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Willow S-Prada + Fergus M. Gallagher
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Mise en page par dark dreams. pour ILH

Il y avait beaucoup trop longtemps que je n’avais pas vu Fergus. Disons que ces petites parties de jambe en l’air me manquait terriblement. Il y avait un long moment que je n’avais pas été attachée envers un homme, surtout quand il s’agissait d’avoir un certain plaisir avec ce dernier. Heureusement pour le beau Quincy, je n’avais jamais admis un truc pareil. Qu’est-ce qui allait m’arriver sinon ? J’allais être la risée de tous et ce n’était pas ce que l’on voulait. Mon retour à Boston se faisait aussi discrètement que possible mais tout le monde parlait du grand retour de mademoiselle Prada. Adriel était la seule personne qui connaissait mon secret et ça allait être la dernière à devoir posséder cette terrible histoire. Ayant mon plan derrière la tête, je filais sous la douche afin de pouvoir me préparer convenablement et sans aucune presse. Avouons-le, Fergus ignorait que j’allais lui rendre une petite visite et c’était tout ce qui faisais mon charme. Le jeune homme ne s’en plaignait pas et même si c’était le cas, qu’est-ce que ça pouvait me faire ? Une fois sortie de la douche, je venais à me préparer comme bon me semble. Enfilant des sous-vêtements coquins, je glissais l’une de mes robes noires sur le corps et de pouvoir arranger mes cheveux. Il ne m’en prit qu’une heure pour me préparer et voilà que j’étais déjà dans la jaguar que mon père chéri m’avait acheté. Être haut placé chez Prada, valait son pesant d’or et je n’allais certainement pas cracher sur ça. Malgré de nombreux embouteillages, je parvins à arriver à son appartement. Lunettes sur le bout du nez, j’avais presque l’air d’une star qui sortait de nulle part. Descendant de la voiture pour me pointer jusqu’à sa porte, je me penchai pour prendre la clé sous le paillasson et de pénétrer à l’intérieur. Retirant mes talons hauts sans faire le moindre bruit, j’entendis le bruit de la douche. N’ayant aucunement envie d’attendre dans le salon, je fis le tour de l’appartement plus en profondeur que d’habitude pour pouvoir tomber dans une pièce quasi-secrète. Tournant la tête de gauche à droite afin de voir si la voie était libre, je m’approchais discrètement du bureau et un dossier écrit en grosse lettres : SECRET, attira mon attention. Fronçant le regard sous cette nouvelle, ma curiosité vint à embarquer dans mon esprit et c’est dans une foulée que je lisais tout ce qui s’offrait à moi. Bon sang, mais qu’est-ce qui se passait. J’étais presque outrée par ce que je venais d’apprendre. Fergus était en train de me mentir depuis tout ce temps ? C’était impossible. Moi qui détestait les menteurs, voilà que je me trouvais face à ce genre de personne. Serrant les dents lorsque je déposais les documents sur le bureau, je reculais donc pour sortir de la pièce et me rendre vers la salle de bain. Non, il fallait que je me calme. Reprenant mes esprits, j’ouvris lentement la porte pour pouvoir retirer mes vêtements et de marcher jusqu’à la douche. Fergus se trouvait donc dos à moi jusqu’à ce que je glisse mes bras autour de sa taille. « Alors, je t’ai manquée ? » Dis-je d’une voix suave. En mon fort intérieur, je bouillonnais de rage mais j’étais très bonne pour garder mes sentiments.
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Le plus dur, c’est de savoir que tu dois avoir honte de nous. Ces quelques mots murmurés au téléphone d’une voix pleurnicharde par sa mère le matin même raisonnaient encore dans la tête de Fergus. La honte, c’était l’une des pièces du puzzle qu’il avait choisi de ne jamais finir en venant aux Etats Unis. Ici, il était personne et tout le monde à la fois. A part son look un peu efféminé pour la plupart et raffiné pour les plus avisés, rien de particulier. Comme presque tous les mecs du campus, il allait aux soirées, se tapait quelques bons coups pour ne jamais les rappeler tout en continuant de briller en classe.
Toutefois, lorsque la solitude pointait le bout de son nez, il lui était difficile de faire comme si de rien n'était. Précisément, ce jour là, Fergus avait le mal du pays. Il faut dire que le professeur Gallagher n'aidait pas : les deux hommes s'étaient encore querellés car, Fergus refusait obstinément de rendre visite à ses parents, probablement de crainte qu'ils ne lui confirment ce qu'on disait d'eux à la télé. Cesse de faire l'enfant en t'enfermant dans ton travail Fergus et va donc voir ta mère qui n’a de cesse de me harceler ! Mais rien n'y faisait. A l'issue de cette dispute, M.Gallagher était parti donner un cours à des premières années et Fergus avait fini par décrocher de ses cahiers pour aller prendre une petite douche, histoire de laver son esprit de toutes ces pensées parasites.

Cela faisait presque un quart d'heure que Fergus pompait l'eau chaude quand il sentit une paire de mains lui enlacer la taille. Dans un sursaut de stupeur, il se retourna. Willow. Ce petit coeur épineux qu'il avait réussi à attraper par la tige. Cela faisait déjà un moment qu'elle ne lui avait pas rendu visite. En effet, ces deux-là avaient coutume de batifoler dans le loft des Gallagher. Plus de place = plus de fun. Fergus avait appris à apprécier la petite princesse qui se cachait derrière la peste. Il affectionnait tout particulièrement sa détermination et son imagination lorsqu'il s'agissait d'obtenir ce qu'elle voulait. « Alors, je t'ai manquée ? » A ces mots, le jeune homme dégota son plus beau sourire. Il fit mine de vouloir embrasser la blondinette. Se penchant vers elle, il murmura  « Bof, je savais que tu reviendrais. » Il ricana à sa propre blague et sortit de la cabine de douche pour enfiler une serviette. Il n'était pas du genre exhibitionniste et, hormis les salles d'eau, le loft était fait de grandes baies vitrées qui donnaient de quoi satisfaire la curiosité aux voisins. Il se dirigea avec empressement vers la cuisine pour y sortir une bouteille de vin : il aimait recevoir avec un R majuscule, surtout lorsqu'il appréciait son invitée. Toujours en frisant l'indécence, il lui lança « Quel Fergus viens-tu voir aujourd'hui ? Le gigolo ? Le confident ? » Il les servit copieusement dans de somptueux verres de cristal, s'envola jusqu'à son sofa et fit signe à la belle blonde de le rejoindre en lui tendant sa coupe. M.Gallagher ne devrait pas rentrer avant deux à trois heures. Pile le temps qu'il lui fallait pour s'amuser un peu.
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Le fait de voir ce dossier blanc, écrit en lettres majuscules, j’avais envie de vomir. Non mais est-ce qu’il se foutait de ma gueule ? Mon caractère de garce et de petite prétentieuse voulait prendre le contrôle de mes faits et gestes sauf que je ne devais pas. Il est hors de question que je puisse foirer mon coup pour le bal et que je puisse m’y présenter toute seule. Fergus était quand même assez mignon et peut-être que je lâcherais cette bombe quelques jours après le grand soir. Il a déjà vue comment je suis lorsque je suis fâchée alors là il allait être servit. Poussant un léger soupir, je glissais ma main dans mes cheveux et de pouvoir être calme. Le jeune Quincy ne pouvait pas me voir dans une telle posture sinon il allait se poser des questions. Bref, une fois sortie de la chambre, je m’approchais de la salle de bain où il était en train de prendre sa douche. Comme à mon habitude, je me suis approchée sur la pointe des pieds et de me faufiler derrière lui, une fois mes vêtements furent retirés. Sentant son corps sursauter, un petit sourire mesquin apparut sur mes lèvres. « Bof, je savais que tu reviendrais. » Il semblait si sûr que ça faisait peine à voir. « Oh tu sais, si je reviens c’est parce que tu fais pitié à voir. J’ai une âme charitable en ce moment. » Lui adressant un clin d’œil, je le laissais sortir en premier tandis que je suivais le train. Laissant mon regard dévier vers ses fesses, je pris la deuxième serviette qui s’offrait à moi afin de l’enfiler. Une fois bien sécher, je pu remettre ma robe convenablement et de placer mes cheveux derrière mes épaules. J’adorais passer du temps en sa compagnie, même si nous avions eu un moment d’embûches tous les deux lors de notre première rencontre sauf que j’ai pût réajuster le tir. Je suis loin d’être le genre de fille à avouer mes sentiments et surtout quand il s’agit d’un homme. Marchant le long du couloir afin de rejoindre Fergus, je le laissais me poser cette phrase qui me fit particulièrement rire. « Quel Fergus viens-tu voir aujourd'hui ? Le gigolo ? Le confident ? » Je devais admettre que lors de nos rencontres, ça ne durait pas si longtemps puisque c’était juste le temps d’une coucherie et hop, j’étais partie. Pas d’attache, c’est encore meilleur. « Peut-être le premier, disons que j’adore quand il me fait crier. » Lui adressant un clin d’œil, je pris la coupe dans ma main et prendre place à ses côtés sur le sofa. « Alors, j’espère que je ne te dérange pas... » Croisant mes jambes, je laissais à découvert mes cuisses tandis que mon regard vint à se poser sur celles du beau brun.
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Au départ, personne, pas même Fergus, aurait soupçonné que quelque chose se tramerait avec la sulfureuse Willow. Il faut dire que presque tous les opposaient. Elle, petite princesse née avec une petite cuillère en argent dans le gosier. Lui, petit campagnard qui se contentait des plaisirs les plus simples de la vie. Oui, c'était plus un arrangement qu'une évidence. Chacun y trouvait son compte. Elle pouvait avoir un mec sans les inconvénients du couple et lui pouvait s'aérer l'esprit avant de retourner parler comètes et relativité. Ce qui avait convaincu le petit irlandais, c'était la poigne de la blondinette. Ca, Fergus adorait. Toujours quelque chose à dire pour tempérer la vanité du jeune astrophysicien. Rares étaient les âmes qui avaient le courage de se dresser contre lui. D'abord, parce qu'il ne se laissait que rarement aller. Puis, parce qu'un seul mot de lui suffisait d'ordinaire à faire fuir ses détracteurs.

Elle, elle tenait bon. Toujours là pour venir le titiller. Aujourd'hui cependant, il n'était que moyennement d'humeur à jouer. La situation de ses parents le travaillait au plus haut point. Il ne supportait plus d'avoir à rester ici les bras croisés, en bon attentiste qu'il était devenu. « Peut-être le premier, disons que j’adore quand il me fait crier. » Le franc parler de la blondinette lui fit arquer un sourcil. Il passa son bras derrière la nuque de son invitée comme pour récompenser son audace. « Alors, j’espère que je ne te dérange pas... » A mesure que leurs deux corps se rapprochaient, Fergus était tenté de la faire attendre. Après tout, il n'y a rien de mieux que d'obtenir quelque chose qui nous a résisté ? « Le gigolo ne connait pas de dérangement. » dit-il en faisant lentement descendre ses mains vers les hanches de la belle blonde qui se trouvait sur son sofa. Il tourna la tête pour observer la ville à travers sa fenêtre. « Cependant, il est difficile d'obtenir son attention. ». Game on.
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Certains pouvaient le dire, il fallait que je fasse carrière dans le domaine du théâtre. C’était aussi une première pour moi de ne pas péter les plombs envers Fergus au sujet qu’il m’avait mentit. Moi qui croyait que notre relation était sans mensonges, j’avais tout faux. Il était hors de question que dans la vie de tous les jours, que nous nous promenions tous les deux, ensembles. La seule partie qui allait être dans le domaine du possible était lors du bal, sinon rien. D’habitude, je m’amuse avec des petits gosses de riche mais l’attitude de Fergus, envers moi lorsque je me suis attaquée à ces pauvres détraquées m’avait plus que surprise. Personne n’osait s’en prendre à moi, la seule qui pouvait le faire était ma pire ennemie, point. La seule chose que je venais chercher aujourd’hui, c’était son corps et rien d’autre. Étant donc assise près de lui, je pris soin de croiser mes jambes afin de dévoiler le commencement de mes cuisses. « Le gigolo ne connait pas de dérangement. » À mesure que les mains du jeune Quincy glissèrent sur mes hanches, un long frisson parcourut mon corps entier. Même si ce n’était qu’un jeune campagnard, il s’en tirait très bien. J’en profitais même pour coller d’avantage ma poitrine contre son torse et de laisser au passage mes mains contre ses cuisses. À ce que je voyais, il semblait d’humeur à jouer alors que c’était dans mes cordes. « Cependant, il est difficile d'obtenir son attention. » D’habitude, je détestais lorsqu’on ne faisait pas ce que je voulais sauf que pour le moment, ça m’amusait aussi. En prenant donc les devants, je me positionnais sur lui et pris sa mâchoire avec ma main afin de tourner sa tête vers moi. « Tait-toi Fergus et embrasse-moi. » C’était un ordre que je lui donnais. Nous avions toujours fonctionné comme cela et je n’étais pas totalement sûre que ça allait se terminer aujourd’hui.
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Avec elle, il avait ses habitudes. Il savait où la toucher, comment, combien de temps. Elle était ce dont il était le plus sûr ici. Il n'avait jamais fait ça auparavant, du bon temps sans sentiment. Mais avec elle, c'était savoureux, tendre et animal tout dans le même temps. C'était la raison pour laquelle Fergus faisait tout pour qu'elle ne s'ennuie jamais, quitte à lui résister quand il en avait terriblement envie.

Alors que le désir devenait presque palpable, elle lui lança « Tait-toi Fergus et embrasse-moi. ». Lentement, sensuellement, il s'exécuta. Saisissant à pleine main les fesses de sa partenaire, il l'embrassa avec fougue tout en la pressant tout contre lui. Le corps encore humidifié par la douche qu'il venait de prendre, il la souleva pour l'allonger sur le canapé. Du bout des doigts, il découvrait les sous-vêtements qu'elle avait enfilé pour lui. Juste avant de les enlever, il dit d'une voix suave « Mon père risque de rentrer très bientôt, tu sais. » Même s'il mourrait d'envie d'assouvir leur appétit mutuel, il craignait d'avoir à expliquer la situation à son professeur qui, de toute évidence, n'accepterait pas que de telles ignominies aient lieu sous son toit.
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Plusieurs étaient au courant que je ne suis pas le genre de femme qui garde ses paroles en bouche. Lorsque quelque chose m'emmerdait au plus haut point, la personne concernée le savait et il regrettait ce qu'il avait pût me dire. Fergus en avait eut la preuve la première fois que nous nous sommes rencontrés tous les deux. Je me fichais quand on s'attaquait à moi sauf que cette fois-ci, c'était différent. Personne n'avait osé se dresser en face de moi de cette manière et depuis ce temps, nous n'étions qu'un plan cul tous les deux. Aucun sentiment, aucun regrets. J'aimais bien cette situation car je suis une femme remplie de rebondissements, on ignorait comment agir en ma présence. Étant donc sur lui, je laissais mes doigts glissés le long de son torse jusqu'à lui donner un ordre. J'aimais bien lorsque c'était féroce, voir presque sauvage. Laissant le jeune homme prendre les devants, je pris soin de rendre le baiser long et langoureux. Me laissant faire une fois que Fergus m'allongeait sur le long canapé, il prit soin de glisser ses mains contre les sous-vêtements que j'avais enfilée rien que pour son plus grand plaisir. « Mon père risque de rentrer très bientôt, tu sais. » C'était bien cela le problème. Plongeant mes prunelles dans celles du Quincy, un léger sourire sadique parcourut mes lèvres. « Si tu veux je pourrais revenir dès que ton père quittera ton appartement, c'est pas grave. On a toute la vie pour ça tu sais. » Embrassant le bout de ses lèvres, je me redressais légèrement afin de me poser sur mes pieds et tourner le visage vers Fergus. « ... Sauf que tu n'auras pas ça pour aujourd'hui, je suis une femme très occupée en ce moment puis, j'ai pas que ça à faire attendre.. » Je détestais lorsqu'on me laissait en plan de cette manière. Je fis exprès de faire tomber mes cheveux derrière mes épaules, ce regard bien encré dans le sien afin qu'il puisse changer d'idée. Étant une femme qui aimait jouer, il ne faisait que commencer.
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Quelle peste. C'est ce qu'il s'était dit à leur rencontre et ce qu'il n'avait cessé de se dire toutes les fois où elle venait le retrouver l'histoire de quelques cabrioles. Une peste au caractère bien trempé derrière lequel se cache une femme forte et affectueuse. C'était cette dernière que Fergus appréciait tout particulièrement. Celle dont il se convainquait de sa présence chaque fois que Willow se glissait sous sa couette. Si les autres la désiraient pour sa beauté, l'apétence de Fergus, elle, était motivé par la révélation d'une personnalité toute autre que lui réservait Willow.

« Si tu veux je pourrais revenir dès que ton père quittera ton appartement, c'est pas grave. On a toute la vie pour ça tu sais. » Alors que la jeune femme se redressait, Fergus sentit qu'il avait dit quelque chose de travers. Quelque chose qui pourrait bien l'avoir vexée. Il la regardait faire, non sans un tas de cochonneries derrière la tête. Elle se savait plaisante même envoûtante. « ... Sauf que tu n'auras pas ça pour aujourd'hui, je suis une femme très occupée en ce moment puis, j'ai pas que ça à faire attendre.. » Et le voilà mis devant le fait accompli. Elle allait partir et s'en suivrait certainement une horde de reproches qu'il n'avait pas le courage d'affronter aujourd'hui. D'un regard aguicheur, il s'approcha d'elle et commença à lui embrasser l'épaule puis, la nuque pour finir par atteindre son oreille. Là, il lui susurra « Le problème, c'est que si je te fais crier, tu voudras t'éterniser. » Il lui effleurait maintenant les hanches de la belle blonde tout en humant la délicate odeur qu'elle dégageait toujours avant de passer à l'acte.
AVENGEDINCHAINS
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