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“You know, you can only actually help someone who wants to be helped.”
feat. ashleigh & edgar

Le dernier cours de la journée vient de se terminer. Tu n'étais pas spécialement en forme aujourd'hui car la dernière discussion que tu avais eu avec ton ex ne s'était pas forcément terminée comme tu l'aurais espéré. De ce fait, cette rencontre tournait en boucle dans ta tête, s'entrechoquant à tes désirs contraires, provoquant une migraine désagréable. Tu étais sorti sans dire un mot à tes étudiants, fuyant la salle de cours comme la peste, tentant de retrouver un lieu où tu pourrais enfin respirer. Tu marchais tête baissée, serrant la lanière de ton sac en bandoulière, fuyant les regards curieux de potentiels admirateurs. En temps réel, tu aurais apprécié ce genre d'adoration pour ta personne et la carrière que tu traînais déjà derrière toi mais aujourd'hui, tu voulais qu'on te fiche la paix.
Après plusieurs minutes de fuite contre l'invisible, tu aperçus le stade d'Harvard. Tu n'y étais jamais rentré, pourtant, tu avais été une coqueluche à la faculté car tu pratiquais le football américain à haut niveau. Mais depuis, de l'eau avait coulé sous les ponts. Malgré tout, tu t'y aventuras par curiosité mais aussi par nostalgie.
Tu passas sous une arche gigantesque, t'imaginant les gradins pleins et leur lot d'acclamations. Des souvenirs de ton époque d'étudiant resurgissaient, c'était si bon d'être libre, insouciant. Ton pouls s'était calmé. Tu avançais jusqu'à la naissance de la moquette végétale et là, tout à coup, un " Pssst " raviva ton rythme cardiaque. Tu te retournas et fusillas du regard les recoins de ce stade. Soudain, tes yeux clairs s'arrêtèrent sur une tignasse blonde planquée dans une des allées, sur les escaliers conduisant aux longs rangs de sièges. Ashleigh était assise et un nuage vaporeux l'entourait. Tu fronças les sourcils avant de retrouver une moue bien plus enthousiaste. Depuis que tu avais rencontré la Mather, un lien particulier s'était installé entre vous. Tu tenais déjà à elle car Ashleigh était une fille plus qu'entière, soit on l'adorait, soit on l'a détestait. Tu avais fait ton choix et il était plus que positif. Derrière sa carapace en acier se cachait à coup sûr une femme blessée. Tu grimpas donc les quelques marches menant à elle puis tu t'installas à ses côtés en silence, humant l'odeur du joint qu'elle se grillait. La tentation était palpable. Et si la solution était là ? À quelques centimètres à peine ? Tu dérobas alors de ses longs doigts le pétard, l'emportant à ta bouche pour en prendre une bonne bouffée.
— " Je parie que ça ne va pas. " constatas-tu en expirant la fumée acre du joint.
— " T'en es où en ce moment ? Si tu veux pas en parler je comprends. On ne se connait pas tellement au fond... " confias-tu en tirant une nouvelle fois sur la cigarette toxique que tu contemplais comme si elle était la solution à tout ce merdier.
Tu avais peut être eu envie de la prendre dans tes bras, d'embrasser sa joue pour la saluer, comme tous les amis font ou presque. Mais tu ne voulais pas qu'elle croit que tu la plaignais. Quelque part, tu craignais Ashleigh et tu ne l'avais pas encore totalement cernée. Peut être qu'elle ne pouvait pas te voir en peinture après tout ? Ainsi, tu maintenais une certaine distance, plongeant tes yeux vers l'horizon et non vers cette âme égarée à tes côtés.



♡ ♡ ♡
MACFLY
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Sur un des sièges du harvard stadium, à l'air libre, joint en main, tu te noircissais un peu plus les poumons. Ca t'arrivais moins souvent ces derniers temps, puisque tu t'étais surtout mit à la cocaïne, alors c'était plus ton nez qui avait l'habitude d'être pourri que tes poumons directement. Mais là, sur le campus, déjà que c'était pas autorisé de fumer ce genre de chose, tu ne pouvais encore moins te permettre de te faire un rail de coke. Non que tu t'intéresses aux regards des autres mais, tu voulais surtout pas prendre le risque de te faire virer de l'université. Autant pas rajouter un autre problème sur tes épaules. Un pétard c'était donc parfait. C'était pas le premier, ni le deuxième, parce que désormais il t'en fallait plus pour te détendre, te changer les idées. Surtout que tu venais de passer au loft, que tu étais tombée sur la lettre de Denys, que tu t'étais empressée de lui répondre, d'aller la poster à la prison également. Si ça t'avais fait du bien de le lire, de savoir que tu lui manques, qu'il désirait te voir plus que tout, fallait admettre que cette lettre te déchirait un peu plus le coeur. Elle te faisait comprendre un peu plus tes sentiments et ce besoin de lui, tandis qu'il était juste coincé, là bas, ne pouvant pas le voir, lui rendre visite. Alors qu'elle, cette Gabrielle, elle avait eut cette chance. Tu la haïssais encore plus. Puis, tu te demandais si ça ne lui avait pas fait remonter tous leurs souvenirs, ses sentiments, de la revoir. La connaissant elle avait dû être vêtue sur son trente et un, si c'est pas plus. Tu la voyais dans son tailleur, bien près du corps, moulant parfaitement ses formes et avec ses airs hautains. Tu mettais ta main à couper qu'elle avait dû se réjouir de la situation dans le fond, d'avoir à nouveau le pouvoir sur lui. Et t'avais pas d'autres choix que te renseigner à elle pour l'avancer du dossier de ton meilleur ami. Te remettre à elle pour en savoir plus, génial quoi ! Sayé, tu commençais à bouillonner. Dieu merci, tes yeux tombèrent sur une silhouette que tu reconnus : Edgar, le frère de Bambi. Professeur ici également mais osef. Ne cachant pas ton joint, tu l'interpellais d'un 'psssst'. Il te chercha du regard pour finalement venir jusqu'à toi. Même pas une remarque sur ce que tu tenais entre tes doigts, au contraire, il prit le cône pour le porter à ses lèvres. Si ça va à merveille mens-tu, laissant absolument rien paraître. T'avais l'habitude de sortir des mensonges et d'enrouler les gens. T'étais douée à ça, mais il insistait. Okay t'avais une mine un peu pâle, des cernes mais c'était pas si affreux que ça non ? En ce moment ? Je fume un joint avec un prof, y a pire comme situation non ? Pire comme ton kidnapping passé, le coma de ta meilleure amie qui s'est réveillée et s'est transformée en chaudasse, ou bien l'emprisonnement de ton meilleur ami dont t'as des sentiments mais que tu lui fais croire être en faux couple. Puis cerise sur le gâteau : ton père hospitalisé après une crise cardiaque, désormais entre la vie et la mort. Ah oui y avait bien pire. Tu repris la roulé pour la porter à tes lèvres, inspirant une bonne latte que tu recraches par la suite. Tu crois que c'est pire de fumer un joint avec une élève ou de coucher avec une élève ? Tu ne lui faisais pas des avances, mais ayant déjà testé la seconde option, tu étais curieuse de savoir ce qui était le pire des deux. Tu votais peut être pour l'option deux comme plus grosse sanction si ça arrivait aux oreilles du Doyen.

CODE BY RESSAPANDA.

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Tu ne savais pas vraiment où la drogue pourrait t'amener, probablement à un endroit où ton angoisse serait moins présente. Tu t'étais assis aux côtés d'Ashleigh, dérobant son joint pour en profiter aussi. Curieux et soucieux du bien être de tes proches, tu n'avais pu t'empêcher de lui demander de ses nouvelles.
Lorsque tu l'avais connu, elle n'avait pas ce genre de comportement, de ce fait, en toute logique, quelque chose s'était produit entre temps. La Mather commença par nier un quelconque mal être puis elle termina par une interrogation farfelue. Au début, tu avais cru que le joint faisait déjà son effet et que tu délirais, mais Ashleigh était bien du genre à sortir cash ce qu'elle pensait. Tu lui léguas de nouveau son pétard, frottant tes mains moites sur tes cuisses. L'évocation de ce sujet te faisait immédiatement penser à Jagger. Pourquoi ? Parce que tu flirtais dangereusement avec elle depuis quelques jours et peut être qu'une partie d'Harvard l'avait remarqué. Tu hésitas longuement avant de pondre une réponse influencée par ta situation actuelle.
— " Franchement ? Si cela ne tenait qu'à moi, du moment qu'on a atteint notre majorité, prof ou pas prof, on est libre de coucher avec qui on souhaite. Bon, bien évidemment il faut que les deux parties soient consentantes. " exprimas-tu en attrapant le poignet de la blonde pour porter sa main près de ta bouche, afin de tirer une latte supplémentaire sur le cône qui rétrécissait d'ailleurs de plus en plus.
— " Pourquoi cette question ? Je t'intéresse ? Non je pense pas... Ou alors tu as déjà franchi ce cap avec un prof ? Tu dois plutôt me mener en bateau pour qu'on évite de parler de toi. Ouais... J'opte plutôt pour la dernière possibilité. " glissas-tu tout en bousculant la jeune femme d'un léger coup d'épaule pour la taquiner. Le destin vous avez réuni aujourd'hui, c'était bien pour une raison. Vous avez l'air tous les deux de présenter pas mal de blessures, toutefois, Ashleigh paraissait beaucoup plus abattue. De toute façon, tu ne pouvais rien deviner pour l'instant, vous n'étiez pas les meilleurs amis du monde. Si elle ne souhaitait pas livrer ses secrets, tu n'auras jamais conscience de l'étendue de ses soucis.
Et voilà, tu commençais à peine à te détendre, les propriétés du joint faisaient son effet. Tu te sentais plus léger, avec une envie démesurée de rire pour n'importe quoi. Sauf que la situation n'était pas forcément drôle. Mais elle pouvait peut être le devenir ?
— " On bouge après ? Je suis sûr que tu as mieux à me proposer que ce machin " proposas-tu en pointant le pétard. Tu te levas ensuite pour te dégourdir les jambes en t'appuyant maladroitement sur les genoux de la jeune femme. D'ailleurs, tu grimaças en retrouvant ta position verticale, tu avais l'impression d'être dans un manège. Ton abstinence envers ses substances avait totalement éliminée les souvenirs de leurs effets. La fin de journée s'annonçait plus qu'intéressante.  
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Il t'avait rejoint, sur ces marches, ces sièges, te piquant ton joint pour le porter à ses lèvres. C'était un prof mais, définitivement pas comme les autres. Pourtant, tu en avais eut ton lot de prof et on ne parle pas juste de prof qui sont chargés de faire tes cours. T'avais été plus qu'intime avec quelques uns, comme Shawn, un défi justement lancé avec Bambi de se faire un prof. Puis y avait eut Alekseï, avec qui tu avais remis ça plus qu'une fois, venant à être impliqué dans son embrouille d'argent avec des mafieux russes. Ce qui avait été la cause de ton enlèvement et des coups que tu cachais encore sous des lunettes de soleil. Ce kidnapping, c'est ça qui avait été l'élément déclencheur de ce trou dans lequel tu t'enfonçais. Ensuite, y avait eut le reste... Le coma de Lucky, tes sentiments naissants pour Denys, ton faux couple et l'éloignement de ton meilleur ami, continuant par son emprissonnement, le séparant définitivement de toi. Tout ça pour se terminer par la santé de ton père, désormais entre la vie et la mort. Y avait de quoi tomber au fond du gouffre. De quoi s'enfoncer quand on t'enlève tes deux piliers et qu'on s'obstine à te mettre au plus bas. Tu avais aucun moment de répit ces dernières semaines. Toujours quelque chose qui te tombait dessus. Rien pour aller mieux, pour voir le début du soleil éloigner les nuages. Ce mauvais temps, au dessus de ta tête, il s'obstinait à rester. Alors voilà où tu en étais : à fumer encore plus, à avoir trempé dans la coke -et pas qu'un peu-, à être encore plus provocante, plus je m'en foutiste, et à vouloir briser des cœurs en consolation du tien qui souffre. Edgar n'échappe pas à la règle. Tu te joues de lui, lui posant cette question, directe, sur le pire entre fumer un joint avec une élève ou coucher avec une élève. Tu mâches jamais tes mots, encore moins ces derniers temps. Je suis entièrement d'accord avec ta réponse. Ca faisait quoi si un prof et un élève couchent ensemble ? Sortent même ensemble ? Tant que c'est pas le prof qui te fait cours, où est le mal ? Y aura aucun risque de tricherie ou de favoritisme du coup. Il attrape ton poignet pour tirer à nouveau sur le joint. Quand tu récupères ton poignet, tu portes le cône à tes lèvres, écoutant ce qu'il a à dire. Il essaye de te cerner, ça s'entend à ses questions et à la fin de son discours. Pourquoi tu ne penses pas que tu m'intéresses ? rétorques-tu, cash encore. T'es très séduisant tu sais commentes-tu. Pourquoi serait-ce impossible que tu sois intéressée par lui ? Il te connaît pas, ça se voit. Parce qu'il fut ce temps où tu sautais sur chaque homme qui posait leur regard sur toi. Prof, étudiant, inconnu d'un soir. Tu faisais aucune exception. Si le gars te plaisait, tu fonçais, et quand tu voulais quelque chose, tu arrivais à tes fins. Tu savais comment t'y prendre avec eux, avec les hommes. Mais oui, j'ai déjà couché avec un prof, peut être deux même... que tu t'amuses à dire, ce sourire insolent au coin des lèvres. Tu te caches pas, et qu'importe qu'un d'eux est toujours prof ici. Tu ignores pourtant le reste, concernant que tu évites de parler de toi. Parce que façon t'as toujours été comme ça. T'aimes pas parler de toi, de tes sentiments, tes émotions. T'as toujours été cette fille folle, profitant de la vie, vivant au jour le jour, sans questionnement. Et elle te manque cette fille. Celle qui fonçait, qui ne se mettait pas des barrières avec son meilleur ami ne voulant pas mélanger sexe et amitié de peur de le perdre. C'est pour ça que tu avais baissé les armes, ne te prenant plus la tête avec ça, pourquoi au final ? Pour jouer à ce jeu dangereux de l'ambiguïté, glissait sur cette pente de séduction, du jeu du chat et de la souris, te menant vers des sentiments pour lui. Un beau merdier. C'était réciproque, oui, sauf que c'était bien plus complexe que ça. Tu fumes à nouveau sur le joint, enchaînant les taffes, tandis qu'il propose de bouger. Enfin, pas juste de bouger comme ça, explicitant bien sur autre chose que le joint. Tu écarquilles un peu les yeux, surprise. Oh que oui j'ai autre chose à te proposer. Tu te lèves et attrapes sa main, l'entraînant avec toi dans les vestiaires du stade, prenant ton sac de cours avec toi. Dans les vestiaires, tu vérifies qu'il n'y a personne et tu fermes à clé. Seuls, tu sors de ton sac un sachet transparent, remplit de poudre blanche. C'est ça que tu entends par 'autre chose' ? Tu te poses sur un banc, une jambe de chaque côté de celui ci, sortant un bouquin de ton sac et une petite paille. C'est bien de ça dont tu parles ? que tu demandes, pour être sûre et l'inciter que plus. Tes doigts s'activent déjà à ouvrir le sachet et verser un peu de poudre sur le livre, formant une ligne droite, parfaite...
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Asleigh est perturbante. Son physique est distrayant mais sa façon de se comporter est encore plus déstabilisante. Elle a déjà réussi à balayer cette lucidité que tu croyais implacable. La blonde a  en effet suscité ton intérêt en une seule phrase, mettant tes défenses à rude épreuve. Tes poils se sont tout à coup dressés quand des mots flatteurs sortirent de sa bouche comme un sort envoûtant. Ashleigh est une sacré sorcière à l'apparence angélique. Tu secoues pourtant la tête lorsqu'elle prononce ces mots allusifs à ton encontre, faisant mine de ne pas y prêter attention.
Cependant, quand elle t'avoue avoir déjà couché avec des professeurs, ton pouls augmente à vive allure, te signalant que tu es peut être dans une situation dangereuse. Tu aurais voulu rebondir sur cette déclaration, lui demandant des détails car il se pourrait bien que tu puisses toi aussi basculer et craquer pour une étudiante. Mais tu n'as rien fait, préférant pour le moment ne pas aggraver ta situation si merdique. Au lieu de cela, tu as eu envie de t'enfoncer dans les bienfaits de la drogue, demandant quelque chose de plus brutal. La Mather t'attira alors vers les vestiaires. À cet instant, alors que tes jambes se déroulaient toute seules devant toi, tu craignis le pire. Dans quoi tu t'étais encore foutu ?
Et puis merde, d'un revers de main tu balayas tes peurs, te laissant guider par l'inconnu. Ashleigh vous enferma dans la salle dédiée au sport et sortit de son sac un sac de poudre bien blanche. Voilà qui devenait intéressant. Tu sourcillas et la laissas agir, te laissant prendre par l'excitation de cet interdit. Tu sourias lèvres jointes et encercla à ton tour le banc de tes cuisses, te retrouvant face à l'étudiante déchaînée.
— " C'est bien de ça que je parlais, tu ne cesses de m'étonner " dis-tu en remuant tes sourcils, mordillant ta lèvre inférieure, émoussé par la situation. Si jamais quelqu'un défonçait cette porte et vous surprenait, tu pourrais dire au revoir à ton emploi et te payer une "Une" de magazine bien scandaleuse. L'image de ta fille découvrant tes déboires te traversa l'esprit toutefois, tu décidas de poursuivre.
— " À vous l'honneur Mademoiselle Strauss. "  tu regardas alors la jeune femme suivre la ligne blanche avec sa paille au bout de son nez, inspirant cette merde qui vous foutrait dans un état lamentable une fois les meilleurs effets dissipés. Quand la Mather flanqua la paille sur le bouquin, nettoyant le contour de ses narines, tu sortis de ta poche ta carte bleue, retraçant un rail linéaire. Puis, tu t'équipas de la paille pour conduire la coke à ton organisme. Tu balanças ta tête en arrière lorsque les particules de la substance s'étaient faufilées en toi, te laissant une sensation de brûlure sur tes parois nasales.
— " Merci de partager. " articulas-tu en écarquillant grossièrement les yeux plusieurs fois. Dans quelques minutes, tu te sentirais l'âme d'un super-héros et personne ne savait vraiment ce que tu serais capable de faire dans cet état là.  

En effet après une poignée de minutes à déambuler le long des casiers, ton rythme cardiaque s'était accéléré et tes pensées s'entrechoquaient violemment. Tu voulais faire dix mille trucs à la fois mais la première, c'était de danser, de bouger, de sentir le corps d'une femme contre le tien et ne plus réfléchir. Alors, quand tes prunelles se posèrent sur le poste-radio, tout était déjà lancé dans ta tête. Tu pressas ton index sur le bouton "on" et la voix de Bruno Mars retentit dans votre planque sentant la transpiration. Tu étais alors revenu sur tes pas, faisant dépasser ta tête par dessus les casiers avant de bondir franchement dans la pièce où était allongée Ashleigh, sur le banc central. Tu attrapas rapidement le sachet dans son sac, sniffant rapidement un peu plus de produit sur ton doigt que tu apportas ensuite à ta bouche pour ne pas gaspiller la poudre encore incrustée sur ta peau. Puis, tu plaças ta tête au dessus de celle de la demoiselle qui semblait rêvasser.
— " Don't Believe me  just watch ! " chantas-tu en éclatant de rire, tendant ta main à la blonde pour qu'elle t'accompagne dans cette danse qui se voulait funk.

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Il t'en avait pas fallut plus. Au signal, à sa demande de quelque chose d'autre, tu avais attrapé sa main pour l'emmener dans les vestiaires. Et si dans ce même lieu tu avais plus d'une fois fait des choses pas chastes, cette fois ci c'était pour une toute autre activité. Le joint ne semblait pas suffisant au professeur. Ne l'étant pas non plus pour toi, tu traînais pas. En place sur le banc, tu sortais le matériel pour venir faire ton rail, tout en le questionnant sur ses intentions. Etait ce bien de ça qu'il parlait ? Il approuva en s'avançant, se positionnant face à toi, tout en venant confirmer de sa voix. Sourire au coin des lèvres, il te laisse l'honneur d'y aller. Là encore, tu ne te fis pas prier. Paille en main, collé à ta narine, visage abaissée, tu renifler la poudre en un rien de temps. Penchant la tête vers l'arrière, te pinçant le nez légèrement, tu reniflais pour encore mieux faire passer le tout dans ta narine. Puis ce fut le tour du jeune homme. Lui aussi ne se fit pas prier. Il avait l'air de s'y connaître même. Tu le regardais faire, souriant du spectacle. Le faire à deux c'était quand même mieux que seul. Parce que les effets une fois présents ça allait promettre. La preuve, quelques minutes plus tard, voilà qu'il marchait, vaguant dans l'espace des vestiaires, te donnant presque le tournis. Toi, tu préférais rester sur ton banc, allongée, tranquille, et profiter des effets paisiblement. Puis, tu entendis le son d'une musique. Yeux plissés, tu cherchais à savoir d'où provenait cette mélodie. Edgar qui réapparut devant toi, attrapant ton sac pour reprendre un peu de poudre, tu savais. Si vous aviez été assez calme, là, quelqu'un pouvait rentrer à tout moment en entendant le son. Dérangeant ? Pas le moindre du monde. Tu t'en moquais, totalement. Lui aussi, vu qu'il se mit même à chanter, te faisant éclater de rire. Et la main qu'il te tendit, tu la saisi, te levant de ton banc pour danser avec lui. Si tu danses comme tu chantes, on est mal le taquines-tu alors que tu commences à bouger ton bassin. Tes bras aussi. Et tes jambes. Un peu tout n'importe comment. Tu danses bien d'habitude, très bien même. T'es pas cheerleader pour rien. Sauf que là t'as envie de faire l'andouille et d’exagérer tes mouvements. Tu te mets à sautiller, à taper dans tes mains. A faire le clown quoi. Puis t'as soif, alors tu vas vers les robinets pour boire. Tu t'affales presque sur le robinet, les genoux au sol. Tu te sens fatiguée tout d'un coup. J'ai faim que tu dis, marchant à quatre pattes pour aller chercher ton téléphone. On commande une pizza ? Comme si le livreur allait venir dans l'université pour mademoiselle Strauss.
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Tu ignorais vraiment où votre délire allait aboutir. Mais plus les minutes s'égrenaient, plus vous vous enfonciez dans la connerie. Après une danse effrénée au milieu des vestiaires, la jolie blonde avait eu soudainement un petit creux. Tu t'étais stoppé dans ta danse ridicule, la regardant ramper jusqu'à son sac pour se munir de son téléphone. Tout à coup, l'espace de quelques secondes, la réalité s'immisça dans ton esprit, te figeant sur place. Qu'étais-tu en train de faire ? Pourquoi Ashleigh commandait une pizza dans l'université ? Tu fronças les sourcils et partis arrêter le poste, craignant tout à coup que vous vous fassiez remarquer. Une peur intense t'avait envahi. Tu tournais désormais en rond, comme un poisson dans son aquarium, le front en sueur.
— " Ash' je crois que je vais faire un arrêt cardiaque, je suis plus très jeune et j'ai arrêté tout ça il y a longtemps " dis-tu avant de t'effondrer contre un casier congelé, te laissant glisser contre pour finir à terre. Adossé contre la paroi de fer, ton oreille entendit un cliquetis qui te fit aussitôt sursauter.
— " Y a quelqu'un. On va nous choper " murmuras-tu en attrapant ta tête de tes deux mains, pour faire taire ces voix qui t'envahissaient.
— " Tu crois qu'on rentre dans un casier ? " demandas-tu en te relevant pour essayer d'en ouvrir un, produisant un vacarme inouï. Ta paranoïa resurgissait bruyamment et tu n'arrivais plus à contrôler cette panique qui montait. Ton débit de parole s'accélérait tout comme tes gestes incohérents. Ashleigh, elle, semblait plus capable de se contrôler. Alors que la porte ne cédait pas, tu faillis éclater en sanglot mais tu te limitas à chercher du réconfort auprès de la jeune femme. Ainsi, tu te collas contre elle, reposant ta tête contre son épaule.
— " Avant que ces individus nous trouvent, je peux te faire un câlin ? " demandas-tu en regardant vers son visage, adoptant une moue innocente et une voix de gamin.
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