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Abstiens-toi de ce qui ne t’appartient pas [penelope]

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Secoué par la colère qui grandit en toi, ta respiration se fait plus audible et tu ne sais pas comment appréhender la nouvelle qui te parvient. Hugo essaie de tempérer la situation en rendant les choses plus accessible mais au fond de ton être, tu fulmines. Tu as cette façon presque inexprimable de prendre cette vérité qui t'éclate en pleine gueule, tu as d'abord cru à une mauvaise blague mais il ne plaisante pas. Ton frère jumeau te connait par cœur et s'amuser avec une révélation aussi grave ne lui viendrait pas à l'esprit, il sait l'être abrupte et violent que tu fais. Tes yeux se lèvent vers l'objet de la polémique alors que ton esprit divague sur toutes les insultes possibles et inimaginables que tu as envies de lui balancer. Cette traîné s'est bien foutue de ta gueule et t'as manipulé sans que tu ne puisses t'en apercevoir. Elle t'as attiré dans son piège par son comportement vulgaire et féroce, tu as été faible et en paies le prix ce soir. Tu as cette envie presque convulsive de lui sauter à la gorge et de lui faire la misère. Que la nouvelle soit justifiée ou non, Pénélope n'a pas à colporter ce genre de rumeur et tu sais déjà le plaisir que tu vas prendre à la faire redescendre sur terre. Hugo te pousse en arrière pour te faire entendre raison, il s'énerve presque après toi, t'accusant de tous les maux dont souffre cette pauvre petite innocente. Tu le fusilles du regard, ne parvenant pas à cacher ton exaspération et ta colère face à sa naïveté. Me fais pas chier Hugo, je ne l'ai pas violé, elle était bien consentante cette salope. Tu emmerdes ton frère et les règles de la bienséance qui vont avec car te retrouver avec un gosse sur les bras ne fait pas vraiment parti de tes projets. Sur le coup, tu hésites à aller lui parler en sachant que la tolérance et la compréhension ne vont pas te définir, tu risques de dépasser les bornes, encore. Hugo continue de râler pour te faire prendre conscience de tes actes mais il ne fait qu’accroître cette fureur sanguinaire qui te ronge. Tu ne réponds pas à ton frère, tu le bouscules même pour te diriger vers Pénélope. Elle est là, vêtue de sa robe rougeâtre indécente et provocante mais tu n'es pas d'humeur à t'attarder sur ces détails. Cette vue t'offre pourtant un cliché inspirant, tu devrais t'imprégner de l’élégante représentation de son corps qu'elle te propose mais tu es trop borné pour t'attarder sur cette muse éphémère. Lorsque tu arrives à sa hauteur, tu lui attrapes le bras et la forces à te suivre, à l'écart des regards. Cela t'es égal qu'elle accepte ou non de t’obéir, tu lui ordonnes silencieusement de coopérer. Pénélope te talonne et lorsque tu juges être assez reculés, tu la lâches brusquement. Tu as intérêt d'avoir une bonne excuse pour raconter partout que tu es enceinte de moi, tu as besoin de ça pour te faire remarquer ou pour exister ? Je ne sais pas à quoi tu joues mais ta minable tactique pour m'atteindre ne marche pas. Passes à autre chose Lynch, ça ne te rendras pas ta dignité. Tes mots sont sectaires mais tu ne veux pas tourner autour du pot. Elle veut te pourrir ta soirée ? Cela tombe bien, elle ne peut pas être plus merdique qu'elle ne l'est déjà. Tu penses cela car tu es loin de t'imaginer que cette rumeur ne reflète qu'une vérité difficile à dissimuler, un aveux inavoué.
@Pénélope Lynch
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Ce bal ne se passe vraiment pas comme prévu. Je n'aurais pas du garder ce rendez vous de l'échographie juste avant la soirée du bal. J'ai regardé l'écho pendant un long moment, allongée sur mon lit. Je n'arrive pas à croire qu'il y ait deux petits être vivants en moi. J'ai pris une claque. Parce que je ne suis pas en forme, parce que je n'arrive plus à tenir sans lui annoncer, sans être franche, sans le mettre dans la merde autant que je le suis. J'ai besoin d'un soutien, et même si je sais que ça ne sera pas le cas, au moins pour moi, il faut que je lâche cette bombe. Ce soir, c'est comme si Théo me paraissait être à des années lumières de moi. Je ne peux pas lui dire, que je suis enceinte de son frère, ça va le rendre fou. Je n'ai pas géré, et ça me mets hors de moi en fait. D'habitude, je planifie tout, pour que les choses soient carrées, à leur place. Mais là, cette histoire me tombe dessus et je ne sais plus quoi faire. Et même s'il est odieux, même si c'est le mec le plus détestable que j'ai rencontré dans ma vie, il faut qu'il le sache et qu'il m'aide à prendre une décision. Oui, je suis perdue, et oui, j'ai besoin de lui. L'aveu intérieur me fait du bien mais ne me rassure pas. Je sais qu'il est là, j'ai vu que sa cavalière est Gabrielle et j'ai ressenti un étrange pincement dans la poitrine. Pourquoi ? Je ne saurais le dire. Et quand j'ai attrapé le Blackburn pour lui annoncer à l’abri des regards, je me suis rapidement rendu compte à sa façon d'être que je n'avais pas pris le bon. Merde. Le regard d'Hugo s'est levé sur son frère derrière moi alors que je tournais la tête au même moment. Quelle imbécile. J'ai fermé les yeux en pensant à ma connerie et j'ai laissé Hugo essayer de calmer la tempête qui monte chez son frère. Il devient fou comme j'aurais pu le penser. Il n'a pas l'air de comprendre que ce n'est ni de sa faute, ni de la mienne. Je reste un peu stoïque devant le spectacle qui se joue devant mes yeux. Gautier me traite de salope rapidement et sa colère fait bouillir son corps. Il finit par se jeter sur moi, m'attrape le bras et m'oblige à le suivre dans un coin où nous serons bien plus tranquille, à l'écart de toute l'animation du bal. Alors qu'il s'arrête enfin, je tire mon bras violemment pour qu'il me lâche. Il me lance sa tirade cinglante en pleine figure. « Arrête de te faire passer pour une victime ! » Dure, il faut que je le reste. Je ne dois pas craquer devant lui, je ne dois pas me mettre à pleurer comme une gamine idiote. D'où il me parle de ma dignité ? Il a du se taper toutes les putes du campus, toutes les meufs chaudes qui avaient envie de se taper le mauvais garçon Blackburn pour une nuit. Je vais lui dire maintenant, une bonne fois pour toute, et après, je ferais ce qu'il faut. Ne pas faire d'ironie, juste balancer les faits. « Déjà, je ne le raconte pas partout : personne à part Hugo ne sait que tu es le père... De deux, arrête de parler de moi comme si j'étais la pire traînée du campus parce que ça commence sérieusement à m'énerver. Allez, maintenant tu sais que tu es le père, laisse moi tranquille. J'avais besoin que tu le saches avant de prendre une décision, à présent, elle est prise. » J'attrape l'image en trois dimensions dans ma pochette et lui tends pour qu'il observe les deux petits aliens dans mon ventre. « Maintenant, ne me fais plus chier d'accord ?! Je ne veux plus entendre parler de toi, ni te croiser dans les couloirs, je ne veux plus voir un de tes dessins de tarés quelque part. » Je tourne les talons, la tête encore droite malgré mon état d'esprit pitoyable du moment. Ce mec est un connard, hors de question d'avoir des enfants avec lui. Jamais.

@Gautier Blackburn
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La situation te semble grave et presque irréelle. Cette fille est folle de colporter la rumeur d'une éventuelle grossesse, surtout en te faisant porter le chapeau pour essayer de te nuire encore un peu plus. Elle veut te porter préjudice et t'affaiblir, cela ne fait aucun doute. Tu es persuadé qu'elle raconte des cracks dans l'unique but de te manipuler ou te faire payer la deuxième nuit que nous avez passés ensemble. Elle cherche le moyen de te blesser et arrive à endommager le peu d'humanité qu'il te reste. Tu n'as qu'une envie en la voyant devant toi, c'est de la frapper, ta main te démange mais tu ne peux pas assigner ton coup devant autant de témoin. Le diplôme que tu convoites est l'unique raison qui t'empêche de déverser, physiquement, la haine qui te ronge à l'intérieur de ta poitrine. Pénélope a dépassé les limites et ses méthodes t'hérissent le poil. Tu peux grogner autant que fois que tu le veux, tu n'es pas prêt à entendre ce qu'elle a à te dire et tu ferais mieux de t'accrocher au mur car ses paroles vont te faire l'effet d'une bombe. Elle ne te ment pas. Personne d'autre que ton frère jumeau n'est au courant. Tu la regardes parler, de marbre. Aucune émotion ne s'émane de toi, peut-être qu'inconsciemment, tu prends conscience de là où elle veut en venir, de là où elle veut t'emmener. Ta gorge se sert et c'est avec difficulté que tu déglutis lorsqu'elle te tend l'image. Tes yeux se baissent sur le petit bout de papier que tu tiens entre tes doigts, tu ne semble pas comprendre, tu ne veux pas comprendre. Un truc dans ce genre, tu en as déjà vu mais tu n'es pas certains de ce que tu as devant toi. Ton regard se durcit et devient sombre, obscure. Sans le savoir, Pénélope vient de pénétrer ta sensibilité, cette partie de toi que tu donnes tant de mal à cacher aux autres. Tu relèves tes yeux pour la confrontation mais Pénélope a déjà tourné les talons, bien décidée à te rayer de sa vie une bonne fois pour toute. Tu sens le piège se refermer sur toi et tu obstines presque à vouloir que sa révélation ne soit qu'un mensonge mais tu en as la preuve dans les mains. Tu jettes un dernier coup d'oeil à l'échographie avant de retourner le cliché pour essayer de trouver la moindre trace de falsification mais tu ne trouves que cette inscription. Mrs Lynch, May 17, 2017. Un soupire s'extirpe de tes lèvres et tu te lances à sa poursuite. Tu attrapes une nouvelle fois le bras de Pénélope sans savoir ce que tu vas lui dire, tu veux juste qu'elle reste, encore un peu. Attends, on a pas fini de parler toi et moi. C'est quoi ça ? Pourquoi tu me donnes ça ? Tes yeux se posent, malgré toi, sur son ventre mais avec la robe qu'elle porte tu ne vois rien. C'est stupide mais tu veux l'entendre clairement, distinctement, de la part de Pénélope. Tu as besoin qu'elle le dise pour réaliser de la gravité de la situation. Tu te recules d'un pas et poses tes mains dans tes cheveux, l'incompréhension la plus totale règne dans ton esprit. Tu es perturbé par la révélation. Regardes là Gautier, ne vois-tu pas qu'elle a besoin de ton soutien ? Ne remarques-tu pas ses yeux apeurés et en colère par ton comportement de gamin ? Ce n'est pas possible ! Il doit y avoir une erreur, t'es sur de ton coup ? Tu ne t'ai pas fait ... troncher par un autre mec ? Tu essayes de choisir tes mots avec délicatesse et pertinence et sur le moment, troncher te semble être beaucoup moins vulgaire que la liste ignoble de synonyme qui te passe dans la tête. Je ne sais pas à quoi tu t'attendais venant de moi Pénélope. Je ne suis pas le genre de mec qui s'engage et qui accorde de l'importance au mot famille. Je n'arrive déjà pas à m'assumer tout seul alors un enfant ... est ce que tu as pensé à quel genre de père je pourrais être ? Non parce que je ne suis pas fait pour être père, je n'ai pas le droit de me reproduire et de transmettre cette putain de malédiction qui plane sur les Blackburn. Au moins tu es conscient de l'être abjecte que tu fais. Alors excuse moi Lynch mais j'ai la réaction que je peux !
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