Invité
est en ligne
Invité
alexandre christian
chevalier
chevalier
feat charlie heaton
id card
1# WINTHROP.
J’ai toujours eu un fort esprit de camaraderie envers les amis avec qui j’ai grandi. Fils unique, ma bande de potes à Paris remplissait à merveille le rôle d’une grande fratrie. C’est pour ça que la Winthrop House semble un choix évident pour moi. En y entrant, j’aurais l’impression de retrouver ce même esprit de solidarité, de groupe soudé avec qui faire la fête, s’amuser, mais sur qui on peut également compter à tout moment en cas de problème. C’est comme si la sororité devenait une immense bande de frères. C’est dans cet esprit là que j’ai envie de vivre à Harvard, et je crois que seule les Winthrops pourront vraiment me l’offrir.
2# MATHER.
Si j’avais à me rabattre sur un second choix, ce serait certainement celui de la Mather House. Pourquoi? Ce goût prononcé pour la fête, les plaisirs, et également pour une certaine liberté expliquent ma décision. J’ai l’habitude de faire la fête, et j’aime faire ça dans les règles de l’art, et non pas dans la demi-mesure. C’est ce que la Mather House à l’air de prôner. Ici encore je sens dans la sororité un fort esprit d’entraide, les membres y sont unis et chaque individu du groupe participe au tout. J'y retrouve cet esprit dont j'ai besoin, et côtoyer des personnes qui partagent mon sens de la fête ne pourra pas me faire de mal, bien au contraire. Oui, je crois que je me sentirais bien avec les Mathers.
J’ai toujours eu un fort esprit de camaraderie envers les amis avec qui j’ai grandi. Fils unique, ma bande de potes à Paris remplissait à merveille le rôle d’une grande fratrie. C’est pour ça que la Winthrop House semble un choix évident pour moi. En y entrant, j’aurais l’impression de retrouver ce même esprit de solidarité, de groupe soudé avec qui faire la fête, s’amuser, mais sur qui on peut également compter à tout moment en cas de problème. C’est comme si la sororité devenait une immense bande de frères. C’est dans cet esprit là que j’ai envie de vivre à Harvard, et je crois que seule les Winthrops pourront vraiment me l’offrir.
2# MATHER.
Si j’avais à me rabattre sur un second choix, ce serait certainement celui de la Mather House. Pourquoi? Ce goût prononcé pour la fête, les plaisirs, et également pour une certaine liberté expliquent ma décision. J’ai l’habitude de faire la fête, et j’aime faire ça dans les règles de l’art, et non pas dans la demi-mesure. C’est ce que la Mather House à l’air de prôner. Ici encore je sens dans la sororité un fort esprit d’entraide, les membres y sont unis et chaque individu du groupe participe au tout. J'y retrouve cet esprit dont j'ai besoin, et côtoyer des personnes qui partagent mon sens de la fête ne pourra pas me faire de mal, bien au contraire. Oui, je crois que je me sentirais bien avec les Mathers.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Le 17 janvier 2015… Je m’en souviens oui, ça me parait tellement loin. J’ai l’impression que j’étais tellement plus jeune, insouciant. Ca me revient : j’étais devant la télé, je regardais ma série du moment - impossible de me souvenir laquelle - et là, flash info : prise d’otage sur le campus de la prestigieuse université d’Harvard. Certains ont du oublier les évènements, surtout depuis l’Europe où cela nous paraît si loin. Mais mon projet d’aller étudier là bas était déjà bien ancré dans ma tête et j’ai tout de suite été frappé par la nouvelle. Il m’a fallu quelques secondes pour basculer sur une chaîne d’info pour suivre l’évolution de la situation. J’ai été marqué pendant un moment oui, ça m’a fait une drôle de sensation de me dire que là bas aussi, ce genre de choses arrive. Le truc, c’est que ça peut arriver n’importe où, que je sois à Harvard où à Paris, donc ça n’a en rien ébranlé ma détermination. Mais ça reste le genre de souvenirs un peu désagréable que je préfère éviter de ressasser, ils me donnent encore un peu froid dans le dos quand j’essaye d’imaginer ce que ces étudiants ont pu vivre.
Le 17 janvier 2015… Je m’en souviens oui, ça me parait tellement loin. J’ai l’impression que j’étais tellement plus jeune, insouciant. Ca me revient : j’étais devant la télé, je regardais ma série du moment - impossible de me souvenir laquelle - et là, flash info : prise d’otage sur le campus de la prestigieuse université d’Harvard. Certains ont du oublier les évènements, surtout depuis l’Europe où cela nous paraît si loin. Mais mon projet d’aller étudier là bas était déjà bien ancré dans ma tête et j’ai tout de suite été frappé par la nouvelle. Il m’a fallu quelques secondes pour basculer sur une chaîne d’info pour suivre l’évolution de la situation. J’ai été marqué pendant un moment oui, ça m’a fait une drôle de sensation de me dire que là bas aussi, ce genre de choses arrive. Le truc, c’est que ça peut arriver n’importe où, que je sois à Harvard où à Paris, donc ça n’a en rien ébranlé ma détermination. Mais ça reste le genre de souvenirs un peu désagréable que je préfère éviter de ressasser, ils me donnent encore un peu froid dans le dos quand j’essaye d’imaginer ce que ces étudiants ont pu vivre.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Un souvenir un peu plus frais. Là aussi, tout reste vague et lointain. Difficile de se rendre compte de la réalité des choses quand on apprend les évènements à des milliers de kilomètre, au travers d’une blonde bien apprêtée derrière son écran de télévision. Mais oui, je me souviens de la catastrophe au Chili et j’avais entendu dire que les étudiants d’Harvard avaient été touchés. Ca a également secoué quelque chose en moi, mais dans une moindre mesure que la prise d’otage. Ma philosophie, c’est qu’il ne faut pas avoir peur de vivre, de bouger : on peut aussi bien être victime d’un séisme au Chili que se faire renverser par une voiture en traversant une rue de Paris. Ce qui doit arriver arrivera, mais ça n’a pas du être facile à vivre pour tous ces étudiants en voyage.
Un souvenir un peu plus frais. Là aussi, tout reste vague et lointain. Difficile de se rendre compte de la réalité des choses quand on apprend les évènements à des milliers de kilomètre, au travers d’une blonde bien apprêtée derrière son écran de télévision. Mais oui, je me souviens de la catastrophe au Chili et j’avais entendu dire que les étudiants d’Harvard avaient été touchés. Ca a également secoué quelque chose en moi, mais dans une moindre mesure que la prise d’otage. Ma philosophie, c’est qu’il ne faut pas avoir peur de vivre, de bouger : on peut aussi bien être victime d’un séisme au Chili que se faire renverser par une voiture en traversant une rue de Paris. Ce qui doit arriver arrivera, mais ça n’a pas du être facile à vivre pour tous ces étudiants en voyage.
TON ADMISSION A HARVARD
Très tôt j’ai monté ce projet monstrueux dans ma tête, un projet qui pour un humble lycéen parisien peut paraître fou : étudier à Harvard. D’aussi loin que remonte mes souvenirs je brûlais de désir d’atteindre cet objectif, et j’ai tout mis en oeuvre pour y parvenir. Dès le collège déjà j’ai essayé d’approcher la perfection du mieux que je le pouvais, jusqu’à décrocher mon bac avec brio. Ma mère est née au Royaume-Uni, l’anglais est sa langue natale et je l’ai apprise en même temps que le français, il n’y a donc pas eu de barrière quant à la langue. J’ai du passer toute une série d’examens comme les SATs où j’ai obtenu le score de 2274. En ce qui concerne la dissertation, j’ai surtout appuyé sur ce désir d’étudier qui brûle en moi depuis longtemps, ainsi que sur la passion que j’éprouve pour le droit. C’est là que le projet à commencer à se concrétiser. Après tout s’est vite enchaîné : remplir de longs dossiers, les envoyer, attendre.. Jusqu’au jour où en ouvrant une simple enveloppe, j’ai eu le graal entre les mains : ma lettre d’admission à Harvard.
Très tôt j’ai monté ce projet monstrueux dans ma tête, un projet qui pour un humble lycéen parisien peut paraître fou : étudier à Harvard. D’aussi loin que remonte mes souvenirs je brûlais de désir d’atteindre cet objectif, et j’ai tout mis en oeuvre pour y parvenir. Dès le collège déjà j’ai essayé d’approcher la perfection du mieux que je le pouvais, jusqu’à décrocher mon bac avec brio. Ma mère est née au Royaume-Uni, l’anglais est sa langue natale et je l’ai apprise en même temps que le français, il n’y a donc pas eu de barrière quant à la langue. J’ai du passer toute une série d’examens comme les SATs où j’ai obtenu le score de 2274. En ce qui concerne la dissertation, j’ai surtout appuyé sur ce désir d’étudier qui brûle en moi depuis longtemps, ainsi que sur la passion que j’éprouve pour le droit. C’est là que le projet à commencer à se concrétiser. Après tout s’est vite enchaîné : remplir de longs dossiers, les envoyer, attendre.. Jusqu’au jour où en ouvrant une simple enveloppe, j’ai eu le graal entre les mains : ma lettre d’admission à Harvard.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Blossom et j'ai 17 ans . Je suis français et j'ai connu le forum grâce à un top site dont je ne me souviens plus... . J'ai rarement vu un forum RP aussi complet, attrayant et vivant alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Charlie Heaton comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ugly-cherry (tumblr) . Je fais environ une vingtaine de lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé .
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Feldt Crossroad
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Feldt Crossroad
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7268]►[/url] ► <span class="pris">CHARLIE HEATON</span> “ Alexandre C. Chevalier ”[/size]
(Invité)