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Jadham ♦️ I missed you so much...

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La question à laquelle je ne voulais pas répondre tombait enfin. Il me demandait ce que j'avais et sur le coup, j'avais de plus en plus peur qu'il me juge. L'image qu'il avait de moi était déjà tellement détestable que je ne pensais pas pouvoir faire pire. Je pris une bouffée d'air avant de lui répondre « j'ai fait une dépression assez sérieuse. c'est allé très loin.. » d'une voix calme et pourtant, en moi, c'était vraiment la tempête. Je pensais avoir dépassé le stade de la culpabilité et de la honte mais en fait, non. J'étais toujours aussi fébrile et je n'assumais pas face à Jadèn. C'était trop douloureux. À l'époque, il était tellement protecteur avec moi, tellement doux que j'avais eu peur de le blesser. Il avait toujours été important pour moi et j'avais toujours tout fait pour lui montrer qu'il n'y avait que lui dans mon coeur. J'avais juste salement déconné à cause de mes parents et ça, je ferais tout pour qu'il puisse un jour me pardonner. Alors, lorsqu'il me disait que dans un couple, les décisions se prenaient à deux, je baissais le regard en lui répondant « je sais, je suis trop bête.. » d'une voix sourde alors que je n'essayais pas de m'enfoncer. Non, je faisais juste un triste bilan de mon état actuel et passé. Il continuait de me faire des reproches et moi, je perdais pied. J'étais pas préparée à tout ça et lorsque je lui répondis, ce fut d'une voix fébrile et d'un « je voulais pas que tu subisses mon état, j'avais le droit de vouloir te préserver de tout ça même si je regrette la manière dont j'ai fait les choses.. ». Sa dernière phrase me fit l'effet d'un coup de poignard alors qu'il me disait ne pas m'avoir attendu. Ça faisait mal de l'entendre. Mal de me dire qu'il avait trouvé mieux, que j'étais qu'un souvenir. Alors je ne pus retenir mes larmes. J'étais blessée mais ce n'était pas à cause de ça que mes larmes roulaient. J'avais mérité ce ton froid et ce regard glacial. Il fallait que je m'y fasse. J'essuyais mes larmes d'un geste vif alors qu'il me surprit. Ses bras autour de moi me firent un effet que je n'aurais jamais imaginé. C'était doux, tendre et je retrouvais cette sensation de protection qu'il m'avait toujours donnée. Mes bras s'enroulèrent alors autour de sa taille tandis que je l'entendais s'excuser. Niant de la tête, je lui murmurais un « ne t'excuses pas, je mérite tout ça.. » d'une voix calme et légèrement cassée alors que je ne demandais qu'une chose, profiter de cette étreinte. Je lui glissais même un « tu sais, si tu m'en veux vraiment, tu peux même me frapper.. » d'une voix pas très assurée mais j'étais prête à beaucoup de choses pour qu'il me pardonne..
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Ce rapprochement le fit souffler enfin, comme pour échapper à la douleur que tu avais ressenti. Tu tentais d’effacer cet épisode de sa mémoire, ayant sûrement assez tapé du poing pour la faire réagir. Au final, le plus important restait ses excuses, tu les recevais enfin après ces années sans nouvelles. Tu la regardais avouer non sans mal la fameuse maladie qui la tiraillait, la dépression. Tu connaissais bien mal les symptômes, t’en avais entendu parler vaguement. Tu préférais ne pas en savoir plus, de peur d’apprendre des choses terribles sûrement, ce n’était plus ton affaire finalement. Au fond, tu ne voulais pas qu’elle reparte avec ton souvenir la rabaissant plus bas que terre. Tu as tes excuses, maintenant passons à autre chose, ta cigarette t’avait fait le bon effet, elle fut rapidement éteinte et jeté à la poubelle. Après la tempête, le calme. Tu respirais enfin après avoir déballé tout ton sac. « Merci d’être revenue pour t’excuser, j’ai enfin les explications que j’attendais depuis deux ans » et ce n’était pas la peine d’être rancunier à ce point, la vie ne s’est pas arrêtée de tourner. Il fut très fortement surprit de sa réplique cependant, la frapper ? Comment pouvait-elle penser à ça ? Certes tu es quelqu’un de sanguin, mais pas au point de frapper une femme, jamais. « J’pense que t’es sous le coup de l’émotion, mais c’est complètement idiot ce que tu dis là, ressaisis toi » tu fis rapidement volte-face pour tenter de lui redonner un peu confiance en elle « J’avais besoin de te dire tout ça, maintenant j’essaie de comprendre le fait que tu n’aies pas eu le choix » dur à comprendre, mais possible à intégrer. « Ce qui est fait est fait » tu n’es pas du genre à rester accrocher au passé, maintenant qu’elle était revenue, il ne pouvait pas lui en vouloir toute sa vie. Tu finis par lâcher l’étreinte, tentant un sourire pour la rassurer. « j'espère que tu vas mieux en tout cas »
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Je comprenais maintenant qu'il venait de se calmer grâce à cette étreinte mais aussi grâce à ces mots que je lui avais dit. J'avais beaucoup de regrets le concernant. J'avais aussi beaucoup de remords après ce que je lui avais fait vivre. À l'époque, j'étais juste très amoureuse de lui. J'étais juste une gamine qui avait peur de blesser, qui avait peur aussi des conséquences de ses actes. J'avais longtemps réfléchi à la manière dont j'allais l'aborder. J'avais aussi souvent réfléchi à ces mots que je pourrais lui dire mais au final, tout était sorti assez naturellement, sans que je n'ai besoin d'aucun artifice. Je ne lui avais jamais menti, même durant notre relation. J'avais réellement confiance en cet homme et aujourd'hui, je regrettais un peu ce passé qui était tellement agréable à mes yeux. Il me remerciait alors d'être venue lui donner les raisons de mon départ. Tout ce que je voyais, c'était qu'une fois la tempête des retrouvailles passées, une fois l'émotion de le revoir derrière moi, je pourrais peut-être enfin parler de ma maladie avec quelqu'un. Cela ne faisait que quelques mois que j'étais disons sobre de tous traitements et ça m'avait beaucoup changée. Je lui répondis donc « c'est moi qui devrait te remercier de m'avoir écoutée » d'une voix douce alors qu'un sourire très léger étirait à présent mes lèvres. Ce ne fut que lorsque je lui disais qu'il pouvait me frapper s'il le voulait qu'il réagit plus fortement en me demandant de me ressaisir. J'étais perturbée encore. Cette demande c'était surtout pour lui montrer que j'étais prête à tout pour lui montrer ma bonne foi. Prête à tout pour qu'il me croit et qu'il oublie tout le mal que j'avais pu lui faire. Je répondis donc simplement d'un « oui, ça doit être ça. Excuse-moi.. » d'une voix calme et plus maîtrisée qu'il y a quelques minutes. Il me signalait qu'il essayait maintenant de comprendre pourquoi je n'avais pas eu le choix, me disant que ce qui était fait ne pouvait plus être changé. J'acquiescais de la tête avant d'ajouter « je te promets, je te ferais plus jamais ça.. » d'une voix peinée alors que je m'engageais à ne plus jamais disparaître de sa vie comme je l'avais fait auparavant. Même si on ne restait qu'amis, même si on ne serait plus jamais ensemble, j'avais besoin de lui promettre que je ne partirais plus jamais, même avec un mot d'adieu. Je le regardais alors s'éloigner de moi et je me surpris à vouloir que cette étreinte dure plus longtemps alors que je lui répondais « j'ai terminé mon traitement en début d'année depuis ça va, pas de rechutes pour le moment » d'une voix légèrement contente. Oui c'était important pour moi d'aller mieux et de lui montrer que ça allait. Maintenant j'allais pouvoir tenter de me faire pardonner et de rattraper le temps perdu...
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Tu te souvenais tout à coup du couple que vous formiez quand vous habitiez ensemble. Tout avait commencé alors qu'ils étaient colocataires, ça aurait très bien pu foutre le bordel, mais bizarrement c'était agréable. Habiter ensemble sans les galères de se retrouver seuls à deux, pas vraiment de compromis à faire puisque nous étions plusieurs à vivre sous le même toit. De toute façon tu n'aurais jamais accepté de voire quelqu'un s'immiscer dans ta vie de tous les jours tu n'étais absolument pas près à ça. Ce petit bout de femme t'avais comblé, pas vraiment chiante, tu avais le dessous sur tout. En la voyant parler ainsi, tu retrouvais la même personnalité au final, tu aurais pu faire ce que tu voulais d'elle et c'était peut-être encore le cas. Siham semblait juste avoir prit de l'expérience face aux aléas de la vie. Tu étais bien placé pour le savoir, peu fière de ton casier judiciaire tu ne lui en avais même jamais parlé. Tu savais qu'elle était de bonne famille, ce n'était pas gênant puisque tu t'en souciais peu. Leur couple était encore jeune quand elle prit la décision de partir et toi trop volatile pour essayer de la retrouver coûte que coûte. Est-ce que tu l'aurais sincèrement fait ? Aucune idée. - ne t'excuse plus, on est quitte, beaucoup de choses se sont passés depuis. Tu disais cela pour dédramatiser la chose et bien lui faire comprendre que tu avais vécu sans elle, sans l'attendre. T'es arguments tenaient la route et tu ne savais pas du coup où ces retrouvailles allaient vous mener. Alors quand elle précisa qu'elle ne le referait plus jamais, tu préféra ne pas insister. Tu espérais juste qu'elle n'allait pas te demander que tout redevienne comme avant car c'était impossible pour toi. - je suis content de l'entendre, mais ça veut dire que tu peux rechuter n'importe quand ? Tu flippes, y'a sûrement des choses à ne pas lui dire, maintenant t'auras trop peur de la faire retomber, impossible que ce soit par ta faute... - tu as trouvé une nouveau logement ? Non pas pour lui demander de revenir, la coloc étant déjà pleine en ce moment. Mais pour être sure que tout se passe bien depuis son retour. Tu ne pouvais t'empêcher de retrouver ce côté protecteur envers Siham. Votre étreinte étant terminée, tu ne savais plus comment te comporter tout à coup. Ton démon intérieur te rappelle les sensations de sentir tes mains sur son corps, y'a quelque chose à l'intérieur qui te fais douter. Tu ne veux pas lui donner trop d'espoir, mais bon dieu qu'elle est belle.
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Il ne voulait plus que je m'excuse ni même que l'on continue de parler de ça. Il me soulignait que le temps avait fait son oeuvre et qu'il avait continué à vivre malgré le fait que je ne sois plus là. J'étais un peu triste rien que d'y penser. La raison c'était que j'avais quitté mon confort sentimental pour quoi ? Rien. J'avais souffert encore plus sans lui et même s'il était parfois jaloux, parfois dur avec moi, c'était comme ça que je l'aimais. Protecteur et attentif. Dur et tendre à la fois. C'était peut-être pour cela que je m'étais laissée aller à lui promettre que je ne partirais plus jamais de cette manière. Non pas que je voulais le draguer ou le récupérer, je voulais juste lui montrer que je voulais être honnête et me faire pardonner même si nous restions simplement amis. Lorsqu'il se dégageait de notre étreinte, je ne disais rien. Je le regardais simplement parce que je savais que je n'avais pas besoin de parler, c'était lui qui menait toujours la dance. Mon regard détaillait son visage que je n'avais jamais pu oublier et lorsqu'il me demandait si maintenant j'allais mieux, je lui avais dit que oui. Il me disait être content de l'entendre et cela me touchait réellement. Il ajoutait ensuite s'il y avait des risques de rechutes et je lui souriais d'un air légèrement éteint avant de lui répondre « je ne sais pas.. honnêtement pour l'instant c'est pas encore arrivé.. » d'une voix douce alors que je me grattais nerveusement l'avant-bras. Il m'intimidait toujours. Il avait cette présence qui savait me rassurer et j'étais presque incapable de calmer mon rythme cardiaque à présent. Il me perturbait toujours autant et lorsqu'il me demandait si j'avais trouvé un appartement, je retrouvais sa bienveillance et son attention particulières. J'aimais ça. Ça me tentait même parce que je n'avais qu'une envie, sentir ses bras protecteurs autour de moi. Je lui répondis alors « j'ai un appart dans le centre de Boston, t'inquiète pas pour moi.. » d'une voix presque éteinte alors que je lui souriais avec une douceur que je ne réservais qu'à lui. J'ajoutais ensuite « je vis avec quelqu'un.. » d'une voix calme alors que je me rendais compte quelques secondes plus tard que cela pouvait être ambigu. Je ne savais pas pourquoi cela me dérangeait autant mais j'agrippais alors son poignet d'un geste vif avant de lui glisser « je vis avec une amie » d'une voix honnête et maîtrisée alors que je me demandais toujours pourquoi je cherchais encore à me justifier puisque je n'étais plus avec lui, puisqu'il ne devait plus être qu'un ami...
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Ce qu’elle répondit n’était pas plus rassurant et comme tu connaissais bien mal ce qu’une personne dépressive pouvait être, tu ne pouvais t’empêcher de te poser des questions. Tu essayais tant bien que mal de ne pas y faire attention, poussant la conversation tout autre part, maintenant que la colère était sortie. Tu reprenais un ton calme et posé, tout en tenant la cadence de vos échanges, impossible de t’en empêcher restant seul maître de tes mouvements. La jeune femme confirma qu’elle avait bien trouvé un endroit où vivre, ce qui te rassura, même si tu la savais capable de se débrouiller seule. Et pour se justifier encore, elle ajoute vivre avec quelqu’un sans préciser de qui il s’agit et tu te forces à ne pas réagir. Si elle était venue aujourd’hui, si elle s’était retrouvée dans cette état devant lui, t’interdisais l’idée qu’elle puisse être avec quelqu’un. D’un geste rapide, Siham prit ton poignet entre ses doigts comme pour te rassurer et tout en terminant sa phrase. avec une amie de toute façon, elle aurait très bien pu te mentir, qu’aurais-tu dis ? Rien de plus. Tu n’avais plus ton mot à dire sur ses relations et étant particulièrement exclusif, le fait de posséder quelqu’un te plaisait trop pour cela. « très bien » ta tête acquiesce alors tout en continuant de la regarder. « je crois qu’on a mis les choses au clair alors », plus fort que toi, tu ne pouvais t’empêcher t’instaurer cette pression autour de toi. Maintenant que tu mettais tout cela de côté, préférant ne plus y penser puisque tout était réglé entre eux. Elle allait bien et c’était le principal pour toi, espérant que tous ses problèmes soient maintenant réglés. Tu ne te voyais pas l’inviter à prendre un verre comme un hôte quelconque, c’était étrange pour le moment. Elle s’était rapprochée de toi une nouvelle fois, poussant le vice un peu plus, tu pouvais sentir son pouls battre rapidement dans son poignet et tu t’interrogeais. « je peux faire quelque chose d’autre pour toi ? »  
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C'était difficile pour moi de revenir après tout ce temps passé loin de lui. Mes souvenirs s'étaient ravivés lorsque je l'avais vu et mon coeur avait battu la chamade comme au premier jour. Il était cependant hors de question que je prenne le risque de lui montrer à quel point il me troublait encore aujourd'hui. Alors lorsqu'il m'avait demandé si j'avais trouvé un appartement, je lui répondis que c'était le cas. Je n'avais pas eu à chercher très longtemps vu que j'avais utilisé l'argent de ma mère pour m'offrir un véritable palais. C'était ma façon à moi de lui faire payer ce qu'elle m'avait fait aussi. Alors lorsque je me justifiais, lorsque je lui disais que je vivais avec une amie, je l'avais senti tiquer au départ. C'était peut-être pour cela que j'avais aussi ressenti le besoin d'être toujours honnête envers lui. Jamais je ne lui avais menti. Jamais. Il avait toujours tout su de moi, il avait toujours tout vu de moi. Je lui avais toujours montré que j'étais fidèle et très attachée à mes valeurs. C'est pourquoi je continuais d'être honnête en lui répondant « oui, je suis d'accord » d'une voix toujours aussi douce. Oui, on avait mis les choses au clair et bizarrement, ça s'était mieux passer que ce que j'aurais pu imaginer. Je tenais à présent son poignet et c'est en m'en rendant compte quelques secondes plus tard que je le relâchais d'un geste lent. Je ne devais pas faire ça, je ne devais pas chercher le contact avec lui sinon j'étais capable de replonger au risque de souffrir. Proche de lui, je perdais peut-être le sens des réalités alors lorsqu'il me demandait s'il pouvait faire autre chose pour moi, je lui répondais d'un « oui » presque timide alors que je pris mon courage à deux mains pour lui demander « je voudrais t'inviter à manger un soir, histoire de tourner la page sur tout ça » en ne le quittant pas du regard. Je cuisinais oui, plutôt pas mal d'ailleurs alors j'avais dans l'idée de lui offrir un repas et de discuter un peu de tout et de rien, comme avant..
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Il devenait plus que difficile pour toi de ne pas poser ton regard autre part que dans ses yeux, ça glissait tout seul, se souvenir devenait plus que dangereux. Tu tentais tant bien que mal de rester le plus loin possible pour ne pas céder à la tentation, parce que oui t’as eu l’idée de l’embrasser à nouveau, sans engagement, juste vouloir retrouver les sensations qu’elle te procurait auparavant. Ce n’était pas le moment, tu voulais rester sur ta ligne de conduite et lui faire passer le message, mais être rancunier longtemps c’est pas trop fort, tu le sais. Tu as surtout peur qu’elle pense que tu veux redémarrer votre histoire, recommencé à zéro alors que c’est impensable pour toi maintenant. Alors tu te résigne à t’approcher d’elle encore une fois. Dans sa conduite, c’est comme si elle t’appartenait encore, tu retrouves sa manière de te regarder, ses volutes dans la voix et son art de ne jamais te contredire et c’est grisant. Mais, c’est à ce moment-là qu’elle choisit de prendre les devants et de t’inviter à diner un soir, probablement à la date que tu souhaites. Tu reconnais aisément qu’elle était fine cuisinière, un de ces nombreux points communs et c’est beaucoup trop tentant pour ne pas accepter. « Merci pour l’invitation, j’accepte ». Tu pouvais très bien garder un lien d’amitié normal avec elle, enfin tu essayais de t’en persuader. Rien de mieux qu’un bon repas et une soirée au calme pour décompresser, toute cette histoire était derrière lui dorénavant. ok pour un soir, mais qu'allait-il se passer maintenant ?
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J'avais pris les devants, je l'avais invité à venir manger un soir chez moi. J'avais envie de montrer le bonheur que je ressentais lorsqu'il avait accepté mais je me contentais d'un sourire presque radieux. Ça me faisait plaisir parce que cela voulait dire qu'il ne m'avait pas pardonnée qu'en façade et qu'il acceptait à présent que je prenne même une toute petite place dans sa vie. J'étais satisfaite. Ça voulait aussi dire qu'il était prêt à me compter parmi ses proches, ses amis, ses connaissances et ça me suffisait amplement. Alors, lorsqu'il acceptait, je lui répondis simplement « super, tu me diras quand tu seras dispo et j'arrangerais tout ça » d'une voix qui montrait évidemment mon enthousiasme et mon excitation. Ce ne fut pas long cependant car un blanc s'installait rapidement entre nous. J'étais un peu mal à l'aise, je ne savais pas où était ma place, comment je devais me comporter alors je lui disais simplement « je vais te laisser maintenant.. tu dois avoir d'autres choses plus importantes à faire et puis tu... je... je t'ai peut-être dérangé en venant comme ça, j'ai pas réfléchi » idiote. Je baissais à nouveau les yeux parce qu'il me faisait toujours cet effet que lui seul était capable de faire et inconsciemment, je fis quelques pas en arrière vers la porte, prête à partir, presque à contrecoeur. Mais au fond de moi, un véritable ouragan avait dévasté mon coeur, mettant un sacré bordel dans tous mes sentiments...
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