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We chained our hearts in vain × Cléhan

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We chained our hearts in vain
— with Clélia

Je n'avais jamais voulu aimer quelqu'un, je n'avais jamais demandé à souffrir.  Mais l'adolescence était l'âge de tous les possibles et mon cœur, que je pensais indomptable, est tombé entre tes mains. Alors j'ai tout fait pour toi, pour te plaire, pour être à la hauteur de tes attentes. J'ai joué le mec indifférent, le bad boy, décevant ma famille pour toi. Et, ce cœur qui était à ta merci, tu l'as réduit en charpie. Deux ans passés à t'aimer pour ne rien recevoir en retour. Tu as empli mon esprit de déception, de haine, de colère contre toi, contre le monde entier. Puis mon père est mort par ma faute et ça a été le coup de grâce, ne plus rien ressentir a été mon nouveau but dans la vie tout comme coucher avec le maximum de femmes, me perdre dans l'alcool, oublier de ma naissance jusqu'à aujourd'hui. Parce que ouais, aujourd'hui, j'avais réussi à aimer une nouvelle femme et elle m'avait quitté justement car j'étais un bad boy. A croire que mon passé me poursuivait partout, que tu me poursuivais partout. Alors, je ne sais pas pourquoi, ce soir là, je suis retournée à la source du problème et on a couché ensemble, comme si on ne pouvait plus se quitter, âmes damnées destinées à se rejoindre encore et encore. Puis, à l'aube, le soleil à peine levé, je me suis rhabillé avant de partir, te laissant sans explications, seule, comme tu l'avais fait pour moi il y a six ans. Moment que je n'avais toujours pas oublié. T'avais été mon premier amour, mon premier traumatisme. Et pourtant, en regardant ton dos nu avant de partir, je t'avais trouvé belle. J'avais admiré chacune de tes courbes, comprenant alors pourquoi j'avais succombé au premier regard. A ce moment précis, à l'instant où claquait la porte, je m'étais fait la promesse de ne plus jamais venir te voir. T'étais nocive comme femme, le genre qui brisait des cœurs, qui ne voulait que des histoires d'une nuit, tu me l'avais bien prouvé. Mais, maintenant, me voilà devant ta porte, la main levée, prête à frapper. Pourquoi ? Pourquoi est-ce que je revenais vers toi à chaque fois ? Tous les deux, on n'était pas des saints, personne ne nous aimait vraiment. C'était peut-être pour ça qu'on restait malheureux ensemble. Même si toi tu semblais te contenter de sexe. Finalement, ma main frappe trois coups et j'attends comme un homme attend sa sentence.

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L'histoire aurait pu être belle si les méandres de mon passé n'avaient pas éclatés au moment précis où j'avais réalisé, à l'époque, que j'étais amoureuse de cet ado. Ilhan Eastwood. Tout sonnait bien de mon côté, mais j'avais été trop dure et trop égoïste envers lui. Je relisais inlassablement les messages que nous venions de nous envoyer. Ilhan. Je ne pouvais pas le qualifier de connard, je ne pouvais pas l'insulter, ni dire du mal de lui. J'en étais clairement incapable parce que j'avais une part à assumer. Cet homme, c'était comme si c'était moi qui l'avait construit, qui l'avait façonné de A à Z. Petite adolescente, petite conne, petite fille idiote qui voulait tout pour elle, y compris l'âme de ce mec, dingue de moi. J'avais une part de responsabilité envers lui, oui je l'avoue. Mais je ne comprenais pas pourquoi tout nous ramenait toujours ensemble. Cette ville est pourtant grande et nous avons tous les deux des vécus très différents, mais rien y fait. On est là, on se retrouve, on se revoit, un regard et tout part en vrille. Comme si nos corps s'appelaient, comme si on était lié. Et il n'avait jamais connu la vérité. J'avais préféré me protéger et le protéger lui, de ma propre destruction. Je n'avais pas réalisé lorsque je l'avais quitté de l'importante blessure que cette séparation me causerait sur le long terme. Si la mort de ma mère m'avait aidé à reprendre ma vie en main et à me fixer des objectifs dans la vie, avec Ilhan c'était clairement différent. Je n'arrivais pas à avancer, je restais coincée, toujours au même point rouge.
Et cette dernière nuit passée en sa compagnie, magique et intense. Mais je le connaissais Ilhan, et je savais que je n'étais qu'un pansement de plus. A chaque fois c'était pareil avec lui, s'il revenait, c'était pour se rappeler à quel point il n'était pas seul. Miss Stonem était toujours à sa merci pour le consoler alors que je m'étais jurée de ne jamais recommencer. Et aujourd'hui c'était le jour pour enfin lui dire cela. Je n'étais plus capable de le revoir encore une fois pour coucher avec lui, un sexe intense, certes. Mais trop de sentiments remontaient à son égard et ça, j'étais pas capable de l'assumer. Il me voyait comme une vilaine sorcière, tant mieux s'il pensait ça d'ailleurs, c'était bien l'image que je voulais qu'il garde de moi. Je lâchais mon téléphone en entendant quelqu'un toquer à la porte. Il était déjà là. J'inspirais un grand coup avant de me diriger vers cette dernière. Je redoutais ce moment, ça faisait longtemps qu'on avait pas "parlé" tous les deux. Mais j'ouvrais quand même, découvrant un Ilhan avec un visage inexpressif. " Entre. " je le laissais passer, fermais la porte et croisant les bras, j'attendais juste qu'il rompt le silence. Qu'il me balance tout ce qu'il avait à me dire et qu'on en finisse.

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— with Clélia

Il n'y avait qu'une porte qui nous séparait et, tandis que j'entendais le bruit de ses pas, je m'efforçais de garder un air impassible. Hors de question de craquer, pas cette fois. Elle n'aurait pas un seul morceau de mon corps, mes lèvres ne toucheraient pas les siennes, nous resterions à parler, tels deux inconnus méfiants. Parce que, ouais, t'étais le genre de femmes dont fallait se méfier. Celles qui promettaient l'amour quand tout ce qu'elles pouvaient donner n'était qu'une nuit pleine de passion. Tu m'avais fait croire que nous deux c'était sincère quand, en fait, tu te foutais de ma gueule depuis le début. Mais bon, j'aurais dû m'en méfier. Comme d'habitude c'était de ma faute. Ce jour là, celui où tu m'as avoué ta faute, je me suis juré de ne plus jamais me retourner, de ne plus jamais t'accorder un regard, une parole. Et, regarde, je reviens devant toi, encore une fois j'ai fait le premier pas. Et toi t'es là, tu m'observes, comme si j'étais fautif. Mais ce n'est pas moi qui ait trahi l'autre, pas moi qui ait promis monts et merveilles pour ensuite tout gâcher. Non. Moi je t'ai aimé comme il n'était pas permis, jamais je n'avais joué mais fallait croire que j'étais trop con, trop jeune. « Ravi de voir que tu ne m'as pas laissé tomber... cette fois en tout cas ». Ne va pas croire que t'es devenu quelqu'un pour moi, que tout à coup je vais être gentil juste parce qu'on a couché ensemble encore une fois. Tu es et tu resteras la traître qui a brisé mon cœur, celle qui rouvrira les cicatrices à chaque fois que je la verrais. Même maintenant, six ans après, mon instinct me hurlait de te fuir, de dégager de là le plus vite possible. Mon cœur, lui, se serrait à nouveau. Comme si t'avais encore une emprise sur lui. Mais non, je ne veux pas. Il est hors de question que tu réapparaisses dans ma vie, que tu y foutes le bordel. « C'était juste pour m'assurer que t'avais compris que nous deux ça n'arrivera pas à nouveau. Cette nuit était unique, jamais plus je ne partagerais un lit avec toi ok ? Toute manière on sait tous les deux que t'es que de passage dans ma vie ». Peut-être que tu trouveras ça dur mais au moins je suis honnête. Je te dis aujourd'hui les choses que jamais je n'avais osé te dire, étant trop jeune à l'époque pour ouvrir ma grande gueule. Si tu savais comme je regrette de t'avoir connu, de t'avoir aimé. D'avoir été à toi tout simplement.

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Je venais de le faire entrer et à peine qu'il me frôlait pour passer, son odeur, son parfum, et même son aura me firent tourner la tête pendant une seconde. Tout me possédait. Mais il fallait que j'arrête, stop ! Ce soir j'allais tout mettre à plat, et nous nous arrêterions ici. Sans jamais nous reparler, ni nous toucher, ni même nous regarder une dernière fois, tout devait se terminer ce soir, une fois pour toute. Je devais me libérer de cette histoire et de cette pseudo culpabilité qui me rongeait, comme si je l'avais vraiment fait, le tromper. Jamais je n'aurais pu faire ça et s'il me connaissait réellement, il n'aurait jamais cru à ce que je lui avais dis. Mais on était ado et on était bête à l'époque. Je donnais aussi une très mauvaise image de moi, une image qui ne reflétait pas qui j'étais vraiment. Mais j'avais pas envie qu'il connaisse mes faiblesses. On pouvait dire que je gardais un véritable jardin secret, pas étonnant qu'il soit tombé fou amoureux de moi. Mais j'avais tout perdu... et je ne le méritais pas de toute façon. Ses paroles me firent l'effet d'un boum. Il était tellement froid, tellement lui en fait. Je fis une moue désintéressée, faisant comme si je n'avais rien entendu parce que je n'avais rien à lui répondre et je ne voulais pas balancer les premières hostilités. Et c'est lui de toute façon qui a commencé. " Ne t'en fais pas j'ai bien compris ça. Je ne suis qu'un pansement qui est là quand t'es pas bien et que t'as envie de te vider les couilles. Etrangement c'est toujours toi qui est revenu vers moi, moi je t'ai jamais rien demandé. Qui est revenu la première fois ? Qui est revenu la deuxième ? Et puis qui m'a envoyé le premier message pour venir me voir ?" parce que ce n'était pas de ma faut c'était toujours lui qui revenait, c'était toujours lui qui me rappelait qu'il existait et mine de rien, je ne pouvais pas me passer de lui. " Tu me rends dingue à faire dix milles aller retour par ci et par là. Mais ok j'ai compris que tu ne voulais plus, d'ailleurs moi aussi j'en ai plus envie." Je suis que de passage mon cul aussi. Ca faisait 7 ans maintenant, le passage se faisait bien long. " Ca a toujours été des erreurs de toute façon. " chuchotais-je tristement. Je prenais ma tasse de chocolat chaud entre mes mains, que j'avais laissé sur la table basse. Elle me réchauffait un peu plus le coeur face aux mots un peu cru que je venais d'entendre.

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J'encaissais ses paroles sans rien dire, la laissant continuer son discours, serrant des dents parce qu'au fond elle avait raison : j'avais toujours été celui qui était revenu vers elle. Cette révélation me fit l'effet d'un coup en pleine gueule. Mais mon visage resta impassible, je me contentais d'hocher doucement la tête en détournant le regard, passant ma langue sur ma lèvre inférieure. Qu'est-ce qu'elle voulait que je lui dise ? Que nous deux ce n'était pas fini ? Que c'était pour ça que je n'arrêtais pas de revenir vers elle ? Eh bien si elle croyait ça, elle se trompait du début à la fin. J'avais tourné la page il y a bien longtemps, enfin c'était ce que je croyais. « Bon bah comme ça c'est réglé, t'as plus envie, moi non plus, on peut continuer notre vie chacun de notre côté » lâchais-je, haussant les épaules, avant de me diriger vers la porte, la frôlant par la même occasion. Il était temps de partir, de refermer cette porte pour ne plus jamais la rouvrir. Mais quelque chose m'arrêta. La main sur la poignet, je sentais la colère monter en moi tandis qu'elle prononçait sa dernière phrase. Alors maintenant elle m'accusait ? Ne fais pas comme si j'avais causé ces erreurs, Clélia. On sait tous les deux que t'as merdé la première, que t'as mis fin à notre relation, que c'est toi qui m'a brisé le cœur, pas l'inverse. « On se demande à cause de qui ». murmurais-je, tournant la tête sur le côté. Puis, finalement, ma main lâcha la poignée lentement pour que je me retourne vers la femme que je pensais être toute ma vie à un moment. « Je te rappelle que tu m'as trompé, tu as fait en sorte que ça se termine, je n'ai rien à voir avec la fin de notre relation. Ne me blâme pas pour avoir été un type bien, contrairement à toi j'ai toujours été sincère, c'est toi qui t'es foutu de ma gueule. Si t'avais pas fait ça, on aurait... On n'en serait pas là. »

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Ma tasse ne réchauffait que mes mains, en ce qui concernait mon coeur c'était tout autre chose. Mon coeur se serrait lorsqu'il me répondait. Evidemment, j'étais la méchante dans l'histoire et en même temps, c'était mieux comme ça. Je ne savais pas vraiment pas pourquoi mais je préférais qu'Ilhan se dise que la réalité, c'était que je l'avais réellement trompé. Ca faisait 7 ans déjà, mais il n'avait toujours pas accepté cette trahison, comme une mauvaise pilule qui ne passait pas. J'en étais désolée mais je n'osais pas lui dire que tout était faux, que j'avais simplement inventé la première bêtise qui m'était sortit de la bouche pour qu'il s'éloigne, qu'il m'abandonne. Mais il ne me pardonnerait aussi jamais si je le lui avouais. A cause de moi il avait également souffert, et il avait presque du mépris pour les femmes 'de mon genre' comme il le disait si bien. J'avais causé bien des blessures chez lui, et c'est aussi pour ça que je m'en voulais gravement. D'une certaine manière, je ne voulais pas l'abandonner parce que tout ça, c'était de ma faute. Que ma faute. Alors lorsqu'il me balançait une bombe en pleine face, je ne pouvais que subir ma culpabilité. Il était prêt à s'en aller mais ma dernière phrase avait retenu son attention, j'en étais presque soulagée. Mais pas pour longtemps. C'était comme si toute sa haine sortait, des paroles qu'il n'avait jamais eu le courage de me dire avant. Etait-il temps de lui dire la vérité ? Il me détestait clairement. "Je... je...." Je ne savais même pas quoi dire. Deux options s'offraient à moi. Ou je gardais mon secret pour toujours et rien ne changerait, ou je disais enfin toute la vérité pour me libérer d'un véritable fardeau. Mais l'avouer serait revenir dans le passé... " C'est pas ce que je voulais entre nous, vraiment... je suis désolée Ilhan, pour le mal que je t'ai causé. Je te l'ai jamais vraiment dis à l'époque." Il l'avait été, parfait. Il avait tout fait pour moi et honnêtement, j'aurais tout fait pour lui aussi. Et voilà que mes foutus sentiments prenaient le dessus. " Si seulement tu savais." Si seulement tu savais que je t'ai jamais trompé. Si seulement tu savais tout. Mais je suis bien trop têtue pour l'avouer.

camo©015
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