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Bonjour à tous ! Voici mon premier article pour le Harvard Crimson, et comme vous le savez tous, je suis de loin la plus déjantée et la moins romantique de tout le campus. C'est pour cela que je vais vous faire ce petit article, le premier d'une longue série, je pense.
Alors un jour, j'ai eu un élan de romantisme, ne me demandez pas pour quelle raison. Je devais être bourrée et défoncée à cet instant précis, surtout pour envoyer ce genre de truc à une fille.
Ce que je sais en tout cas, c'est que si une meuf m'envoyait ça, que ce soit par sms, mail ou en face, je crois que j'aurai explosé de rire. Non mais, t'as vu cette niaiserie là ? Sérieusement, à toutes les filles d'Harvard, ne m'envoyez JAMAIS un truc comme ça, vous allez vous prendre un rateau tellement énorme que ça sera une barre métallique de pompier dans la gueule ! Allez, la semaine prochaine, vous aurez quelque chose d'autre, un peu plus drôle, je ne veux pas me faire censurer dès le premier article dans ce si beauuu journal que la gazette étudiante ! A la revoyure !
Alors un jour, j'ai eu un élan de romantisme, ne me demandez pas pour quelle raison. Je devais être bourrée et défoncée à cet instant précis, surtout pour envoyer ce genre de truc à une fille.
J'ai jamais autant voulu une fille, jamais. Ses bras me rassurent, son regard m'ensorcèle, je me languis de la douceur ses lèvres, j'imagine leur gout doucement sucré de la chaleur de son ile, le son de sa voix me laisse rêver de l'impossible tant elle me berce. Elle pourrait rien qu'avec le son de sa voix. Parfois, ça arrive juste comme ça. un regard et boom, tu te mettrais à ses pieds pour qu'elle te remarque. Quand t'es avec elle, tu te sens en vie et quand elle est loin, elle te manque. Tu sais pas vraiment ce que c'est, mais tu la veux, rien qu'à toi. La nuit avant de t'endormir, tu penses à elle, comme si elle était là, près de toi. Il parait que tu souris en dormant maintenant. Mais au réveil, elle te manque à nouveau. Cercle vicieux du coeur et de la réalité, on te dit de ne pas abandonner, que le temps donnera raison à ton acharnement. Je ne sais pas qui a raison ou non...
Ce que je sais en tout cas, c'est que si une meuf m'envoyait ça, que ce soit par sms, mail ou en face, je crois que j'aurai explosé de rire. Non mais, t'as vu cette niaiserie là ? Sérieusement, à toutes les filles d'Harvard, ne m'envoyez JAMAIS un truc comme ça, vous allez vous prendre un rateau tellement énorme que ça sera une barre métallique de pompier dans la gueule ! Allez, la semaine prochaine, vous aurez quelque chose d'autre, un peu plus drôle, je ne veux pas me faire censurer dès le premier article dans ce si beauuu journal que la gazette étudiante ! A la revoyure !
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