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ghost from the past (emilia)

Anonymous

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ghost from the past

emilia & gavin

Tu sortais d’une garde difficile. Il était huit heures du matin, et ta seule envie c’était un café avant de rentrer chez toi. Il y avait toujours un moment de battement entre la fin d’une garde difficile, et le retour à son quotidien, à sa routine. Faire la part des choses n’était pas toujours simple. Quoiqu’il en soit, ce matin, tout cela risquait d’être bien plus difficile encore qu’habituellement. Et pour cause ton regard s’était posé sur cette demoiselle. La fille du café. Il fallait le reconnaître, c’est comme ça que tu l’appelais, et tu devais bien être le seul à le faire. Vous n’aviez jamais échangé quelques mots, juste des regards. En même temps comment faire autrement, à force de vous croiser ici et dans le quartier vous vous étiez forcément remarqués, et surtout son visage avait cette tendance à te perturber. Elle te renvoyait à l’une de tes premières gardes, à une des rares victimes qui hantaient ton esprit. Après tout en trois ans, tu en avais vues des victimes, mais c’était difficile de tout retenir. Pourtant cette intervention-là, jamais tu ne l’avais oublié, et à chaque fois, cette jeune femme t’y renvoyait. C’était tellement prenant que tu l’observais, et que ça pourrait presque en devenir flippant. Tu n’étais pourtant pas le genre bizarre dans ton genre !

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emilia & gavin

La journée commence et je sors tout juste de mon lit quand je constate qu'il fait beau dehors. J'en ai le sourire dès le matin, c'est agréable les temps comme ça. Enfilant des vêtements pour sortir, je décide comme toujours de prendre mon petit déjeuné dehors. J'aime aller au café pour petit déjeuner, acheter un café et le boire en terrasse ou en marchant, ça me permet de sortir, de voir du monde. C'est exactement ce que je fais, escarpins dans les pieds, me voila en route pour ce lieu de paix. Je pousse les portes du café et m'insère dans la queue, checkant mes emails et mon planning de la semaine : je travail du matin et du soir. En dépit de mon statut sociale, je reste une personne simple, je vis comme tout le monde. Seulement je finis par arrêter de regarder les news quand j'ai ce sentiment bizarre qu'on m'observe. Je me fige sur place, mal à l'aise et sors l'arme ultime pour voir les choses : snapchats. Je mets un filtre, lève mon portable, faisant genre de me prendre un photo, je constate le regard d'un homme posé sur moi plus loin. Le point positif est qu'il n'a pas une tête de tueur. C'est déjà ça non ? La serveuse me regarde, demandant ma commande que je lui dicte et le temps qu'elle soit préparé, je me dirige vers le jeune homme qui se trouve dans la queue lui aussi, à côté des journaux Excusez moi, vous pouvez me donner le times s'il vous plait ? c'est mon rituel du matin, un café et le journal, comment mieux commencer sa journée ? Je lui adresse un sourire sympathique, espérant finalement que mes doutes se confirment et qu'il n'est réellement pas un tueur en série. Sinon, Adieu moi.

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emilia & gavin

C’était sacrément fou de voir à quel point le visage d’une personne pouvait éveiller tant de choses en toi, surtout quand on sait que vous ne vous connaissiez pas. Alors oui, tu la croisais très souvent, peut-être même plusieurs fois par semaine dans ce café. Certaines périodes, pas du tout certainement. Mais aujourd’hui, c’est vrai que tu n’étais pas de marbre. Tu essayais d’ailleurs de te souvenir d’un maximum de visage de victimes durant vos interventions, mais tu n’y arrivais pas. A croire que tu étais destiné à en voir un paquet, comme tout pompier, mais que rares d’entre elles marqueraient ta mémoire à ce point. C’était troublant mine de rien, et au fond de toi, tu espérais bizarrement qu’elle soit, cette jeune femme. En somme, perdu dans tes pensées, elle a fini par t’en sortir sans que tu saches dire à quel moment elle s’était autant approchée. Oui bien sûr. Machinalement tu as tendu la main vers un exemplaire du journal désiré avant de le tendre à la demoiselle. Si son visage te troublait, tu réalisais à cet instant que tu étais incapable de dire, à sa voix, si c’était elle ou non. Quand un autre se mit à te demander un journal, tu ne finissais pas dire un brin amusé, de manière cordiale. Je ne suis pas le mec à journaux, les gars ! Annonce générale. Pour autant tu lui tendais gentiment, mais tu ne tenais pas à ce qu’on se méprenne.

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