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leave the past where it belongs (andrea)

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leave the past where it belongs.
Trois longues heures de littérature anglaise à la suite. Une torture. Le retour du Spring Break c’était fait sans difficulté contrairement à la reprise des cours. Ta feuille ressemblait plus à une oeuvre d’art, avec quelques annotations par-ci, par-là. T’étais une passionné de littérature, tu ne pouvais le nier, cette familier t’intéressait autant que l’astronomie. Mais tes idées n’étaient pas encore totalement clair et le retour brutal à la réalité n’avait en aucun cas facilité les choses. Tu comptes les heures, puis les minutes et finalement les secondes lorsque la fin approche. Ton regard ne cesse de fixer l’horloge accroché au mur en face de toi. Le cours se termina enfin, te libérant de cette souffrance psychologique que tu subissait depuis le départ. T’exagérés évidemment, mais pas tant que ça. Tu te hâtes de mettre toutes tes affaires dans ton sac avant de te diriger vers la sortie. Le soleil commence doucement à se faire plus présent à Boston, et ça te rends tout de suite de meilleure humeur. Le contraste aurait été trop dur si la pluie avait été de la partie à ton retour de la Jamaïque. Tu retires ta veste, laissant tes bras déjà légèrement bronzés, profité un peu plus des rayons du soleil. Tu slalomes entre les allées afin de retourner jusqu'à ta confrérie. Tu balayes l’université du regard, avant de reporter ton attention sur un objet qui glisse de la poche de l’inconnu devant toi. Tu t’empresses de récupérer ce qui était tombé : un porte-feuille. Merde. Tu te mets à courir pour rattraper le jeune homme, tapotant sur son épaule pour le faire réagir. « Excuse-moi t’as fait tombé ça. » Ta phrase se termine dans un murmure. Ton coeur rate un battement.Tu clignes plusieurs fois des yeux, espérant que tout ça n’était qu’une hallucination passagère. Mais non, Andrea se tenait bien devant toi. « Andrea … mais .. » commences-tu en balbutiant. Tes idées s’embrouillent, tu peines à trouver tes mots. Tu ne comprends pas ce qu’il faisait là. Au dernière nouvelles, il était à Monaco. Qu’est ce qu’il faisait à Harvard ? Il venait voir Ezio peut-être .. Il n’allait pas resté longtemps .. Tu tentais de canaliser tes émotions pour ne pas te laisser submerger par ses dernières. « Ca fait longtemps.  » finis-tu par dire. Trop longtemps ou peut-être pas assez. Tu ne t’étais pas préparée à ces retrouvailles et ça devait sûrement se lire sur ton visage.

@Andréa L. Grimaldi :kissme:
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“leave the past where it belongs"
Noora & Andréa
L’université t’avait fatigué aujourd’hui. A croire que ton cœur avait du mal à survivre avec ces hauts le cœur et ce stress constant. Et finalement, tu étais rentré plus tôt. Tu ne te sentais pas bien, tu n’étais pas vraiment heureux de quitter la classe comme ça, mais c’était bon quoi. Tu soufflas doucement, mettant tes mains dans tes poches, tu sortis en même temps que tout le monde. Toi qui devait finir plus tard, tu avais de la chance de finir plus tôt. Tu pris une petite seconde pour commencer à marcher, préférant éviter la foule, mais c’était bien trop tard. Une seconde plus, te voilà en dehors de l’enceinte universitaire et tu entendis une voix. Ce n’était pas une voix désagréable, loin de là, c’était plus du genre une voix sensuelle, timide et déterminée. Tu tournas la tête vers la personne, elle avait du mal à terminer sa phrase. Et qui l’aurait cru que tu puisses croiser Noora ici. Noora. Cette petite islandaise rencontré dans un des bars de son pays alors tu étais venu en voyage officiel avec ton père. Sauf que bien sur, tout était plus complexe, elle avait été l’une de tes premières copines officielles. Tout le monde voyait le mariage, les rencontres avec les différents chefs d’Etat, mais tout se stoppa, tu stoppa tout. Mais tu étais du genre à être plutôt choqué mais là ton cœur te faisait peur. Tu avais mal à la poitrine et pourquoi. Tu souffles lentement et silencieusement avant de la regarder. « Oui .. Longtemps .. Très longtemps. » Tu humectas lentement tes lèvres avant de sentir ton cœur repartir normalement. A croire que l’effet que Noora te faisait été encore présent en toi. Tu pris alors ton porte feuille avant de le mettre dans ta poche mais finalement, tu baissas les yeux vers le sol une seconde. Maintenant exprime toi Andy. Alors c’est ce que tu finis, tu ne pouvais pas la regarder dans les yeux, mais tu essayas de la regarder quand même. « J’aurais du t’appeler après, excuse moi .. Ce n’était pas très juste la façon dont on s’est quitté .. La dernière fois. Je suis désolé Noora.. Mais qu’est que tu fais là ? T’es à Harvard toi aussi ? » Tu fronças les sourcils avant de regarder les quelques personnes autour de toi. Et dire que d’être prince est aussi chiant. Tu aurais tellement pu lui dire autre chose, mais le monde autour de toi, te fait tourner la tête. « Si tu as le temps .. Je peux peut-être t’offrir un café non ? Pour .. Discuter.. » Et dire que ta mère avait été d’accord pour elle. Merde, encore une belle erreur de ta part. Il fallait vraiment que tu choississes des femmes magnifiques comme petite amie mais que tu ne décides jamais à passer le pas pour le apprendre ta maladie. Peur qu’elle s’en aille, peur de destruction, tu n’en sais rien finalement .. Tu avais juste peur qu’elle t’abandonne, alors tu as préféré le faire toi-même..

@Noora Mohn
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leave the past where it belongs.
Tu n’arrivais pas à réaliser qu’Andrea se trouvait devant toi. Ton cerveau avait du mal à assimiler la nouvelle. Si t’avais été audacieuse tu l’aurais même touché pour voir s’il était bien réel. Mais tu ne pensais pas que ce soit judicieux de renouer le contact aussi brutalement. La subtilité n’était pas ton fort, mais étrangement c’est quelque chose que tu as su développer à ses côtés. Le revoir ici te ramenait à un passé qui était à la fois heureux et douloureux. Tu te souviens de cette rencontre étrange dans un bar en Islande .. Il était apparu dans ton champ de vision comme une illusion alors que tu te laissais submerger par les souvenirs de ta défunte mère dans un coin du bar. Il avait été cette bouffée d’air frais dont tu ne pensais pas avoir besoin et pourtant il t’avait ouvert les yeux sur pas mal de chose. Andrea n’était pas comme tout le monde. C’est un prince. Pas comme ceux qu’on voit dans les dessins animés, non il était comme tout les autres garçons à l’extérieur. Il avait juste beaucoup plus de responsabilités et de maturités que les garçons de son âge. T’as eu peu au début de cette notoriété. De cette exposition médiatique constante. Tu n’étais personne. Juste une fille qu’on aurait qualifié de paysanne il fut un temps. Tu n’avais rien de la princesse que les petites filles s’imaginaient. T’étais brisée et tu ne rêvais pas à une fin heureuse comme il pouvait y avoir dans les comptes de fées. Mais il a su t’apporter quelque chose de nouveau et tu ne pourras jamais assez le remercier pour ça. Il s’excusa comme s’il devait porter le poids de votre séparation tout seul. Pas du tout, il avait certes décider de mettre un terme à votre relation, mais en aucun cas tu voulais qu’il se sente le seul fautif .. Tu n’as pas toujours été tendre avec lui, ton incompréhension face à la situation t’avais rendu aigrie .. Les notes avaient souvent dépassés ta pensée, mais il ne t’en avait jamais tenu rigueur et c’est ce que tu aimais chez lui. « Andrea, je ne t’en veux pas. » dis-tu finalement avant de venir poser ta main sur son bras. Ce contact te fit frissonner. « Je ne t’en ai jamais voulu. Alors s’il te plait ne t’excuse pas. » Tu ne voulais pas qu’il se sente mal. T’as toujours voulu le rassurer et ça ne changerait pas. Ces questions t’amusèrent. C’est vrai que tu n’avais pas parlé souvent d’Harvard lorsque tu l’avais rejoins, préférant taire certaines choses sur ta vie. Malgré une relation sur le long terme, il t’avait fallu du temps pour t’ouvrir au jeune homme et tu n’avais pas eu le temps tout lui raconter. « J’étais à Harvard bien avant notre rencontre. Ce qui est plus étonnant c’est de te voir ici. Tu viens pour les affaires ? » En tant que successeur légitime, Andrea devait apprendre à gérer les affaires familiales pour pouvoir prendre la relève. Il te proposa d’aller boire un café. T’hésitas quelques secondes. T’avais peur de rendre la situation gênante ou te dire ce qu’il ne fallait pas, mais ça faisait tellement longtemps que t’avais besoin de savoir ce qu’il lui était arrivé depuis tout ce temps. « Avec plaisir. Suis-moi il y a un Starbuck pas loin. » Le poussant gentiment vers la direction du café, tu te dirigeas le plus naturellement possible jusqu’à ton endroit favoris. Le Starbuck était devenu un peu comme ta deuxième maison depuis que tu ne faisais plus qu’un avec le café, alors il était facile pour toi de l’emmener là-bas. Alors que vous faisiez la queue pour commander vos cafés, tu ne pus t’empêcher de lui poser des questions. « Comment vont tes parents ? Et ton frère toujours aussi dragueur ? » Tu connaissais bien Matt, il était aussi beau que son frère, mais un peu plus dragueur et beaucoup moins stable. T’avais du mal à te dire quand quelques secondes t’allais pouvoir renouer avec une partie de ton passé.  

@Andréa L. Grimaldi :kissme:
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“leave the past where it belongs"
Noora & Andréa
Qui aurait cru que tu revois ta petite islandaise à l’université. Qu’est que tu croyais en fait en venant ici ? La paix, les palmiers et des filles inconnus ? Non mais sérieux. C’est impossible pour toi. Tu baisses la tête en l’entendant. Elle a tout faux, enfin d’après toi. Tu t’étais toujours dis que finalement c’était mieux de la tenir à l’écart de tes problèmes de santé, même si tes parents l’adoraient, même si finalement, ton peuple l’adorait Mais surtout, même si tu l’aimais fortement. Cela dis, tu t’étais toujours demandé ce que ta vie aurait été si tu aurais continué ta vie amoureuse avec elle. Malheureusement, personne ne le sait réellement. Tu la regardas, bien que cela soit complexe, tu ne savais aucunement comment parlé avec elle, ni quoi lui dire. Elle te dit qu’il ne fallait pas que tu t’en veuilles, mais c’était plus facile à dire qu’à faire en fait. Mais bon, tu lui souris en coin. Elle avait toujours été elle-même avec toi et contrairement à toi, elle avait toujours été honnête avec toi. Tu fronças les sourcils à sa révélation avant de sourire un peu plus. Tu t’en voulais un peu de ne pas avoir réellement parlé de ça avec elle, elle qui était très secret avec toi, mais tu ajoutas une réponse à sa question. «Aucunement non, je suis pour les études. J’ai convaincu mes parents de venir ici. Du coup je suis là avec mon frère. On finit nos études ici avant de repartir au pays.. » Ou avant de mourir, mais ça, elle n’est pas obligé, tu souris faiblement à ta propre réponse. Tu passas rapidement ta main dans tes cheveux pour ensuite lui proposer un café. Après tout, tu étais gentil non ? Et puis tu avais envie de le faire. Tu attendis qu’elle te réponde, alors que tu hochas la tête positivement pour prévenir d’un signe de tête tes amis. « Allons’y alors ! » Tu commenças alors à marcher vers le Starbucks. Tu n’étais pas si heureux de ça finalement de te rendre dans un lieu aussi heureux, mais il fallait lui faire plaisir et même si tu pouvais être connu, c’était agréable aussi de sortir avec elle, comme dans le bon vieux temps. Tu lui ouvris la porte pour la regarder et la laisser rentrer et prendre place dans la file. Quand elle commença à parler de ton frère, tu eus un pincement au cœur, elle parlait de tes parents et de Matt plutôt que de parler d’elle, c’était toujours comme ça. Mais tu lui souris en coin. « Ils vont bien oui. Ils sont toujours à Monaco. Je suis sur qu’ils seront ravis de te revoir si tu passes un de ses jours. Et puis Matt, reste Matt hein .. » Tu rigolas à la chose avant de sourire. Il s’agissait de votre tour, alors, tu la regardas pour qu’elle commande en premier, quand ce fut ton tour, tu fis de même. « Un thé citron s’il vous plait, sans plus. Merci » Tu souris aussitôt pour payer ensuite. Tu n’allais pas la laisser payer quand même, non certainement pas toi. Tu décidas de te décaler avec elle, vers la réception de la commande et ensuite, tu te tournas vers elle. Elle n’avait pas changé non, toujours la même. « Et toi ? Comment vas-tu ? Qu’est que tu fais maintenant ? .. » Merde, calme toi avec tes questions omg, stop même, elle va te prendre pour un fou. Mais tu avais tellement envie de savoir maintenant que tu l’avais retrouvé..

@Noora Mohn
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leave the past where it belongs.
T’appris en fin de compte qu’Andrea était venu étudié à Harvard ainsi que son frère. Tu fus surprise de cet aveux, toi qui vous pensais encore proche, tu fus surprise de comprendre que non en fait. Mais tu ne fis aucun commentaire, bien trop heureuse de revoir le jeune homme. Tu l’amenas directement au café le plus proche, espérant que personne ne le reconnaîtrait immédiatement. T’avais l’habitude des photos, des rumeurs et de toutes ces choses qui rythment sa vie au quotidien .. Lui qui était tout le temps en colère en lisant ces torchons, t’avais appris avec le temps que tous ses dires lui faisaient plus de mal à lui qu’à toi. Bien évidemment qu’au début tout ça t’avait déstabilisé .. Voir ton visage dans les magazines people n’avait pas été une partie de plaisir, mais tu as su relativisé en apprenant à faire confiance à Andrea et en lui montrant chaque jour qu’il pouvait te faire confiance. Tu ne l’avais jamais trompé, tu n’étais jamais sorti avec lui pour l’argent .. Rien de tout ça n’avait été vrai. Tout ce qui t’intéressait c’était lui et rien d’autre à l’époque. En arrivant au Starbuck, tu ne pus t’empêcher de demander des nouvelles de sa famille. Rapidement t’avais été adopté par la famille d’Andrea. Sa mère avait tout de suite vu en toi cette fille qu’il manquait à son petit prince. Tu n’avais jamais voulu être cette fille comme elle disait. Tu vivais tellement au jour le jour, que tu ne t’imaginais pas un jour la bague au doigt et puis mariée à quelqu’un. Tu ne voulais pas de tout ça, surtout pas à ton âge. T’avais le temps … Mais être en bon terme avec ta belle-famille n’avait fait qu’ajouter ce petit plus pour que tu restes un peu plus à Monaco. « Promis. Je passerais les voir si je passe un jour sur Monaco. » Tu te retrouvas finalement en face de la serveuse et tu commandas un café crème, comme d’habitude. Le café et toi c’était devenu sérieux, une histoire d’amour sans faille et t’étais sur qu’il ne te décevrait jamais. Le jeune homme se dépêcha de payer avant toi et tu le poussas doucement en secouant la tête. Toujours le même à ce que tu vois. « Merci. » dis-tu tout en récupérant ta boisson chaude. T’attrapas du sucre et une cuillère avant d’être assaillis de question de la part du prince. Tu ne pus t’empêcher de rigoler. « Doucement. Je répondrais à toutes tes questions, mais on va s’asseoir avant. » proposas-tu en te dirigeant vers une table libre au fond du magasin. Tu tiras la chaise avant de t’assoir, reprenant dans l’ordre les questions d’Andrea afin d’y répondre rapidement. « Alors je vais bien. Je viens à peine de rentrer du Spring Break alors je t’avoue que mon moral est au plus haut. » avoues-tu tout sourire. Tu n’avais jamais caché ton goût pour la fête au jeune homme et tu avais même réussi à l’entraîner à quelques soirées quand tu étais à Monaco. Evidemment Andrea aimait faire la fête aussi, mais ces fêtes et tes fêtes ne se ressemblaient pas vraiment pour tout avouer. « Je suis en cinquième année d’astronomie. Je ne t’apprends pas que je suis une passionnée des astres. » Il y avait cette terrasse chez lui où souvent vous vous retrouviez en tête à tête et tu te perdais rapidement dans le ciel étoilé. T’avais partagé ton amour des étoiles avec le jeune homme, en lui apprenant quelques trucs, c’était votre moment à vous où rien n’avait d’importance. Soufflant sur ton café, tu pris une gorgée avant de lui sourire. « Je suis à la Mather House depuis mon arrivée à Harvard. » T’espérais qu’Andrea n’avait pas rejoint les Eliot, mais au fond de toi tu savais que si. Andrea était un Eliot par son statut, il n’avait sa place que là-bas et chez les Quincy à tes yeux. « Sinon rien de bien intéressant. Une vie tout à fait banale. » avoues-tu au jeune homme. « Et toi alors ? Comment ça se fait que tu as rejoins Harvard ? Les écoles à Monaco ne te convenait pas ? » Tu te doutais bien que non, qu’il avait quelque chose d’autre derrière cette inscription ou peut-être que non. « Au fait, pourquoi tu ne m’as plus envoyé de messages ? » Tu mettais les deux pieds dans le plat, mais t’avais besoin de savoir pourquoi il était devenu si silencieux du jour au lendemain.

@Andréa L. Grimaldi :kissme:
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Noora & Andréa
L’islandaise était elle-même, toujours appréciée par tes parents malgré le peu de chance que tu avais laissé à votre couple et le simple fait qu’elle veuille bien revoir tes parents te faisait sourire. Elle qui avait toujours été très sympa avec tes parents. Et même si tes parents étaient Roi et Reine, ils avaient leur manière à eux d’introduire quiconque de ton cercle trop rapproché à se joindre à eux lors d’un diner, d’un déjeuner, d’une sortie, comme des beaux-parents normaux finalement. Mais cela te faisait du bien aussi, cela prouvait qu’elle ne t’en voulait pas. Enfin si quand même, mais pas trop quand même. Maintenant que vous êtes bien arrivé, tu as moins la pression des appareils photos qui pourraient se trouver ici. Ils étaient discrets, parce que tes parents avaient demandé à ce qu’il soit discret. Non pas qu’ils arrêtent leur travail, mais juste de ne pas briser ton rythme de vie ou celui de ton frère, c’était une chose que tu supportais difficilement en fait, et Matt arrivait souvent à se faire remarquer rien qu’en sortant de l’université. Alors, après avoir payer, tu te sentis légèrement partir, pas trop fort, assez pour te faire sourire. Tu embrassas ta réflexe son crâne pour te diriger à la réception de la commande. Et une fois le gobelet dans la main, tu pris le sucre et tu commenças l’interrogatoire. Manque de bol pour toi, elle t’arrêta pour rire. Et crotte, inspecteur Andy au rapport. Mais bon, cela te faisait sourire et elle choisit cette table, au fond du magasin, un peu isolé, tu te rendis compte que les habitudes de Monaco étaient encore présentes en elle. Tu t’assis, en face d’elle, dos à la salle pour lui sourire en coin.  « Allez réponds maintenant » Tu déposas le demi sachet de sucre à l’intérieur de ton thé alors que tu touillas légèrement avec le morceau de bois que tu avais dans la main. Tu prenais toujours la même chose, thé et non café, tout simplement pour éviter à ton cœur d’accélérer trop vite. Ca c’était une chose que tu détestais. Et contrairement aux autres, tu le sentais plus que n’importe qui. Quand elle fut enfin assise, tu pris la position d’écoute que tu avais toujours avec elle, pour l’écouter parler, l’entendre dire qu’elle venait de rentrer du SB, comme Ezio d’ailleurs. C’était plutôt cool en soit. Elle s’amusait ici, c’était bien.  « Et c’était comment ? Tu t’es éclaté ? » Toi contrairement à elle, ces deux semaines avaient rythmé différemment, vu que tu avais interdiction d’y aller malheureusement, chose impossible à penser pour toi mais un jour, peut-être en dernière année, tu y iras t’éclater sur l’une des plages avec ton meilleur ami et ta meilleure amie, qui sait. Mais en attendant, tu l’écoutas avant de hocher la tête.  « Oui, c’est vrai. D’ailleurs, ça se passe bien ? C’est pour trop dur ? Je t’avoue que je n’ai pas spécialement regardé le programme d’astronomie cette année, j’étais un peu .. » Toujours à parler d’elle, toujours, tu préférais parler d’elle, tu préférais l’écouter, plutôt que d’enchainer sur toi. Et contrairement à la moitié des hommes, tu adorais écouter les choses. Une de tes plus grandes qualités d’après ton père. Tu pris une petite gorgée de ton thé avant de l’entendre sur la Mather House. Et merde, mais il fallait s’en douter. Elle était comme ça Noora, elle avait toujours été comme ça et contrairement à ce que tu aurais pensé, elle l’avait sa place. Sa petite place de verte dans les gênes.  « C’est cool, je suis content pour toi. Les Mather te correspondent très bien en plus, c’est génial. Tu séjournes chez eux du coup ? » Et tu souris lentement. Tu n’allais pas l’engueuler ou quoi que ce soit, non, c’était pas ton genre, encore moins celui de l’ex, complètement fatigué par tous les évènements de la journée. Mais cela te fait rire quand elle annonça sa remarque.  « Une vie banale, pas si banale que ça quand même. » Tu lui souris un petit peu plus pour porter ton gobelet à tes lèvres et ainsi pouvoir profiter de ton thé. Les questions retournés étaient une chose simple dont tu apprenais à répondre avec moins de difficultés que ceux de ta maladie et par chance, elle n’était pas encore au courant et sans doute qu’elle ne le saura jamais. Tu n’avais jamais voulu lui dire, tout simplement parce qu’il s’agissait de Noora, et elle était juste l’une des premières personnes à te sentir, unique, différent et heureux. Alors bien sur, tu avais évité le sujet des dizaines de fois avec tes parents et aujourd’hui, tu regrettes quand même, peut-être qu’elle aurait compris, peut-être qu’elle aurait accepté. Mais c’est trop tard. Tu secouas légèrement la tête pour revenir à elle.  « Bah écoute, j’ai quitté Monaco parce que l’université là-bas ne m’apportaient pas vraiment le plaisir des études. C’était plus une corvée et puis, je revenais de trois ans de voyage et j’avais besoin de me vider la tête, j’avais besoin de liberté, chose que mes parents comprirent alors j’ai envoyé ma lettre à Harvard et Matt est venu avec moi. Ca aurait pu être banal aussi pour n’importe qui, mais disons que cela plus intéressant de perfectionner mon anglais ici plutôt que de parler français là-bas. » Bon, tu parlais plusieurs langues, beaucoup trop de langues d’ailleurs. Tu avais même commencé l’islandais, mais tu avais vite arrêté, parce que c’était beaucoup trop compliqué et difficile à parler. Mais tu avais essayé. Tu lui souris, prenant une autre gorgée de ton thé alors qu’elle posa la question. Tes yeux se levèrent sur elle, alors que tes lèvres étaient encore déposées sur le gobelet, tu avalas rapidement pour la regarder. Que dire de cette question. Cette question qui t’avait finalement posé soucis le jour où tu avais décidé de mettre un terme à tout ça, à votre relation, à votre alchimie et même à votre idylle devant toutes ses personnes qui pensaient que tu allais lui mettre la bague aux doigts..  « Je sais pas.. J’ai, sans doute, paniqué. Je sais pas Noora. Je voulais pas te faire de mal et puis je venais de rompre avec toi, alors je voulais pas que tu prennes ça pour de la pitié ou autre. Je m’en suis voulu, beaucoup.. Mais je sais pas, j’aurais du peut-être, j’en sais rien. » Ta main passa sur ta nuque, alors que tu la grattas légèrement, signe aussi de stress, merci pour la question d’ailleurs. Mais c’était une question directe, à laquelle tu aurais du t’attendre. Même si tu n’étais plus avec elle, tu avais beaucoup trop faibli durant cette période, qui t’avait amené à l’hôpital. Lui dire cela, n’aurait pas été solution, et tu ne savais pas comment elle aurait réagit si tu lui avais un message banal comme le tout premier message que tu lui avais envoyé ..

@Noora Mohn
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Le passé n’est jamais bon à ressasser. Il ne reflète que nos erreurs et un bonheur qui n’est plus aujourd’hui. Pourtant, ce passé commun qui vous lit avec Andrea, tu ne l’as jamais oublié. Il est encré dans ta mémoire au stylo indélébile. Tes mains entourant le gobelet de café fumant, tu fis part de tes activités de la semaine dernière à ton ex petit ami. Le Spring Break devient rapidement un de vos sujets de conversations, mais tu sembles être la seule à avoir profité de cet événement connu. Tu penches la tête sur le côté observant ses tics que tu connaissait encore parfaitement. Tu vins replacer une mèche de cheveux derrière ton oreille avant de lui répondre. « C’était bien. Epuisant évidemment, mais bien. » avoues-tu à demi-mots. Tu ne préférais pas l’embêter avec tes soucis et tu voulais absolument éviter une discussion gênante. Andy continuait son interrogatoire et tu ne pouvais t’empêcher de lui sourire. Il avait cette fâcheuse tendance à adorer parler des autres, mais peu de lui. Tu ne lui en avais jamais tenu rigueur. Pas que tu adorais parler de toi, mais tu savais contourner les sujets sensibles sans pour autant venir à parler de lui. Tu laisses ton dos reposer contre le dossier derrière toi avant de venir souffle sur la fumée s’échappant de ton gobelet. Il ne cessait de te parler, tout en te posant des questions et naturellement tu vins poser une main sur la sienne. « On se calme. » dis-tu en rigolant. « Je compte répondre à toutes les questions que tu te poses, mais s’il te plait va moins vite. » T’avais capté que la moitié de ces mots. Ton cerveau peinait à suivre ce rythme soutenu. C’est pour ça que tu l’avais interrompu, tu n’avais pas envie de faire semblant. Tu ne pouvais pas juste hocher la tête pour lui faire plaisir comme tu avais l’habitude de faire lorsque les personnes te parlaient et que tu ne t’y intéressais pas. Il reprit la parole et secouas la tête. Il te précisa que les Mather te correspondaient bien et t’haussas les épaules avant de lui poser cette question qui te brulait les lèvres. « Et toi ? T’as rejoins une confrérie ? » demandas-tu naïvement. Tu savais. Tu n’étais pas bête, à travers son statut social, Andrea représentait parfaitement les Eliot. Ce que tu savais aussi, c’est que ces valeurs étaient bien loin de celle de sa confrérie. T’en avais assez de parler de toi. Ta vie n’était pas plus passionnante qu’une autre et la plupart du temps il n’y avait rien de trépidant à raconter. Tu préférais milles fois pour une fois entendre ce qu’il était devenu. Ca fait un peu plus d’un an que votre relation était fini et t’avais cette impression étrange de le connaître parfaitement d’un côté et d’un autre, t’avais l’impression de faire face à un étranger. Tu vins prendre une gorgée de ton café tout en écoutant le pourquoi du comment de sa venue à Harvard. Hochant la tête, tu comprenais parfaitement les raisons de sa venue ici. Il avait toujours eu ce besoin de liberté et d’espace. « T’as bien fait de choisir Harvard. Tu vas t’y plaire c’est certain. » Tu imaginais très bien Andrea déambulait dans les couloirs de cette université. A ton avis, il n’aura aucun mal à se faire une place ici. Alors que l’ambiance était légère, tu vins la plomber avec ta question. Le prince te regarda quelques secondes comme si la réponse n’était pas évidente à ses yeux. T’appréhendais d’entendre ce qu’il avait à dire et tu fis craquer tes doigts en attendant. Les mots sortirent de sa bouche et l’appréhension qui te tordait le ventre se dissipa en un claquement de doigt. Tu n’étais pas non plus satisfaite de sa réponse qui te semblait bancale, mais tu ne fis aucune remarque préférant garder cette bonne entente entre vous. « Je comprends. » dis-tu tout simplement. Une réponse simple, mais qui traduisait parfaitement ce que tu pensais. Tu le comprenais. Tu te dis qu’au fond tu aurais sûrement fait la même chose. Tu termines ton café, et tu t’amuses à faire tourner le gobelet sur la table, renversant des gouttes de temps en temps. « Sinon, t’as rencontré des gens intéressant ici ? » T’avais besoin de rapidement changer de sujet et quoi de mieux que de parler de ses rencontres qui ont du être nombreuse. Andrea a toujours eu cette facilité à créer des liens avec autrui, une facette de ce dernier qui t’avais toujours fasciné.

@Andréa L. Grimaldi :kissme:
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“leave the past where it belongs"
Noora & Andréa
Noora avait été celle qui t’avait aidé lentement à prendre la main sur ta maladie. Tu avais vécu de très bons moments avec elle, sans oublier, de très bonnes journées. Tu ne pouvais jamais la remercier de t’avoir fait oublier ton stress, ton anxiété, et surtout tes médicaments. Parce qu’avec elle, tu n’en prenais plus, tu n’en avais jamais eu besoin. Mais le conte de fée s’est vite terminé. Pour une fois que tu aimais voir ta tête sur les magazines people monégasques, il faut dire que votre rupture a été annoncé au grand public et tu étais encore plus mal. Alors la revoir ici, tranquillement, dans ce café, t’a fait juste ressortir de très bons moments avec elle, et tu lui souris d’ailleurs légèrement. Elle parle du Spring Break et pourtant, tu as un pincement au cœur parce que tu n’as pas pu y participer. Tu laisses la discussion vaguer, jusqu’au fameux interrogatoire et tu en oublies les bonnes manières. « Excuse moi oui, c’est trop rapide je crois .. » Tu souris doucement, voir même tu rigoles alors que tu passes tes lèvres sur le gobelet de ton thé. L’air chaud et la douceur des aromes te font du bien et te donne de l’énergie, une chose que tu as du mal à avoir depuis quelques temps, mais cela ne se voit pas trop, heureusement. Et la question de la confrérie revient et tu pinces tes lèvres. « Oui. J’avais fait le vœu d’aller chez les Quincys, et les Eliots ont été plus rapides. Malheureusement, ce ne sont pas les personnes qui se trouvent chez l’un et l’autre, mais je ne me voyais pas chez les autres. Enfin, notamment chez les Mathers. J’ai rien à voir avec eux.. » Tu t’enfonces mais d’un côté, tu as raison aussi. Boissons et cigarettes ne font pas bon ménage avec ta maladie et même tu adores faire la fête, tu l’as fais avec modération depuis quelques mois, voir quelques années. Néanmoins, tu souris faiblement, pour baisser ensuite la tête vers son thé. Tu as l’air de ne plus la connaitre, ou alors qu’elle a changé, toujours en positive. Tu aurais aimé pouvoir la revoir bien plus rapidement mais les choses se sont accélérées pour toi et ta famille et tu te voyais mal ici. Tu avais besoin de temps, de photos et d’avenir aussi. Manque de bol, tu as tout eu et même le mariage. Tu passas par ta main dans tes cheveux durant l’explication qui t’as sembler durant une éternité. Un gouffre ou un trou noir même. Tu baissas la tête vers ton thé avant de hausser les épaules doucement. « J’avais juste besoin d’espace .. Beaucoup d’espace .. » Et d’hôpital aussi, mais c’est autre chose ça. Tu levas les yeux vers elle avant de sourire faiblement, ta main se posa sur la sienne, une seconde plus tard. « Je suis désolé Noora .. Pour tout ce que j’ai pu te causer dans ta vie après cette rupture .. » Tu t’en voulais et même aujourd’hui, durant les nombreux live que tu faisais avec ton peuple, ils t’arrivaient d’avoir encore des questions sur la belle islandaise. Néanmoins, tes yeux dans les siens, tu humectes tes lèvres avant de lâcher lentement sa main. Ce contact t’avait manqué mais maintenant, il fallait revenir à la réalité. Tu reviens rapidement à tes rêverie, une seconde finalement avant de reprendre le fil de la conversation. Tu terminas ton gobelet pour l’écouter avant de hocher lentement la tête. « Ouais, pas mal de monde en fait. Ezio que tu connais déjà, m’a rejoint déjà. Donc c’est pas aussi. Et puis, après avec les cours, les sorties et les soirées, c’est facile. Mais qu’est que tu entends par gens intéressants ? » Tu fronças légèrement les sourcils pour finalement hocher les épaules. En même temps, il faut dire que tu connaissais déjà beaucoup de monde d’avant Harvard et puis tu te faisais toujours rapidement des amis, sans trop prises de tête, ni trop casse bonbon à la clef quoi. Un ami, un vrai.

@Noora Mohn
(Invité)

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