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The Awake Nightmare Experience
Alexandre & Milow
Encore une nuit à déambuler dans les rues, je dors un peu plus, bien que se soit pas de mon plein gré, je fini juste par sombrer sur mes cours pour une demi-heure, une heure avant le réveille brutal, mais la nuit, je peux pas me le permettre, mon coloc à la chance de réussir à dormir et j’ai pas envie de le réveiller parce que je gueule comme un con, ou par un sanglot qui m’échapperais. Du coup, j’attends qu’il s’endorme pour me faufiler hors de la chambre histoire de pas trop éveiller les soupçons en étant ni la quand il s’endort ni là à son réveille, même si il doit s’en foutre que je découche. Bref, le petit matin montre enfin le bout de son nez, et ça me soulage, parce que les effets de l’extasie commence à sacrement se dissiper et qu’un bon café serait le bienvenue. Je laisse quand même le temps au gens d’ouvrir tranquillement, à leur place j’aimerais pas qu’on me saute à la gorge dès le matin. Donc je prends mon temps pour rejoindre le Starbuck’s, faisant un peu de lèche vitrine en fumant une clope.
Je passe la porte une heure après l’ouverture, par chance c’est désert. Je passe directement commende, pas besoin de regarder le panneau au-dessus du comptoir, je le connais par cœur. Prenant un café noir bien corsé dans la plus grande taille disponible, je balance mon nom avant même que la serveuse à l’air un peu trop remplie de pitié à mon égard me le demande. Mon regard repart direct sur mes chaussures, j’ai une sale gueule de fin de semaine, je sais, pas la peine de me le rappeler avec son regard. Sans la regarder je prends mon gobelet pour me barrer d’ici avec un peu de chance Oliver sera déjà debout et je pourrais essayer de rattraper un peu de sommeille. Me retournant, mon regard se pose sur le deuxième serveur. En une fraction de seconde mon cœur s’arrête, je lâche mon verre, je me sens vide, livide même, j’ai froid, j’ai chaud, je suis tétanisé, je tremble. J’essaie de rationaliser, ça peut pas être lui, j’hallucine, sauf que j’ai rien prit pour. Quand il se redresse, je vois son badge, son putain de prénom écrit dessus, c’est impossible, je fais une rechute. Seulement sa collègue vient le voir, lui parle, le touche. C’est lui ! Comment ? Il n’aurait jamais osé ! Je sais qu’il est capable de tout, mais de là à faire croire à sa mort ! Non, c’est impensable il me l’aurait dit, il m’aurait mis dans la confiance. Pourtant il est bien là devant mes yeux. On m’avait dit que les gens calme étaient durs à énerver mais qu’il fallait fuir quand ils l’étaient. Je pensais pas pouvoir un jour me mettre dans un tel état mais la rage monte en moi en un quart de seconde, peut-être l’exta pour le coup. Et sans réfléchir mes jambes encore flageolantes se plantent devant lui. Ma main part toute seule, même dans mon état je sens la morsure dans ma paume, tant pis pour lui, qu’il déguste. Après tout je déguste depuis des mois et lui il est là, tranquille à nettoyer ses petites tables !
Je passe la porte une heure après l’ouverture, par chance c’est désert. Je passe directement commende, pas besoin de regarder le panneau au-dessus du comptoir, je le connais par cœur. Prenant un café noir bien corsé dans la plus grande taille disponible, je balance mon nom avant même que la serveuse à l’air un peu trop remplie de pitié à mon égard me le demande. Mon regard repart direct sur mes chaussures, j’ai une sale gueule de fin de semaine, je sais, pas la peine de me le rappeler avec son regard. Sans la regarder je prends mon gobelet pour me barrer d’ici avec un peu de chance Oliver sera déjà debout et je pourrais essayer de rattraper un peu de sommeille. Me retournant, mon regard se pose sur le deuxième serveur. En une fraction de seconde mon cœur s’arrête, je lâche mon verre, je me sens vide, livide même, j’ai froid, j’ai chaud, je suis tétanisé, je tremble. J’essaie de rationaliser, ça peut pas être lui, j’hallucine, sauf que j’ai rien prit pour. Quand il se redresse, je vois son badge, son putain de prénom écrit dessus, c’est impossible, je fais une rechute. Seulement sa collègue vient le voir, lui parle, le touche. C’est lui ! Comment ? Il n’aurait jamais osé ! Je sais qu’il est capable de tout, mais de là à faire croire à sa mort ! Non, c’est impensable il me l’aurait dit, il m’aurait mis dans la confiance. Pourtant il est bien là devant mes yeux. On m’avait dit que les gens calme étaient durs à énerver mais qu’il fallait fuir quand ils l’étaient. Je pensais pas pouvoir un jour me mettre dans un tel état mais la rage monte en moi en un quart de seconde, peut-être l’exta pour le coup. Et sans réfléchir mes jambes encore flageolantes se plantent devant lui. Ma main part toute seule, même dans mon état je sens la morsure dans ma paume, tant pis pour lui, qu’il déguste. Après tout je déguste depuis des mois et lui il est là, tranquille à nettoyer ses petites tables !
Du bist ein Arschloch Alex !
J’en peu plus, la rage descend tout aussi vite qu’elle est monté, j’ai mal, les morceaux de mon cœur déjà en miettes viennent de devenir poussière. Je veux pas l’entendre, je veux pas le voir, je tourne les talons et sors sans me retourner. J’aimerais dire que l’air frais matinal me fait du bien mais je ne peux pas, j’ai l’impression d’être en plein bad, j’arrive plus à respirer, je tien plus debout. Sans rien que je sente arriver je fini par sortir le contenue de mon estomac en m’appuyant sur le mur. Faut que j’arrête, faut que je décroche de toutes ses merdes, comment j’ai pu en arriver à un tel niveau ? Parce que toute cette merde n’était qu’une hallucination, ça peut être que ça ! (Invité)