JASON CAMERON TAYLORS ► TYLER SEGUIN

J'ai grandi dans la capitale du Canada. Mes parents avait une belle maison dans le coin de Nepean et une charmante maison dans le coin de Barrie. J'ai grandi dans le monde du sport. Mon père était un joueur de hockey dans la LNH et surtout un homme avec beaucoup de détermination. Il faisait partie des Sénateurs d'Ottawa et il a terminé sa carrière avec les Black Hawks de Chicago, ayant remporté 2 fois la coupe Stanley. Un modèle à suivre pour le monde et surtout un mentor extrêment passionné par ce qu'il fait. Il n'a jamais rennoncé à ce sport et même lorsqu'il était blessé. J'ai vue mon père souffrir à cause d'une blessure à son tendon d'achile. Je n'avais que 4 ans lorsqu'il a été accidenté et j'assistais à la partie de hockey avec ma mère, ma soeur Laurie et mon frère Steven. Ma mère était très courageuse de prendre soin de 3 enfants. Cette soirée-là était comme un challenge pour elle. Ma soeur demandais des centaines de question tendis que moi et mon frère, nous étions anxieux et nous pleurions tous les larmes de notre corps. Ma mère, c'est une femme extraordinaire avec un calme fou. J'ignore comment elle fait pour ne pas être en panique avec tout ce qui nous arrive de négatif. Nous avions appris à vivre avec la blessure de notre père pendant près d'un an. S'était difficile pour mon père cette blessure stupide de la part d'un autre joueur. Même s'il a eu une contravention de quelques milliers de dollars avec une suspention de quelques matchs, pour mon père ce n'était pas assez, car le hockey avec sa famille, c'est toute sa vie. Par contre, s'était plaisant d'avoir notre père près de nous. Revenir de l'école en voyant notre papa assis dans le salon entrain de regarder la télévision et de le voir sourire lorsqu'on entrait à la maison. S'était agréable d'avoir notre papa avec nous et même lorsqu'il avait reprit sa routine après son année sabatique, ceci nous a donner la chance de reprendre le temps perdu sur beaucoup de chose. J'aime mon père et j'ai une grande admiration envers lui. Il m'a appris beaucoup de chose et surtout cette passion que j'ai pour le même sport.

Je n'avais que 12 ans lorsque ma soeur a été diagnostiqué avec son cancer. La Leucémie est un cancer qui est visieux et surtout un qui détruit la vie d'un enfant et tout dépend de la gravité de celui-ci. Laurie à passé un an de douleur et une rémission extrêmement difficile. Elle m'a permis de voir à qu'elle point qu'elle avait besoin de beaucoup de support moral et surtout une seconde chance de vivre. Ma mère lui faisait l'école à l'hôpital et aussi à la maison. Ma soeur est une personne d'incroyable. Elle a survécu à son cancer et même s'il y avait des jours où est-ce qu'on pensait qu'elle était pour partir. Tout comme mon frère, nous sommes très proche chez moi et c'est une valeur que ma mère aime. Elle n'a jamais eu la chance d'avoir des rapports amicaux comme ceux-ci avec son frère et elle apprécis tout ça chez moi, mon frère et ma soeur. Notre équart d'âge n'est pas si grande que ça. Moi et mon frère nous avons 2 ans de différence tant dis que moi et ma soeur, nous avons 1 an et demi de différence. Au secondaire, tout le monde nous connaissais. La plupart des professeurs essayais d'avoir des billets gratuit en glissant des mots sur nos examens, etc. Ma mère n'aimait pas vraiment cette idée, mais elle avait une bonne amitié avec 2 de nos professeurs. Elles sont copines depuis plusieurs années et elles sont fréquenté l'université d'Ottawa dans le même domaine. Ma mère à pris sa retraite en éducation après le décès de notre grand-père. Elle prenait de notre grand-père depuis plusieurs années. Atteint de démence, s'était difficile de le voir ainsi. Aujourd'hui, elle est technicienne en soin vétérinaire. Vous s'avez, il n'y a pas d'âge pour retournée aux études. Je compte bien faire la même chose si la médecine ne m'intéresse plus, mais le hockey me passionne beaucoup. J'ai tout ce qui faut pour devenir entraîneur tout comme mon père. J'ai toujours été attentif envers mes cours. Même si je n'aimais pas étudié, je le faisais quand même. Un de mes rêves était de pouvoir intégrer l'université d'Harvard en médecine pour devenir docteur et spécialiste en Physiothérapie. La plupart mon demandé pourquoi je n'ai pas voulu devenir un joueur dans la ligue national de hockey et ma réponse était bien simple. Je veux tout simplement vivre une expérience différente. Parfois, c'est mieux de choisir autre chose que de suivre un rêve qui ne va probablement pas se réaliser. Je crois en mes rêves, mais profiter de quelque chose de nouveau, c'est toujours plus intéressant.

Le fais que je faisais partie d'une équipe dans la ligue de hockey junior majeur du Québec, j'ai eu la chance de participer deux fois à la coupe du monde junior. J'ai rencontré des gens fantastique et des joueurs beaucoup plus talentueux que moi, mais j'ai appris à comment m'amélioré. Il faut bien apprendre plus que pas du tout. S'était une étape que les dirigeants d'Harvard on remarqué et surtout mes notes, mais la plupart d'entre eux connaissais mon père. Je dois dire que s'était une raison, mais le fais que j'ai une passion très important et je je me concentre sur quelque chose d'autre que le hockey, ceci a forcément impressionné et attiré l'attention des dirigeants. La médecine m'a toujours intéressé et ce, depuis que j'ai vue mon père se faire couper le tendon d'achile par une lame de patin. La série télévisé de Dr. House est une de mes préférés et je pourrai l'écouter encore, encore et encore. Écouter, je peux manger n'importe quoi en écoutant un documentaire sur des chirurgies, etc. Il n'y a pas grand chose qui me dérange et c'est qui me rend très curieux. Beaucoup de chose c'est passé depuis que je suis à Harvard. J'ai connu mon ex ici à Harvard et elle était une femme fantastique, mais malheureusement, être merveilleuse ne devrais pas être dans la catégorie d'adultaire. J'ai toujours respecté mon ex et nous sommes resté en bon terme. Elle est maintenant une gradué d'Harvard et une gradué avec excellence. Je suis content pour elle et j'espère qu'elle va réussir dans le future, mais je ne retournerais pas avec une femme qui couche à gauche et à droite. Je prépare ma dernière année d'université en septembre et même que je trouve ça trop vite. La création de ma thèse est presque terminé et je dois dire que j'en suis fière. Je ne regrette pas mon choix d'être venu étudier ici.