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One more bullet, one! ‡ ft. Lisbeth

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One more bullet, one!

feat. Giulia M. Scorsese & Lisbeth Larsson
"There's a light sound that comes around, like a raven in-" "Allô ?" fit Giulia en posant sa manette sur le coussin à côté d'elle. Elle avait joué sur la play toute la matinée et il était bientôt l'heure de déjeuner. Elle aurait sûrement fait une pause pour commander à manger à la fin de sa partie, donc se faire interrompre maintenant était sans importance. Le nom de Lisbeth sur son écran l'avait tout de même interpellée, d'où son ton légèrement surpris en décrochant. La Suédoise lui expliqua très sommairement qu'elle était en convalescence chez un ami à elle. Après les révélations de la semaine précédente, Giulia ne fut même pas si surprise que ça ; en fait, elle se sentait désolée que sa sex-friend se soit encore blessée, et une grande curiosité sur la façon dont c'était arrivé émergeait en elle. Elle se retint de poser toutes ses questions au téléphone et abrégea l'appel en promettant d'arriver dans la demi-heure suivante.

Après un coup de shampoing sec et un passage de mascara sur les cils, l'Italienne enfila ses baskets, sa veste et sortit de la résidence. Elle entra l'adresse que lui avait donnée Lisbeth sur google maps, et se rendit compte que l'endroit n'était qu'à quelques rues au nord : elle irait en marchant, il faisait bon et un bar à sushis se trouvait en chemin. Elle s'y arrêta et commanda assez pour elle et Lis', en pensant que si cette dernière n'aimait pas, elle pourrait garder sa part. Pendant l'attente, elle consulta à nouveau les derniers textos avec sa sex friend et bloqua sur le nom de l'ami en question. Maverick. Elle se demanda s'il s'agissait du même gars qu'elle avait rencontré à la salle de sport le week-end précédant, étant donné qu'elle ne voyait pas ce nom tout les jours. Haussant les épaules, elle se dit qu'elle vérifierait sur la boîte aux lettres.

M. Horvath, en capitales blanches, sur le clapet. Effectivement, elle se rendait bien chez lui. Quelle coïncidence ! Elle monta les étages à pied et appuya sur la sonnette, se demandant dans quel état elle allait trouver l'étudiante, et même si elle serait en état de lui ouvrir la porte. Affamée, elle piocha un chips à la crevette qui aspire la langue de son sac plastique. ~


@Lisbeth Larsson Tadaaa !
@Maverick Horvath On squatte chez toi One more bullet, one! ‡ ft. Lisbeth 3997999705
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Giulia & LisbethOne more bullet, one!
Les journées s’écoulaient tantôt lentement, tantôt rapidement. Ce matin fut tout de même différent de tous les autres. Lisbeth se réveilla la première, ayant une nouvelle fois mal dormi. La douleur due à ses changements de position inconscients de la nuit y était pour quelque chose, mais pas seulement. Lisbeth ne cessait de faire ces mêmes cauchemars : soit elle se retrouvait à l’hôpital psychiatrique de son adolescence en train de subir ces mauvais traitements dont elle avait été victime, soit elle se revoyait dans cette ruelle sombre en train de se faire tirer dessus. Elle se réveillait à chaque fois en sueur et complètement paniquée, la douleur à son épaule gauche lui vrillant le crâne. De plus, elle avait cette drôle d’impression que quelqu’un surveillait l’appartement depuis dehors. Elle se levait à chaque fois doucement, pour ne pas réveiller Maverick, et se dirigeait au salon où elle scrutait le paysage par la baie vitrée. Mais elle n’y voyait rien malgré les lumières de la ville. Cette nuit, la jeune suédoise n’échappa pas à ces mésaventures. Et, une fois le matin venu, elle se dit qu’elle devait vraiment se changer les idées. Une nouvelle fois, Maverick repoussa un de ses entraînements et Lisbeth le força à s’y rendre cette fois. Après tout, il vivait en partie du sport qu’il pratiquait alors il devait y aller. Elle le rassura à de nombreuses reprises : elle arriverait à se débrouiller et, au pire des cas, elle l’appellerait. Le jeune homme finit par céder et, vers onze heures, Lisbeth se trouvait seule dans le spacieux appartement.

La galère commença. Déjà pour s’habiller, elle prit pas moins de vingt minutes. Comme à chaque fois, la Suédoise entrait dans une colère noire, pestant contre son épaule meurtrie, contre son agresseur, contre le destin qui ne la gâtait vraiment pas. Mais elle y arriva, comme toujours. Elle sortit de la salle de bain comme si elle venait de quitter un champ de bataille et elle alla chercher son téléphone. Il fallait qu’elle voie Giulia, ne serait-ce que pour voir un autre visage amical. Après son entrée à l’hôpital, une fois qu’elle avait quitté les soins intensifs, elle lui avait écrit pour l’avertir de sa mésaventure. Elle avait insisté sur le fait qu’elle ne voulait pas recevoir de visite, préférant que personne ne la voie dans cet état. A part Maverick. Giulia avait respecté son désir et Lisbeth lui en était reconnaissante. Elle lui avait donné des nouvelles tous les jours et aujourd’hui, elle lui demanda si elle voulait bien passer chez Maverick pour qu’elles déjeunent ensemble. Quand sa sex-friend lui répondit qu’elle arrivait dans une demi-heure, Lisbeth se dit qu’elle était contente de s’être déjà habillée.

L’appartement était propre et rangé. La jeune femme sortit deux verres qu’elle déposa sur la table basse du salon : elle attendrait de savoir ce que Giulia voulait boire pour sortir le stock du réfrigérateur. Comme il restait environ dix minutes avant l’arrivée de son amie, Lisbeth décida d’utiliser ce temps pour se maquiller. De son bras valide, elle arriva à obtenir un résultat plus que satisfaisant. Eye Liner et mascara noirs. Simple mais efficace, et surtout très Lisbeth. Elle oublia le fard à paupières car elle aurait pris dix minutes supplémentaires. Quand la sonnerie de la porte retentit, la Suédoise sortait de la salle de bain, aussi fraîche qu’elle pouvait l’être. Elle alla lui ouvrir et son apparence avait de quoi rassurer sa sex-friend. Lisbeth était certes un peu plus pâle que d’habitude et semblait avoir perdu un peu de poids. Des cernes soulignaient également ses yeux, preuve de son manque de sommeil. Mais à part ça, elle semblait être comme d’habitude, à l’exception du pansement visible sous la fine bretelle de son débardeur noir.

« Entre. Tu as trouvé facilement ? »

Lisbeth avait eu le temps de se repérer et savait que son sex-friend n’habitait pas bien loin d’ici. Elle s’écarta pour la laisser entrer et ferma la porte derrière elle. Elle la guida dans la cuisine et remarqua le sac en plastique que Giulia portait.

« Tu as amené le déjeuner ? »


Elle avait eu dans l’idée qu’elles se commanderaient quelque chose car elle était incapable de cuisiner correctement, aussi bien à cause de sa blessure que de ses talents culinaires. Lisbeth sourit à Giulia et décida de sortir les assiettes. Grand bien lui fasse : elle surestima sa force et n’eut d’autre choix que d’utiliser son bras douloureux pour éviter de faire tomber les assiettes. Une violente douleur l’assaillit et elle eut juste le temps de déposer les assiettes sur le comptoir. Elle s’y agrippa et prit une grande inspiration.

« Bon, ça commence bien… »

Elle porta sa main à son épaule et grimaçait de douleur. Elle s’était retenue de prononcer toutes sortes de noms d’oiseaux mais elle bouillonnait de rage. Elle finit par se calmer et se reprit : tant que sa blessure ne se rouvrait pas, déjà qu’elle était bien infectée et que la cicatrisation était plus que lente. Il ne fallait pas empirer les choses plus que tant.

« Qu’est-ce que tu as amené de bon ? »
©️ 2981 12289 0

@Giulia M. Scorsese One more bullet, one! ‡ ft. Lisbeth 1001568715
@Maverick Horvath On promet de ne rien casser One more bullet, one! ‡ ft. Lisbeth 2474380249
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One more bullet, one!

feat. Giulia M. Scorsese & Lisbeth Larsson
Elle avait à peine eu le temps d'enfourner l'énorme chips dans sa bouche que la porte s'ouvrit devant elle. Esquissant un sourire déformé par sa mastication accélérée, elle se glissa dans l'appartement, non sans avoir dévisagé son hôte. Lisbeth était debout, elle avait ouvert, elle ne semblait pas boiter : voilà qui était rassurant. Elle avait l'air fatiguée, mais avant de remarquer les cernes sous ses yeux, Giulia se fit la réflexion que sa presque absence de maquillage la changeait beaucoup. On reconnaissait encore les traits inexpressifs de l'informaticienne, mais le côté sombre que le fard à paupières apportait habituellement à son regard était absent. Elle avait l'air plus femme. Plus banale. C'était souvent le cas, avec les gens abordant un style vestimentaire bien développé au quotidien : quand ils le quittaient, il y avait comme un vide, impossible de voir exactement la même personne en face de soi. Enfin, peut-être que ça l'était, pour certaines personnes, mais Giulia était juste vraiment focalisée sur les apparences.

"Oui, enfin c'est plutôt mon tel qui a trouvé quoi" répondit l'Italienne en déposant celui-ci et les sushis sur la table de la cuisine. Giulia tourna sur elle même pour contempler l'appartement. La lumière lui plaisait ; les rayons du soleil, généreux, semblaient entrer d'une traite dans la pièce, lui donnant un bain de beau temps. Elle entendit un bruit de vaisselle claquer contre le comptoir, suivie d'une plainte bougonne. La blessure devait être au niveau d'un des bras, ou de l'épaule. Giulia rejoigna sa sex friend derrière la table, la poussa légèrement sur le côté pour prendre sa place, lui disant de la laisser faire. Elle plaça les assiettes sur le comptoir et brandit une des boîtes de sushis sous le nez de l'étudiante, comme celle-ci était curieuse. "T'aimes bien ? Moi j'aime bien en tout cas.". Elle déversa son contenu dans une des assiettes et s'adossa au mur, face au salon. "Tu sais quoi ? Je le connais, le mec qui vit ici. Mais bon, c'est pas le plus important. Tu vas me dire ce qu'il s'est passé d'abord, non ?". Elle avait soulevé un sourcil, et apporté un sashimi à sa bouche. ~
© charney for ilh


@Lisbeth Larsson
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Giulia & LisbethOne more bullet, one!
Pour s’être fait mal, Lisbeth n’avait pas raté son coup ! Ayant présumé de ses forces, elle se mordait la lèvre pour ne pas gémir de douleur. Elle prit une grande inspiration et se calma peu à peu. Elle avait laissé la place à Giulia pour qu’elle dispose les assiettes sur le comptoir. La jeune femme se redressa bientôt et avisa les boîtes de sushis. Si elle aimait ça ? Il ne fallait pas lui mettre un plat de poisson sous son nez car il finissait droit dans son estomac ! Elle n’était pas du Nord pour rien.

J’adore, tu veux dire ! »

Elle espérait qu’il y en aurait assez pour deux ! La jeune suédoise prit place sur une des chaises et posa son regard sur la demoiselle adossée au mur en fasce d’elle. Elle connaissait Maverick ? Comme quoi le monde était petit. Cela l’amena à penser qu’il fallait qu’elle lui parle de sa relation avec Maverick. Giulia était sa sex friend, certes, mais elle devait être sincère envers elle. Etaient-elles assez proches pour ne pas qu’elles se perdent de vue une fois que Lisbeth lui aurait avoué ses sentiments pour le jeune slovaque ? Tout ceci était bien compliqué…

« Ah oui, tu connais Maverick ? »

Ça leur faisait un autre point commun. Lisbeth avait pris un ton faussement détaché mais elle était un peu tendue et curieuse. Elle porta son attention sur une des assiettes et piocha à son tour un sushi. Elle mâcha longuement et savoura cette première bouchée de nourriture de la journée. Son estomac la remercia et Lisbeth se resservit.

« Et bien j’étais en train de rentrer chez moi après avoir quitté l’université et un cinglé s’est jeté sur moi et m’a attaquée. Je l’ai bien mis au tapis mais il avait un flingue. J’ai voulu m’enfuir mais je me suis pris une balle dans l’épaule gauche. »

Elle désigna l’épaule en question sur laquelle son pansement volumineux était posé. Heureusement pour elle, la balle l’avait traversée de part en part sans toucher d’artères ou de nerfs.

« Mais je pense qu’il ne visait pas mon épaule… »

L’étudiante termina son sushi avant de se lever pour aller chercher une bouteille d’eau. Ça lui faisait une balle en plus, encore une ! Elle commençait à se dire qu’elle attirait le danger et les ennuis sans savoir pourquoi. Pourtant, elle ne provoquait rien ni personne. Un petit soupir lui échappa alors qu’elle allait chercher les verres d’eau qu’elle avait préalablement posé sur la table basse du salon.

« Je suis rentrée il y a quelques jours… Enfin… Merverick m’a proposé de venir ici quelques temps parce que je ne peux pas faire grand-chose avec cette épaule… »

Elle évita de regarder la jeune italienne dans les yeux et se concentra pour se verser un verre d’eau. Son teint pâle était légèrement rouge.

« Tu en veux ? Ou peut-être que tu préfères autre chose ? »
© 2981 12289 0

@Giulia M. Scorsese
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Apparemment, elle avait vu juste sur les sushis. Pour la plupart des étudiants internationaux, le principal choc culturel était celui de la différence culinaire. Des plats sans saveur, de pâles imitations de cuisine du monde sûrement conçues par des gens n'aillant jamais quitté le Massachusetts, du gras, du gras... Giulia avait depuis longtemps abandonné l'idée de dénicher un restaurant Italien méritant d'en porter le nom. Elle se souvenait d'un saumon fumé qu'elle avait mangé lors d'un bref séjour en Suède, alors qu'elle était mannequin, et qui était resté dans sa mémoire comme le meilleur poisson qu'elle aie jamais goûté. Mais à en voir sa sex friend, authentique ou non, sa nourriture la satisfaisait pleinement.

"Ouais, je le connais depuis peu. Rencontré à la salle de sport... Un peu dragueur, un peu louche..." répondit l'Italienne, sans vraiment prêter attention à ses propres paroles, et certainement plus concentrée sur sa tentative d'usage des baguettes chinoises. Elle finit par manger avec ses doigts. Lisbeth se lança dans son récit, et Gi' s'assit en face d'elle à la table de la cuisine. Elle se sentit triste pour la jeune femme, qui était peut-être devenue son amie. Elle en avait tellement bavé, et ses malheurs semblaient persévérer inlassablement. "Tu t'es fait soignée assez tôt j'espère ? Pas trop de dommages ?", s'enquit-elle.

Bien sûr, ça n'était pas un hasard. Giulia n'avait aucune idée de ce que l'informaticienne trafiquait en cachette, mais elle avait la très forte impression que ses occupations avaient un lien avec cette dernière attaque. Elle ne préféra cependant ne pas poser de question, connaissant la sensibilité de Lisbeth sur ses propres mystères. La miss rejoint cette dernière au salon, et accepta le verre d'eau que sa camarade lui tendait avec un sourire. ~


@Lisbeth Larsson Je fais de plus en plus de rps courts, mais j'essaie de mettre le même contenu dedans, j'espère que ça te va One more bullet, one! ‡ ft. Lisbeth 1508216586
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Giulia & LisbethOne more bullet, one!
Lisbeth avait tiqué sur la mention de Maverick, curieuse de savoir comment Giulia l’avait connu. Apparemment, la jeune femme était occupée à essayer de se servir des baguettes chinoises. Lisbeth avait abandonné depuis longtemps, ou plutôt, elle n’avait jamais pris la peine de se concentrer sur la tâche. Manger avec les mains allait plus vite. Il est vrai que la cuisine, ici en Amérique, était très moyenne, voire affreuse. Mais la femme du Nord avait déniché un restaurant suédois digne de ce nom dans un quartier assez caché et discret de Boston. Cerise sur le gâteau, la plupart du personnel venait de Suède. Quand Lisbeth passait commande, elle tapait la conversation dans sa langue natale et ça lui faisait un bien fou ! Sinon, elle ne rechignait pas à manger ces pseudo imitations de nourriture du bout du monde.

« Un dragueur ? Oui, c’est vrai. »

La jeune femme se souvenait très bien de leur première rencontre : il lui avait offert un de ces regards intéressé et dragueur. Elle avait fortement tiqué et l’avait envoyé balader avant de changer complètement de comportement. Il avait le pouvoir de la faire fondre comme neige au soleil. Son caractère froid et tranchant s’adoucissait et se sculptait magnifiquement. Maverick n’avait pas eu besoin de la draguer pour qu’elle tombe sous son charme. Par contre, elle voyait bien le tableau de ces deux zigotos en salle de sport. Elle retint un sourire amusé et posa son regard sur son assiette dans laquelle trônait encore des sushis.

« Oui, enfin j’ai attendu deux jours pour aller à l’hôpital… La plaie était complètement infectée et j’ai eu droit à des doses de cheval d’antibiotiques et d’antidouleurs. D’ailleurs, j’en prends toujours mais ça va mieux. Mon épaule me fait encore mal et je galère pour des trucs simples comme sortir des assiettes… »

Ouah, une immense phrase de Lisbeth ! Et en plus, elle se livrait ! Une grande première. Peut-être même qu’il neigera le lendemain… Bon, n’exagérons rien.

« Je déteste les hôpitaux et j’avais encore des antibiotiques chez moi alors j’ai tenté de me soigner seule… Mais bon, je ne suis pas médecin. Quand je me suis rendue compte que j’allais encore plus mal, je me suis rendue à l’hôpital. »

Elle porta un nouveau morceau de poisson cru à sa bouche et alla chercher les verres posés sur la table basse. Elle leur servit de l’eau et tendit le sien à Giulia. Lisbeth était loin de se douter de l’identité du responsable de ce tir. Elle était encore moins au courant que quelqu’un avait mis sa tête à prix et que sa vie était peut-être encore en danger.

« J’espère que je ne t’ai pas trop manquée. »

Lisbeth adressa un petit sourire amusé à Giulia. Son comportement changeait également en présence de la jeune italienne et Lisbeth prenait petit à petit conscience du pouvoir de ces deux personnes d’exception : Maverick et Giulia.
© 2981 12289 0

@Giulia M. Scorsese C'est parfait, ne t'en fais pas ;)
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