Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityyou can not stop the future, you can not rewind the past. The only way to learn the secret ... is to press play. (ezra)
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you can not stop the future, you can not rewind the past. The only way to learn the secret ... is to press play. (ezra)

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Asra Osborne & Ezio Scorsese

Le Spring Break touchait presque à sa fin, signant un probable retour à la réalité plus que brutal. Ce petit voyage lui avait fait un bien fou, Ezio avait pu lâcher prise et se détacher d'une petite pression qui pesait sur ses épaules. Force tranquille dans l'âme, il n'était pas du genre à s'emmerder avec les cours ou l'université mais depuis quelque temps, la question de son avenir commençait à s’implanter dans son esprit détaché. Le Mather avait décidé de reprendre ses études de zéro et se retrouvait donc en deuxième année. Il ignorait ce que l'avenir pouvait bien lui réserver et pour l'instant, n'avait pas encore trouvé sa voie. Emprisonné dans un cercle infernal, il errait dans Boston à la recherche de voyage et d'évasion. Pas encore partit de la Jamaïque, il pensait déjà à son prochain départ. Le jeune homme avait besoin de se diriger vers l'inconnu, vers l'aventure. Il était crevé mais hors de question pour lui de rester cloîtré à l'intérieur. Il lui restait deux jours à profiter, deux jours de Spring Break qu'il n'allait certainement pas gâcher. Incapable de prendre la moindre décision, Ezio était dans l'ascenseur, le regard rivé vers le tableau de commande. Les portes s'étaient fermées depuis un bon cinq minutes. Il restait là, à fixer les boutons. Il aurait voulu réfléchir pour faire le bon choix, prendre une vraie décision, au moins une fois dans sa vie. Mais il n'y arrivait pas. Toujours très serein, il restait immobile, ses pensées ne voulaient pas s’éclaircir pour donner un sens à son raisonnement. Le Mather mit ses mains dans ses poches et se recula légèrement pour poser son dos contre le miroir glacial. Il soupira. Et alors qu'il se résignait à suivre son instinct, l'ascenseur se mit à monter délicatement. Il écarquilla les yeux. Voilà qu'il arrivait à faire bouger la cage par la simple force de ses pensées irrationnelles. Lorsque les portes s'ouvrirent, il vint rigoler en voyant qu'en réalité, c'était une vieille qui avait juste appelé l'ascenseur. Il plissa les yeux en la regardant entrer avant de lever son regard vers le couloir. Sixième étage. Ezio vint déglutir. La vieille appuya sur le bouton du rez-de-chaussé. Ses sourcils se froncèrent lorsqu'il vit les portes commencer à se refermer. « Oh et puis merde. » grogna-t-il avant de se faufiler entre les portes et de sortir de l'ascenseur. Le pas déterminé, il se dirigea vers la chambre 618. Une fois devant, il tapa doucement, regagnant le calme olympien qui le définissait tant. Des bruits de pas se firent entendre. La porte s'ouvrit lentement, laissant apparaître une sublime brune. Une minute. Une brune ? Le Mather entrouvrit la bouche, ne s'attendant pas vraiment à tomber sur une tête brune. Rapidement, il reconnut ce regard et cette bouche. Un mince sourire illumina son visage. Il prit appui contre le rebord de la porte et la regarda, amusé. « Si je m'attendais à te voir ici Osborne. » lança-t-il, le plus naturellement du monde. Ses yeux se levèrent vers la chambre, il n'y avait aucun bruit, elle était surement seule ici. Soit, il s'était trompé de chambre, soit Anja la partageait avec la petite Asra. Dans les deux cas, Ezio était refait de tomber sur elle. Son regard se reposa sur Asra tandis qu'il la balaya rapidement de haut en bas. Effectivement, le hasard faisait plutôt bien les choses pour lui. Putain, il avait oublié à quel point cette fille était sexy.

@Asra Osborne
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Ezio Scorsese & Asra Osborne

Tandis que tu attaches tes mèches brunes afin d'en faire un chignon, tu réalises que c'est le douzième jour du Spring Break qui touche presque à sa fin, ce dernier organisé par l'établissement dans lequel tu étudies, alias Harvard. Dis comme ça, on pourrait presque croire que tu sors tout droit d'une fiction d'une vie parfaite écrite par un adolescent, sauf que ça n'est pas le cas. Tu ne t'en vantes jamais, de cette expérience, puisque cela représente simplement pour toi le fruit de ton application et de ton dévouement dans tes travaux depuis toute jeune. Même si c'est pas facile tous les jours, ce statut d'étudiante dans l'université qualifiée la meilleure au monde ne te mène pas la vie dure. Loin de là, sachant que t'es quand même en Jamaïque, en train de te préparer pour aller déjeuner avec Soledad dans le restaurant de l'hôtel qui propose des plats typiquement asiatiques, parmi les cinq proposés. Dans lequel vous n'avez pas déjeuné depuis votre arrivée d'ailleurs, puisque votre ponctualité phénoménale fait qu'à chaque fois que vous vous y rendez le restaurant est déjà plein à craquer et que les réceptionnistes vous miment toujours la même chose — désolée pour ce midi, mais c'est mort, cependant n'hésitez pas à revenir demain un peu plus tôt ! Ils ont le don d'énerver Sole, puisque de plus la principale raison de votre retard a toujours été miss Asra qui n'est pas tout à fait prête. Tu en as conscience, mais vu à l'heure à laquelle tu te réveilles à chaque fois, tout ce temps que tu te mets à te préparer dépasse large sur la plage horaire idéale pour s'y pointer, à ce restaurant. Finalement, tu décides d'abandonner ce chignon et relâches toutes tes mèches sur tes épaules bien bronzées par le climat jamaïcain. Soledad t'interpelle, te dis de te grouiller et te voyant encore en train de chercher ta trousse de toilette, semble s'agacer avant de te prévenir de la rejoindre là-bas dès que t'es prête tandis que t'agrippes la trousse que tu recherches rapidement, que t'avais en fait posé sur une étagère de la salle de bain. T'entends Soledad qui claque la porte rapidement, semblant se précipiter pour se rendre à ce fichu restaurant. En attendant, tu commences à t'appliquer du mascara et te pomponner à une vitesse pas très convaincante alors si la blonde espère que tu te grouilles un peu, elle peut toujours attendre. Alors que tu t'inclines au-dessus du lavabo pour voir si ton maquillage est réussi dans le grand miroir, t'entends toquer à la porte de ta chambre. D'un simple geste de tes mains tu redisposes tes mèches brunes sur tes épaules et te diriges vers l'entrée, chaussée de tes tongs qui font un bruit insupportable contre la moquette, pour  ainsi venir ouvrir lentement la porte. Puis, découvrant ce visage qui t'est si familier à la porte, tu clignes des yeux de multiples fois, histoire d'être sûre que c'est pas une simple hallucination. Et bien non, c'est bien Ezio qui est en train de camper devant ta chambre, tandis qu'il semble étonné de te voir lui aussi. Tu ne comprends pas trop, mais c'est pas non plus trop désagréable de tomber sur lui, à vrai dire. « Et moi donc, Scorsese.. », t'exclames-tu en mimant des guillemets avec tes doigts lorsque tu prononces son nom, dans l'optique de te moquer de cette façon insupportable dont il appelle les gens par leur nom. « Et pourtant t'es bien à l'entrée de la fameuse chambre 618, dans laquelle je séjourne figures-toi ! », continues-tu tout en accompagnant tes derniers dires d'un ton toujours assez moqueur et en remuant ton doigt vers les trois chiffres incrustés dans la porte de la chambre, ne comprenant toujours pas très bien pourquoi il se pointe là sans être attendu à pouvoir tomber sur toi. Enfin, il n'est sûrement pas au courant de qui séjourne dans chaque chambre de cet hôtel, mais bon sang, qu'est-ce qui peut bien l'amener dans ce cas-là ? Tu lèves les yeux vers Ezio tandis qu'il dirige lui son regard vers ta chambre, enfin du moins celle dans laquelle tu cohabites avec Soledad, Noora et Anja. Quelque peu désordonnée par ailleurs, mais dans tous les cas tu ne sais pas trop ce qu'il peut bien chercher par ici. Quelqu'un ? Quelque chose ? Tu te poses des questions. « Bah alors, on est perdu ou quoi ? », questionnes-tu, ne voulant pas passer par quatre chemins. Tu relèves ton regard vers le Mather tandis que ce dernier semble te regarder de haut en bas, et vu comment tu l'as cramé ça a tendance à t'agacer. Tu le dévisages alors avec un air amusé, le sourire aux lèvres. Même si Soledad doit t'attendre déjà depuis quelques instants, tu t'apprêtes toi de ton côté à jouer avec le beau brun un petit moment. Ce restaurant asiatique pourra bien attendre.

@Ezio Scorsese
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Asra Osborne & Ezio Scorsese

Ezio avait pensé à tout sauf au fait que la petite Anja ne soit pas toute seule dans sa chambre. Pourtant il avait aussi un colocataire éphémère mais comme il n'était jamais dans sa chambre, il avait zappé ce petit détail. Un oubli qui le rattrapa bien vite puisqu'il fut confronté à Asra. La brunette lui ouvrit la porte et fut aussi étonné de le voir ici que lui, de tomber sur elle. Le Mather fut un peu prit de cours. Il avait limite préparé ce qu'il allait dire dans sa tête, la présence de la petite Osborne devant lui bouleversait tous ses plans. Il haussa un sourcil en l'entendant répondre et se moquer légèrement de lui. Amusé par cette rencontre impromptue, il s'appuya contre l'encadrement de la porte. D'une petite remarque, Asra lui confirma le numéro de chambre. Et merde, elle était donc la colocataire d'Anja. Elle lui demanda rapidement ce qu'il foutait là. Ezio se racla la gorge avant d'afficher un mince sourire, imperturbable. « Bah écoute, faut croire. J'me faisais chier alors j'ai tapé à la première porte qui venait et je suis tombée sur toi, le hasard fait bien les choses. » lança-t-il, l'air sur de lui. Menteur. Il rigola légèrement en la dévisageant de haut en bas. Quoiqu'elle fasse, Asra restait une fille particulièrement à son goût. Ce n'était pas pour rien qu'elle était son ex et qu'ils avaient vécut une histoire assez chaude et sensuelle sur Paris. Le temps avait joué en leur faveur et leur avait permit de rester en contact, nourrissant toujours un peu plus une amitié arrangée qui se transforma en confidence puis en confiance. Leur petite histoire remontait à quelques année et pourtant, elle lui faisait toujours autant d'effet, ses courbes félines semblaient l'exciter toujours autant. Ezio serra fortement sa mâchoire avant de reporter son attention sur son regard. Elle était dotée d'une beauté à couper le souffle, une beauté fatale. « Posso entrare nella tua camera? » siffla-t-il d'un italien parfait. Asra réveillait son instinct primaire et primitif d'un italien au sang chaud. En sa présence, c'était plus fort que lui, il retrouvait son petit côté macho et dragueur. Il venait de lui demander s'il pouvait entrer dans sa chambre mais en voyant qu'elle ne semblait pas comprendre, il s'humidifia les lèvres avant de reprendre d'un anglais pimenté de son légendaire accent. « J'peux entrer cinq minutes ou t'as déjà quelque chose de prévu ? » lui demanda-t-il. La brunette ne semblait pas contre le laisser entrer et d'ailleurs, elle se décala rapidement pour lui laisser le champ libre. Sans chercher à comprendre plus loin, il enleva son bras de l'encadrement de la porte et s'avança vers la chambre. Ezio passa à côté d'Asra et ne la lâcha pas du regard. Il afficha un sourire malicieux sur le bord de ses lèvres. Son corps effleura le sien tandis qu'il entra à l'intérieur. Il quitta les yeux de la brunette avant de regarder autour de lui. Il remarqua assez vite qu'il n'y avait pas deux mais quatre lits. Ok, c'était bien pour lui. Le Mather allait pouvoir s'en servir à son avantage. Machinalement, il s'avança vers le premier lit venu et vint s'asseoir sur le bord. Il posa ses mains légèrement en arrière pour prendre appui. « En fait, j'étais devenu demander un truc à Noora. » commença-t-il en reportant son regard sur elle. Après tout, Asra n'avait pas à savoir qu'il était venu voir Anja et comme cette dernière était toujours fourrée avec Noora, avec un peu de chance, ça allait marcher. « J'avais un truc à lui demander à propos d'une soirée mais c'est pas important, ça attendra. » argumenta-t-il en essayant de paraître convainquant. Si jamais la brunette lui demandait plus amples informations, il lui dira qu'il voulait connaître le jour où le concours de t-shirt mouillé allait se dérouler. C'était suffisant. Ezio essayait de détailler sa réaction, de voir si ce qu'il venait de dire était plausible ou non. Mais son regard bifurqua rapidement sur sa tenue. C'était plus fort que lui. Cette fille était la tentation incarnée et en plus de ça, elle était habillée court. C'était de la provocation, rien de plus. Elle faisait exprès de mettre ses formes félines en avant pour attiser la curiosité et l'envie des hommes. Ça marchait. « Finalement, c'est pas plus mal qu'elle ne soit pas là, on va pouvoir passer un petit moment ensemble, ça fait longtemps qu'on ne s'est pas croisé Asra. Comment tu vas, la mia principessa ? » lui demanda-t-il d'une voix charmeur et provocatrice. Ezio ne la lâchait pas du regard. Cette putain d'attirance charnelle était encore présente entre eux, même après toutes ces années.
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Ezio Scorsese & Asra Osborne

Toujours à l'entrée de ta chambre, ton regard reste captiver sur celui d'Ezio. Lui est toujours avachi contre l'encadrement de la porte, tandis que tu le regardes d'un air tantôt amusé, tantôt interrogateur. Il vient quand même de se pointer à ta chambre sans savoir que tu y séjournes, comme si ça semble pas logique. En effet, lorsque tu lui as ouvert la porte il n'a pas manqué de te faire savoir sa surprise, ce qui veut dire qu'il n'est pas venu toquer à cette dernière dans l'optique de venir à ta rencontre. Après lui avoir confirmé qu'il s'était bien pointé à la chambre dans laquelle tu séjournes, histoire d'assoupir ses doutes, tu n'hésites pas à lui demander ironiquement s'il est perdu. Tu arques alors un sourcil à sa réponse, le sourire aux lèvres tandis que lui se met à rigoler légèrement avant de te regarder une nouvelle fois de haut en bas. Et même si tu sais pertinemment qu'il vient de te sortir des conneries, quoique tu te poses des questions tu n'insistes pas, histoire de prétendre que tu veux pas en savoir plus. « T'as toqué à la bonne porte alors. », lui réponds-tu, toujours le sourire aux lèvres. T'aimes pas quand il te dévisage ainsi, ça te déstabilise. Car même si votre aventure à Paris c'est du passé, il y a toujours cette fichue attirance physique qui fait qu'à chaque fois que tu le vois, tu perds le contrôle. Tu perds le contrôle d'absolument tout. Pourtant, vous êtes avec le temps devenus de bons amis, voire des confidents, une relation où t'y vois que de l'amitié mais tu ne peux pas t'en empêcher, de ressentir ces sentiments, de te remémorer ces nuits passées, tu ne peux pas t'en empêcher quand ton regard croise le sien. Maudit sois-tu, maintenant que le voilà te dévorer du regard. Puis, histoire de t'aider à te concentrer sur sa présence tout en résistant à la moindre tentation de nouveau, il vient de te baratiner un truc que même si t'essaies de déchiffrer en vain, tu persistes à ne pas comprendre. « T'es conscient que j'ai rien pigé à ce que tu viens de dire, hein ? », questionnes-tu en rigolant. Tu es pas débile non plus, t'as bien compris qu'Ezio vient de te sortir un truc en italien, comme à sa grande habitude. Mais on t'a jamais enseigné la langue et t'es pas décidée à l'apprendre aujourd'hui, donc c'est un peu raté même si c'est assez sexy cette façon dont il siffle ses mots. Il finit par te traduire la phrase et tu lui fais une mimique en entre ouvrant la bouche pour lui montrer que t'as pigé le truc. « Entre, j'ai rien de prévu non. », lui réponds-tu alors en t'écartant du passage. Sur le moment, tu oublies bel et bien le restaurant asiatique auquel tu dois te rendre, mais Soledad est une grande fille et tu penses qu'elle va savoir déjeuner toute seule, alors tu prends ton temps à discuter avec le brun, vu que ça se fait de plus en plus rare ces fois où vous tombez l'un sur l'autre. Ezio entre donc en s'approchant rapidement de toi, puisque t'es pas toute mince et que c'est quasiment inévitable et vos corps s'effleurent, tandis qu'il plonge ses prunelles dans les tiennes. Merde, quoi. Tu détournes donc rapidement le regard vers la chambre tandis qu'il t'imite, une fois entré. Lui s'assied sur le premier lit qui se présente. Celui d'Anja. T'en as aucune idée de la réaction de la blonde si elle venait à apprendre qu'un inconnu s'est assis confortablement sur son matelas. Au pire, elle n'en saura jamais rien. Surtout que si ça se trouve, Ezio n'est pas inconnu d'Anja, puisque visiblement le brun n'est pas venu pour toi mais alors sûrement pour l'une des trois autres filles avec lesquelles tu cohabites. Tu détournes le regard pour te libérer de tes pensées et t'approches à ton tour du lit sur lequel Ezio a posé son cul. Tu le fixes tandis qu'il semble en quelques mots répondre aux questions qui te trottent dans la tête, la plupart à propos de la véritable raison pour laquelle il s'est pointé. Noora ? Tu ne savais même pas qu'ils se connaissaient. Puis après tout ce sont tous deux des Mather donc finalement, c'est pas si étonnant. Encore moins quand il te déclare que c'était pour lui poser une question à propos d'une soirée, non mais voyez-vous ça. Un véritable petit vert. L'explication semblait convaincante, tu hausses les sourcils avant d'hocher la tête en guise d'acquiescement. « Ok, je te crois. Stresse pas Scorsese, t'as ma confiance. », lui réponds-tu tout en ricanant légèrement et en lui adressant un regard amusé. Pendant quelques secondes le brun t'eut regardé d'une façon si étrange que tu préfères le mettre dans une relation de confiance, histoire qu'il soit sûr que tu le crois, ce qui est le cas. Ezio n'a pas besoin de se justifier d'autant plus et il le sait. Ce que tu peux bien t'en moquer de ses affaires, après tout. Tandis que ton regard se dirige une nouvelle fois sur la Mather, le sien en revanche semble se diriger sous ta nuque. T'es un peu gênée sur le coup, mais tu n'en laisse pas paraître moindre. Tu esquisses alors un sourire en coin, assez amusée par le fait qu'il est quasiment en train de te mater. « C'est sûr que ça faisait déjà un moment. Je me porte pour le mieux, et toi ? », lui questionnes-tu à ton tour tout en t'approchant un peu plus. T'as toujours le sourire aux lèvres, tandis que tu le dévores du regard. Même deux ans plus tard, certains sentiments semblent être restés intacts. Il est attractif ce gars et il t'attire, ça c'est sûr. Mais coincés dans une pièce composée principalement de quatre lits, comment comptes-tu t'y prendre ? C'est presque cosmique comme message, tandis que la situation risque de s'intensifier si tu ne fais rien pour que plus rien ne persiste à se passer entre vous deux. La tâche va s'avérer être plus difficile que tu ne le penses, en commençant par rester plantée là à le regarder comme une débile.
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