Invité
est en ligne
Invité
mackenzie aylina
miller
miller
feat crystal reed
id card
QUINCY HOUSE.
Je pense que la Quincy House est la confrérie qui me conviendrait le mieux. Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis une jeune femme généreuse, mais aussi parce que je fais toujours passer le bonheur des autres avant le mien. J'aurai très bien pu faire partie des Cabots ou des Eliots vu l'argent qu'il y a sur mon compte, mais à la différence d'eux, moi je ne suis pas prêt de mes sous et s'il faut donner pour des œuvres caritatives ou à des sdf, je le fais et ce, sans jamais rechigner. L'argent, ça va, ça vient, ce n'est pas ça qui fait mon bonheur. Non, moi je suis heureuse quand je vois les gens autour de moi être heureux, tout simplement. On pourrait croire que parce que je suis très généreuse et un peu rêveuse, je suis naïve, or ce n'est pas du tout le cas. D'ailleurs, gare à vous si vous essayez d'abuser de ma gentillesse et de ma générosité, car vous pourriez le payer très cher, soyez-en certain.
LOWELL HOUSE.
A côté de ça, je me vois bien à la Lowell House. Je suis un peu rêveuse et surtout je suis une grande adepte du théâtre. D'ailleurs, je suis des études de théâtre, c'est pour dire combien ce domaine me tient à cœur. Depuis toute petite, j'ai un rêve : devenir actrice. Alors vous vous doutez bien qu'une confrérie qui touche aux arts me conviendrait bien aussi. De plus, tout comme les membres de la Quincy et de la Lowell, je ne suis pas du genre à me mêler des histoires des autres et je préfère de loin me consacrer à ma passion pour le théâtre et aux œuvres caritatives qu'aux petites guerres de confréries, que je trouve complètement stupides et enfantines. On n'a qu'une seule vie, alors autant en profiter pour s'amuser et étudier dans la bonne humeur plutôt que de se prendre la tête parce qu'on n'apprécie pas l'attitude d'autres de nos compatriotes. Chacun mène sa vie comme il l'entend après tout. Juger les autres, ce n'est pas du tout dans mon caractère et jamais je ne m'abaisserait à le faire, quand bien même l'attitude d'un de mes camarades ne me plairait pas.
Je pense que la Quincy House est la confrérie qui me conviendrait le mieux. Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis une jeune femme généreuse, mais aussi parce que je fais toujours passer le bonheur des autres avant le mien. J'aurai très bien pu faire partie des Cabots ou des Eliots vu l'argent qu'il y a sur mon compte, mais à la différence d'eux, moi je ne suis pas prêt de mes sous et s'il faut donner pour des œuvres caritatives ou à des sdf, je le fais et ce, sans jamais rechigner. L'argent, ça va, ça vient, ce n'est pas ça qui fait mon bonheur. Non, moi je suis heureuse quand je vois les gens autour de moi être heureux, tout simplement. On pourrait croire que parce que je suis très généreuse et un peu rêveuse, je suis naïve, or ce n'est pas du tout le cas. D'ailleurs, gare à vous si vous essayez d'abuser de ma gentillesse et de ma générosité, car vous pourriez le payer très cher, soyez-en certain.
LOWELL HOUSE.
A côté de ça, je me vois bien à la Lowell House. Je suis un peu rêveuse et surtout je suis une grande adepte du théâtre. D'ailleurs, je suis des études de théâtre, c'est pour dire combien ce domaine me tient à cœur. Depuis toute petite, j'ai un rêve : devenir actrice. Alors vous vous doutez bien qu'une confrérie qui touche aux arts me conviendrait bien aussi. De plus, tout comme les membres de la Quincy et de la Lowell, je ne suis pas du genre à me mêler des histoires des autres et je préfère de loin me consacrer à ma passion pour le théâtre et aux œuvres caritatives qu'aux petites guerres de confréries, que je trouve complètement stupides et enfantines. On n'a qu'une seule vie, alors autant en profiter pour s'amuser et étudier dans la bonne humeur plutôt que de se prendre la tête parce qu'on n'apprécie pas l'attitude d'autres de nos compatriotes. Chacun mène sa vie comme il l'entend après tout. Juger les autres, ce n'est pas du tout dans mon caractère et jamais je ne m'abaisserait à le faire, quand bien même l'attitude d'un de mes camarades ne me plairait pas.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Lorsque les agressions ont eu lieu, j'étais déjà étudiante à Harvard et franchement on ne peut pas dire que j'étais très rassurée par la tournure des événements. Toutefois, je ne m'étais arrêtée de vivre pour autant. Mes parents ont bien tenté de me faire revenir à la maison, en apprenant ce qu'il se passait à l'université, mais il était hors de question pour moi, d'abandonner mes études à Harvard ainsi que mes amis, tout ça parce qu'une ou plusieurs personnes s'étaient mises en tête de nous torturer. Hors de question aussi d'intégrer une autre université, comme il me l'avait conseillé à plusieurs reprises, parce qu'ils avaient peur pour moi. Je me sentais bien à Harvard, malgré tout cela et je n'allais certainement pas laisser tomber mon rêve d'être un jour diplômée d'Harvard, tout ça à cause de diverses agressions qui étaient venues assombrir l'ambiance de cette grande université. Pourtant, même si parmi mon entourage, personne ne s'était fait agresser, nous avions tout de même préféré ne pas nous rendre seul à un endroit ou à un autre. Nous nous déplacions toujours par deux ou par groupe de trois ou quatre, ne voulant pas prendre de risque. Et oui, nous avions beau avoir décidé de continuer à vivre comme avant ces nombreuses agressions, nous avions tout de même peur de ce qu'il pourrait nous arriver à un moment ou à un autre.
Le jour de la prise d'otages, alors même que je m'apprêtais à aller manger à la cafétéria, j'ai eu un mauvais pressentiment. Je ne saurai dire pourquoi, mais c'est à reculons que je me suis rendue dans cette pièce et franchement, si pour une fois j'avais préféré me fier à mes sentiments plutôt qu'à ma raison, cela m'aurait certainement rendu service. Pourquoi ? Tout simplement, parce qu'à peine j'avais fini de me servir et je m'étais installée à une table, un jeune homme avait fait son apparition au centre de la cafétéria, en nous menaçant avec une arme. Si comme certain j'avais répondu de suite à ses ordres, d'autres personnes, quant à elle, avait fait n'importe quoi, tant et si bien qu'avant de se tirer une balle dans la tête, le jeune homme avait fini par tirer n'importe où dans la pièce. Est-ce que j'ai été blessée ? Non. Pas physiquement du moins. Moralement en revanche, j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre. Je ne voulais plus sortir seule et s'il y a bien une pièce de l'université que je ne fréquente plus, c'est la cafétéria. Pas question pour moi de remettre un pied dans cet endroit, même si la prise d'otage a eu lieu il y a un peu plus de deux ans.
Lorsque les agressions ont eu lieu, j'étais déjà étudiante à Harvard et franchement on ne peut pas dire que j'étais très rassurée par la tournure des événements. Toutefois, je ne m'étais arrêtée de vivre pour autant. Mes parents ont bien tenté de me faire revenir à la maison, en apprenant ce qu'il se passait à l'université, mais il était hors de question pour moi, d'abandonner mes études à Harvard ainsi que mes amis, tout ça parce qu'une ou plusieurs personnes s'étaient mises en tête de nous torturer. Hors de question aussi d'intégrer une autre université, comme il me l'avait conseillé à plusieurs reprises, parce qu'ils avaient peur pour moi. Je me sentais bien à Harvard, malgré tout cela et je n'allais certainement pas laisser tomber mon rêve d'être un jour diplômée d'Harvard, tout ça à cause de diverses agressions qui étaient venues assombrir l'ambiance de cette grande université. Pourtant, même si parmi mon entourage, personne ne s'était fait agresser, nous avions tout de même préféré ne pas nous rendre seul à un endroit ou à un autre. Nous nous déplacions toujours par deux ou par groupe de trois ou quatre, ne voulant pas prendre de risque. Et oui, nous avions beau avoir décidé de continuer à vivre comme avant ces nombreuses agressions, nous avions tout de même peur de ce qu'il pourrait nous arriver à un moment ou à un autre.
Le jour de la prise d'otages, alors même que je m'apprêtais à aller manger à la cafétéria, j'ai eu un mauvais pressentiment. Je ne saurai dire pourquoi, mais c'est à reculons que je me suis rendue dans cette pièce et franchement, si pour une fois j'avais préféré me fier à mes sentiments plutôt qu'à ma raison, cela m'aurait certainement rendu service. Pourquoi ? Tout simplement, parce qu'à peine j'avais fini de me servir et je m'étais installée à une table, un jeune homme avait fait son apparition au centre de la cafétéria, en nous menaçant avec une arme. Si comme certain j'avais répondu de suite à ses ordres, d'autres personnes, quant à elle, avait fait n'importe quoi, tant et si bien qu'avant de se tirer une balle dans la tête, le jeune homme avait fini par tirer n'importe où dans la pièce. Est-ce que j'ai été blessée ? Non. Pas physiquement du moins. Moralement en revanche, j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre. Je ne voulais plus sortir seule et s'il y a bien une pièce de l'université que je ne fréquente plus, c'est la cafétéria. Pas question pour moi de remettre un pied dans cet endroit, même si la prise d'otage a eu lieu il y a un peu plus de deux ans.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Spring break 2016, voyage au Chili.
En temps normal, j'adore participer au Spring Break, mais cette année-là, j'avais décidé de rester à Boston. Déjà l'année d'avant je n'y avais pas participé. N'étant pas totalement remise de la prise d'otages dont j'avais été victime en janvier 2015, j'avais préféré rester sur place et participer à des œuvres caritatives en faveur de personnes défavorisées, plutôt que d'aller au Chili. Bien m'en avait pris justement puisque cette même année, plusieurs de mes camarades s'étaient retrouvés pris au piège d'un tremblement de terre de magnitude sept. Fort heureusement, aucun d'eux n'a perdu la vie lors de ce drame. Mais on ne peut pas dire pour autant qu'ils sont tous revenus sain et sauf. Imaginez que parmi eux, il y avait déjà eu des personnes victimes de l'attentat à la bombe, puis des prises d'otages, ça vous laisse entrevoir dans quel état ceux-ci sont revenus au pays, une fois qu'ils avaient pu rentrer à la maison, non ? Est-ce que j'avais été touchée par ce qui était arrivé à mes camarades ? Bien sûr que oui ! D'ailleurs, je n'ai pas hésité une seule seconde à leur venir en aide, une fois ces derniers de retour au pays. Non seulement je me suis portée volontaire pour les aider matériellement, mais j'étais aussi là pour les écouter parler quand ils en avaient besoin.
Tout comme je suis là pour ceux qui ont aussi besoin d'aide ou de se confier à moi depuis la tempête qui a balayé Boston et les incendies qui ont ravagé la Eliot House, la Winthrop House et la Lowell House. Après tout, ce n'est qu'un prêté pour un rendu vis-à-vis de certaines personnes, puisque ces dernières, pour la plupart, ont été là pour moi quand j'ai perdu mon frère lors des attentats à la bombe de 2013 et suite à la prise d'otage de la cafétéria, dont j'avais été victime comme tant d'autres étudiants, en janvier 2015.
Spring break 2016, voyage au Chili.
En temps normal, j'adore participer au Spring Break, mais cette année-là, j'avais décidé de rester à Boston. Déjà l'année d'avant je n'y avais pas participé. N'étant pas totalement remise de la prise d'otages dont j'avais été victime en janvier 2015, j'avais préféré rester sur place et participer à des œuvres caritatives en faveur de personnes défavorisées, plutôt que d'aller au Chili. Bien m'en avait pris justement puisque cette même année, plusieurs de mes camarades s'étaient retrouvés pris au piège d'un tremblement de terre de magnitude sept. Fort heureusement, aucun d'eux n'a perdu la vie lors de ce drame. Mais on ne peut pas dire pour autant qu'ils sont tous revenus sain et sauf. Imaginez que parmi eux, il y avait déjà eu des personnes victimes de l'attentat à la bombe, puis des prises d'otages, ça vous laisse entrevoir dans quel état ceux-ci sont revenus au pays, une fois qu'ils avaient pu rentrer à la maison, non ? Est-ce que j'avais été touchée par ce qui était arrivé à mes camarades ? Bien sûr que oui ! D'ailleurs, je n'ai pas hésité une seule seconde à leur venir en aide, une fois ces derniers de retour au pays. Non seulement je me suis portée volontaire pour les aider matériellement, mais j'étais aussi là pour les écouter parler quand ils en avaient besoin.
Tout comme je suis là pour ceux qui ont aussi besoin d'aide ou de se confier à moi depuis la tempête qui a balayé Boston et les incendies qui ont ravagé la Eliot House, la Winthrop House et la Lowell House. Après tout, ce n'est qu'un prêté pour un rendu vis-à-vis de certaines personnes, puisque ces dernières, pour la plupart, ont été là pour moi quand j'ai perdu mon frère lors des attentats à la bombe de 2013 et suite à la prise d'otage de la cafétéria, dont j'avais été victime comme tant d'autres étudiants, en janvier 2015.
TON ADMISSION A HARVARD
Être étudiant à l'université d'Havard, c'est une tradition dans la famille. Tous les membres de ma famille ayant étudié dans cette majestueuse université, il était donc évident que moi-même, tôt ou tard, j'y ferai mon entrée à mon tour. C'est donc dans cette optique-là que j'avais été élevée et cela ne me dérangeait pas du tout. Bien au contraire même. J'étais fière de pouvoir un jour marcher dans les traces de mes parents et c'est pourquoi, durant toute ma scolarité, j'avais tout mis en oeuvre, pour toujours faire partie des meilleures de ma classe et ainsi avoir de très bon résultats, qui me permettraient, outre notre argent, d'intégrer un jour cette université dont j'avais tant entendu parler durant ma jeunesse. Pour autant, n'allez pas croire que j'ai sacrifié mon adolescence en ayant le nez dans mes bouquins tous les jours, parce que ce n'est pas le cas. Grâce à mon aptitude à retenir les choses en un rien de temps, je pouvais me permettre de sortir avec mes amis, tandis que d'autres devaient trimer comme des dingues pour être certain d'être eux aussi accepté à Harvard.
C'est en juin 2009 que tout s'est définitivement mis en place. Ce mois-ci, j'avais eu mon entretien avec le doyen et bien que confiante, je ne peux vous cacher que j'ai pas mal stressée avant de rentrer dans ce grand bureau. Pourquoi ? Parce que même si mes résultats étaient excellents dans la plupart des matières que j'avais suivi jusque là, je n'étais tout de même pas certaine que mon profil conviendrait à cet homme. Je savais très bien que dans sa décision finale, il ne prendrait pas en compte que l'argent de ma famille et mes résultats scolaires, il prendrait aussi en compte mes capacités à m'adapter dans cette immense université et mon caractère. Enfin heureusement pour moi, ma famille m'ayant soutenu du mieux qu'ils le pouvaient, j'avais le jour J, plus ou moins réussi à faire abstraction de tout ce qui me préoccupait et quelques jours plus tard, c'est avec une immense joie que j'avais appris, grâce à un courrier officiel d'Harvard, que j'étais acceptée dans cette grande université et que j'y ferai mon entrée officielle en septembre 2010.
Être étudiant à l'université d'Havard, c'est une tradition dans la famille. Tous les membres de ma famille ayant étudié dans cette majestueuse université, il était donc évident que moi-même, tôt ou tard, j'y ferai mon entrée à mon tour. C'est donc dans cette optique-là que j'avais été élevée et cela ne me dérangeait pas du tout. Bien au contraire même. J'étais fière de pouvoir un jour marcher dans les traces de mes parents et c'est pourquoi, durant toute ma scolarité, j'avais tout mis en oeuvre, pour toujours faire partie des meilleures de ma classe et ainsi avoir de très bon résultats, qui me permettraient, outre notre argent, d'intégrer un jour cette université dont j'avais tant entendu parler durant ma jeunesse. Pour autant, n'allez pas croire que j'ai sacrifié mon adolescence en ayant le nez dans mes bouquins tous les jours, parce que ce n'est pas le cas. Grâce à mon aptitude à retenir les choses en un rien de temps, je pouvais me permettre de sortir avec mes amis, tandis que d'autres devaient trimer comme des dingues pour être certain d'être eux aussi accepté à Harvard.
C'est en juin 2009 que tout s'est définitivement mis en place. Ce mois-ci, j'avais eu mon entretien avec le doyen et bien que confiante, je ne peux vous cacher que j'ai pas mal stressée avant de rentrer dans ce grand bureau. Pourquoi ? Parce que même si mes résultats étaient excellents dans la plupart des matières que j'avais suivi jusque là, je n'étais tout de même pas certaine que mon profil conviendrait à cet homme. Je savais très bien que dans sa décision finale, il ne prendrait pas en compte que l'argent de ma famille et mes résultats scolaires, il prendrait aussi en compte mes capacités à m'adapter dans cette immense université et mon caractère. Enfin heureusement pour moi, ma famille m'ayant soutenu du mieux qu'ils le pouvaient, j'avais le jour J, plus ou moins réussi à faire abstraction de tout ce qui me préoccupait et quelques jours plus tard, c'est avec une immense joie que j'avais appris, grâce à un courrier officiel d'Harvard, que j'étais acceptée dans cette grande université et que j'y ferai mon entrée officielle en septembre 2010.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Pretty Girl ou mimi et j'ai 33 ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart, il y a longtemps déjà .
J'avais dit que je ne retenterai pas si ça ne fonctionnait pas la dernière fois que je me suis inscrite, mais finalement je reviens sur ma décision et j'espère vivement retrouver le goût de rp sur ILH, tel que je l'ai eu autrefois. Sinon, j'aime toujours autant le contexte du forum et j'aime beaucoup le nouveau design donc j'ai décidé de m'inscrire à nouveau. J'utilise Crystal Reed comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Neon Lights (avatar) et les gifs ont été trouvés sur Google Images . Je fais environ 350 mots, voir plus par rp et mon personnage est un personnage inventé .
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée si oui, par @Tate L.Murray
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée si oui, par @Tate L.Murray
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7360]►[/url] ► <span class="pris">CRYSTAL REED</span> ♦ “ Mackenzie A. Miller ”[/size]
(Invité)