Soyons extraordinaires ensemble, plutôt qu’ordinaires séparément.{Thorn}

Tu avais passé tes examens avant les autres, puisque tu avais découvert que ta mère était gravement malade et qu’il fallait que tu rentres en Irlande au plus vite. Tu étais bien content d’avoir fini ta quatrième année à Harvard. Tu avais bûcher pour les terminer rapidement et bien étudier malgré que tu voulais rentrer dans ton pays natal au plus vite. Tu avais pris le premier vol après ton dernier examen et avait rejoint tes parents à l’hôpital. On t’informa que ta petite maman avait attraper un virus après avoir voyager avec ton père, mais que les médecins ne savaient pas de quoi il s’agissait. Tu étais resté presque un mois au chevais de ta mère, jusqu’au moment où ton père te disait de rentrer à Cambridge rejoindre tes amis et qu’il te donnerait des nouvelles de ta mère. Tu étais à présent de retour à Cambridge, fraichement sortis de l’avion. Tu avais envoyé un message à ta meilleure amie, lui disant de te rejoindre à l’aéroport pour qu’elle vienne te chercher. Tu avais une idée derrière la tête, puisque le bal de fin d’année arrivait à grand pas et que tu n’avais pas eu le temps de demander à la brune d’être ta cavalière, tu avais organisé une chasse au trésor. Tu avais demandé aux gens de t’aider à l’organiser afin que tu puisses préparer la dernière étape de la chasse. Tu avais préparé le premier indice avec une rose et un autre indice de l’endroit suivant, tu avais donné le tout à une agente de bord, afin qu’elle puisse donner le tout à celle qui faisait battre ton cœur.

Voilà que tu étais en train de faire les cent pas en train d'attendre Thorn. Déjà que tu n'étais pas très patiente de base, alors le fait que tu savais que tu allais retrouver le roux, tu étais encore moins patiente. On ne le voyant pas arriver, tu commençais à lui envoyer quand une hôtesse s'approche de toi en demandant bien si tu étais bien Mahëlle. Approuvant que oui, c'était bien toi. Celle-ci te tend alors une rose ainsi qu'un petit mot où était marqué l'indice. Rose + mot, tu compris qu'il fallait que tu te diriges chez le fleuriste. Tu te demandais à quoi il jouait. Tu retournais à la voiture, posant la plante et le petit mot côté passager, attache ta ceinture et démarre la voiture direction le deuxième lieu pour la chasse au trésor. Le rouquin se donne beaucoup de mal alors que tu n'es que sa meilleure amie si tu devenais un peu plus ça sera quoi ? Ça te faisait tellement plaisir qui te sort le grand jeu, tu avais un immense sourire sur ton visage. Bref, comme prévu, tu étais arrivée quelques minutes plus tard chez le fleuriste. Demandant à la fleuriste si elle avait reçu un indice, elle approuva te donnant le tout. C'était un tatouage pour enfant facilement qu'on pouvait facilement enlever à l'eau. La remerciant, tu te diriges alors vers le salon de tatouage en espérant qu'il y serait cette fois. Une fois là-bas, on te donne alors une tirelire où le chat te pique la pièce qui te rappelle le dernier voyage que tu as fait avec Thorn, sauf que tu ne pouvais pas y aller. Le quatrième indice était un coquillage qui rappelle les scènes sur la plage avec un petit mot qui disait ", C'est sur ce lieu où on a joué nos derniers rôles ... " Te trouvant sur la plage, tu le cherches encore des yeux, mais tu ne savais toujours pas où il était.

Ton avion devait d’atterrir sur le sol américain, tu étais content de retrouver tes amis après presque un mois d’absence. Tu avais envoyé un message a Mahëlle afin qu’elle puisse te retrouver à l’aéroport, mais tu lui avais préparer une surprise pour ton retour. Ayant donné le premier indice a l’agente de bord, tu te dépêchais d’aller au deuxième endroit, afin de donner l’indice à la fleuriste et de poursuivre ta chasse au trésor jusqu’au dernier endroit sur la liste. Tu voulais que le dernier indice soit le meilleur et qu’il soit bien préparer. Tu recevais un message sur ton téléphone à chaque fois que Mahëlle y était, ce qui te donnais le temps environ qu’il te restait avant qu’elle trouve le fameux lieu. Tu avais trouvé une petite maison sur la plage, tu avais demandé si des gens y vivais, elle était là pour tous les gens qui voulais y passer du bon temps. Tu avais donc décider que ce serais le parfait endroit pour vous deux. Tu avais apporté guirlande de lumières blanches, que tu disposais sur le tour du toit de la véranda. Tu avais également disposé des chandelles un peu partout pour donner de l’ambiance puisqu’il commençait à faire nuit. Tu venais de recevoir un message du salon de tatouage disant que la brune venait de quitter et qu’elle était en route pour la plage. Quelques minutes passèrent que tu l’aperçus au loin qui te cherchais. Tu lui envoyer un message pour lui dire qu’elle trouverait une petite maison quelques mètres d’où elle se trouvait et de s’y rendre. Tu l’attendis dans le cadre de la porte afin qu’elle ne puisse pas te voir lorsqu’elle arriverait. Lorsque tu l’entendis prononcer ton nom, tu sortis sur la véranda la retrouver. Elle t’avait tellement manqué que ne perdit pas une seconde que tu l’as prise dans tes bras. Tu ne savais pas si tu devais l’embrasser ou non, si elle serait d’accord ou au contraire elle te repousserait.

Cette chasse au trésor te faisait tellement plaisir que le rouquin essaie de te faire plaisir en réalisant ce jeu de piste. Tu aimais qu'on te fasse tes surprises, mais là, c'était clairement de la torture. Maintenant après avoir affronté vent et marrait, voilà que Thorn t'avait envoyé un message pour te prévenir d'aller vers une petite maison. Tu marchais vite pour ne pas dire que tu étais en train de courir. T'arrêtant au bas de la porte, tu vois alors les petites lumières blanches ainsi que les chandelles. Tu trouvais l'endroit tellement bien décoré que cela te touchait que l'homme de vingt-deux ans fasse autant d'efforts pour toi. Grimpant les trois petites marches, tu commences alors à l'appeler pour savoir s'il était bien là ou si allait te faire tourner en bourrique pour l'énième fois. Très rapidement, le musicien sort de sa cachette, c'est-à-dire derrière la porte, pour venir te prendre dans ses bras. Te laissant faire, tu restes un long moment dans ses bras, fermant doucement les yeux tandis que tes petits bras viennent se refermer autour de sa taille. Tu voulais profiter de lui, de son parfum le plus le long possible. « Merci pour tout ça, mais il ne fallait pas. Avoue que tu aimes me rendre chèvre. » Tu te mets à rigoler prenant une grande inspiration, tu demandes. « Ta mère va mieux ? » Tes lèvres étaient collées contre l'épaule du Lowell. « Si tu savais comme tu m'as manqué, ma vie était vide sans tes musiques, ta présence et tes conneries aussi. » Tu souris puis tu déposes tes lèvres contre sa joue pour lui déposer un bisou à cet endroit sur le visage.

Tu revenais tout juste de ton pays natal, ta mère était gravement malade alors tu avais pris le premier avion sans en parler à personne, puisque tu n’avais pas le temps. Tu te sentais mal de ne pas l’avoir dit à ta meilleure amie, alors tu lui avais préparé une surprise lorsque tu serais à Cambridge.  Tu avais fait plusieurs endroits avant de te rendre dans la petite maison sur la plage, tu avais placé des chandelles un peu partout puis des guirlandes de lumières blanches dans la véranda. Tu avais eu le temps de tout préparer avant de recevoir un message disant que la brune arrivait. Tu attendis qu’elle prononce ton nom avant de sortir de ta cachette, derrière la porte. Tu appréciais le moment lorsque tu l’as pris dans tes bras, elle t’avait tellement manqué, que tu ne voulais plus la quitter. « Mais de rien, j’en avais envie simplement. C’est possible oui. » Tu te mets à rire avec la brune « Maintenant oui, j’ai reçu des nouvelles de mon père, ils ont trouvé ce qu’elle avait et il la traite présentement. » Tu étais heureux de savoir que ta mère allait guérir, tu pouvais mieux profiter du moment présent, sans penser que tu es égoïste de t’amuser alors que ta mère est sur un lit d’hôpital. « Tu m’as manqué aussi ma belle, te voire danser en faisant la folle, ton parfum et aussi tes conneries mon manqué terriblement. » Lorsqu’elle avait déposé ses lèvres sur ta joue, tu avais ressenti une émotion de bien-être. Tu étais heureux de la retrouver et aujourd’hui tu réalises qu’elle est toute ta vie à présent, c’était l’une des raisons pourquoi tu voulais l’invité au bal de fin d’année. « Mae, j’ai quelque chose à te demander. » Tu partis chercher le corsage que tu avais fait préparer quelques jours auparavant, tu reviens vers la Quincy et lui présenta les fleurs. « Je suis parti rapidement le mois passé et je n’ai pas eu l’occasion de te poser la question. Tu me ferais l’honneur d’être ma cavalière pour le bal de fin d’année ? » Tu regardais la brune dans les yeux et attendis qu’elle réponde à ta demande.

Tu étais restée presque un mois sans nouvelles de ton meilleur ami. Tu t'étais fortement inquiétée pour lui. Tu avais espéré pendant quatre semaines que ce n'était pas bien grave jusqu'au jour où il te dit la vérité quelques jours plutôt avant que tu viennes le chercher en voiture. Tu pouvais le comprendre que sa maman était à l'hôpital, tu ne lui en voulais pas, mais ça aurait été bien de prévenir. Après être allée à trois endroits différents, le quatrième lieu, c'est-à-dire la plage était la bonne. Tu avais crié son prénom et le voilà. Presque aussitôt, il t'avait prise dans ses bras. « Méchant, moi aussi, je te ferais tellement tourner en bourrique que tu ne vas rien comprendre. » Dis-tu en lui pinçant doucement la joue à l'aide de tes doigts. « Je suis contente que ça s'soit arrangé, du moins qu'elle aille mieux. » Même si tu ne connais pas Madame Loughran, ce n'est pas cool de voir l'entourage qu'on aime dans de mauvais états. Tu avais un grand sourire lorsque tu entends que presque tout de toi lui avait manqué. « Comme c'est mignon, on va pouvoir rattraper le temps perdu. » Restant perplexe, tu te décales de ses bras en faisant une petite moue en fonçant les sourcilles. « Oui quoi ? » T'enlevant de ses bras, tu le vois partir pour revenir avec un bouquin de fleurs. Prenant le bouquet, tu le sens en ayant un grand sourire aux lèvres. « Oui, je veux être ta cavalière pour le bal de fin d'année. » Décidément, il n'arrêtait pas de te surprendre. Tu faisais oui de la tête tout en le regardant dans les yeux avant de poser les fleurs et de le tirer par le bras pour venir faire un câlin en te collant contre lui. « Sinon je voulais savoir, si tu as vu le résultat final du clip qu'on a tourné la dernière fois ? Une nouvelle chanson à me faire découvrir ou peut-être un nouveau tatouage ? Je veux tout savoir. » Demandes-tu toute curieuse en restant blottie contre lui. Hors question que tu le laisses partir loin de toi une deuxième fois. Tu étais bien trop accro à lui et à chaque partielle de sa peau.  

Tu es resté pratiquement un mois dans ta ville natale, puisque ta mère était très malade. Tu n’avais pas eu le temps d’en parler avec personne, même à ta meilleure amie Mahëlle-Lynn. Tu n’as eu le temps de la prévenir que quelques jours avant que tu remettes les pieds sur la terre américaine, lui demandant par la même occasion de venir te chercher à l’aéroport. Tu espérais qu’elle ne t’en voudrait pas trop que tu ne lui en n’aies pas parlé avant. Tu avais préparé une chasse au trésor pour te faire pardonner, tu avais choisi des endroits qui étais spécifique à la relation que tu as avec ta meilleure amie, qu’il lui rappellerait les meilleurs moments que vous avez eus ensemble. Tu étais maintenant sur la plage, près d’une petite maison que tu avais décorée pour l’occasion. Tu étais heureux de la voir de nouveau, tu avais souri lorsqu’elle avait crié ton prénom, tu n’avais pas hésité avant de la prendre dans tes bras, et enfin pouvoir ressentir son parfum à nouveau. « Mais non, ce sont des compliments, contents de voir que je t’ai manqué également, j’aimerais bien voire oui. » Tu t’es mis en rire, mais ce fut bref, lorsqu’elle te prit la joue, tu fis semblant d’être vexé. « Oui, moi aussi, surtout si loin d’elle. » Tu étais de voir qu’elle prenait des nouvelles de ta mère, même si elle n’avait jamais rencontré tes parents. « Bien sûr, j’ai tout mon temps pour toi » Tu avais quelque chose a demandé à la brune, mais tu avais tout de même peur de sa réaction. Tu te détachas d’elle malgré toi, pour que tu puisses aller chercher le corsage que tu avais fait préparer, afin que tu puisses demander à la Quincy d’être ta cavalière pour le bal de fin d’année. Tu lui souriais lorsqu’elle acceptait d’être ta cavalière. « Ah oui ! Il est super, on a fait du bon boulot, tu as été génial. J’ai commencé à écrire une nouvelle chanson, mais elle n’est pas encore prête. Hmm, oui j’ai un nouveau tatouage, mais je ne peux pas te le montrer toute suite. » Réponds-tu toujours contre elle, tu ne voulais pas la laisser partir, ou simplement la lâcher.

Tu étais ravie de le revoir à nouveau après un mois sans le voir, ni l'embêter. Heureuse que sa maman aille mieux. Tu ne pouvais pas lui faire la gueule parce qu'il a dû partir précipitamment en Irlande rejoindre sa famille. Pendant l'absence de Thorn tu avais pu réaliser qu'il était important dans ta vie et surtout que tu ne le voyais plus en tant que meilleur ami. Après avoir accepté d'être sa cavalière, tu étais toujours dans ses bras que tu ne voulais pas quitter. Tes yeux n'arrêtaient pas de cligner signe que tu voulais t'endormir. Normal après les nombreuses heures à passer à réviser. Jusqu'à ce qu'il t'avoue qu'il avait vu le résultat final du clip et avait encore fait un énième tatouage, mais qu'il ne pouvait pas te le montrer tout de suite. Fonçant les sourcilles « Si tu ne peux pas me le montrer, dis-moi au moins ce que c'est ton nouveau tatouage. Elle parle de quoi ta chanson ? Faut dire que j'ai eu un partenaire exceptionnel. » Tu lui sors ton plus beau sourire étant toujours dans ses bras. Ta peau était comme scellée à la sienne. Soudain plus de lumière. Tu pouvais entendre le vent qui claquait contre les fenêtres. Maintenant que vous étiez sans source de lumière, tu n'avais guère à chercher le rouquin puis qu'il était collé contre toi. Cherchant ton portable dans ta poche, tu mets alors le flash de l'appareil. Il y avait une petite chaise. L'invitant à s'asseoir, tu fais de même, mais en t’asseyant sur ses jambes. « Je n'ai aucunement envie de retourner réviser ce soir. Je peux bien m'accorder une petite pause. Tu peux me kidnapper ? » Tu te mets à rire à ta connerie. Posant ton nez dans le creux de son cou, son odeur enivrait tes narines et tous tes poumons.