place dans mon quotidien. Et je ne mentirai pas, bien que je ne l’énoncerai pas à haute voix, l’avoir près de moi, me fait un certain bien. Elle a ce rôle d’étrange ange gardien.

Les verres défilent aussi bien que les pourboires et c’est de façon légère que j’appréhende la suite du service, mon bureau directionnel ne me manquant même pas. A croire que c’est réellement le rôle de serveuse qui tend à créer un petit vide en moi. Un nouveau show débute sur la scène, professionnelle, j’en regarde les premiers pas, pour être certaine que tout se déroule comme il se doit. Les pas sont assurés, et les hommes semblent … excités. Mon monde de luxure à son apogée. Dans mon esprit il y a un certain bien être que je n’avais pas ressenti depuis longtemps, et je me remémore alors ce que Feldt m’avait dit il y a quelques mois déjà. « Le temps aidera. » Et rien qu’à cette pensée, j’ai l’intense impression que ma légèreté vient d’être plombée. Factice humeur joviale que je maintiens lorsque le dos tourné j’entends une voix m’appeler afin de commander. Un sourire sur les lèvres, un brin aguichante puisque c’est le rôle des barmaids ici, c'est tellement par coeur que je le connais, plus on leur fait croire qu'on est intéressée, plus ils sont prêts à payer, je me retourne sans avoir la moindre idée de ce qui m’attends ...


@Camille Moreau
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all or nothing — Agacé, tu quittais l'appartement tout en mettant sur tes épaules ta veste en cuir noire. Agathe t'avait encore pris la tête, à croire qu'elle avait ses règles H24 sept jours sur sept. Lorsqu'elle t'avait proposé de venir en colocation chez elle, tu avais été tout particulièrement attiré par le bas prix et la possibilité de payer un peu plus tard, le temps de te trouver un boulot. Mais supporter son caractère de diva du dimanche tous les jours, ça pouvait être éprouvant, même pour un mec aussi je-m'en-foutiste que toi. Tes pas te menaient n'importe où et ça t'allait, tant que tu te retrouvais loin de la furie blonde. Machinalement, tu sortis une clope de ta poche et la portas à tes lèvres avant de l'allumer, créant en toi un sentiment d'apaisement. Cette merde te calmait toujours, y avait pas à chier. Le corps vagabond, les minutes les unes après les autres, tu flânais dans Cambridge avec plus de légèreté que tout à l'heure jusqu'à tomber nez à nez avec le Nirvana. Endroit qui portait très très bien son nom à ton goût. Un sourire malicieux se dessina sur ton visage et tu ne pris pas longtemps à te décider pour entrer. Comme bien souvent, l'ambiance était chaude et les hommes étaient déchaînés autour de la scène. T'avais pris l'habitude de venir de temps en temps dans ce club de strip-tease, notamment quand t'arrivais à soutirer un billet ou deux à Agathe le temps de te refaire les poches. Et la dernière fois que tu avais mis les pieds dans ce lieu, la soirée avait été beaucoup plus intéressante qu'à l'accoutumé. Du regard, tu balayais la salle dans l'espoir de croiser celle qui t'intéressait plus que les danseuses : Annalynne. Sans succès. Elle devait être dans son bureau ou encore ailleurs, occupée avec l'administration du club. Tant pis, t'allais passer ta soirée à mater des meufs bien gaulées se dandiner. Nonchalant, tu avanças jusqu'au bar en te frayant un chemin parmi la foule d'hommes accoudés au comptoir et appelas la serveuse la plus proche, dos à toi. En découvrant ses traits fins, tu ne pus t'empêcher de sourire. Tiens tiens. Elle s'avança vers toi pour prendre ta commande et tu te penchas un peu plus au dessus du comptoir pour qu'Annalynne t'entende bien « Un whisky sans glace. » lui dis-tu, simplement. T'attendais patiemment qu'elle te serve ta commande et lorsqu'elle posa le verre devant toi, tu lui souris, malicieux « Alors, qu'est-ce que tu fous là ? T'as encore laissé un mec en plan dans ton bureau ? » demandas-tu, sarcastique. Ouais, t'avais encore les boules du coup qu'elle t'avait fait. Mais tu t'en étais remis, ayant tiré ton coup à droite à gauche depuis le temps. Cependant, tu ne comptais pas vraiment la laisser tranquille ce soir maintenant que tu la tenais. Ô ça non.
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All or nothing.
Camille et Annalynne.


Un battement de cil, le temps de soupirer mais aussi celui de réaliser, et de reprendre mes esprits tandis que mes prunelles détaillent ses traits. Ce visage que j’ai connu de bien trop près. Quelques jours, quelques mois, je ne sais plus, je ne sais pas, mais il a toujours ce sourire flanqué sur ses lèvres arrogantes qui avaient appelé mon être alcoolisé au charnel. Presque j’en soufflerai son prénom, parce que si j’avais pensé l’avoir oublié dans la vodka, le fait est qu’il est bien présent, dans les méandres sinueux de mon esprit à la limite du fou furieux. Sa commande, je ne lui demande même pas, parce que déjà, il se penche sur le comptoir, et souffle d’un ton aussi léger qu’assuré. « Un whisky sans glace. » Mon visage subtilement incliné, je le jauge durant une fraction de seconde avant d’aller chercher verre et bouteille qui pourront rendre son souhait exaucé. Le liquide ambré tombe dans le fond, jusqu’à ce que relevant le regard vers lui, je lui tends son bien, prête à lui demander un billet et d’aller vers un autre client, peut-être bien pour mieux m’éclipser. Coupable d’avoir voulu, avec lui, oublier Clay. « Alors, qu'est-ce que tu fous là ? » Comment te dire … Ca ne se voit pas ? Je travaille, au risque de te choquer. Mais une chose est certaine, je comprends qu’il n’est pas enclin à me laisser vaquer à mes occupations pour le reste de la soirée. Non, c’est toute mon attention qu’il semble désirer. « T'as encore laissé un mec en plan dans ton bureau ? » Railleuse, j’en viens à bouffer mes propres lèvres afin d’étouffer un rire nerveux. Une oeillade est lancée aux alentours, afin de vérifier que tout est à sa place, que rien ne part à vau-l’eau dans le club.

Je me permets de prime abords de tirer d’en dessous le bar, un autre verre afin de verser à nouveau, et de l’accompagner sans même y avoir été invitée. Après tout, il est totalement inutile de préciser, que je suis chez moi, et que de ce fait, j’ai tous les droits. Même celui d’amener dans mon bureau un homme et de le laisser sur sa faim, au grès de mes propres envies. Une gorgée est avalée, avant qu’un brin de provocation parcourt mes tripes … Comme je me sais capable de l’être, joueuse jusqu’à un certain point. Appréciant susciter ces lubriques intérêts. Et me voilà, à courber l’échine, m’inclinant sur le comptoir, allant déposer mes coudes sur ce dernier pour mieux venir caler mon visage entre mes mains, lorsque perfide, en un sourire je le questionne à mon tour. « Ne me dis pas que ton égo en souffre toujours ? »


@Camille Moreau
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all or nothing — Le corps figé, elle te regardait comme si tu venais de sortir d'un cauchemar. Te voir ici ne devait pas la surprendre en soi, toi qui était un client fidèle, mais tomber sur toi et ne pouvoir t'échapper devait l'embêter. T'étais en forme, prêt à la faire chier, à la titiller, juste pour déverser tout l'agacement qui s'était accumulé en toi après ta conversation avec Agathe. Un plaisir malin, coupable, mais que tu appréciais grandement. Elle te sert ton whisky sans attendre, pressée de se tourner vers un autre client, mais tu ne la payes pas tout de suite, parce que c'était ton seul moyen de la garder pour toi. Tes yeux malicieux parcouraient ses traits avec grande satisfaction. Puis, sans que tu ne t'y attendes, elle prit un verre à son tour, se joignant à toi. T'arquas un sourcil, agréablement surpris et ne te gênas pas pour laisser chavirer ton regard vers son décolleté alors qu'elle se penchait au-dessus du comptoir. Ses mots suaves glissèrent le long de tes tympans comme le chant d'une sirène et tu rigolas légèrement « Je suis touché que tu t'inquiètes de mon ego. » annonças-tu en prenant une gorgée de ton breuvage, réchauffant ta trachée. « Non à vrai dire, je serais presque jaloux de ses hommes qui ont réussi à t'avoir. » ajoutas-tu avec un sourire arrogant. T'avais toujours en tête d'attirer la gérante du Nirvana dans tes draps, pouvant savourer ses courbes délicieuses le temps d'une nuit. C'était juste une envie, un désir, une attirance particulièrement envoûtante.
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Camille et Annalynne.


Je ne saurai dire ce qui m’a poussé à me servir ce verre, après tout, j’aurai pu partir, faire comme s’il n’était pas là, et surtout comme si j’en avais rien à faire. Même pas à peine perturbée par sa présence dans mon enfer. Sauf que je l’ai fait, avec une malice non dissimulée, une envie presque féroce, à la vérité. Celle de m’imposer à lui, et de lui dicter une nouvelle fois mes règles bien qu’à craquer j’en ai été qu’à deux doigts … Et son regard s’étale sans aucune parcimonie sur ma peau dénudée, dans le creux presque offert à ses prunelles de mon décolleté. D’une langue qui passe sur mes lèvres, à la suite de mes mots, il échappe un rire qui provoque instinctivement la détente de mes traits, après tout, ce n’est pas comme si j’avais quelque chose à craindre de lui. Il serait certainement fou de vouloir retenter, ou ne serait-ce que se venger. « Je suis touché que tu t'inquiètes de mon ego. » Une infime grimace traverse mon visage, parce qu’il est vrai que je m’attendais à toutes les réactions possibles, sauf celle là … qu’il pense réellement que je pourrai m’intéresser à ses états d’âme, à la frustration que la vue seule de ma personne doit engendrer. Lentement, il boit, et d’en un désir de reflet, j’avoue faire de même avec le verre que je me suis octroyée. « Non à vrai dire, je serais presque jaloux de ces hommes qui ont réussi à t'avoir. » Direct, impétueux. Déjà, ça devient un amusement dangereux. Par souci de professionnalisme, je jette une oeillade autour de moi, juste pour m’assurer que personne n’aurait pu entendre cela. Bien évidemment, ce n’est pas le premier à faire preuve d’une drague aussi direct entre ces murs, le problème, c’est que c’est un des rares que j’ai bien voulu amener avec moi dans ce bureau que je n’occupe que depuis quelques mois.

L’information n’est pas passée sous silence, Sarah le sait, et d’autres danseuses aussi, il faut dire que lors de cette soirée, je n’étais pas des plus discrètes sur mes volontés. L’alcool m’ayant aidé, c’était tout de lui, que je voulais, et surtout satisfaire mon manque de charnel, d’appréciation au niveau personnel. Il avait eu les bons mots, au bon moment, de ceux qui s’étaient fait une place dans mon esprit saoulé par la vodka, il y avait eu dans ses iris cette lueur, celle qui traduisait que trop bien son désir certain. Mon hésitation court à sa perte, lorsque je reporte mon attention sur lui, sur ce visage bourré d’arrogance, j’en omets le fait que de par son statut d’habitué certaines vont le reconnaître, au mieux, certaines penseront que je me suis trouvée, un nouveau jouet. D’une langue de vipère, je demande finalement « Jaloux ? » Vraiment ? Il est vrai que ce n'est pas pour me déplaire, je me dois de l'avouer, bien que pas encore prête à l'assumer de vive voix. Une nouvelle gorgée est avalée, moins brûlante que la première, comme si ma gorge était en train de s’accoutumer à cette sensation si galvanisante et presque violente. « Dis toi qu’au moins, tu as failli. » et que c’est déjà un exploit, peut-être même que ça te rassureras. Parce qu'il ne faut pas nier que beaucoup n'ont même pas eu le loisir de me toucher.


@Camille Moreau
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