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Appel Danny vers Nora

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Récemment, tu avais accordé une interview à une étudiante en journalisme. Pour les besoins d'un devoir, elle devait questionner un entrepreneur jeune et une entreprise récente. Et c'était toi qu'elle avait choisi parmi d'autres choix. Hélas, ce jour là tu avais pas su te montrer très disponible. Tu étais vague en répondant à ses questions et plus d'une fois tu regardais ton téléphone, répondant à des sms ou à des appels. Impolie, je vous l'accorde, mais ton entreprise c'était tout, et ce client il avait une bonne influence. Tu pouvais pas le lâcher alors qu'il y avait un soucis avec son projet. Du coup c'était elle qui en avait fait les frais, puis toi, quand elle s'était agacée, finissant par t'insulter. Tu avais fini par reconnaître tes tords et voilà pourquoi tu l'as rappelé aujourd'hui. Lançant l'appel à l'aide du bouton vert, tu entendais la sonnerie retentir. Dans ton bureau, debout, tu faisais les cent pas, le téléphone en main, quand tu entendis finalement décrocher. Bonjour mademoiselle Burberry. Danny Sullivan, de Sullivan & Associates. Vous êtes venue dernièrement pour une interview, qui ne c'est pas très bien passé, tu glisses ta main dans ta nuque, un peu gêné, et je tenais à vous proposer une seconde interview si vous le souhaitez. Tu ajoutes bien vite : sans téléphone. Histoire qu'elle voit que cette fois ci elle ne perdra pas son temps.

@Nora-Blue Burberry Appel Danny vers Nora 2511619667
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Nora-Blue était actuellement plongée dans ses derniers dossiers de fin d'année, la date limite de dépôt arrivant bientôt à échéant - et elle désespérait. Il lui manquait un foutu interview exigé et elle ignorait comment l'obtenir, car toutes les entreprises ne répondraient pas assez vite avant la date limite. Elle l'avait eu pourtant, cet interview, elle l'avait décroché et avait été plutôt ravie de l'homme d'affaire qui lui avait répondu positivement : Danny Sullivan, un architecte jeune entrepreneur. Elle avait tout préparé, tout anticipé - excepté peut-être le peu d'intérêt que l'architecte lui avait accordé. Ebahie, révoltée, Nora a fini par mettre fin à l'interview avant la fin et avait pris la fuite. Et elle était maintenant dans la merde. Parce que c'était le seul qui lui avait répondu positivement, vraiment. Mais elle se refusait de s'abaisser à le recontacter et redemander une autre faveur - pour se faire encore une fois ignorée, non merci. Bon, assume ta merde Nora.. Elle cherchait désespérément une solution lorsque son téléphone retentit. Numéro inconnu. Toujours la tête dans ses papiers, elle répondit sans plus d'intérêt. Allô ? Puis la voix à l'autre bout retentit, il se présenta et Nora-Blue y prêta beaucoup d'attention. Danny Sullivan était à l'autre bout de la ligne, quand on parlait du loup. Et il semblait s'excuser, et vouloir un autre interview. Ah, monsieur Sullivan ! .. En effet, pas très bien passé, c'est un euphémisme. Rétorqua-t-elle, d'un air pincé, les sourcils froncés. J'apprécie votre offre, cependant si c'est pour encore faire face à un homme d'affaire arrogant et peu respectueux comme vous l'avez été, comprenez-bien que je suis plus tentée de décliner cette offre.  Asséna-t-elle, plus froide que jamais. Qu'est-ce qui me dit que vous n'allez pas rejouer votre petit manège encore une fois ? Je n'ai pas un temps illimité, tout comme vous je suppose, donc j'apprécierai que vous ne me fassiez pas perdre ce temps.
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A peine qu'elle décroche, que tu déballes ton discours. Tu te présentes à nouveau, bien que t'imagines qu'elle n'a pas dû t'oublier vu comme elle s'est barrée de ton entreprise, en furie. Puis tu lui repropose une interview, précisant que ton téléphone sera coupé. Ca l'empêche pas d'être froide, distante. Tu sens que de l'autre côté du combiné, elle n'est pas très heureuse de cet appel. Ou surtout, de t'entendre à nouveau. Justement, vous comme moi n'avons pas de temps à perdre mademoiselle Burberry, et si c'était pour en perdre, je ne vous aurais pas rappelé. Après tout, l'interview d'une simple étudiante, elle n'allait pas finir dans le journal de Boston, en première page. Ton entreprise survivrait grandement à ça puisque c'était surtout pour ses études qu'elle avait demandé cet entretien. Alors du temps, tu n'en n'avais pas à perdre pour une autre interview si tu n'étais pas déterminé à lui permettre d'atteindre son but. Je n'aurais pas prit la peine de vous appeler moi même, également. Habituellement ma secrétaire se charge de ce genre de coup de fil. Voilà un argument qui pourrait la faire céder. Et, je vous ai dit, pas de téléphone. Tu lui rappelle ce point, comme ça, elle peut voir ton sérieux. Puis t'avais vraiment pas de temps à perdre quoi. Le temps c'est de l'argent, mais pour toi, c'était surtout une réputation à tenir. Tu savais que pas avant les cinq ans atteint, une entreprise n'était pas vraiment vue comme sérieuse. Grimpait pouvait être facile, mais tenir en durée ? Ca l'était beaucoup moins. Puis, si je me permets, vous avez peut être pas trouvé une autre entreprise pour vous accorder cet interview, et de ce que vous m'aviez dit, ceci est important pour votre dossier et votre fin d'année. Perspicace et coriace, tu savais qu'elle avait tout autant a gagner que toi.
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Dire que Nora était surprise du coup de téléphone était un euphémisme également, elle s'était attendu à ne plus le voir du tout depuis la dernière fois où elle avait quitté son bureau en furie, pensant qu'il s'en foutrait totalement, à vrai dire. Du moins, qu'il s'en foutrait assez pour ne pas la rappeler. Mais à croire qu'elle l'avait mal jugé. Il semblait même bien déterminé à retenter un deuxième interview en reprenant l'argument du temps contre elle, en enchaînant par le fait qu'il ne l'appellerait pas lui-même si c'était pas sérieux et finalement, il lui rappela sa promesse du 'non téléphone'. Nora l'écouta attentivement, toujours un peu remontée, têtue comme elle était, mais se mordit la lèvre au fur et à mesure de ses répliques, hésitant. Elle en avait vraiment besoin, mais fallait pas non plus qu'elle le montre. Pourtant, il l'avait tout de même cramé parce qu'avant qu'elle n'ait pu répondre quoi que ce soit, il reprit et lui vendit l'argument final qui ne pouvait que la faire céder : elle n'avait trouvé aucune autre entreprise. Et il l'avait cramé. Qui vous dit que je n'en ai pas trouvé une autre ? Répliqua-t-elle tout de même, de mauvaise foi. Bon ça va Nora, arrête de jouer la fière, t'en as besoin de cet interview. Elle soupira, s'enfonça dans son siège et reprit. Bien.   Dit-elle la mâchoire serrée.Vous oubliez tout téléphone, tout mail, tout contact pendant cette heure avec moi, je ne vous demande pas la Lune, juste une heure pour répondre à mes questions. Pas une de plus. Même moins si on travaille efficacement. Je n'accepterai pas d'être traitée comme la femme invisible une fois de plus, monsieur Sullivan. J'espère que le message est clair.
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Tu débitais les arguments pour appuyer ton sérieux concernant cette nouvelle interview que tu acceptais de lui offrir. Qu'elle soit septique tu pouvais le comprendre, mais un homme d'affaire comme toi, n'avait pas de temps à perdre de la sorte. L'enjeu n'étant pas bien grave, l'article étant juste pour ses études à elle et non un grand journal de la ville. Et tu sentais que tu devais y arriver à la convaincre vu qu'elle ne répliquait rien au fur et à mesure de tes arguments. Elle écoutait, sans rien dire. Venant juste répondre à ton dernier argument, sur cette entreprise qu'elle n'avait pas pour son interview final. Sa question te fit même rire. Tu connaissais assez le monde des affaires pour savoir que si elle était encore au téléphone avec toi, c'est qu'elle avait bien besoin de cet interview. Si c'était le cas, vous me l'auriez dit et on aurait déjà terminé avec cet appel mademoiselle Burberry. Pourquoi débattre si elle l'avait son entreprise ? En effet, elle accepta finalement, imposant ses conditions. Pas étonné, tu pris place dans ton fauteuil, bien plus détendu qu'au début de cet appel. Comme je vous l'ai dit, pas de téléphone, donc pas de mail, rien. Que vous, moi, et vos questions. Elle se montrait autoritaire et tu trouvais ça plutôt bien. C'est ce qu'il fallait pour monter les échelons, et pour être journaliste il en fallait du culot. Cette petite, on pouvait dire qu'elle avait cette qualité là. Quand est ce que vous êtes disponible ? Preuve, là encore, que tu étais sérieux et n'allais pas te jouer d'elle. C'est elle qui choisirait la date et l'heure et tu t'arrangerais avec ton assistante pour qu'elle se charge d'organiser ton planning.
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Il riait le fourbe. Il osait rire quand Nora-Blue avait sorti le carte de la mauvaise foi sur la trouvaille d'une nouvelle entreprise. Elle ne dit rien, ne rétorqua pas, ne fit aucune remarque, elle se contenta de croiser les bras sur son torse, vexée et tentait de retenir ce petit détail pour plus tard. Elle ignorait pourquoi mais elle était vraiment remonté contre cet homme, et toute action, toute parole qu'il prononçait semblait la faire réagir extrêmement. Pas besoin de s'en réjouir. Je sais très bien que si vous persistez à faire ce deuxième interview c'est que vous savez que j'ai la capacité de faire une mauvaise publicité pour votre entreprise, donc ne jouez pas au plus glorieux, s'il vous plaît. Bon, au final, elle ne pouvait pas s'empêcher de lancer une petite pique. Et certes, son article ne pouvait pas avoir un énorme impact comme The New York Times mais elle avait des contacts dans le monde de la publication avec son travail à mi-temps dans cet édition de magasines de mode, et elle était prête à l'utiliser si besoin. Mais soit, ravie que vous semblez adhérer à mes conditions. Au final, elle avait tout de même capitulé cela dit, n'ayant pas le temps de se dénicher une autre entreprise et quelque peu curieuse de voir comment se déroulera cet entretien également. Vous me demandez quand est-ce que je suis disponible ? Ce n'est pas vous qui êtes censés être le chef d'entreprise avec un emploi de ministre ? Si je vous dis.. hm.. demain, 10h, vous vous libérez de toutes obligations pour vous coller à mon planning ? Rétorqua-t-elle, à la fois sidérée et sceptique. Sidérée qu'il puisse être si arrangeant et sceptique qu'il puisse être, justement, si arrangeant.
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Si c'était tout gagné, que t'avais les arguments adéquates pour la faire céder, et te donner cette seconds interview, il n'en n'était pas moins qu'elle aussi était plus coriace. Elle n'hésita pas à jouer de ses relations contre ton entreprise. Ce qui te fit moins te décontracter, et à la fois sourire. Dans tous les cas, tu avais raison : elle avait besoin de ton entreprise. Et cet entretien elle allait te l'accorder. Tu lui demandais même ses disponibilités, pour preuve de bonne foi. Ce qui la surprit et te fit sourire quand elle employa le 'emploi du temps de ministre'. Justement, prenez ça comme une preuve que rien ne nous dérangera cette fois. Elle proposa alors une date et une heure. Demain, 10 h. Sans même jeter un coup d'oeil sur ton planning, tu hochas la tête. Demain, 10 h, ne soyez pas en retard mademoiselle Burberry. Tu acceptais le rendez vous. Plus vite cette interview était menée, plus vite, toi, comme elle, serait débarrassés de tout ça après tout. Satisfait, que cet appel soit une réussite, il était pourtant temps d'y mettre fin. Je vous souhaite une bonne fin de journée, et à demain. Tu coupes l'appel et appuie automatiquement sur le bouton du téléphone qui te permet d'avoir un lien direct avec ta secrétaire. Veronica, veuillez déplacer mon rendez vous de demain, à 10 h, si jamais j'en ai un, merci. L'annonce faite, tu retournais à tes petites affaires.
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