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(Cordélia) Choc improbable, retour impossible

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“Choc improbable, retour impossible"
Cordélia & Andréa
Emmitouflé dans ce que tu appelles ton armure contre le froid. Et là tu avais besoin d’un thé. D’un long thé bien chaud bien parfait pour combattre le froid. Alors, tu sortis de chez toi, un peu plus en avance que d’habitude, embrassant ton chien pour passer au café habituel. C’était devenu un très bon endroit où tu rencontrais du monde et chez qui, tu savais que tu passerais du bon temps. Aujourd’hui ne faisait pas exception. Avec ton bonnet, tu passas ta porte pour refermer ta veste en cuir et marcher, sac sur le dos en direction de cet endroit. Le graal pour certain, l’envie du monde pour d’autres. Tu n’avais pas réellement prévu d’y aller et malgré tes yeux fatigués, tu en sentais le besoin. Un souffle puis deux, tu ne mis pas longtemps à te rendre jusqu’à l’endroit de ta vie. Et finalement, une fois devant, tu as l’air con parce qu’il y a peu de monde. Merde ? Qui ne prend pas de boissons chaudes avant d’aller en cours, surtout par ce temps. Bande d’idiots. Tu regardes alors ton téléphone, rentrant dans le café, saluant les serveuses que tu commences à connaitre à force et finalement tu arrives au comptoir et tu ajoutes un   « Comme d’habitude Josie s’il te plait. » Et comme une bonne dame de cinquante ans, elle te réponds aussitôt qu’elle te le fait tout de suite avec le petit « prince » à la fin. Elle arrive à te faire rire en quelques secondes, elle est géniale. Tu remontes tes lunettes de soleil sur le crâne, regardant la veille dame faire ton thé. A vrai dire, tu enlèves que très rarement ses lunettes de soleil, à cause de tes yeux très fatigués mais pourtant, ce matin fait exception, contre toutes recommandations. Et quand ta commande est prête, tu ajoutes « Un demi sucre et un nuage de lait, t’es la meilleure Josie, merci. » Tu donnes un billet de trois dollars et comme toujours elle garde la monnaie. C’est comme ça et c’est toujours comme ça le matin. Ainsi, tu t’apprêtes à quitter les lieux, regard sur ton téléphone quand tu bouscules une personne. Aussitôt le thé asperge tout son entourage. Le sol, cette personne, toi. Et ton reflexe est presque naturelle, tu rattrapes la personne que tu bouscules faisant tomber ainsi le gobelet a terre pour se vider de son liquide. Dans la précipitation, tes lunettes de soleil sont tombés sur ton nez, et tu fronces les sourcils en détaillant la jeune femme que tu as attrapé. « Cordélia ? » Tu ne sais même pas si tu dois t’excuser ou non, mais tu la regardes et tu remontes aussitôt tes lunettes de soleil sur ton nez. Surement, avec, les gens pourraient te confondre avec Matt mais sans, vous avez juste les yeux différents, comme si les  yeux faisaient votre différence. Tu humectas tes lèves rapidement pour ajouter.  « Qu’est que tu fais là ? » Rien d’autre, juste ça, rien que ça. C’était tout ce qu’il fallait ce matin pour toi.

@Cordélia H. Da Silva
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Chaque matin c'était pareil. Impossible pour moi de rester seule, la solitude je la connais très bien. Elle me pousse vers ce côté obscur à révéler cette partie que personne ne connaît vraiment. Alors, j'avais décidé d'aller courir très tôt au parc et quand je dis très tôt, c'était vraiment tôt avant que le soleil se lève. En revenant chez moi, j'ai profité pour aller prendre une douche avant d'aller à l'hôpital. Cette chambre stérile, mon frère qui ne bougeait pas d'un centimètre. Je crois que je pourrais crier tellement ça me fait mal. Et, quoi moi je pouvais rien pour lui ? C'était comme ça. Tous les jours; j'attendais un coup de téléphone qui n'arrivait jamais. Sur le chemin du retour : je comptais rentrer chez moi, mais finalement j'ai fais un petit détour vers le café idéale était le bienvenue. Il y avait beaucoup de monde, mais ça ne m'arrêtait pas une seule seconde. La patience, c'était une de mes qualités. Je passais ma commande, enfin c'était pas trop tôt. Un grand café noir, s'il vous plaît. Merci. Je ne comptais pas rester ici, mais ou irais-je ? A la maison ? Au campus ? Peu importe, ici c'était parfait, parmi tous ces gens qui ne me connaissaient pas. Sauf, lorsque j'observe une personne, oui cette personne avait fait fort aujourd'hui. Andréa, le frère de Matt, mon seul unique amour. Cette amour perdue sans doute a jamais. Cela n'a jamais été l'amour fou entre Andréa et moi, peut-être se méfiait-il de moi ? Ben, de toute manière dans un couple on est deux pas trois. Tout ce qu'il arrive à me dire, c'est de savoir qu'est-ce que je faisais la ? Oui, c'est ça comme si j'avais envie de parler avec lui. Allez, allez, courage cordélia. Je savais très bien qu'en revenant dans la vie de Matt, sa famille était indispensable. Je fais un faible sourire, avant de pouvoir prononcer quelques mots. Ben, c'est un café donc, je suppose que je viens ici pour la même raison que tout le monde. Oh, un peu de sarcasme avec lui ? Est-ce vraiment nécessaire ? Quoi, il est peut-être malade mais je ne suis pas le genre à avoir pitié. Je connais ce sentiment, les gens ont changé après l'accident de mon frère et il était hors de question de paraître fausse. Quoi ? J'ai pas le droit d'être ici, je sais pas parce que vu ton regard, j'ai l'impression que tu a envie que je m'en aille. Si, ça ne lui plaisait pas alors il pouvait repartir. Bon, tu sais quoi : j'ai eu une très mauvaise matinée donc, on peut en finir vite fait ? Dis-je en buvant mon café. J'étais déjà très stressée, remplie de colère et de tristesse.

© LOYALS.


@Andréa L. Grimaldi
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Cordélia & Andréa
Tu n’aurais jamais cru que cela soit possible, revoir cette jeune femme, qu’elle soit en face de toi alors que tu lui as clairement indiqué que tu ne voulais plus qu’elle s’approche de ton frère, de ta famille ou même de la ville. Tu aurais dû la bannir quand tu étais à Monaco. Tu aurais dû, mais tu ne l’as pas fais pour Mat, tu ne l’as pas faire pour éviter d’avoir une guerre avec ton frère. Sauf que tu te rends bien compte que quand tu élimines quelqu’un, il revient aussi vite que la peste. Tu souffles un coup quand tu l’entends te marmonner cela et tu lèves les yeux au ciel. « Sans blague que c’est un café, que tu viens pour en prendre un. Ce que je veux dire, c’est que tu fais à Boston, à Harvard ?! C’est ça, ma question. Je m’en contre fou de ce que tu fais ici dans ce café. » Sauf que bien sur, tu es encore énervé du fait qu’elle soit là, et qu’elle t’est fait renversé ton thé. Maintenant, tu étais énervé pour quelque chose, toi qui t’énervait rarement et surtout toi qui venait de t’énerver pour pas grand-chose. Sans doute ton cœur, le fait que tu sois fatigué et assez peu heureux de découvrir ton liquide chaud par terre. Et elle en rajoute une couche, toujours, et encore. Pourquoi est-ce que Matt peut pas se choisir des ex petites amies convenables et correctes qui ne feront pas chier leur monde après ?! Sérieusement. Tu la regardes alors que tes bras se croisent sur ton torse  « Oui j’ai envie que tu t’en ailles ici, que tu t’en ailles tout court de la ville et maintenant. Mais grande sangsue que tu es, tu vas rester ici, donc cela ne sert à rien de discuter avec toi. » Tu es froid, direct et tu n’as aucune envie d’émettre un sourire face à la jeune femme. Mais pourtant, tu n’as jamais été comme ça, même avec une personne que tu détestes. Quoi que, c’est peut-être ça le souci, tu détestes personne, sauf elle et tes cousins, c’est tout. Tu fronces les sourcils.   « Très mauvaise matinée alors qu’il est 8 heures du matin… ? En fait, cela m’importe plus, j’ai autre chose à faire, vu que tu as fais tombé ma seule boisson chaude de la journée. » Bon et maintenant, tu mets ça sur son dos. Faut vraiment que tu apprennes à te calmer quelques choses pour éviter de sortir des trucs totalement cons. Enfin quoi que.. Peut-être pas si con que ça ..


@Cordélia H. Da Silva
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Dire que j'aurais pu commencer ma journée chez moi, il faut me rappeler de plus venir dans ce café. Pourtant, j'ai toujours été délicate et gentille, mais bon on accepte jamais les différences. Oui, j'avais un caractère de merde et alors ? Il se croyait parfait peut-être. J'avais en face de moi le frère de Matt, ce mec a toujours eu un don pour m'énerver. C'était comme ça, on n'y pourra rien changer. J'avais envie d'arranger les choses avec Matt, mais avec lui c'était pas la même chose. Le pire, c'est qu'il commençait à me chauffer, pas dans le bon sens. Quoi ? Je devais trembler face à Andréa ? C'était pas son titre de prince en carton qui me faisait peur. Oh, je devais lui rendre des comptes maintenant ? Bizarre, mais il me semble que celui à qui je dois des explications c'était Matt. Je levais les yeux aux ciel, histoire qu'il voit que j'en avais rien à faire de lui. "Hum..ce que je fais à Boston ? Et si tu allait te faire foutre, ça te paraît claire comme réponse ?" Et puis merde, il pensait pas que j'allais faire la faux cul non plus. Mais rien ne l'arrête, encore des menaces et des paroles de haine. il voulait avoir cette conversation, bon d'accord on va mettre les choses au clair. Il m'accuse de tous les mots, en dehors de mon histoire avec son frère, son café ou que sais-je ? Ça n'allait pas se passer comme il le voulait lui. J'en reviens pas d'être encore à ça, c'est toujours la même chose avec lui. Bomber le torse, les bras jointes sur son torse, oui d'accord on a compris l'image. "J'en ai rien à faire de ce que tu pense, occupe toi de ta vie minable et je te conseille de pas te retrouver sur mon chemin." Je souris comme une peste, j'en avais vue tellement faire. Je n'en étais pas une, mais la je n'avais vraiment pas le choix. "Oh et histoire que tu le sache, ce n'est pas un avertissement, c'est bien des menaces." C'était à mon tour maintenant de jouer les grandes, impossible de me contenir face à lui.

© LOYALS.


@Andréa L. Grimaldi
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Cordélia & Andréa
Niveau sarcasme t’es le meilleur. Niveau enflure aussi. Faut dire que tu as hérité de la meilleure des reines. Celle qui faisait trembler toute l’Italie avec ses punchlines de dingue. Mais d’un côté, devant une femme, tu n’as pas très envoyé de la renvoyer chier. Mais qui est -elle réellement pour parler ? Que dalle. Et elle sera toujours rien du tout à tes yeux, et ça depuis qu’elle a rendu ton frère fragile. Tu la regardes avant de commencer à rire. « C’est beau les mots que tu emploies devant le public. Tu as toujours été aussi vulgaire, c’est vrai que sur ce coup-là, je ne t’envie aucunement. D’ailleurs, rappelle moi de te donner des cours de bonne conduite pour éviter de faire honte à ma famille. Ah mais j’y pense, tu n’as plus aucun lien avec nous, quel idiot, excuse moi. » Tu laisses tes yeux dans les siens alors que tes bras se croisent, tu es calme, trop calme pour un matin alors que ton thé, ton précieux est à terre. Tu as juste envie de lui en mettre une. D’où elle te parle comme ça, heureusement que l’armoire à glace qui te reste de garde du corps reste à une distance convenable, il l’aurait surement tué, surtout pour s’adresser à toi de cette façon. Mais tu trouves ça drôle, tu souris même. T’es chiant le matin et encore plus face à elle. Tu penches la tête sur le côté pour ajouter. « C’est beau de savoir à quel point tu n’as pas changé d’un millimètre. Tu as cru que ma « petite vie minable » était moins importante que la tienne. Redescends sur terre Cordélia, tu n’es rien et tu ne seras jamais rien ici, ou même à Monaco. Tu sais que convaincre ses parents, est devenu mon meilleur passe temps. Surtout quand il s’agit de parler de mariage. Tu peux en seulement quelques petites secondes te retrouver en dehors des portes de cette ville, et ne plus jamais revoir Matt. » Tu attends une petite seconde avant d’ajouter « Alors tes petites menaces de pacotilles ne m’atteignent même pas, elles me font plus rire qu’autre chose d’ailleurs, mais le plus beau dans cette histoire c’est que le fait que tu sois rien dans sa vie, me remplit de joie et me procure un tel sentiment positif, que finalement, je peux même te laisser croire que toute ta vie, tu pourras la faire avec mon frère. Manque de bol, tu peux être virer de sa vie tellement vite. » Tu décides de baisser pour ramasser le gobelet et ainsi lui sourire. « Mais ne t’inquiète Cordélia, tant que tu ne l’approches pas et tant que tu ne m’emmerdes pas, tout ira bien pour toi. Dommage pour toi, tu as devant toi le futur Roi de Monaco qui a bien plus d’influence que ta petite et misérable existence. Comparer à toi, je peux faire ce que je veux ! et je le ferais si tu oses trop m’énerver. »Tu tournes la tête vers Josie qui te regardes et tu commences à rire « J’ai fais tomber mon thé, tu peux m’en refaire un autre s’il te plait ma petite Josie. » Tu te tournes ensuite vers Cordélia, qui te regarde. « Profite bien de tes derniers instants avec mon frère, si tu arrives à le voir avant que je parle à mes parents ! » Tu lui affiches toujours ce sourire alors que tu entends Josie te dire que le thé est prêt et finalement, tu recules pour le prendre, tu lui laisses un autre pourboire qu’elle refuse alors tu remets le billet dans ta poche pour revenir à la hauteur de Cordélia.

@Cordélia H. Da Silva
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