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I'm a hurricane. x Cartaël

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I'm a hurricane.
feat. Jaysaël & Carter
Tu avais été sur le cul en lisant que Jaysaël avait quitté ton cousin, tu avais rien compris parce que sérieusement, c’était n’importe quoi, tu ne comprenais tellement pas ce qu’il se passait dans la tête de ce mec. C’était pour ça que tu avais pris ton téléphone pour lui envoyer un message, pour essayer de comprendre, mais tu venais de tomber sur pire que toi, sur quelqu’un de bien trop têtu pour comprendre que ces actes étaient totalement idiots et qu’il était en train de souffrir bêtement. Tu passas ta langue sur tes lèvres, tu étais en train de te demander si c’était une bonne idée d’aller le voir ou pas. Sauf que tu étais vraiment trop en colère pour ne rien faire, en faite cette histoire prenait une tournure que tu n’acceptais clairement pas alors tu pris tes affaires avant de partir de la cabot house pour aller à la winthrop. Ça faisait un moment que tu n’avais pas mis les pieds dans cette maison, ça faisais un moment que tu n’y allais plus puisque Roman avait changé de maison, puisque tu n’avais pas beaucoup d’amis dans cette maison. Cette fois-ci c’était pour voir le président, pour voir le président qui devait être présent. Tu poussas la porte avant d’arrêter quelqu’un pour savoir où était la chambre de ce cher président. Tu pensais ensuite à ta bizut que tu avais envoyé, peut-être que ce n’était pas l’idée de l’année finalement.. Oh et puis merde, tu étais là pour ton cousin par pour ce que tu as pu faire, tu remerciais le jeune homme avant monter rapidement les marches. Encore une fois tu fis comme ci tu étais chez toi, tu étais en train de te foutre de la politesse ou quelque chose comme cela. Tu rentras dans la chambre et ne perdis pas le temps pour prendre la parole. « Tu es un idiot fini. » Ouais au cas où, tu te devais de lui redire. Il était hors de question qu’il oublie une telle chose, qu’il oublie qu’il était un idiot à tes yeux, que tu ne changerais plus d’avis sur sa personne enfin pour le moment.

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♣ I'm a hurricane ♣

J’ai tellement mal au cœur que parfois, j’aimerais qu’il cesse de battre.

Le boxon, voilà l'état de ma chambre et non, c'est pas ma faute ni même celle de Dante. Si j'arrives à chopper la personne qui s'est fait un malin plaisir de la saccager comme ça, et y foutre toutes ses conneries, je me ferais réellement un plaisir de la massacré, parce que comment dire que c'est pas le moment de me chercher... Non, ma patience à atteind ses limites il y a pas si longtemps que ça, quand j'ai apprit pour Oliver et Jonathan, même si tout le monde se plait à les défendre. La bonne blague... Bref, les texto de Carter, mes échanges enflammer avec Oliver... Ma vie est réellement devenue une vraie merde... mais soit, je fais avec et j'essaie de passer comme je peux au dessus de ça, de pas m'enfermer dans ce putain de cercle vicieux que peut être la déprime... En même temps, je crois pas qu'Elizabeth me le permettrait, elle me tombe un peu sur le système à me courir après comme ça, mais je dois avouer que ça présence à mes côtés me fait du bien... Mais soit, là, je trie les affaires, parce que je dois réussir à virer ce qui m'appartient pas d'ici avant d'entendre des putains de rumeurs, sauf que c'est... Un soutien gorge à la main que j'entends la voix de la cousine d'Oliver... Je me retourne alors. "Et je dois aller me faire foutre je sais." Lançais-je alors pour reprendre les propos de son cousin, propos qui m'ont réellement fait du mal même si je n'ai pas manqué de lui répondre assez méchamment ensuite en lui parlant de Jonathan... Enfin soit, je soupire et me détourne d'elle. J'en ai marre de m'en prendre plein la gueule pour le moment... "Tu veux quoi ?" La questionnais-je alors en envoyant valser le soutif dans un sac avant de continuer à trier les vêtements. "Je suis occupé là." Ouais, je m'occupe pour pas penser à tout ça, à ma rupture et même si je rage contre la ou les personnes qui ont fait ça, ça me fait un bien fout de penser un peu à autre chose... Et ainsi, ça me permet clairement de faire mine d'aller bien alors qu'en réalité, je pourrais me briser si facilement devant la personne en face de moi. Enfin, dans le cas présent derrière moi.


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I'm a hurricane.
feat. Jaysaël & Carter
Le bordel, voilà ce que tu avais été capable de faire, voilà en gros ce qu’il se passait dans ta tête. C’était le bordel, tu avais l’impression que tu avais tous remis en doute, ton couple, ta grossesse avec ce que tu avais pu faire avec ton cousin, avec ce que tu avais causé sans le vouloir. Tu t’en voulais, tu ne le montrais pas, mais putain qu’est-ce que tu t’en voulais d’avoir foutu une merde sans nom, d’avoir fait en sorte que l’ancien copain de ton cousin l’ait quitté. Ça ne devait pas se passer comme ça, ça n’aurait jamais dû se passer comme ça parce que putain ça avait été qu’un câlin, parce que tu ne savais pas si ton cousin avait été capable de tromper Jaysaël. Rien n’était certain, rien ne l’était et vu les réponses de Jaysaël tu te doutais bien qu’il n’ait pas pris le temps d’écouter Oliver, qu’il ne lui avait même pas dis pour son père et toi t’étais là avec ce secret, avec cette chose et tu ne savais pas quoi en faire. Tu rentras dans la chambre comme ci c’était la tienne, comme ci tu étais chez toi alors que pas du tout, tu aurais pu tomber sur tout et n’importe quoi, mais il était juste en train de ramasser le bordel que tu avais aussi causé, mais bon ça il était pas sensé le savoir et tu préférais le garder pour toi pour le moment. « Ouais et pas avec Oliver de préférence. » Aller enfonce le couteau Carter, tu étais bien trop énervée contre lui que tu avais la mauvaise habitude, la mauvaise idée de l’énerver aussi, de lui faire mal pour qu’il se rende enfin compte de sa bêtise, pour qu’il remarque ce qu’il venait de perdre à cause de son caractère de merde, il était pire que toi, vraiment et pourtant tu en tenais une couche. « Que tu arrêtes de faire l’idiot et que tu te remettes avec Oliver. » Il devait être surpris parce que tu venais de te contredire, parce que tu montrais une fois de plus que tu voulais qu’il se remette avec ton cousin malgré le fait que tu ne l’aimais pas tant que ça. Sauf que c’était de ta faute tout ça, tu finis par t’avancer vers lui pour prendre le sac et de le lancer dans la chambre, te foutant clairement où il allait finir, si ce qu’il y avait dedans resterais ou pas dedans. Là, il n’allait pas pouvoir t’échapper, comme ces stupides messages où il n’avait juste pas assumé la vérité, qu’il n’assumait pas ce qu’il se passait. « J’en ai rien à foutre, Jaysaël. Que tu sois occupé ou pas, cette fois-ci tu vas pas pouvoir prendre la fuite, tu vas un peu jouer le mec parce que j’ai l’impression de faire face à une femme là. »

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♣ I'm a hurricane ♣

J’ai tellement mal au cœur que parfois, j’aimerais qu’il cesse de battre.

Allez me faire foutre... mais pas avec Oliver... Je redresse la tête et la regarde. "Tracasse pas pour ça, je risque pas d'aller le revoir. Toute façon, il a mieux que moi maintenant." Voilà ce que je ne peux pas m'empêché de lui répondre alors qu'au fond, je sais parfaitement qu'il ne sait rien passé entre Oliver et Jonathan, sauf que l'admettre, serait admettre que je n'ai pas eu assez confiance en lui et que je l'ai quitté pour rien, au premier doute... Je continue donc de ranger, alors qu'elle me parle. "Tu te contredis, mais moi, mes propos vont resté les même." Lui précisais-je alors en continuant de ranger sans plus la regarder, parce que j'ai réellement du pain sur la planche et Dante qui ne vient pas aider. Génial. Bref, je soupire alors quand elle s'avance et envoi baladé le sac, renversant la moitié du contenu. Comme si j'avais que ça à faire ! Je pose à nouveau mon regard sur elle, cherchant à resté calme alors qu'elle ne fait que chercher à me provoquer à cet instant. J'en ai marre de jouer les montagnes russes sentimentalement et émotionnellement parlant pour le moment, alors je tente de rester zen et de ne pas répondre à ses provocations. "Tu veux que j'assume ? C'est clairement ce que je fais Carter, je m'approche plus de lui, je m'en tiens éloigné, parce que tu vois, je peux pas revenir vers lui et m'excuser pour tout ça." Lui expliquais-je alors, mot qui peut-être lui ferait comprendre que même si je ne le dis pas à voix haute, je sais que j'ai fait une putain de connerie en le quittant pour du vent, pour des mots qu'elle n'aurait jamais du me dire et que je n'aurais jamais du croire. "Et toute façon, il ne veut plus que je reviennes vers lui, je l'ai bien comprit avec les texto qu'il m'a envoyé donc fout moi la paix avec ça." ça... J'aime tellement pas parler de ma relation avec Oliver en ce terme, mais en même temps, comment pourrais-je en faire autrement maintenant qu'il ne peut plus rien avoir entre nous par ma faute... Je sais que lui courir après ne servirait à rien, qu'il m'en veut plus que de raisons... Je soupire alors. "Je te l'ai dit par texto, il n'y a plus rien à faire. Il est trop tard." Je me défile ? Je n'assume pas, c'est vrai, parce que je ne saurais pas me tenir en face de mon ex pour m'excusé parce que j'ai honte de ce que j'ai fait, de ce que je lui ai dit. Même s'il m'a trompé avec Jonathan, je n'aurais pas dû le quitter...


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Cette situation n’était clairement pas possible, du moins dans ta tête, tu n’avais jamais cru que Jaysaël aurait quitté ton cousin, jamais pour de simple parole, juste pour quelque chose qui n’était pas totalement vrai, pour quelque chose dont il n’avait pas de preuve. « Arrête putain, tu sais très bien qu’il est pas avec ce mec, qu’il se passe rien avec lui. » Tu ne savais pas si c’était pour eux ou pour toi-même, mais tu avais besoin de les revoir ensemble. C’était idiot, tu devrais pousser Oliver vers un autre chemin, loin de ce mec que tu ne pouvais clairement pas voir, mais non. C’était de ta faute, même si tu disais l’inverse, même si tu ne faisais que de dire que Jaysaël avait fait les conclusions tout seul comme un grand garçon, tu avais été une grande cause de cette rupture, tu ne pouvais pas supporter ça. Tu ne supportais pas ça, la preuve tout était remis en question dans ta vie, cette grossesse, ton couple, tout, simplement tout ce que tu avais depuis des mois. Tu ne répondis pas levant simplement les yeux au ciel ne préférant pas faire de commentaire, c’était clairement la meilleure chose à faire parce que tu ne devais pas te montrer trop méchante, tu devrais te calmer même si tu avais du mal à le faire. « La seule chose que tu assumes actuellement c’est d’être un idiot et de ne pas assumer tes putains erreurs. Ouais, tu as douté de lui au point de mettre fin à votre relation, tu as fais une connerie et ça arrive à tout le monde. Tu peux pas avoir confiance à 100% dans un couple, tu ne peux pas c’est clair, mais c’est pas pour autant que tu ne peux pas mettre ta fierté de côté pour lui dire que tu as pu faire une erreur ! Et s’il veut pas que tu reviennes c’est que tu as du lui faire du mal, je préfère même savoir ce que tu as pu faire parce que je vais juste encore plus m’énerver contre toi. » Tu passas ta main dans tes cheveux avant de reprendre, avant de reprendre la parole ne cachant pas ta colère face à ce qu’il était capable de faire, à ce qu’il se passait dans sa vie. « J’suis certaine qu’il cherche à te faire du mal comme tu es capable de lui en faire, il cherche à te faire souffrir en te disant de rester loin de lui et tu vois, j’espère que ça marche. J’espère que tu souffres malgré ta putain de connerie Jaysaël. Peut-être que tu finiras par assumer, par te rendre compte que tu es trop fier pour faire marche arrière, que ce qu’il s’est passé avec ton père est toujours présent dans ta tête et que si tu veux pas retourner vers lui ce n’est pas pour lui faire vivre cette chose. Tu vois j’ai raison t’es pas un homme, t’es qu’une mauviette parce que tu as juste peur, peur de vivre comme t’aimerais le faire et qu’après tout, l’avis de ton paternel est plus important qu’une histoire d’amour. » Tu utilisais clairement ce que tu avais contre lui, tu n’avais peut-être plus de limite à l’heure actuelle, mais tant pis. Tu savais que tu devais passer par là pour le réveiller, pour qu’il finisse par réagir et qu’il se bouge enfin pour rattraper son erreur avant qu’Oliver rencontre réellement une autre personne et ferme la page sur leur histoire.

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♣ I'm a hurricane ♣

J’ai tellement mal au cœur que parfois, j’aimerais qu’il cesse de battre.

Je soupire au mot de la blonde, parce qu'elle fait comme tout le monde, elle me rabâche ce que je sais déjà au fond, mais que je refuse d'accepter, parce qu'alors, ça voudrait dire que j'ai fait une belle connerie... D'ailleurs, j'essaie de lui faire comprendre qu'elle me dérange, sauf qu'elle ne tient pas compte et continue, parlant encore en allant même jusqu'à levé le ton sur moi... Pour me foutre un gifle psychologique en fait. Je tourne la tête vers elle, mon regard posé sur elle, plus dur, mon calme s'envolant petit à petit au rythme de ses paroles que je n'ai pas envie d'entendre, parce que je déteste cette réalité, parce que ce qu'elle est trop douloureuse, trop triste... Pourtant, j'aimerais porter mes couilles comme elle le dit, aller voir Oliver lui dire que je suis désolé, sauf que j'en suis bonnement incapable, parce que m'excuser, j'ai jamais été doué pour ça et que je ne veux pas lui laisser le loisir d'enfoncer le couteau dans la plaie en fait... Alors, j'essaie de rester loin de lui, de l'oublier petit à petit, sauf que j'en suis incapable... C'est bien pour ça que je porte autour du cou son collier, le collier qu'il a oublié quand il est venu reprendre ses affaires... Il a tout prit, sauf ça... Ce collier qui ne colle pas avec moi, après tout, je n'ai jamais été bijou, ou alors juste une petite chaîne, mais là, c'est bien différent, c'est avec pendentif et trop long pour que ça soit mon choix à moi...

"Ta gueule Carter !" Lui lançais-je alors assez vivement pour tenter de la faire taire, pour qu'elle arrête de parler, de remuer le couteau dans la plaie. "Mon père, j'ai pas reprit contact avec lui et je ne compte pas le faire ! Parce que j'ai fait mon choix et c'était Oliver. Oliver qui n'est plus dans ma vie maintenant, mais j'assumerais ce choix jusqu'au bout tu vois. Je vais pas retourner près de mon père qui a critiqué ouvertement ce qu'on était lui et moi parce que tu vois, t'as beau me voir en mal, j'ai toujours tout fait pour lui ! Alors ferme ta putain de gueule parce que tu sais pas de quoi tu parles ! Parce que tu te mêles de choses qui ne te regarde pas encore. Occupe toi de ton couple, de ton mec infidèle avant de t'occuper d'Oliver et moi alors que depuis le début, c'est ce que tu voulais non ? Qu'il ne soit plus avec moi, qu'il se trouve un autre mec. Arrête de faire genre tu te soucis de lui et de moi alors que tout ce qui t'intéresse, c'est ton petit nombril !" Elle veut m'attaquer ? Je vais lui montrer que je peux faire de même, que je ne suis pas du genre à me laisser faire même si je suis au plus bas à cause de ma rupture avec son cousin, son satané cousin que je vais pas oublié, son cousin que j'aime encore plus que de raison, mais avec qui j'ai trop merdé cette fois. "Alors maintenant, fous moi la paix et va voir ailleurs si j'y suis parce que j'ai plus rien à te dire et j'ai plus envie d'écouter tes paroles à la con. T'as assez fait de ravages comme ça dans ma vie." Je la chasse, je la mets comme bouc émissaire en partie, mais je sais qu'au fond, je suis le seul et unique responsable de ma rupture avec Oliver. "Alors va t'amuser ailleurs au lieu de continuer encore et encore à jubiler t'avoir réussi à nous éloigner Oliver et moi et arrête de faire genre tu veux qu'on se remette ensemble, parce que je suis pas le seul à me mentir là. Je refuse la réalité, mais toi, tu fais genre tu veux aider, tu veux qu'on se remette ensemble lui et moi, mais au fond, t'attends juste avec impatience qu'il m'oublie. Donc va te faire foutre pour reprendre tes mots. Et oublie moi un peu."




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« Non, je fermerais pas ma gueule. » Il pouvait clairement aller se faire foutre, ouais comme ton cousin avait été capable de dire et tu n’allais pas te laisser faire par lui, il était juste hors de question. Tu finis par te rapprocher de lui, laissant ta main finir sur sa joue, c’était clairement la remarque de trop par rapport à ton couple, par rapport à ce que tu avais pu lui dire et surtout sur ce qu’il pouvait dire sur toi alors qu’il ne te connaissait pas. « Tu veux réellement parler de mon couple ? T’attaque pas à des choses que tu ne comprends pas Scott-Castellan. Parce que le jour où tu pourrais tenir en couple, quand tu aurais quelque chose entre les jambes tu pourras ouvrir ta bouche sur mon couple, sur ce qu’il se passe dans ma vie, mais tu vois mon grand c’est pas prêt d’arriver et je compte pas à me taire sur ce qu’il se passe dans la vie de mon cousin à cause de toi. » Tu finis par le pousser déversant ta colère de cette manière tout en continuant de lui répondre, tout en lui mettant cette putain de réalité en face de ces yeux. « Arrête de te mentir putain. Tu aurais fais quoi que ce soit pour lui, tu serais en train de t’excuser à l’heure actuelle parce qu’il est mal sans toi. T’es qu’un putain d’égoïste, tu penses qu’à ta gueule parce qu’au fond de toi, t’as du mal à assumer d’aimer les hommes. Ben ouais c’est ça hein Jaysaël ? Tu as pris la première raison que tu avais pour le lâcher, maintenant c’est plus facile pour toi. Tu me redevenir celui que tu étais, tu peux baiser toutes les putes que tu veux sans te poser de question, sans te dire qu’il y a quelqu’un derrière toi qui va regarder tes actes. Depuis devenir celui que tu étais avant que tu tombes sur Oliver. » Tu lui remis une gifle après ce qu’il venait de te dire, tu n’acceptais clairement pas qu’on dise une telle chose sur toi parce que merde, ce n’est pas parce que tu ne montrais rien, que tu ne te sentais pas coupable de tout ce qui se passait autour de toi. « Je jubile ? Mais ferme ta gueule Jaysaël quand tu n’es au courant de rien, quand t’es incapable de dire quelque chose de vrai. Bien sûr que je m’en veux, jamais, jamais je t’aurais répété cette chose si je savais que tu mettrais fin à votre relation. Tu crois que j’suis heureuse là de ce qu’il se passe ? Bien sûr que je me sens coupable, je t’aurais rien dis, tu serais toujours avec lui, tu aurais peut-être toujours pas confiance, mais tu serais au moins avec lui, vous seriez au moins heureux tout les deux. » Tu te retenais clairement de crier, d’hurler pour lui montrer que tu étais loin d’être heureuse, que cette chose tu n’avais jamais cru qu’elle était possible. « Tu veux que je te dise ce qui se passe depuis que j’ai appris que tu as quitté Oliver ? Je remets tout en question dans ma putain de vie, mon couple, ma grossesse, tout ces choix que j’ai été capable de faire. Je suis loin d’être heureuse malgré que je te déteste, c’est pas ce que je vous souhaitais c’est clairement pas ce que je voulais. Mais j’en suis à me dire que tu mérites tout ça, que tu mérites d’être malheureux et de voir la personne que tu aimes tourner la page et aller vers une autre personne. Tu mérites tout ce mal, tu ne mérites même pas qu’on essaye de faire quelque chose pour arranger les choses, tu mérites pas que je me sente coupable pour quelque chose que je n’ai pas fais en soit, tu mérites pas qu’il soit malheureux pour toi et ouais, je crois que tu le mérite pas. » Tu le regardais dans les yeux en disant ça, tu te foutais de ce qu’il pouvait faire, tu te foutais il pouvait même te frapper, mais tu n’allais certainement par te taire, il en était juste hors de question.

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J’ai tellement mal au cœur que parfois, j’aimerais qu’il cesse de battre.

Sa main sur ma joue, je reste surpris par son geste un instant, ne pensant réellement pas qu'elle allait m'en coller une de la sorte... Je la regarde et inspire profondément en écoutant ses paroles, ses attaques encore. "Arrête de parler de ce qui ne te regarde pas aussi alors ! Tu piges rien à ce qu'il se passe alors fermes ta putain de gueule Carter ! J'en ai marre de t'entendre ! Chaque fois que  tu débarques tu fous ta merde et ça j'en ai marre ! Tu t'es pas dit que peut-être Oliver, il serait aussi bien mieux sans toi et moi dans sa vie ?" Je me tackle tout seul, n'est-ce pas beau ça ? Mais je l'attaque aussi au passage, l renvoyant au même niveau que moi, au niveau de nuisible pour le lowell... L'artiste que l'on affectionne pourtant tout les deux, fortement, mais de façon bien différente. Elle me pousse alors, se créant une vérité à mon sujet, par rapport à ma relation avec Oliver... Je l’attrape alors par les épaules pour qu'elle arrête de me pousser, avant de me retrouver coincé entre elle et le mur. Et là, elle me gifle à nouveau... La joue rouge, mon regard haineux posé sur elle. "J'assume pas aimé Oliver ? Mais ferme là ! J'assumerais pas, je l'aurais quitté par Texto quand ça à commencé à chauffé avec mes parents. Je porterais pas ce tatouage." Lui lançais-je en tirant sur le col de mon t-shirt pour lui montrer ce tatouage que l'on arbore tout les deux depuis le temps des fêtes, ce tatouage que je lui ai offert, que l'on s'est offert, qui nous uni.... Geste qui laisse également voir un morceau de la chaîne du collier de mon ex."J'aurais rien fait pour être associé à lui ! J'aurais jamais officialisé notre relation ! Parce que tu sais quoi ? Il m'a dit qu'il pouvait resté dans l'ombre, qu'il acceptait d'être après Lottie." Lui précisais-je alors, chose qu'elle ne devait pas savoir. "J'ai planté Lottie pour lui ! Lottie tu vois, la fille avec qui j'aurais du me marier hein ? Ou ça te dit rien, parce que tu penses trop que je suis un connard qui n'assume pas aimer ton cousin ?" Je m'emballe, m'énerve, haussant le ton sur elle. Je n'aurais jamais imaginé lancé le sujet sur Lottie, parler d'elle à nouveau alors que je me sens toujours responsable de son accident de voiture...

"D'autre me l'aurait répété ! Mais toi, fait pas genre que quand t'es venues me le dire, t'avais pas pensé à cette éventualité. Je sais très bien que tu m'apprécies pas. Alors, putain, arrête de faire genre que t'avais pas pensé à ça ! Parce qu'au fond, c'est ce que tu veux depuis des mois, qu'il se détourne de moi et se trouve quelqu'un de mieux." Lui lançais-je alors, parce qu'au fond, c'est ce qu'elle m'avait bien fait comprendre et qu'elle ne cessait de sous-entendre dans ses paroles qu'elle m'adressait encore maintenant. Il méritait mieux... Et là, elle le dit clairement et je détourne la tête, serrant le poing pour l'écraser contre le mur. "J't'ai pas demander de m'aider, alors me reproche pas tout ça. Je t'ai rien demandé alors dégage. Fermes ta gueule !" Vulgaire, je le suis réellement là, à lui parler comme ça, à lui manqué dans un sens de respect mais ne fait-elle pas la même depuis le début ? J'ai toujours été calme quand elle m'attaquait, me faisait des reproches quand on se voyait, comme quand elle avait débarqué pendant notre beerpong entre rouge, mais là, je peux pas cautionné tout ça, je veux pas l'entendre dire, je veux pas que ses mots m'atteignent comme ça, parce qu'au fond, c'est la vérité, une putain de vérité qui fait mal.



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Tu éclatas de rire ne pouvant pas faire autrement, tu éclatas juste de rire parce que putain sa connerie était grande là, tu ne pouvais pas dire l’inverse. « Je fou la merde ? Je me suis jamais mêlée de votre couple, j’ai jamais rien fait pour que vous vous quittiez alors ferme là Jaysaël. Arrête de rire que je fou la merde alors que tu fous la merde tout seul comme un grand garçon, si t’es pas capable d’assumer tes actes tant pis pour toi, c’est ton problème et pas le mien. Il serait mieux sans toi, arrête de nous mettre tout les deux dans la même sac alors que ce n’est clairement pas le cas. » C’était la première erreur que tu faisais pour faire du mal à Oliver et ça depuis 20 ans que vous étiez dans la même famille, depuis qu’il te connaissait tu n’avais rien fait pour lui causer de la peine et ça, le semblant d’homme en face de toi ne pouvait pas dire la même chose. Alors ouais il ne fallait mieux pas pour lui de vous mettre tout les deux aux mêmes niveaux, tu ferais toujours partie de sa famille ce qui n’était pas le cas pour Jaysaël mais bon tu gardais cette chose pour toi, tu te gardais de dire cela pour lui faire encore plus de mal parce que ça serait le cas, tu le savais. « Non t’assumes pas ! Tu te caches derrière cette rupture, tu fais simplement croire que c’est une bonne chose de plus être avec lui pour aller coucher avec tes putes. Mais t’as raison, c’est comme ça que tu montres que tu l’aimes, bravo franchement il faudrait presque qu’on t’offre la médaille du pire connard que peut avoir la winthrop. En plus t’es le président, putain mais t’es un bon exemple Jaysaël continue comme ça. » De toute manière c’est pas comme ci tout les mecs de cette fraternité était réellement des anges, c’était clairement l’inverse et ça, tu le pensais depuis toujours, depuis que tu connaissais Roman pour être honnête. « J’ai pas besoin de trop le penser vu que c’est le cas parce que tu fais tout pour ne plus être associer avec lui et j’suis certaine d’avoir raison, j’suis certaine que tu te caches seulement derrière ton manque de confiance et le manque de confiance que tu as envers Oliver pour te dire que c’était une bonne chose de le quitter. » Tu le regardais, tu le regardais toujours sans détourner le regards, prenant ce qu’il te disait et ne faisant pas réellement attention. Tu pensais réellement ce que tu disais, tu te fichais de ses explications, tu te fichais du reste parce que tu étais trop en colère, trop en colère contre lui pour faire attention à ses mots ou même à tes mots. Puis sans le comprendre ta main partait sur sa joue une nouvelle fois, peut-être que ça allait lui remettre les idées en place. Tu poussas ses mains de ton corps avant de le pousser une dernière fois. « Je t’ai dis pourquoi j’ai fais une telle chose, je t’ai expliqué le pourquoi du comment mais je l’aurais jamais fais si c’était pour que tu le quittes, pour que tu fasses ça. T’avais le droit de le savoir, c’est juste la vérité, tu avais le droit de savoir ce qu’il se passait, mais j’pensais pas que tu ferais ça. Puis ton information, je me mêle pas du couple de mon cousin, s’il est heureux avec toi soit. Je m’en fiche, c’est pas parce que je te supporte pas que je veux le voir malheureux. Il doit bien voir quelque chose de bon en toi pour être avec toi et je contente seulement de cette chose. » La prochaine tu réfléchiras à deux fois avant de parler, avant de dire quelque chose alors que tu ne savais rien, il ne te connaissait pas. Tu en avais marre, ouais tu étais juste fatiguée de te retrouver devant ce mec pourtant tu te rapprochais de lui pour mettre la main sur le collier et le tirer. S’il pensait que tu avais raté cette chose, que tu ne savais qu’il était à Oliver il pouvait toujours courir. « Je préfère partir avant de commettre un meurtre, mais tu sais quoi j’espère que tu seras malheureux Jaysaël. » Tu finis par tourner les talons pour prendre la porte de sortie, pour te casser parce que de toute manière parler était impossible, la colère était trop grande entre vous deux pour avoir une conversation constructive.

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J’ai tellement mal au cœur que parfois, j’aimerais qu’il cesse de battre.

"Et là ? Là, tu as rien fait peut-être ? Tu t'es pas mêlé de notre histoire hein ? Laisse moi rire Carter ! Parce que c'est encore ce que t'es entrain de faire !" J'ai raison là et il serait temps qu'elle regarde les choses en face pour réaliser qu'elle fait réellement ça, se mêler de notre histoire à Oliver et moi...
J'entends alors ses paroles, ses mots... "C'est comme ça que tu me vois donc ? Comme un pauvre type qui pense qu'à baiser ? Putain Carter, j'ai couché avec personne ! J'compte pas le faire ! T'entend ça ? Personne !" J'insiste bien sur le personne, parce que depuis notre rupture, je n'ai couché avec personne, parce que je n'en ai pas envie, parce que c'est de lui que je rêve encore, ou plutôt dont je cauchemardes sans cesse, l'imaginant dans les mêmes draps que l'Eliot ou alors m'appelant Jonathan au lieu de Saël... Combien de fois je me suis pas réveille les larmes coulant sur mes joues à ces images trop ancrées, trop destructrices. Il est vrai que je pourrais couché avec une fille ou l'autre, j'ai le choix pour ça, c'est clairement pas les filles qui manquent, sauf que je veux pas... Parce que c'est pas lui... Je devrais arrêter de faire une fixette sur lui étant donné qu'il va passer à autre chose, trouver quelqu'un de mieux que moi, comme le dit si bien la cabot.
Je secoue alors la tête quand elle me dit que c'est qu'une excuse... Je me fais alors violence pour la regarder dans les yeux et reprendre ses mots. "Il sera bien mieux avec un autre que moi. Il trouvera un mec qui n'est pas le pire des connards comme tu l'as si bien dit." J'en crève de dire ses mots, ça fait mal, tellement... Je déglutis alors difficilement ravalant mes larmes pour ne pas éclater en pleurs une nouvelle fois devant elle, pour ne pas pleurer de rage, de tristesse, pour ne pas laisser évacuer tout ça...

M'apprêtant alors à réagir à ses propos, je la vois attraper la dernière chose qu'il me reste de lui, son collier et commencé à tirer dessus. Mon geste est alors rapide et je l'empêche de me l'arracher du cou. "Touche pas à ça !" Un ton menaçant, je la fusille du regard, si elle croit que je souffre pas de cette histoire, que je me prends pas la tête, elle se trompe, mais là, elle me privera pas de la dernière chose qu'il me reste de lui... ce collier... Je sais qu'au fond, je devrais lui laisser me le reprendre, je ne devrais pas me la jouer sentimental comme ça, mais en même temps, je peux pas faire autrement, parce que je veux encore me rattacher à lui d'une certaine façon... Je lui rendrais quand ça ira mieux pour moi... Même si c'est égoïste de ma part d'agir comme ça, parce que c'est quand même à lui... Mais j'en ai besoin pour l'instant... Bien que ça soit en réalité plus nocif qu'autre chose parce que tant que je le porterais autour du coup, je continuerais d'espérer qu'il se passe à nouveau quelque chose entre lui et mois... Le truc le plus impossible du monde, surtout en vue de comment c'est entre nous maintenant... Il doit me Haïr et je lui en donne raison.




Rei©
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