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There is no other way

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Azraël,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





« Oh oui je m’en souviens et pourtant, il a essayé un certain nombre de fois de faire en sorte que l’on discute tous les deux sans que cela ne se termine avec un challenge à la clé » dit-il avec cette lueur de tristesse qui ne semblait pas vouloir quitter son regard dès lors qu’il parlait de Parker. Cet homme avait été plus que son meilleur ami, il avait été tellement de choses à la fois : son protégé, son protecteur, son frère, son ami, sa lumière mais aussi sa plus grande faiblesse. Combien de fois avait-il renoncé à un voyage parce que Parker ne pouvait pas suivre la cadence ? Durant toutes ces années, Leonidas avait vécu au rythme de l’américain parce qu’il l’avait souhaité. Possessif, il avait toujours mal vécu l’amitié entre Azraël et Parker car il avait craint un certain nombre de fois qu’elle ne lui vole l’affection de son ami. Cela n’avait jamais été le cas et Parker était mort sans voir son plus grand rêve se réaliser : les deux, dans la même pièce, à parler tranquillement. Aujourd’hui, la brune était devenue le symbole de tout ce qu’il avait perdu, d’une vie où il avait toujours quelqu’un vers qui se tourner quand la pression sur ses épaules devenait trop lourde à supporter. Azraël était la seule personne qui lui restait pour que Parker continue à vivre et de ce fait, lui était devenue très précieuse. « Regarde nous, deux sentimentaux en perdition » se moqua-t-il en secouant la tête de droite à gauche.

Le brun aurait tout donné pour pouvoir partir ailleurs et sûrement elle aussi mais elle avait des responsabilités qu’il n’avait pas. « Au moins une qualité qu’on ne peut pas lui reprocher » dit-il en haussant les épaules. « C’est une belle ville New York ! » rétorqua-t-il. Un choix intéressant.. pour lui, il n’y avait que la Grèce, il s’était souvent senti plus grec qu’américain, peut-être une façon pour lui de rejeter l’héritage de sa mère. Dans ce pays, il se sentait comme chez lui, pas étonnant qu’il ait fini par acheter une île pour y bâtir sa villa, véritable refuge qu’il avait sobrement appelé Parker. En attendant, il devait se concentrer sur des choses plus positives comme taquiner la jeune femme et cette équipe de basket féminin. « Tu sautes très haut ? Voyons Az’ t’es une naine… en quoi pourrais-je être jaloux ?! Et puis cette histoire d’affronter des filles, c’est ridicule ! Comme si vous pouviez nous battre »

(Invité)