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Como perro y gato

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Oui, d'accord, Alejandro était un peu en retard. Pas de quoi écrire à sa mère, mais le dîner avec Hazel, un brin tendu, avait pris un peu plus long. On ne se quitte pas sur une mauvaise conversation, quoique c'est un peu ce qui est arrivé quand même. L'excuse du travail d'équipe tombait un peu à point finalement. Pourtant, Milena l'avait bien averti de ne pas être en retard, ni de la faire attendre.

Milena... La cause de sa présence à la bibliothèque un lundi soir. Le hasard a bien voulu qu'ils se retrouvent tous les deux à faire un travail de littérature, une sorte d'analyse d'un livre qu'il a lu, certes, mais pas encore eu de réflexion approfondie dessus. Si, tandis qu'il entre dans la bibliothèque et qu'il laisse le casque de sa moto dans un casier avec son manteau et ne garde que son sac à dos, il affiche un visage un brin soucieux, c'est que le beau brun sait que Milena et lui sont comme chien et chat. Ils se connaissent de loin, un peu comme ça et n'ont jamais arrivé à s'entendre. Trop d'orgueil de part et d'autres, trop de refus de faire la moindre concession. Alors Alejandro s'attendait à une remarque typique quand il arrivera, vu son petit retard. La Cabot ajoutera sans doute son poids à celui de la Quincy qu'il a à la maison. On ne peut pas la blâmer, elle n'en sait rien.

Guère difficile de repérer la belle blonde dans la grande bibliothèque de Widener et l'Espagnol marche vers elle et affiche un sourire charmeur, qui, il espère, atténuera les reproches auquel il pourrait avoir droit.

-Buenos tardes. Je sais, je suis un peu en retard. Désolé, j'ai été un peu retenu à la maison et comme la distance entre ici et Boston ne se fait pas en un clin d’œil...

Le désavantage de ne pas vivre sur le campus ou tout près. Sérieux dans les études, le Dunster s'installait à côté de Milena, pas en face, ça facilite la confrontation parait-il, et sortait ses affaires; son livre et ses notes de cours, puis, retroussait ses manches et lançait un nouveau regard vers la Cabot.



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Aujourd"hui je devais passer l'après-midi avec mon meilleur ami, non je plaisante. Non mais srieux j'allais passer un après-midi d'enfer ! J'angoissais dans le sens où je ne peux pas me le voir en peinture et j'allais devoir passer mon aprem avec lui. Génial (ironie) ! En vérité nous deux on est des véritables chiens et chats voir pire. On se déteste mais à la fois on aime bien se chercher et foutre encore plus la merde entre nous. Bref, juste pour dire que je suis au bout de ma vie d'avoir ce devoir à faire avec Alejandro. Bordel ! Juste à moi ça arriver, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça? Il s'agissait d'un devoir de littérature et bon juste comme par hasard le destin s'acharne sur moi. Ceci dit je lui prévenais qu'il n'arrive pas en retard, parce que déjà que je n'aime pas l'idée de travailler avec lui, alors si il vient en retard je crois que je pourrais le tuer, enfin pas devant des témoins quand même... J'arrivais à la bibliothèque et il n'y a aucune trace de Alejandro dans les parages, putain ! Il commence bien celui-là. Il le sait pourtant. Je suis déjà énervée à l'avance alors faut pas me chercher. Bon zeeeeen. Je m'installe à une table, mettant mon sac à mes côtés et sortant les affaires de celui-ci pour commencer à travailler. Si il n'arrive pas d'ici... Ah le voilà enfin ! Il s'installe comme si de rien n'était. « Non c'est pas "buenos" là ! Tu sais que déjà de un, t'es en retard ! Et de deux, il faut s'y prendre à l'avance quand tu sais que t'as quelque chose à faire ailleurs qu'à Boston. » D'habitude j'aime les Espagnols, mais lui c'est une véritable exception à la règle. Il me sort des yeux tout simplement. « Sinon parlons travail. Tu sais lire? Je savais pas, tiens... » Ouais je l'embête encore plus, tiens. Je commence à ouvrir le livre et le cahier. Je hais déjà ce devoir plus que tout.
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Alejandro avait cultivé l'espoir, mince mais tout de même, que Milena mettrait de côté leurs différents pour le travail qu'ils avaient à faire, ou encore, qu'elle se montrerait compréhensive vis à vis des excuses qui lui avait demandé un certain effort. Mais non... L'accueil glacial que la blonde lui réserva fit s'écrouler le moindre de ses espoirs.

L'Espagnol vit son sourire de politesse s'effacer rapidement et il ne put retenir une grimace de dégoût quand il sentit tout le mépris qu'il y avait dans le "buenos" de Milena, comme si elle parlait sa langue que pour mieux le descendre. Disgracieux, même venant d'elle.

-Je sais que je suis en retard, je viens de te le dire et j'ai dit que j'étais désolé. Si tu n'es même pas assez mature pour accepter des excuses quand tu en entends...


Il avait toujours l'impression de parler à un mur quand il s'adressait à la Cabot. Ni son sourire ou son charme habituel ne semblait la détendre, au contraire, dans un cas exceptionnel, cela semblait motiver la blonde à être encore plus désagréable envers lui. Les petites insultes dignes de la petite école ne tardèrent pas à suivre et pour être franc, cela fit rire Alejandro.

-Franchement, tu peux faire mieux que ça en terme d'insultes Milena.


Un petit effort, allons. Le beau brun ouvre ses affaires et décide de proposer, puisqu'ils avaient au moins un point en commun:

-Tu sais ce qu'on devrait faire? Puisqu'on se retrouve tous les deux dans cette situation désagréable... On devrait faire un plan, diviser le travail en deux et partir chacun de notre côté et mette le tout en commun.

Ça lui évitera de côtoyer plus longtemps son joli petit sourire mesquin.



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En réalité je ne voulais déjà pas passer mon après-midi à travailler et encore pire être avec Alejandro. Je prends mon mal en patience et je n'ai plus celle-ci pour l'attendre d'ailleurs. Il mets du temps et quand il arrive j'avoue que j'ignore ses excuses, mais monsieur le prends mal et me traite d'immature alors je le regarde de haut. « Oh monsieur fait ses excuses, c'est mignon. Je suis mâture, c'est juste que je ne te supporte déjà pas et tu abuses en venant en retard. Mais soit, tes excuses sont "acceptés" si ça peut te rassurer. » Ouais autrement dit je me fiche un peu de sa gueule tout comme il le fait. Je fais mine d'affiche un grand sourire radieux, alors qu'en faites ça m'énerve déjà. Maintenant il me parle d'insultes, j'ai juste dit que j'ignorais qu'il savait lire, je pris un air amusé. « Très bien, si tu veux que je t'insulte il faut me le dire. J'ignorais que tu aimes quand je t'insulte. » J'arque un sourcil. Ah, ce que je peux être chiante, en même temps c'est les conséquences d'une femme comme moi qu'on énerve. Finalement Alejandro décide de vouloir diviser le travail en deux pour qu'on ne se côtoie plus. « C'est une excellente idée. Mais je suis sûre que t'aimerais qu'on fasse ce devoir pour me voir et supporter mon sale caractère et mon joli sourire, n'est-ce pas? » Là je décide de me montrer plus agréable, étonnant, non? Je lui adresse un vrai sourire charmeur. Bon je sens que là Alejandro va péter un plomb avec moi, je vais le rendre fou.
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Quand une personne dit tout haut "je suis mature", c'est rarement une preuve de maturité et Milena confirmait cette règle. Lâchant un "hm hm" pour faire savoir son scepticisme, Alejandro ne put ensuite résister à la tentation de répondre au tact au tact à la belle blonde.

-Heureusement que tu es clémente, qu'est-ce que j'aurais fait sinon...

Probablement... rien du tout. Il s'est excusé par politesse et qu'elle les accepte finalement était une petite victoire, mais il n'aurait pas eu une crise de conscience si Milena avait été aussi capricieuse qu'à l'habitude. Le sourire de l'Américaine, ce sourire prétentieux, commençait vraiment à l'énerver. Il avait déjà hâte de quitter cette bibliothèque.

-J'aime surtout quand tu ne parles pas, chose très rare d'après ce que j'ai appris, mais niveau insulte, tu m'as habitué à mieux. Faut croire qu'une fille comme toi, ça n'évolue pas.

Plutôt le contraire, elle ne peut qu'être de pire en pire, comme en témoigne cet espèce de refus à son idée qu'ils travaillent chacun de leur côté et se voit un minimum. Apparemment, Milena ne comptait pas le laisser tranquille si facilement. La fin de la phrase de la blondinette le fit tout de même sourire en coin. Pour autant, son regard ce noircit un brin. Il n'était pas vraiment d'humeur à jouer, mais autant concéder sur un point.

-Le joli sourire, je suis prêt à te l'accorder. Pour le reste et puisque tu le mentionnes, tu es toujours aussi insupportable. Alors s'il te plait, ne me rend pas ça plus difficile...

Était-ce une supplication? Oh que non, c'est bien mal connaître Alejandro. Non, juste une demande gentiment formulée, avant qu'il ne devienne plus méchant et ne sorte de ses gonds.



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Je peux tout à fait comprendre à quel point je suis insupportable, déjà qu'à la base je suis une véritable chieuse alors avec quelqu'un que je n'apprécie pas particulièrement encore plus. Sa petite phrase me fit sourire. Qu'il est drôle cet Espagnol, je suis bien tomber, je sens que je vais m'amuser en fin de compte. Sauf que ce qu'il m'amuse moins est de l'entendre dire que je n'évolue pas, c'est une blague? Il se prends pour qui lui? « Tu n'en vaut même pas la peine, monsieur je sais tout. » Ouais parce qu'il m'agace là, j'ai juste envie de me casser d'ici finalement mais le mieux c'est de rester pour encore plus l'embêter, bien que j'ai mieux à faire pour le coup et on est surtout ici pour étudier.
Quel stupide devoir qui nous mène à travailler ensemble, plutôt m'égorger ouais. Plus prétentieuse que moi il n'y a pas, avec mon "joli sourire" que je lui ai dit. Et j'aime l'entendre dire que je suis insupportable, ça me donne envie de l'être encore plus. « Puisque c'est si gentiment demander, je vais l'être encore plus, pour tes beaux yeux. Muchacho ! » En plus je fais des efforts pour parler sa langue si c'est pas beau ça? « Bon, sinon on peux commencer à travailler ou tu préfères jouer avec mes nerfs? » Non mais je sais qu'il aime jouer avec mes nerfs mais le truc c'est qu'il n'y arrive pas vu que finalement je m'en amuse encore plus.
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Les couteaux volaient bas et les insultes fusaient dans tous les sens. Pas de gros noms, ils avaient trop de classe pour se traiter de salauds et autres trucs du genre, pour le moment en tout cas. Naturellement, Milena avait répondu à sa dernière insulte en répondant qu'il n'en valait pas du tout. Sourire en coin, le beau brun roule des yeux. Bonne réponse.

Alejandro voulait juste qu'ils en finissent le plus rapidement possible avec ce travail et la belle blonde avec qui il devait le faire semblait décidée à faire la chieuse. Sa gentille demande n'y changeait pas grand chose et bien sûr, elle sautait sur l'occasion. Petit haussement d'épaules, il essaie de jouer la carte de l'impassibilité.

-Au moins, tu admets que j'ai des beaux yeux.


Au moins, on prend ce qu'on nous donne. Le mot d'espagnol qu'elle avait ajouté avait manqué de le faire pouffer de rire. Ce serait drôle si elle ne cherchait pas à insulter sa langue maternelle au passage. Enfin, elle proposait qu'ils s'y mettent et puisque la jeune femme ne semblait pas pour qu'ils se divisent le travail, autant s'y mettre.

-Bon, d'accord, mettons-nous y, puisque c'est la seule façon d'en finir.


Alejandro finit donc de sortir ses affaires et après, le duo où la tension régnait toujours se mit à bosser. Plutôt bien en fait, si on fait exception des piques qu'ils se lançaient encore de temps en temps, provoquant l'ire ou les soupirs de l'autre. N'empêche, le beau brun doit bien reconnaître que la Cabot sait ce qu'elle fait quand même. Il ne devrait pas être surpris, puisqu'après tout, se faire accepter à Harvard n'est pas facile. Au bout d'une bonne heure de boulot, Alejandro s'étirait et ne pouvait retenir un bâillement.

-Je crois qu'on a bien avancé... Malgré le fait que tu n'es pas toujours très concentré.

Hey oui, une nouvelle pique... Puis, l'Espagnol décide d'y aller d'une proposition qui surprendra sans doute la blonde.

-Tu sais, si on obtient un B ou plus pour ce travail, je veux bien... En fait, je te laisserais décider de ce que tu veux.



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Malgré les pics, ça arrive qu'un compliment sans vouloir faire plaisir, vienne sortir de ma bouche. Ouais, il a des beaux yeux, si il le dit. Non mais il est mignon ce con, mais il ne faudrait pas lui dire, il ferait trop son malin et se réjouirait de m'entendre le dire. Je lève les yeux au ciel face à sa remarque, ne prenant même pas en compte de lui répondre. Puis il admets que j'ai raison, il faudrait qu'on se mette au travail. « Exactement ! Plus vite c'est fini, mieux c'est. » Oh pauvre j'en ai déjà marre même. Ceci dit, on s'est mit vraiment à fond et on a travailler dur. Franchement, je pensais qu'on allait s'entre-tuer pour travailler ensemble, mais je me rends compte que malgré notre rancoeur, On a finit par trouver un terrain d'entente pour finaliser notre projet. On a même fait un beau travail et j'en suis fière, je ne pensais pas qu'on s'entendrait aussi bien sur ça, mais faut bien mettre tout ça de côté pour le travail, il s'agit de mes études et je ne veux pas les rater pour sa belle gueule. Sa remarque me fit lever un sourcil. « J'hallucine ! C'est toi qui parle. Franchement c'est toi qui était plutôt troublée par ma beauté. Avoue-le. » Proocatrice?! En même temps faut dire ce qu'il y est, il me cherche l'Espagnol. Je suis surprise de ce qu'il veux me proposer, je souris d'un air amusé. « On obtiendra plus que ça, avec moi tu peux être sûre. Sérieusement?! J'ai droit à tout? J'ai déjà tout... En tout cas je prends note, surtout venant de toi, ça restera graver. » Je lance un clin d'oeil malice. Finalement j'ai eu une petite idée mais aussi une envie. « Tu as un bateau? Ou un voilier? J'aimerais tant faire un tour, si tu veux bien réaliser ce désir. » Je sais qu'on ne supporte pas, mais après tout il m'a gentiment proposer de faire ce que je veux.
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Milena ne revint pas sur le fait qu'il avait de beaux yeux, mais le nia pas, ce qui amusait Alejandro, qui proposait quand même d'en finir rapidement avec ce travail et la belle blonde était d'accord avec lui. Pour une fois, une rare fois, ils étaient sur la même longueur d'onde.

-Nous sommes d'accord.

Le beau brun se garda bien d'ajouter le "pour une fois". Pas envie de remettre le feu au poudre. D'ailleurs, ils arrivaient à travailler ensemble et même, faire un boulot pas mal du tout selon lui et l'Espagnol complimente l'Américaine, qui saisit aussitôt la balle au bond. Alejandro ne put retenir un rire.

-Troublée? Non, quand même pas.

Pour autant, nier que Milena est belle serait nier l'évidence la plus sacrée. Alejandro était prêt à viser un B, c'est quand même pas mal pour un travail universitaire, mais la jeune femme était encore plus ambitieuse et ça l'amusait. L'ambition, faut avouer que cela a son charme et il n'en manque pas lui non plus. Évidemment, Milena saisissait son offre.

-En effet. Si ça se trouve, ce sera la seule occasion que tu auras, alors profites en.

Au clin d’œil, il attarde son regard sur celui de la blonde et renvoie un sourire qu'on pourrait presque qualifier de complice. Puis, la Cabot choisit une activité plutôt plaisante, c'est certain, mais d'un autre côté, ce n'est pas n'importe qui qu'il laisse monter sur son petit voilier.

-Euhm... Je ne laisse pas n'importe qui monter sur mon voilier, c'est un grand privilège tu sais mais... D'accord, pourquoi pas. Si ça se trouve, on n'aura pas un B et ce sera de ta faute.

Et évidemment, s'ils réussissent, ce sera grâce à lui. Alejandro venait donc de narguer, hey oui encore, la belle blonde, mais le marché était conclu et ensuite, ils divisaient ce qui restaient à faire et se donnaient un autre rendez-vous pour compléter le tout. Quelques semaines plus tard, les notes du travail furent affichés et devinez quoi, Alejandro et Milena avaient eu B+. De quoi réjouir l'Espagnol, qui devait maintenant un tour de voilier à l'Américaine. Histoire à suivre donc!



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