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Elsa Katherine
Östensson
Östensson
feat Zoey Deutch
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GROUPE 1.
La Dunster house fût le premier choix de Katherine, car elle est avant tout une bosseuse qui sait qu’aujourd’hui, dans la société actuelle, on ne peut réussir que par deux moyens : en naissant avec une cuillère en argent dans la bouche ou bien en se retroussant les manches. Depuis son plus jeune âge, Katherine a été élevée dans un cadre où les études et la perspective d’avenir devait passer avant tout. Ses parents lui ont toujours répétés « Nous pouvons faire ce que nous aimons aujourd’hui parce qu’à l’époque nous avons fait des choix. » Elle sait déjà quel avenir elle veut tracer et aussi le chemin qu’elle souhaite à tout prix éviter.
GROUPE 2.
Katherine, fille d’une mère peintre et d’un père propriétaire d’une galerie d’art à succès à la Nouvelle Orléans, a toujours été baignée dans l’art depuis sa tendre jeunesse. En effet, elle passait le plus clair de son temps avec son père à la galerie, sa mère travaillant dans son atelier du matin au soir. Les histoires pour enfants de son père se résumaient à expliquer et conter des peintures, photographies. Il est donc naturel pour elle de continuer dans cette lancée. Ses études reflètent d’ailleurs cette enfance.
La Dunster house fût le premier choix de Katherine, car elle est avant tout une bosseuse qui sait qu’aujourd’hui, dans la société actuelle, on ne peut réussir que par deux moyens : en naissant avec une cuillère en argent dans la bouche ou bien en se retroussant les manches. Depuis son plus jeune âge, Katherine a été élevée dans un cadre où les études et la perspective d’avenir devait passer avant tout. Ses parents lui ont toujours répétés « Nous pouvons faire ce que nous aimons aujourd’hui parce qu’à l’époque nous avons fait des choix. » Elle sait déjà quel avenir elle veut tracer et aussi le chemin qu’elle souhaite à tout prix éviter.
GROUPE 2.
Katherine, fille d’une mère peintre et d’un père propriétaire d’une galerie d’art à succès à la Nouvelle Orléans, a toujours été baignée dans l’art depuis sa tendre jeunesse. En effet, elle passait le plus clair de son temps avec son père à la galerie, sa mère travaillant dans son atelier du matin au soir. Les histoires pour enfants de son père se résumaient à expliquer et conter des peintures, photographies. Il est donc naturel pour elle de continuer dans cette lancée. Ses études reflètent d’ailleurs cette enfance.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Katherine se rappelle très bien de l’ambiance régnant sur le campus durant les mois des agressions. Elle se rappelle aussi la peur permanente qui avait pris son corps comme habitation. Il ne se passait pas un trajet sans que Katherine ne se sente obligée de faire quelques détours ou regarder autour d’elle d’un regard effrayé. Elle était toujours envahie d’un sentiment de soulagement dès qu’elle avait passé la porte de son immeuble ou celle d’un bâtiment du campus.
Katherine se souvient aussi du 17 janvier. Elle était sur le chemin du campus lorsqu’elle comprit que quelque chose n’allait pas. Un énorme bouchon s’était formée sur la route menant à Harvard, chose qui n’était pas inhabituel en soit, mais ce fut l’absence de conducteurs dans les voitures qui l’interpella. Elle accéléra le pas et découvrit une foule s’ameutant devant un périmètre de sécurité mis en place par la police. Il sembla se passer des heures avant que quelqu’un daigne lui expliquer la situation. Elle fût tout d’abord envahie par la peur : Qu’allait-il se passer ? Etaient-ils armés ? Son entourage faisait-il partit des prises d’otages ? Puis ce fut le soulagement mélangé à la culpabilité qui prit place. En effet, suite à ces prises d’otages, les agressions devraient donc se terminer. Plus de chemin dans l’angoisse, plus de couvre-feu qu’elle s’était imposée à elle-même. Katherine ne parla jamais de ce soulagement, la culpabilité d’avoir eu ce ressenti prenant le dessus.
Katherine se rappelle très bien de l’ambiance régnant sur le campus durant les mois des agressions. Elle se rappelle aussi la peur permanente qui avait pris son corps comme habitation. Il ne se passait pas un trajet sans que Katherine ne se sente obligée de faire quelques détours ou regarder autour d’elle d’un regard effrayé. Elle était toujours envahie d’un sentiment de soulagement dès qu’elle avait passé la porte de son immeuble ou celle d’un bâtiment du campus.
Katherine se souvient aussi du 17 janvier. Elle était sur le chemin du campus lorsqu’elle comprit que quelque chose n’allait pas. Un énorme bouchon s’était formée sur la route menant à Harvard, chose qui n’était pas inhabituel en soit, mais ce fut l’absence de conducteurs dans les voitures qui l’interpella. Elle accéléra le pas et découvrit une foule s’ameutant devant un périmètre de sécurité mis en place par la police. Il sembla se passer des heures avant que quelqu’un daigne lui expliquer la situation. Elle fût tout d’abord envahie par la peur : Qu’allait-il se passer ? Etaient-ils armés ? Son entourage faisait-il partit des prises d’otages ? Puis ce fut le soulagement mélangé à la culpabilité qui prit place. En effet, suite à ces prises d’otages, les agressions devraient donc se terminer. Plus de chemin dans l’angoisse, plus de couvre-feu qu’elle s’était imposée à elle-même. Katherine ne parla jamais de ce soulagement, la culpabilité d’avoir eu ce ressenti prenant le dessus.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Katherine aurait tant voulu partir au Chili avec l’Université. Découvrir une nouvelle culture, de nouveaux paysages et surtout de nouvelles architectures est toujours enrichissant. Elle se rappelle ce sentiment de jalousie qui la parcourait dès qu’un étudiant parlait de son départ prochain ou de ce qu’il allait mettre dans sa valise.
Lors des premiers jours de ce voyage, Katherine en avait presque oublié son existence, passant ses courtes vacances auprès de sa famille en Louisiane. Ce fut seulement lorsqu’elle se connecta sur ses différents réseaux sociaux et son adresse mail qu’elle ne reçu la nouvelle. Le tremblement de terre avait ravagé le Chili. Elle passa sa journée sur son téléphone, cherchant à tout prix une bribe d’information ici et là. Encore une fois, elle fut emplie d’un sentiment de soulagement en pensant au fait que cela aurait pu être elle. Et encore une fois, Katherine enterra ce sentiment pour le remplacer par la tristesse et la compassion quant aux victimes de ce tremblement. Elle passa les mois suivants à soutenir ces victimes, comme pour compenser cette culpabilité.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Katherine aurait tant voulu partir au Chili avec l’Université. Découvrir une nouvelle culture, de nouveaux paysages et surtout de nouvelles architectures est toujours enrichissant. Elle se rappelle ce sentiment de jalousie qui la parcourait dès qu’un étudiant parlait de son départ prochain ou de ce qu’il allait mettre dans sa valise.
Lors des premiers jours de ce voyage, Katherine en avait presque oublié son existence, passant ses courtes vacances auprès de sa famille en Louisiane. Ce fut seulement lorsqu’elle se connecta sur ses différents réseaux sociaux et son adresse mail qu’elle ne reçu la nouvelle. Le tremblement de terre avait ravagé le Chili. Elle passa sa journée sur son téléphone, cherchant à tout prix une bribe d’information ici et là. Encore une fois, elle fut emplie d’un sentiment de soulagement en pensant au fait que cela aurait pu être elle. Et encore une fois, Katherine enterra ce sentiment pour le remplacer par la tristesse et la compassion quant aux victimes de ce tremblement. Elle passa les mois suivants à soutenir ces victimes, comme pour compenser cette culpabilité.
TON ADMISSION A HARVARD
Katherine avait toujours été brillante à l’école, puisque dans le cas contraire, ses parents lui faisaient ressentir leur mécontentement et lui rappelaient sans cesse que son avenir devait passer avant toute chose. Ce fut donc de manière naturelle que lors de sa rencontre avec son conseiller d’orientation, Katherine émis l’idée de soumettre sa candidature aux plus grandes écoles du pays. Le conseiller d’orientation ne vit aucun inconvénient à ces idées, si ce n’est les revenus des parents de Katherine. Il semblait impossible que Katherine puisse parvenir à intégrer ces écoles en s’appuyant seulement sur ses parents. Katherine cru voir ses chances disparaitre.
Quelques semaines après cette rencontre, le conseiller d’orientation contacta Katherine pour lui faire part de la mise en place de nouvelles bourses suite aux élections présidentielles. Ce fut grâce à ces bourses (et un léger prêt étudiant) que Katherine pu recouvrer son intérêt pour ces écoles et poursuivre sa candidature et son admission. Elle se rappellera alors toujours le jour où elle reçu la lettre de réponse d’Harvard, une grosse enveloppe marron. Elle savait ce qui se disait depuis toujours : « Plus l’enveloppe est épaisse, plus les chances de réponses positives sont grandes. » Elle ne pu cacher son enthousiasme suite à cette réponse positive et participa au test écrit avec confiance, mais tout de même moins à l’entretien oral.
Katherine avait toujours été brillante à l’école, puisque dans le cas contraire, ses parents lui faisaient ressentir leur mécontentement et lui rappelaient sans cesse que son avenir devait passer avant toute chose. Ce fut donc de manière naturelle que lors de sa rencontre avec son conseiller d’orientation, Katherine émis l’idée de soumettre sa candidature aux plus grandes écoles du pays. Le conseiller d’orientation ne vit aucun inconvénient à ces idées, si ce n’est les revenus des parents de Katherine. Il semblait impossible que Katherine puisse parvenir à intégrer ces écoles en s’appuyant seulement sur ses parents. Katherine cru voir ses chances disparaitre.
Quelques semaines après cette rencontre, le conseiller d’orientation contacta Katherine pour lui faire part de la mise en place de nouvelles bourses suite aux élections présidentielles. Ce fut grâce à ces bourses (et un léger prêt étudiant) que Katherine pu recouvrer son intérêt pour ces écoles et poursuivre sa candidature et son admission. Elle se rappellera alors toujours le jour où elle reçu la lettre de réponse d’Harvard, une grosse enveloppe marron. Elle savait ce qui se disait depuis toujours : « Plus l’enveloppe est épaisse, plus les chances de réponses positives sont grandes. » Elle ne pu cacher son enthousiasme suite à cette réponse positive et participa au test écrit avec confiance, mais tout de même moins à l’entretien oral.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle augxstine et j'ai 18 ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à le hasard ? . J'ai adoré le design et le fait qu'il ai l'air très actif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Zoey Deutch comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par fcr . Je fais environ 500 mots et mon personnage est un personnage inventé crée par augxstine .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7298]►[/url] ► <span class="pris">Zoey Deutch</span> ♦ “ E. Katherine Östensson ”[/size]
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