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Lisrick - We are the champions, my friends

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WE ARE THE CHAMPIONS, MY FRIENDS


A nouveau placée sur les marches, Lisbeth suivait le match avec grande attention. Elle était concentrée, tendue et houspillait l’équipe de son homme pour qu’ils se donnent encore plus ! Tout à coup, une main se posa sur son épaule et elle sursauta, prête à envoyer au tapis ce fou qui lui avait fait peur. Merci, William, pourquoi avoir aiguisé un peu plus ses réflexes ! Mais il ne s’agissait pas d’un ennemi, au contraire. Une jeune femme brune avec de magnifiques yeux lui souriait. Elle lui proposa de récupérer sa place car quelques groupies s’étaient éloignées. Apparemment, cette supportrice avait été attentive au petit manège des mégères. Lisbeth hocha la tête et la remercia avant de rejoindre sa place. C’est vrai, après tout Maverick avait payé sa place alors elle avait tous les droits de l’occuper ! La demoiselle soutenait également l’équipe de Maverick mais différemment de ces pauvres adolescentes. Enfin, Lisbeth ne tombait pas sur une emmerdeuse ! Se reconcentrant sur le match, elle remarqua qu’il restait peu de temps et que les scores étaient toujours à égalité. Bon sang, ils devaient se bouger les fesses ! Elle cria plus fort et bientôt, un palet fonça droit contre la poitrine de son homme. La jeune femme grimaça et se crispa. Bon, s’il restait concentré, ça pouvait le faire. Les encourageant encore, Lisbeth sauta de joie quand elle comprit que l’équipe de Maverick avait gagné. Elle le savait ! Elle tapa sa main contre celle de sa voisine, elle aussi visiblement heureuse. La patinoire était en liesse et les joueurs quittèrent bientôt la glace. Les gradins se vidaient peu à peu et Lisbeth salua sa voisine quand elle partit à son tour. Quant à elle, elle resta assise un moment et observa les lieux à présent vides. Elle ferma un instant les yeux et tout à coup, elle eut la désagréable impression d’être observée. Ça y’est, sa paranoïa revenait à la charge ! Tournant vivement la tête, elle ne vit pourtant personne. Mais ce sentiment d’insécurité ne la quittait plus. Il fallait qu’elle quittât ce lieu isolé. Alors elle se leva et dévala les gradins pour rejoindre Maverick près des vestiaires.

Elle courut comme si elle avait le diable aux trousses et regardait par-dessus son épaule. Oui, cette fois-ci, elle avait vraiment peur. Et si elle réagissait ainsi, c’était bien parce qu’un danger planait sur elle. Perdue dans sa course folle, elle percuta un des joueurs. Ce dernier la rattrapa de justesse et lui adressa quelques paroles qu’elle ne comprit pas simplement parce que son esprit était ailleurs. Elle s’excusa rapidement et quand elle vit la foule amassée vers les vestiaires, la jeune femme se calma un peu. Bientôt, elle aperçut Maverick, une serviette nouée autour de la taille. Son regard à elle était agrandi, ses pupilles dilatées, mais il ne le remarqua pas et lui demanda d’attendre. Lisbeth se mit dans un coin, pas très loin des autres, et attendit patiemment. Cependant, elle ne pouvait s’empêcher de regarder de tous les côtés pour tenter de capter un comportement suspect. Rien. Bon sang, devenait-elle folle ? Heureusement son homme ne tarda pas à revenir vers elle, fraîchement douché et habillé. Elle le laissa l’embrasser et c’est à peine si elle réussit à lui rendre son baiser.

« Oui, vous avez très bien joué, je suis fière de toi. Je te l’avais bien dit... »

Elle s’approcha alors de lui et lui prit la main. Cet air effrayé était toujours présent sur son visage un peu pâle.

« Mav… J’ai la désagréable impression d’être suivie et observée… »

Et quand Lisbeth disait ça, il fallait la prendre au mot. Elle jeta un regard par-dessus son épaule avant de reposer son regard sur son homme.


EXORDIUM.
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We are the champions, my friends

Maverick Horvath featLisbeth Larsson
Le hockey, les hurlements de la foule qui t'encouragent, la pression de gagner, les encouragements de tes coéquipiers. C'est cela que tu allais vivre sans arrêt  ce soir dès  que tu vas mettre le pied sur la glace, ses partissent n'arrêteront plus de hurler de joie de voir "leurs" équipe qu'ils espéraient toujours de voir gagner. Attendre la fin du coup d'envoie, semblait toujours une éternité pour toi. Comme, tu avais hâte à chaque rencontres disposé au TD Garden, l'ambiance qui régnait était toujours incroyable et te donnais de l'énergie. Tu donnes tout ce tu avais à chaque match en espérant qu'on n'allait  gagner.

Oui elle me l'avait bien dit effectivement, je luis souris oui on n'avait assez bien joué aussi. Mais bon cela était à part les quelques coups. Autre que j'avais reçue mais cela faisait partie de ce sport non. Elle me prit alors la main et me regarde d'un drôle d'air, je regarde derrière moi. Pour ensuite me dépêcher de sortir de l'amphithéâtre, je tenais toujours la main de celle-ci. Pour être sûr de ne croisée personne, je sors alors avec celle-ci dans le stationnement, je ne pensais pas tout d'un coup de prendre à voiture et je sors avec elle. J'étais rendu derrière l'amphithéâtre, je regarde autour de moi et je lâche un moment mon sac. Je regarde celle-ci droit dans les yeux, je me demandais si je devais aller chercher ma voiture et l'embarquer. Ou bonne nous serions mieux de partir à pied et bon au pire, j'y rais venir la chercher le lendemain. Je la regarde d'un regard froid tout d'un coup et je me retourne rapidement, j'avais sentis une présence tout d'un coup aussi. Enfin je me mords la lèvre cela ne me disait pas de faire à rencontre d'un homme à fusil ou autre ce soir, surtout après le match que j'avais eu j'étais déjà assez fatigué comme cela.

Merci, mais dis Lisbeth on ne devrait pas prendre ma voiture et s'enfuir ou on n'est mieux à pied ?

Je protège alors ma belle alors, je la mis contre moi et je regarde autour de moi. J'étais vraiment paniqué tout d'un coup aussi mais je devais rester calme, mon passé de gagne de rue me revenais en mémoire tout d'un coup. Je ne pris aucune chance et j'allais rapidement chercher ma voiture, je mis mon sac de sport à l'arrière. Pour ensuite revenir vers celle-ci, j'espère qu'il ne lui était rien arriver de grave. Comme je ne sais pas la dites personne l'avait tiré ou autres, j'en voulais pas non plus être la cible d'une balle non plus ce soir. J'arrive enfin mais au moment que je débarque de ma voiture, j'aperçois alors ce que je ne voulais pas voir, je regarde le fusil que tenait le gas. Pour ensuite respirer rapidement, des larmes coules alors de mes yeux. Je m'approche rapidement du gas, pour ensuite lui sauté dessus. Mais le bruit sourd du fusil retentit. Je touche le haut de ma jambe en douleur, pour enfin retourner l'arme contre lui. Je me lève et je me recule vivement, je regarde alors attentivement ma blessure. Je regarde alors vers Lisbeth les yeux plein d'eau tout d'un coup j'en revenais juste pas de ce que j'avais fait.

Ça va Lisbeth pour la balle je crois... J... Je t'es sauvé !

Je la regarde pour ensuite tomber lourdement au sol vraiment épuisé, je regarde le sang qui s'écoulait du haut de ma jambe. Au moins cela n'était pas dans une partie vitale qui avait tiré. Je regarde le corps de l'homme au loin, je tremble tout d'un coup je me mords la lèvre et je détourne le regard. Voilà je venais de détruire sûrement une autre famille avec cela ou peut-être pas non plus.

BesidetheCrocodile


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A nouveau, ces sonnettes d’alarme qui retentissaient en elle. Et quand ça arrivait, cela signifiait qu’un danger était proche. Lisbeth avait un instinct de guerrière qui la trompait rarement. Elle ignorait comment réagirait Maverick : allait-il la prendre au sérieux ou allait-il minimiser ce qu’elle venait de lui dire ? La réponse ne tarda pas à venir : il lui saisit la main et l’entraîna hors de la patinoire. La jeune femme suivit, sentant la peur l’étreindre comme un étau. Les gens les regardaient bizarrement et se poussaient sur leur passage mais personne ne tenta de les arrêter. Une fois dehors, elle se rendit compte qu’ils étaient à l’opposé du parking. Merde, ils auraient mieux fait de sortir par l’entrée principale ! Dans la panique, elle s’était laissé guider sans avoir le temps de réagir. Quand le jeune homme lui adressa la parole, elle porta une main à son front.

« La voiture me paraît plus logique. »

Et elle attendit là tout en regardant perpétuellement à droite et à gauche. Personne en vue mais toujours cette sensation d’être épiée. Maverick arriva bientôt mais soudain, il se figea. Lisbeth suivit son regard et vit l’homme vêtu de noir, une cagoule sur le visage. Méconnaissable. La dernière fois qu’elle avait été confrontée à ce genre de situation, c’était le soir où William Bloomberg lui avait tiré dessus. Et la situation n’allait pas tarder à y ressembler fortement. Le canon du fusil, elle le vit aussi. Pointé sur elle. Elle réagit au quart de tour et se jeta au sol. Retourner les forces de son ennemi contre lui. Les paroles de Will résonnèrent à son esprit quand un deuxième coup de feu retentit. Maverick ! A plat ventre au sol, la jeune suédoise releva la tête. Une douleur lancinante lui vrillait les côtes et le poignet gauche. Merde, elle s’était bien fait mal en voulant se protéger. Mais elle se releva rapidement et fonça droit sur l’homme qu’elle aimait qui était touché à la jambe.

« Mav, mais t’es fou ?! Tu aurais pu te faire tuer ! »

Tout en parlant, elle se débarrassa de son écharpe pour comprimer sa blessure. Elle se rendit alors compte que le tireur était mort d’une balle dans la poitrine. Maverick l’avait tué. Tant mieux ! Lisbeth n’avait que faire de cet homme et de son hypothétique famille ! Il avait voulu l’assassiner ! Encore un homme de main de la Suédoise, elle en était certaine. Ni d’une ni de deux, elle s’empara de son téléphone de sa main libre et composa le numéro des urgences. Elle expliqua le cas et quand elle fut certaine que Maverick serait vite pris en charge, elle raccrocha.

« L’ambulance va arriver rapidement… Avec la police. »


Elle haïssait les forces de l’ordre mais il y avait meurtre et blessure par balle. Dans quel merdier s’étaient-ils foutus ? Elle en aurait pleuré de rage ! Merde merde et encore merde ! Ses mains se couvraient lentement de sang et elle se débarrassa de son pull pour le presser contre la plaie. Bientôt, les alarmes de l’ambulance et de la police retentirent au loin et achevèrent de rassurer un peu Lisbeth. Quand les secours furent près d’eux, elle laissa la place aux ambulanciers et au staff médical avant de reculer, les mains ensanglantées. Ça aurait pu être elle à la place de l’homme gisant au sol. Par contre, en aucun cas Maverick n’aurait dû être dans cet état. C’était elle qui aurait dû être blessée à sa place ! Un peu sous le choc, elle recula et s’adossa contre le mur du bâtiment avant de se laisser glisser au sol.


EXORDIUM.
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Maverick Horvath featLisbeth Larsson
Le hockey, les hurlements de la foule qui t'encouragent, la pression de gagner, les encouragements de tes coéquipiers. C'est cela que tu allais vivre sans arrêt  ce soir dès  que tu vas mettre le pied sur la glace, ses partissent n'arrêteront plus de hurler de joie de voir "leurs" équipe qu'ils espéraient toujours de voir gagner. Attendre la fin du coup d'envoie, semblait toujours une éternité pour toi. Comme, tu avais hâte à chaque rencontres disposé au TD Garden, l'ambiance qui régnait était toujours incroyable et te donnais de l'énergie. Tu donnes tout ce tu avais à chaque match en espérant qu'on n'allait  gagner.

Je la regarde se relever au loin et venir vers moi en vitesse, je soupire à sa réponse. Oui elle fait raison j'étais plus que fou mais je ne voulais pas que cela sois elle qui aurais été blesser. De plus là j'étais sûrement accusé de meurtre cela allait fait quoi dans ma vie professionnelle, je m'étais vraiment mit dans le trouble là. Au moins que les flics me laisse une chance mais bon. J'espérais qu'on n'allait pas en attendre parler, car j'allais aller sûrement dans le bureau du Directeur Général et me faire frapper sur les doigts. Je grimace de douleur, et je regarde en direction de l'amphithéâtre, j'espère rejouer bientôt malgré tout cela. J'allais bien voir demain, je souris quand qu'elle compresse ma blessure et je la regarde droit dans les yeux. Je sentis des larmes coulé et je baisse mon régnant, j'en revenais pas encore ce que j'avais fait. Je sursaute quand qu'elle prend le téléphone, bon il ne manquait plus que cela. Je me mords la lèvre quand qu'elle dit que les services d'urgence allait arriver, de plus j'allais coucher à l'hôpital. J'étais vraiment con de m'avoir mis dans cette situation.

Lisbeth je me suis vraiment mit dans le trouble avec tout cela... Oui tu as raison je suis un tueur...

Je baisse mon regard et je pleure tout d'un coup quand que j'aperçois les véhicules arriver. Peu de temps ils arrivent vers moi, je regarde alors Lisbeth reculer et je détourne le regard, je laisse le staff médical me soigniez, quand tout d'un coup l'un des flics arrivent vers moi, je le regarde d'un regard assez froid. Il m'avait " reconnue " sûrement car il avait dit que j'allais m'en sortir assez bien. Je le remercie et je regarde le corps de l'homme au sol. Pour ensuite aller dans l'ambulance. Je me demandais bien si ma belle allait prendre ma voiture pour s'y rendre, car je lui avais laissé les clefs de celle-ci. Je tremble tout d'un coup j'espérais que j'allais bien récupérer de cette balle, car j'avais une pratique bientôt de prévue et je ne voulais aucunement être absent. De plus j'avais besoins de mes deux jambes je paniquais légèrement tout d'un coup, mais je parlais avec eux alors cela m'aidait. J'appelais alors toutes les membres de mon équipe durant le trajet pour les mettre au courant de tout cela. J'espérais être bien reçue au prochain match, car je ne sais si de plus ses partisans allaient être au courant de ce que j'avais fait ou non. Enfin après quelques minutes j'arrive alors à l'hôpital, il me transporte alors hors le l'ambulance en civière.

BesidetheCrocodile


( fin rp) Merci bon n'est près pour la suite )
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