Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitysometimes the best meets are the most hazardous (Mira)
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sometimes the best meets are the most hazardous (Mira)

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Il faisait beau en cette jolie après-midi printanière, t'avais décidé d'aller prendre l'air, d'oublier tous tes soucis du moment et d'aller au Lord Hob, t'aérer l'esprit.
T'avais marché une bonne trotte vers le bar, sans objectif précis à cette journée, t'avais juste envie de te changer les idées, toutes ces histoires t'avaient vraiment trop soûlé.
Le Spring Break t'avais retourné la tête, t'étais bien mais certains événements t'avaient trop fait réfléchir. Tu te sentais trahi, perdu et ton côté froid refaisait surface ces derniers-temps, car tu te sentais blessé. T'allais comme d'habitude te bourrer la gueule, en rigoler, draguer tout ce qui bougeait, et ça pendant des semaines, jusqu'à ce que t'ailles mieux. Mais t'irais jamais mieux le problème, c'était toi tout craché, tu buvais pour pouvoir profiter de la vie, de la chance que t'avais jamais eu, de l'amour et du bonheur qui ne t'avait pas été profitable depuis ta plus tendre enfance. Tu regrettais beaucoup de choses en ce moment, t'étais plus toi-même.

T'entras alors dans ce bar, t'allais commander un alcool fort et peut-être quelques autres verres. Ton côté Mather surgissait d'un coup de ton âme, tu devais boire, comme un besoin insensé de boire pour être mieux, t'es pas addictif à tout ça, non, mais putain qu'est-ce-que ça te rendait bien. C'était clairement la définition de la vie idéale, le sourire toujours sur tes lèvres, le rire l'accompagnant, de belles rencontres et pas de querelles pendant une soirée, une liberté extrême fort plaisante, t'aimais ce sentiment, t'y renoncerais pour rien au monde.

T'arrivas déjà dans l'endroit où était ce fameux Lord Hobo, tu rentras dans le vieux bâtiment et te rendis au fond de la salle où le bar y demeurait. Prêt à oublier tes problèmes, tu te commandas un verre de rhum, prêt à te noyer dans la déprime.  

@Mira J. Hudson
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Je n’ai pas encore remis les pieds au Lord Hobo, pas depuis ce qui s’est passé après le Spring Break . Je ne suis même pas venu récupérer mes affaires, Jay l’ayant fait pour moi. C’était au-dessus de mes forces de revenir dans cet endroit, de revoir les scènes dans mon esprit. Le simple fait de passer devant l’enseigne, me donne la chair de poule. Si je lui avais simplement dit oui, que je l’avais laissé entrer dans le bar, malgré la fermeture, que je lui aurais servi son verre comme il me l’a demandé, rien de tout ça ne serait arrivé… ou peut-être que si, je n’en sais rien, et je n’ai pas vraiment envie de me poser la question. Mais le simple fait de rester cloitrer chez moi me rend mal à l’aise. J’ai besoin de bouger, de sortir et de voir du monde. En passant une nouvelle fois devant mon lieu de travail je prends une profonde inspiration et pousse finalement les battants de la porte. L’ambiance du bar m’est de suite familière, et me fait légèrement sourire sur le coup. Malgré l’absence d’une serveuse/ barmaid, le bar n’est pas vide pour autant. Je ne vois pas de nouvelle tête du côté du personnel, signe que le patron a tenu sa promesse et n’a embauché personne pour me remplacer, me gardant la place au chaud quand j’irai mieux. J’avance en me faufilant entre les tables, jusqu’au bar, où j’adresse un sourire à ma collègue qui vient me saluer. « je vais juste prendre un coca ma belle… » lui dis-je. Prendre juste un verre pour me réhabitue doucement que cet endroit est un endroit de rencontre, de sérénité, et non le lieu de mon agression. Je récupère ma bouteille en verre de coca, laisse un billet à ma collègue pour la payer avec un petit pourboire. Je bois une gorgée de minutes soda, constatant rapidement qu’ils sont assez débordés. « tu veux que j’aille amener cette commande » lui demandai-je en la voyant préparer un verre de rhum. Elle hoche rapidement la tête, soulagée, m’indiquant le client à qui je dois l’apporter. Je pose ma bouteille en verre de coca sur le plateau, me lève du tabouret du comptoir et part à la rencontre du jeune brun. « Et voilà votre verre. , je peux m’incruster avec vous ? »
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