SAMEON ♦ « Tu te crois être mon sauveur où bien ?! :O »

Motorsex! Oui j'ai fais la pute

sam hodgson & n. siméon t.k. slader

La soirée venait de commencer à peine pour moi, enfin je crois que je ne serais plus comme avant après cette soirée. Comme à mon habitude j'ai passé une heure dans ma salle de bain pour me laver, pour être impeccable pour ce soir, car comme chaque soir j'allais faire mon deuxième boulot. On dit souvent qu'un métier comme je fais on souhaite au début c'est de le quitter... Mais plus on exerce plus on a envie d'y rester. Ce métier me passionner on dit bien que ces le plus vieux métier du monde j'ai envie de dire. Je m'habillais avec un tanga comme sous-vêtement. Ce genre de sous-vêtement qui laissa mes fesses à l'air libre certain de mes clients adorait ça... Jouait avec moi direct dans les back-room, j'enfilais un jean moulant qui me mettait énormément en valeur, ensuite un marcel blanc ainsi qu'une veste en cuir. Le parfait costume pour le Gigolo de service. J'étais à peu près pour la soirée, je finissais de me coiffer et j'ai mit du parfum pour partir ensuite de mon appartement.

Je sortis de mon immeuble pour arriver vers le lieu de rendez-vous, c'était à 1Km de mon lieu de travail favoris. J'avais rendez-vous avec T. Cela a été comment dire mon proxénète, mais j'avais horreur de l'appellé comme ça. Mon métier avec des inconvénient je devais donner 50% de ma cagnotte à T. Pour chaque soirée que je passais au Boylesque. Après quelque temps j'arrivais au Boylesque. J'ai salué le Barman qui me connaissait bien et je me suis assis au bar en regardant autour de moi. Pas mal de jeunes me regardais du coin de l'oeil.

Les heures ont défilé ce soir, il était 1heure du matin et je venais de gagner 2500$. Très bonne soirée pour moi, j'étais tranquillle posé à une table en train de boire un verre avec un jeune homme d'une trentaine d'année...

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

Code by Anarchy

(Invité)

Je passais la porte, observant que la fête était déjà à son comble. Je défaisais le haut de ma chemise, j'avais déjà chaud. Le but premier de ce début de soirée était d'être dans le même état que le reste de la boite, avoir au minimum trois verres dans le sang et chercher la compagnie d'un nouveau camarade pour la soirée. Je dégustais sagement un cocktail de la maison alors que je cherchais une tête que je connaissais déjà dans la salle, j'étais du genre nostalgique vous savez, retrouver un possible ex petit ami, un coup d'un soir, j'adorais, mais je restais ouvert à de nouvelles rencontres. C'est alors que je vis une tête que je connaissais plutôt bien, c'était une personne que j'avais rencontré en boite de nuit, sa tenue me laissait encore perplexe. Il discutait avec un homme de mon âge, environ. Oui, j'étais plutôt dégouté de ne pas être arrivé plutôt et dans ce genre de cas-là, j'avais envie d'en savoir un peu plus sur le duo que je comptais briser dans la soirée.

C'est alors que je me penchais vers le patron du bar à qui je tendais un billet pour me dire s'il connaissait l'un de deux à la table, il m'affirma que l'homme qui était avec Siméon était un homme riche qui cherchait juste à coucher avec Siméon qui n'était autre qu'un « gigolo ». je grimaçais légèrement, voir un bel âtre comme Siméon se donner à des personnes sans scrupules, ça m'agaçait quelque peu. Je finissais mon verre avant de m'approcher de la table, je passais rapidement ma main sous le menton du jeune homme. « Et bien, tu m'as déjà oublié. Quel cachotier, il était à moi pour la soirée, excusez moi. Mais je suis sûr qu'un autre garçon sera heureux de faire votre bonheur. » dis-je à l'adresse de l'inconnu alors que je venais prendre possession des lèvres de Siméon tout en glissant ma main sous son tee-shirt. Personnellement, j'avais pas envie de m'arrêter, alors autant continuer jusqu'à ce que Siméon m'invite à stopper... ou non.

(Invité)

Motorsex! Oui j'ai fais la pute

sam hodgson & n. siméon t.k. slader

Je dois dire que je me serais cru dans une maison close a attirer l'argent du client! Comme si tout m'étais du, j'aimais ce genre de jeu. Un jeu dangereux qui pouvait me mener loin très loin. Au delà même! Je dois dire que le jeune qui était avec moi semblait fort intéressé par mes services que dire très intéressé, cela se voyait encore dans le fond de son jeans. Comme quoi les hommes étaient vraiment tous pareil. Je discutais de choses et d'autre avec lui, il me racontait sa vie surtout et je faisait un peu comme la potiche en lui balançant des compliments grotesques. Quand soudain je vis un autre homme s'approcher glisser ses doigts sous mon menton le forçant à le regarder, je fis des gros yeux un peu surpris de voir Sam ici. C'était un professeur de Harvard qui trainait pas souvent ici à mon souvenir, mais il était comme un protecteur ambigue pour moi il se mit à raconter de drôle de chose encore: « Et bien, tu m'as déjà oublié. Quel cachotier, il était à moi pour la soirée, excusez moi. Mais je suis sûr qu'un autre garçon sera heureux de faire votre bonheur. » je fus surpris dans mes souvenir je n'avais pas conclu n'importe quel marcher avec Monsieur Hogdson, il lui a pris une soudaine envie de m'embrasser, ses lèvres contre les miennes fut le meilleur moment que j'ai pu vivre de la soirée. Il glissa une main sous mon t-shirt la sensation de sa main sur ma peau me hérissa les poils me donnant un frisson qui parcoure le long de ma colonne vertebral. Je glissa ma main sur sa joue pour prolonger le baiser. Je ne dirais pas non à Sam, il embrassais si bien que se serait un sacrilège de l'arreter, je me leva pour en arretant le baiser et en disant: «Bon excuse moi les affaire m'appelle, on se voit plus tard... Quand à toi ! On vas aller dans un coin plus tranquille. » je lui prit sa main pour partir loin d'ici, je prit une porte avec marquer dessus 'Only Staff' On savait bien que c'était pas reservé qu'au staff, arriver dans le couloir je le plaqua contre un mur le regardant dans les yeux, fronçant les sourcils: « Tu comptes m'expliquer ton petit jeu ? Où tu veux qu'on passe tout de suite à l'action comme j'ai su si bien comprendre? »

« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE

Code by Anarchy

(Invité)

Je savais ce que j'avais fais à Siméon en intervenant, mais je ne supportais pas qu'il puisse donner son corps à des gens contre de l'argent, il ne méritait pas de se faire toucher par n'importe qui. J'aimais qu'il réponde à ce baiser, j'avais envie d'aller plus loin. Mais c'était pas possible pour l'instant, et au moment qu'il stoppa le baiser, j'avais envie de me jeter sur lui malgré le monde qui nous entourait. Surtout parce que je lui en voulais de s'adonner aussi librement à d'autres hommes. «Bon excuse moi les affaire m'appelle, on se voit plus tard... Quand à toi ! On vas aller dans un coin plus tranquille. » Plus tard ? Qu'il n'y compte pas, je ne voulais pas le revoir se vendre. Ce n'était pas une situation correcte. Je le suivais sans cérémonie, on se retrouvait dans un endroit sombre.

Je me retrouvais contre le mur sans comprendre ce qu'il m'arrivait. « Tu comptes m'expliquer ton petit jeu ? Où tu veux qu'on passe tout de suite à l'action comme j'ai su si bien comprendre? » s'exprima le jeune bibliothécaire. Je soupirais alors que j'échappais à ses mains et le tenir par les épaules. « Siméon, arrêtes ça s'il te plait. Je viens d'apprendre ce que tu fais avec ces hommes, comment je dois apprendre qu'une personne que j'apprécie se retrouve à baiser contre de l'argent?! Tu es un mec vraiment beau, tu devrais plus te trouver quelqu'un avec qui tu pourrais t'en sortir, que de faire ça. » Il était vrai que j'étais jaloux, mais avec les mecs que je draguais, je l'étais toujours car je prenais une certaine manie à croire qu'ils m'appartenaient dès que je leur faisais comprendre qu'ils me plaisaient.

Finalement, je retournais la situation pour le plaquer lui contre le mur et surtout, me retrouver contre lui. Mon souffle frappait doucement sa joue, j'avais envie d'aller loin. Mais non, je ne devais pas car je devais aussi lui faire comprendre que je ne voulais pas ça, qu'il se vende de cette façon.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)