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You & I forever, Babe. x Gabrielle

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You & I forever, Babe
feat. Gabrielle & Ael
Tu tapais ton message avant de te lever de ton lit sachant que tu devais prendre la direction du manoir de ta meilleure amie, de ton chaton, de ton bébé. Elle t’avait manqué c’était indéniable, Gabrielle avait une grande place dans ta vie, tu ne pouvais pas dire l’inverse parce que ça serait juste un mensonge, un très gros mensonge. Tu t’en voulais, tu t’en voulais clairement de ces mois de silence, de cette vie que tu avais dû quitter pour en commencer une autre, une qui avait finis comme un putain de calvaire. Tu sortis enfin de son lit pour aller sous la douche, pour te préparer avant de prendre ta voiture, aujourd’hui tu t’en sentais capable, tu t’en sentais enfin capable de faire une telle chose sachant que ce n’était pas toujours comme ça à cause de ton putain d’accident. Tu secouas la tête en riant doucement, accident la belle excuse, le bon mot pour dire que tu avais tué une personne, une jeune femme qui avait une vie, qui devait avoir une vie bien plus belle que la tienne. Tu avais coupé court à la vie de quelqu’un, tu avais coupé court à sûrement un avenir très brillant dans le fond. Mauvaise chose de penser à ça, tu serras les bords du robinet tout en te regardant dans le miroir devant toi, tu sentais enfin la culpabilité te prendre aux tripes de penser à une telle chose. Tu fermas les yeux un instant avant de passer ta main dans tes cheveux, tu mis tes cheveux en arrière avant de prendre ta veste en cuir pour sortir. Dès que tu arrivas dans le parking, tu allumas une cigarette que tu coinças dans ta bouche avant de tirer dessus rapidement, tu entras dans ta voiture assez vite pour prendre la route. Après quinze minutes, tu te retrouvas devant la porte du manoir que tu connaissais, tu le connaissais parce que tu avais passé plusieurs moments ici avec la brune, avec ta meilleure amie. Tu soupiras doucement avant de passer ta main sur son visage, tu te redoutais un peu la réaction de Gabrielle, il y avait déjà une distance avant ton départ, est-ce que ça serait pareil alors que tu avais disparue depuis deux mois ? Tu te mordis la lèvre avant de frapper sur la porte attendant son arrivée avec un stress énorme, c’était la première fois autant le dire sauf que tu avais peur de la perdre, de perdre un vrai pilier dans ta vie.

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Je n’avais pas pu retenir ce léger sourire en voyant le message d’Ael, l’envie de bloquer son numéro et de l’ignorer était bien présente mais il m’avait manqué, autant que son retour faussement innocent m’avait agacé. J’étais sincère avec moi-même, je savais que je n’étais pas une très bonne amie, un peu distante, pudique, secrète et réservée et puis je m’enfermais souvent dans ma bulle, oubliant ceux qui étaient autour de moi. Savoir que j’avais tous ces défauts ne m’empêchait de maitriser l’art de la mauvaise foi et sans grande surprise, j’avais reproché à Ael son départ précipité, ses deux mois sans nouvelles d’une façon plus ou moins … familière. Je n’étais pas une adepte de la vulgarité, mais là, mes mots avaient dépassés mes intentions. Incapable de me passer de lui, de me dire que mon meilleur ami était de retour sans pouvoir l’avoir à côté de moi, je l’avais invité à passer chez moi avant de me servir un grand verre de vin. Ma consommation de vin c’était un peu accentué depuis le départ de Noah, puis celui d’Ael et les coups bas de mon oncle mais j’étais beaucoup trop fière pour être sincère sur ce point. Les minutes paraissaient durer des heures, j’avais un mélange d’envie et d’appréhension en pensant à nos retrouvailles. Nous nous étions quelques peu éloigné et j’avais peut être peur que tout cela ait changé quelque chose entre nous, j’avais peur de le perdre autant que je lui en voulais d’être partit alors qu’il connaissait ma peur de l’abandon. Il frappa à la porte et un peu surprise, je sursautai légèrement. J’allai ouvrir en poussant un léger soupire en remarquant que mon employée était bien trop loin de l’entrée pour s’en charger. J’ouvris la porte, verre de vin à la main et je le regardai de bas en haut, le toisant lentement. Il était toujours aussi beau mon Ael, il n’avait pas changé et je l’aimais toujours autant, je pouvais le sentir à cette envie que j’avais de le serrer dans mes bras. Envie que je réprimais. Je bus une gorgée avant de lui dire avec ce ton acerbe qu’il ne connaissait que trop bien « On dirait que cette fois cela t’a pris moins de deux mois pour trouver le chemin de ma maison ». Je n’étais pas vraiment engagé sur le chemin de la réconciliation, mais le sarcasme était une seconde nature chez moi et je n’avais pas pu retenir cette remarque. « Entre, je t’en prie » lui dis-je avec un léger sourire après avoir déposé une bise sur sa joue. « Je te sers quelque chose peut être ? » l’air détaché, sur jouant un peu le détachement d’ailleurs, en bonne petite fille capricieuse et boudeuse que j’étais.
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La peur au ventre, tu attendais avec cette boule que tu n’avais que très rarement voir même jamais. Mais tu savais que ce n’était pas rien, que dernière cette porte il n’y avait pas n’importe qui. Elle était importante pour toi Gabrielle, elle était ta meilleure amie, elle était plus que ça. Elle était en quelque sorte une partie de toi, vous aviez toujours été là l’un pour l’autre, tu avais été là quand elle avait eu besoin de quelqu’un lors du départ de Noah, tu avais été là et elle avait toujours été là pour toi quoi qu’il puisse se passer dans ta vie. Tu avais peur, véritablement pour une fois, qu’elle t’en veuille. Derrière un message, il était facile de cacher beaucoup de choses alors qu’en fasse les choses étaient différentes, elle allait t’en vouloir, c’était une évidence parce que tu lui avais fais la même chose qu’elle. C’était assez drôle dans le fond, on pourrait voir ça comme une vengeance de ta part, mais absolument. Tu aurais aimé rester dans cette ville avec elle, tu aurais aimé faire une telle chose parce que ces deux mois avaient été horrible, tu avais envie de lui dire, envie de lui faire comprendre que tu avais presque vécu l’enfer loin d’elle, que ta vie était un gouffre sans fin et que tu n’arrivais pas à te sortir la tête sous l’eau. Rien, il n’y avait rien qui sortait de ta bouche quand la porte souffrit sur la jeune femme, tu restas là avec ses yeux sur toi, tu avais presque l’impression qu’elle t’analysait avec ces yeux. « Effectivement, j’ai dû mettre une heure voir beaucoup moins. C’est beaucoup que deux mois, tu as raison. » Tu passas ta langue sur tes lèvres ne t’attendant pas moins de la brune qui était devant tes yeux, elle était comme cela et tu l’aimais comme ça. Elle était unique à tes yeux, elle était une vraie diablesse, mais elle était ta diablesse. Tu finis par rentrer quand elle t’autorisa à le faire, tu aurais pu faire une remarque, normalement tu aurais du faire une remarque, mais avec elle tu n’avais rien sur le coup. Tu te retrouvais vide, comme dépassé par ce qu’il se passait ou alors tu avais simplement peur qu’au moindre écart, elle ne veuille plus de toi dans sa vie. Tout était possible, tu avais tellement de chose en tête que tu ne te rendais pas réellement compte de son baiser sur ta joue. Tu finis par sourire et de faire de même, tu posas ta bouche sur sa joue avant de lui répondre. « Je veux bien un verre de vin. » Elle ne savait pas que l’alcool était devenue comme une amie pour toi, une mauvaise comme une bonne amie pour toi.

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Je l’aimais mon chaton, malgré son absence, son silence et son retour comme une fleur. Il faisait partie de mes essentiels, depuis notre premier coup bas ensemble, nos premiers fou rires et mes premiers caprices envers lui. Peu de personnes me connaissaient vraiment, en dehors de la parfaite image que je donnais mais lui m’avait vu dans mes pires états, il m’avait déjà  vu mourir intérieurement et il était resté là, tout le long. Dire que je lui en voulais n’était pas tout à fait juste, mais il m’avait manqué et je voulais lui faire payer le manque qu’il avait provoqué chez moi. Alors je n’avais pas pu retenir cette petite remarque pleine d’ironie à son encontre, parce que c’était lui et moi, c’était moi avec lui. Sa réponse fut à son image, calme et presque moqueuse et ce fut avec un sourire en coin que je l’invitai à entrer. Il répondit positivement à mon invitation de partager un verre avec moi. Je hochai légèrement la tête en souriant « évidemment que tu veux bien un verre de vin, de toute les façons je n’allais pas accepter un non, pour réponse ». Je me dirigeai vers la cuisine d’un pas tranquille avant de saisir un verre et de le remplir de ce vin hors de prix qu’il y avait toujours chez moi. En retournant vers Ael je lui tendis le verre tout en le scrutant minutieusement et après avoir bu une gorgée, je lui demandai, d’une voix tranquille « tu comptes m’expliquer ta disparition ou je devrai juste me contenter de ce retour miracle sans explication ? ». Ma question n’en était pas vraiment une, ignorer ce qui s’était passé pendant  ces deux mois sans nouvelles de sa part n’était pas une option pour moi. Mon regard  insistant sur lui semblait essayer de le sonder, ou de le déstabiliser, nos retrouvailles n’étaient pas vraiment chaleureuses et pourtant j’avais besoin de lui, comme j’avais eu besoin de lui par le passé. Je déposai mon verre sur la table basse avant de m’assoir sur un des fauteuils de mon salon croisant délicatement les jambes sans pour autant arrêter de le regarder. Je jouais à vrai dire, cherchant un petit peu trop à attiser sa culpabilité parce que j’étais égoïste, parce que j’avais besoin de savoir qu’il s’en voulait, parce que j’avais besoin de savoir qu’il m’aimait assez pour s’en vouloir. J’étais cette gamine peureuse qui avait peur de ne pas être assez aimée pour retenir ceux à qui elle tenait.
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Gabrielle était une moitié de lui, elle était une moitié de sa personne et ça, il ne pourrait jamais le nier. Gabrielle avait été un coup de cœur, elle avait été un gros coup de cœur dans sa vie alors il ne se voyait pas vivre sans elle, il ne pouvait pas alors il avait décidé de se faire pardonner, de lui expliquer les raisons de ce silence, les raisons de son départ et surtout ce qu’il avait été capable de vivre durant son absence. Elle lui avait manqué, la brune lui avait plus manqué, ses plans, son attitude, rien que le fait de la voir lui avait manqué, c’était idiot il le savait mais, ce n’était que la vérité. « Tu imposes les choses en plus ? » Il la connaissait assez pour savoir qu’elle était toujours comme ça, elle était comme ça Gabrielle et il l’aimait comme ça, il l’aimait parce qu’elle était différente des autres à ses yeux. Tout le monde n’avait pas le privilège d’être aussi proche d’elle, de la connaître aussi bien et surtout qu’elle reste en quelque sorte agréable. Mais il espérait qu’avec lui c’était le cas, qu’elle était seulement comme ça parce qu’il était revenu du jour au lendemain, comme un idiot, qu’il était partit sans donner la moindre nouvelle. On aurait pu le croire mort mais, il en fallait beaucoup pour mettre fin à ses jours malheureusement, le Raudenfeld n’était pas prêt à donner son dernier souffle. Il la remercia d’un sourire en prenant le verre et de prendre rapidement une gorgée du liquide hors de prix. Il s’installa sur le canapé, prit une autre gorgée pour se donner du courage, pour se dire qu’il avait encore un peu de temps avant de prendre son courage à deux mains pour lui parler. « Tu sais comment sont mes parents surtout mon père, il m’a ordonné le suivre parce qu’il voulait me faire découvrir ce qu’il fallait. Apparemment gâcher mon enfance ne lui as pas suffit alors, j’ai dû aller avec lui sans faire le moindre commentaire. J’ai pas vécue les deux mois les plus merveilleux de ma vie si tu veux tout savoir. Je crois que j’ai finis par détester encore plus mon père en passant autant de temps avec lui et j’ai pris la décision de revenir sans rien lui dire. Je suis désolé du silence mais, j’ai été beaucoup occupé puis c’est pas pour autant que tu m’as pas manqué. »

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J’avais pris ce risque avec Ael, celui de me retrouver assez proche d’une personne pour qu’elle puisse me manquer. Je lui avais fait confiance en quelque sorte, à chaque fois que j’avais posé ma tête sur son épaule, à chaque fois que je m’étais confié à lui et les rares fois il m’était arrivé de pleurer devant lui. Je lui avais fait confiance toutes ces fois-là, j’avais pris le risque d’être blessée, déçue et vulnérable, jusqu’à lui laisser le privilège d’entrevoir toutes les nuances de mes faiblesses derrière mon armure de plomb. Il était devenu essentiel, comme quand on regarde quelque chose de drôle à la télé et qu’on se retourne pour voir si l’autre rigole aussi … Ael, c’était l’autre pour moi. Alors oui, son départ m’était mal passé et oui, j’attendais de sa part qu’il m’en dise plus et me sorte de ce flou presque angoissant. Assise sur un des fauteuils du salon, je le regardais, parce qu’il était beau et parce que ça m’avait manqué de le regarder, de pouvoir lire derrière ses sourires, ses soupirs ou encore ses bouderies. Il prit une gorgée de vin avant de se confier sur les raisons de son absence, je l’écoutai, restant silencieuse et d’apparence calme, digérant comme je le pouvais ses explications. Je savais à quel point son père pouvait être exigeant et je savais aussi que ses relations avec lui n’était pas au beau fixe mais quand même, cela ne l’empêchait pas de me donner de ses nouvelles ou de m’informer de sa disparition. Je laissai un léger silence planer alors que, lentement, je bus une gorgée à mon tour, ne le quittant pas du regard. Je finis par articuler distinctement « Et tu veux me faire croire que tu n’as pas trouvé une minute pour me faire part de ta situation ?  », J’avais un ton non agressif mais réprobateur. J’avais du mal à avaler ça, du mal à me dire que je ne méritais même pas un petit signe de sa part et ce besoin perturbant d’être rassurée sur ma place dans sa vie, dans sa tête et dans son cœur prenait de plus en plus de place. « Tu vois Ael, j’ai encore la naïveté de penser que j’aurais vu pu rendre ces deux mois moins pénibles pour toi, parce que j’aurais été là, si seulement tu avais eu la délicatesse de me contacter, ce qui visiblement n’a pas été le cas ». Mes yeux dans les siens, je cherchais le moindre signe de remord de sa part, parce que s’il s’en voulait, cela voulait dire que je comptais encore pour lui, ne serai ce qu’un tout petit peu malgré notre éloignement. « Ou peut être que tu n’as pas ressenti le besoin de m’en parler ou de m’avoir à tes cotés ? Parce que là, je t’avoue être perdue », un brin direct, peut-être un peu trop sèche, mon sentiment d’insécurité commençant à m’envahir.
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Il n’avait pas très bien su quand elle avait pris une grande place dans sa vie, quand elle était devenue une moitié de son cœur, une moitié dans sa vie et à quel point sa présence était quelque chose de précieux et d’important pour lui. Il avait besoin d’elle, il avait ce besoin de l’avoir dans sa vie et il s’en voulait de ces mois d’absence, de ces deux mois loin d’elle et surtout de ce premier mois. Le second mois, il aurait pris trop peur de lui parler, trop peur qu’elle remarque à quel point il s’était autodétruit, à quel point il était mauvais et qu’il resterait mauvais encore longtemps. Son âme était déjà en enfer, il avait une part de son être là-bas et il était incapable de revenir, il ne pourrait jamais revenir parce que c’était ça, sa vie maintenant. Il passa sa langue sur ses lèvres sachant qu’il devait prendre de telle chose dans la figure, il devait peut-être se prendre sa colère ou il ne savait trop quoi. « Le premier mois si j’aurais pu mais, je voulais aussi un peu m’éloigner de tout ça. Je sais que j’aurais été capable de revenir, j’aurais pu revenir et j’aurais eu mon père sur le dos encore une fois. Puis le second mois..c’était compliqué. » Il s’en voulait, il avait du mal à le dire, mal à se retrouver lui-même dans ce bordel. Mais il devait lui dire non ? Elle devait savoir parce que Gabrielle était une des deux personnes qui le connaissait bien, qui le connaissait sur le bout des doigts et c’était horrible, c’était dingue mais, il avait appris à ne plus avoir peur de ce genre de choses maintenant. « Bien sûr que tu aurais pu, j’en doute même pas une seule seconde. J’ai aucun doute là-dessus, c’est moi le souci Gabrielle. Je suis plus du tout le même, j’ai tué une femme durant mon absence alors comment je pouvais te contacter tout en ayant ça en tête ? Je sais que tu ne m’aurais jamais juger ou quelque chose comme ça mais, j’en sais rien. J’ai peur que ton regard change, j’ai peur que tu finisses par t’éloigner ou quelque chose comme ça. » Ce n’était pas parce qu’il paraissait si sûr de lui qu’il n’avait pas de peur ou des trucs comme ça. Peut-être que dans le fond il avait essayé de se protéger avant qu’on lui fasse du mal, il n’en savait rien, il ne savait plus rien du tout en faite. « Arrête de dire ça, tu m’as manqué Gab’. Tu sais que tu comptes pour moi. » Il n’avait pas besoin de le dire, il n’avait pas besoin de lui faire un dessin pour que ce soit évident, il avait besoin d’elle dans sa vie et il avait fait une grosse connerie en partant comme ça, il le savait.

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