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Je n'étais plus vraiment plus vraiment pareil depuis qu'Arwen m'avait annoncé pratiquement froidement qu'elle n'avait plus aucun sentiment pour moi et que d'ailleurs elle n'en avait peut être jamais eu réellement. Mais il ne fallait pas pour autant que je me laisse allé complètement, pour moi la vie continué malgré ça et je n'y pouvais rien. J'étais maintenant en sixième années de droit une des plus dure à ce qu'il pouvait paraître, mais je restais néanmoins concentré sur mon objectif. Je voulais réussir. Malgré ça, étudier n'était pas mon seul loisir, voir mes amis proche était bien sur dans mon emploie du temps même si celui ci était surbooké par moment. Une personne en particulier me manqué terriblement, cela fessait quelque temps que je ne l'avais pas vu et son absence me pesé petit à petit, cette personne ce n'était autre que Freya, une amie et à la fois ma sex-friend étonnant pour un garçon comme moi, mais voila même si je n'aimais pas me jouer des femmes et ce qui d'ailleurs n'était pas vraiment le cas avec Freya car nous nous apprécions tout particulièrement l'un et l'autre, j'avais quand même besoin d'un minimum de présence féminine, et Freya avait été la au bon moment quand j'avais eu le plus besoin d'elle.
Je décidais donc d'aller la voir, en espérant que celle-ci soit dans son appartement, je n'avais pas vraiment envie de la prévenir de mon arrivé, j'avais envie de lui faire la surprise tout simplement. Je m'étais donc très vite préparé pour me mettre ensuite un jean et une chemise décontracté tout en optant pour une casquette sur la tête, le genre assez cool. Une fois sortis je me dirigeais vers chez elle c'est pour cela qu'automatiquement je pris ma moto, le moyen le plus facile pour se déplacer à Cambridge avec tout ce monde, je ne mis pas très longtemps à atteindre l'appartement de Freya qui n'était pas très loin d'harvard, une fois toqué à la porte il ne me manquait plus qu'a attendre, voir si elle était bien la ou soit partit.
(Invité)
Lorsque tu ouvres les yeux, t'as l'impression que tes pupilles brûlent. Il fait grand jour dans ta chambre. On doit bien être au milieu de l'après-midi. Et toi tu ne fais qu'émerger. Mais t'as tes raisons pour ça. T'as veillé tard hier soir, insomnie. Tu t'es endormie qu'au petit matin et là t'es complètement lessivée alors que t'as dormi plus de dix heures. Tu te dis que tu tournes vraiment pas rond en ce moment. Ca fait des jours que tu traînes dans cette torpeur fadasse. Tu sais pas pourquoi ça te ronge et tu sais jamais comment sortir de ça. T'as l'impression de patauger dans la brume du matin au soir. Bon dieu, pourvu que ça s'arrête. Juste que ça s'arrête.