Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityparfois j'me demande pourquoi j'me pose autant de question (terezio)
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parfois j'me demande pourquoi j'me pose autant de question (terezio)

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Teresa Nòwakcòwska & EZIO SCORSESE

Les mains dans les poches, Ezio rentrait à l'hôtel. La soirée fut riche en émotion et même s'il avait arboré une mine détendu tout du long, il avait la haine. Il n'avait pas supporté de la voir s'éloigner pour lui répondre au téléphone. Il n'aimait pas savoir qu'il n'était pas sa priorité, qu'un autre passait avant lui. Et pourtant, il niait l'évidence. Il refusait d'admettre que cette petite chieuse de merde l'avait piqué et avait réussit là où toutes les autres avaient échouées auparavant. Anja avait su capter son intérêt, pour la première fois de sa vie, il s'intéressant à une fille, au delà de son physique alléchant. Le Mather cherchait toujours la petite bête, il aimait la provoquer et lorsqu'il la voyait non loin de lui, il fallait qu'il aille l'emmerder. C'était plus fort que lui. Attiré comme un aimant vers cette fille pourtant déjà en couple, il avait besoin de la provoquer. Bafouant ses envies, il reniait le fait qu'elle pouvait l’intéressait. Il se refusait cette faiblesse mais ce soir, c'était un Ezio songeur et perturbé qui quittait la soirée. Ses pas étaient lents. Il n'était pas pressé de rentrer et espérait même trouver une fille à moitié saoule sur la route, histoire qu'il baise un peu pour se changer les idées. Cette garce obnubilait ses pensées et il n'aimait pas ça. Il ne supportait pas la tournure que prenaient les choses. Pourquoi fallait-il que cette petite conne le perturbe autant ? Tant de questions sans réponses. Le regard rivé vers le bas, il apporta sa clope à la bouche avant d'en inspirer un maximum de tabac. Il garda la fumée dans ses poumons avant de la recracher dans l'air silencieux de la nuit. Il était tout seul, personne à l'horizon. Le jeune homme ignorait l'heure qu'il pouvait être, surement très tard ou très tôt. Il mit une bonne dizaine de minutes avant de regagner l'hôtel. A son plus désarroi, il ne vit aucune meuf à sauter. Il jeta son mégot dans les buissons et pénétra dans l'hôtel. A l'aide de sa clé, il ouvrit la porte et trouva un hall vide. Il avança de quelques pas avant de s'arrêter. Son regard se faisait insistant, figé vers l'accueil. Il regarda furtivement à droite puis à gauche avant de se dirigé vers le comptoir. Attiré par l'interdit, il afficha un mince sourire et passa derrière. Il se planta face au tableau et chercha des yeux la clé numéro 523. Lorsqu'il la trouva, il l'attrapa et se dépêcha presque de quitter le hall. Pour ne pas attirer l'attention sur lui, Ezio prit les escaliers qu'il grimpa lentement. Une fois au cinquième étage, il emprunta le long couloir pour se rendre chambre 523. Dans le noir, il inséra la clé et entra, dans le plus grand des silences. La chambre était plongée dans la pénombre mais l'écran de son portable vint lui donner une légère visibilité. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, il s'approcha du lit, enleva ses chaussures et vint se faufiler dans le lit. Il posa sa main froide sur Teresa qui dormait paisiblement. Il vint se coller à elle alors qu'elle lui tournait le dos. La sentant bouger, il lui murmura « chuuut, c'est moi » doux et rassurant. Ezio se posa derrière elle et vint l'enlacer de tout son long. Il avait besoin d'elle et de personne d'autre.
@Teresa Nòwakcòwska
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TERESA NÒWACKÒWSKA & EZIO SCORSESE

J'y arrivais pas. J'arrivais pas à décrocher. Merde, ça faisait quand même quatre ans. Quatre ans que je me sentais vide de sens, à avancer comme une marionnette sans autre but précis que d'avancer. Avancer ou ? J'en savais rien. J'avais cru que le spring break serait une bonne chose. Me saouler à en perdre la raison encore plus que d'habitude, danser, nager, vivre... J'y arrivais mais il y avait toujours cette pointe de rage, ce "tu aurais du être là. Pourquoi t'es pas à mes côtés ?" J'obtenais pas de réponse, évidement. Triple buse que je suis. Il me manquait sans cesse, une drogue trop forte enterrée six pieds sous terre que mille et unes paroles ne pouvaient sortir de ma tête. C'était pour ça que je me réfugiais dans le sommeil, prétextant la fatigue, la gueule de bois. Ça passait, ça passait toujours. Je dormais pour fermer les yeux sur un carcan de réalité dont je n'avais plus rien à faire. J'étais perdue, désoeuvrée, désabusée. Il était à peine dix heures du soir quand je rentrais à l'hôtel et que je claquais la porte de ma chambre, décorée d'un immense panneau Lowell for the Win, cadeau de mon bizutage. J'ouvrais la fenêtre, à cause de la chaleur étouffante. Le bâtiment était complètement vide à l'exception de quelques bruits qui ne laissait pas beaucoup de place à l'imagination et d'un gosse inconnu qui chantait à tue tête "la vie est dure quand on est une petite patate". Mais tais toi ! Soupirant, je passais sous l'eau chaude histoire de me détendre. J'avais rien à faire de la soirée à part replonger dans mes cauchemars. Onze heures. Bonjour la facture d'eau. Le corps moite, j'enfilais un simple tee shirt trop grand pour moi avant de sauter à plat ventre sur le lit. La tête dans l'oreiller, je respirais doucement, un vieux truc issut de ma mère lorsque je paniquais à l'idée de monter sur scène. A cet instant précis, j'étais pas vraiment stressée mais, j'avais besoin de me ratacher à quelque chose de rationnel, ayant du sens, au contraire de ce que je devenais. Je ne me sentis pas tomber dans le sommeil, l'air chaud de l'extérieur caressant mes cheveux, mes paupières pâles et lourdes m'abandonnant aux bons soins de mon subconscient.. « chuuut, c'est moi » Je me réveillais d'un coup, sentant le contact glacé d'une main sur mon épaule. Je détestais les contacts physiques, c'était plus fort que moi et je me sentais toujours obligée de m'écarter lorsque je trouvais les gens trop prêts de moi. Je n'acceptais les étreintes qu'avec une ou deux personnes. L'une d'entre elles était Ezio. D'un coup, reconnaissant la voix sans égal, même chuchotée de l'italien, je me detendais. Il avait le droit lui. Je me retournais, lui faisant alors face, dessinant de mémoire ses traits dans la pénombre, sentant son souffle s'évader dans la pièce. Trois heures du matin. Je souris avant de poser la question qui me brûlait la langue. « Hey... Qu'est ce qui va pas ? » Il devait forcément y avoir quelque chose. De bien, de mal, il me le dirait, il me confiait tout, et réciproquement. Je le pris dans mes bras frêles et fins, et posais ma tête sur son épaule. La lampe était juste à côté de moi et pourtant je n'avais aucune envie de l'allumer. Je connaissais Ezio par coeur et la nuit était belle, ça ne servait à rien de la cacher.  
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Teresa Nòwakcòwska & EZIO SCORSESE

En volant cette clé, Ezio n'avait pas vraiment réfléchis aux conséquences de ses actes. Il l'avait piqué sans le moindre scrupule et si c'était à refaire, il le referait sans la moindre hésitation. S'il s'était fait choppé sur le fait, il aurait trouvé une excuse bidon de dernière minute, justifiant son acte. Après tout, Teresa Nòwakcòwska aurait très bien pu être son blase. Bon, il avait le physique d'un Italien et non d'un Ukrainien mais qu'importe, il aurait baragouiné quelques mots dans une langue inconnue et ça aurait très bien pu passer. Ouais, prendre les gens pour des cons, il savait le faire et semblait exceller dans ce domaine. C'est donc, non pas peu fier de sa connerie, qu'il mit la clé dans la serrure avant d'ouvrir la porte. La chambre était plongée dans le noir et vu l'heure, c'était amplement légitime. Il était très tard dans la nuit ou tôt le matin, question de point de vue. Il sortit son portable qu'il déverrouilla pour obtenir un peu de luminosité. C'est donc à tâtons qu'il se dirigea vers le lit. Le Mather prit quand même le temps d'enlever ses chaussures avant d'entrer dans le lit. Il posa son portable sur la table de chevet et vint se glisser sous les couettes. Il avait les extrémités des membres gelés à cause du froid dehors. Mais cela ne semblait pas l'empêcher de poser ses mains sur la blondinette qui semblait dormir paisiblement. A ce contact, elle vint bouger légèrement. Il essaya de la rassurer de sa voix douce et apaisante. Teresa le connaissait que trop bien puisqu'elle se retourna pour lui demander ce qu'il avait. Le voir débarquer en pleine nuit n'était pas chose anodine et elle le savait pertinemment. La blondinette se rapprocha de lui et vint passer ses bras autour de son cou. A son tour, il posa ses mains froides sur elle. Il prit une grande inspiration. Sa présence le rassurait. C'était con à dire mais c'était vrai. Elle calmait et semblait lui dissiper tous ses doutes. Bien qu'il soit dans le noir complet, Ezio ferma quand même les yeux pour en apprécier le moment. Teresa allait vouloir des explications et elle était en droit de les avoir. Après tout, il venait la faire chier en pleine nuit. « C'est cette fille .. » murmura-t-il avant de s'arrêter de déglutir difficilement. C'était bien la première fois de sa vie qu'il parlait d'une fille. En temps normal, il prenait soin de ne jamais s'attacher ou ne jamais les laisser pénétrer sa vie, son cercle de protection. « Comment dire. » Il était perplexe car il était incapable de mettre des mots sur ce qu'il ressentait. « Elle m'casse les couilles. » Ça c'était une chose sure. Teresa n'allait certainement pas se contenter d'une telle réponse. Il prit une grande inspiration comme pour se donner du courage et commença à se livrer, à demi-mots. « Elle m'énerve, tu ne peux pas t'imaginer mais je crois qu'elle m'attire aussi. C'est vraiment bizarre Tere. Quand j'suis avec elle, j'ai qu'une envie c'est de la faire chier, la faire rager. C'est plus fort que moi. J'peux pas faire autrement, j'crois que ça me plait quand elle se met dans tous ses états. » Bon bah voilà, c'était dit. Teresa devait être choquée d'entendre ça de la bouche d'Ezio. Le grand Ezio Scorsese que rien n'atteins et dont personne n'a jamais réussit à l’intéresser, au delà du sexe.
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TERESA NÒWACKÒWSKA & EZIO SCORSESE  

Il était trois heures du matin et j'étais réveillée. Habillée d'un simple tee shirt trop grand pour moi avec un homme dans mon lit. En d'autres circonstances ça aurait pu paraître bizarre, bien lourd de sens même, mais là c'était Ezio, et il n'y avait pas, n'y a pas et n'y aurait jamais d'ambiguïté entre nous. C'était la base. Alors le serrer dans mes bras était tout aussi naturel que de lui dire bonjour. Mais dieu qu'il était froid ! Je sentais ma peau se couvrir de chair de poule et souris dans le noir. Ça aussi, ça pouvait être mal interprété... Après un moment de silence, l'italien prit de nouveau la parole. Tant mieux, j'étais véritablement curieuse du motif de sa visite. Parce que oui il y avait quelque chose. On ne vient pas sortir du sommeil sa confidente au beau milieu de la nuit sans motif. Ah la vie est dure quand on est une petite patate... « C'est cette fille ... » Je ravalais le "Quoi t'es pas gay ?" sarcastique  qui me brûlait les lèvres et proposais une autre réponse. Évidement qu'il ne l'était pas. Mais sa capacité à ne s'attacher qu'à peu de monde, c'était étrange parfois. Oui, ok, j'étais légèrement pareille mais bref.  « Ça promet d'être intéressant. Depuis quand t'as du mal à parler de tes conquêtes ? » Il bégayait ? Oh, mais ça devait être sérieux alors. Désireuse de savoir, je prêtais une oreille plus qu'attentive. « Comment dire. » Précisément. « Elle m'casse les couilles. » J'arquais un sourcil dans la pénombre. Sérieusement ? Ça c'était original. Depuis quand Ezio se plaignait d'une fille ? Généralement, elles partaient toutes après une ou deux nuits puis c'était terminé, black out. Si elle l'énervait, il la quittait, c'était simple non ? « Développe. » Simple et concis. Je sentais qu'il voulait en parler mais que c'était compliqué pour lui. Ramenant la couette violette, que voulez vous, Lowell for the Win, sur nos deux corps, j'écoutais sa réponse, décousue et sincère à la fois. « Elle m'énerve, tu ne peux pas t'imaginer mais je crois qu'elle m'attire aussi. C'est vraiment bizarre Tere. Quand j'suis avec elle, j'ai qu'une envie c'est de la faire chier, la faire rager. C'est plus fort que moi. J'peux pas faire autrement, j'crois que ça me plait quand elle se met dans tous ses états. » Je prenais d'un coup l'ampleur de la révélation. Et serrais les dents. Quoi ? Moi j'étais... Jalouse ? Non. Pas du tout. Triple buse, je suis impossible. Je réfléchis un instant à sa réponse. Il était attiré différemment par elle, c'était clair. Mais au fond qu'est ce que j'en savais moi, graaaaande spécialiste de l'amour que j'étais. « Alors, si je comprend bien, tu préfères l'énerver que lui faire plaisir ? Étonnante technique de drague si elle te plaît non ? » Je m'en donnais des claques mentales. Elle est où la délicatesse, elle est où ? Clairement pas là. J'avais une excuse, j'étais carrément choquée qu'Ezio ouvre son coeur ainsi à certains sentiments, lui le prince des glaces. On reprend. « Et elle, elle t'aime bien ? Tu l'attires aussi ou t'en sais rien ? T'as pas envie de vivre quelque chose ou vous seriez bien ensemble, fin' j'veux dire sans être enragés l'un contre l'autre, et de voir ce que ça donne à ton niveau et au sien ? » C'était déjà mieux, beau rattrapage. Pourtant, une dernière question me brûlait la langue et je devais la lui poser. Si ça se trouve, je la connaissais peut être déjà... « C'est qui au fait cette fille ? » Jolie désinvolture Teresa, on applaudit.
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C'était nouveau pour Ezio. Il ne savait pas vraiment comment faire face à cette nouveauté, à ces sentiments qui semblaient débarquer de nulle part pour cette fille. C'était tellement brutal et inattendu. Lui qui se refusait catégoriquement d'éprouver la moindre émotion pour une gonzesse, il se retrouvait piégé dans son propre jeu, dans son propre corps. Il lui était impossible de lutter et il le savait pertinemment. Anja, cette fille avait réussit là où toutes les autres avaient échouées. Elle faisait de lui son esclave, sans même le savoir, il s'enfermait dans cette nouveauté non voulue. Sans chercher à comprendre plus loin, il s'était rapprochée de Teresa. Pour avoir un certain soutien moral ou juste en parler, se libérer de l'oppression et peut-être, enfin, mettre des mots sur ce qu'il ressentait. C'était si récent pour lui. Le Mather ne savait pas comment gérer tout ça. Il inspira longuement face à sa remarque. « J'suis sérieux Teresa, c'set trop bizarre. » répondit-il, le plus naturellement du monde. Ezio prit son courage à deux mains et lui avoua enfin qu'Anja lui cassait les couilles et qu'il n'était pas vraiment insensible à son charme et son côté fille lourde et agressive. C'était une vraie chieuse mais il semblait apprécier plus qu'il ne voulait l'admettre. Elle avait ce petit quelque chose que les autres n'avaient pas. Finalement, il se livra à elle, sans la moindre retenue mais en pesant quand même ses mots. Teresa resta silencieuse. Bordel, dis quelque chose, par pitié. L'attente était insoutenable. Il venait de dire des choses qu'il n'aurait jamais penser avouer un jour. C'était déjà pas mal. Un effort presque surhumain. Au bout de deux minutes interminables, elle vint briser ce silence pesant. « C'est pas de la drague Tere, j'sais pas comment expliquer. En vérité c'est tellement bizarre... Elle me rend fou mais me plait, j'passe d'un extrême à un autre quand j'la vois. J'adore la faire chier mais elle m'le rend bien. C'est plus fort que moi j'crois bien. » finit-il par avouer. Evidemment, c'était plus fort que lui, il n'arrivait pas à aller à l'encontre de ça. Quand il la voyait, elle faisait renaître des pulsions éteintes et des émotions dévastatrices. Il fallait qu'il la provoque, c'était plus fort que lui. Teresa lui demandait si il plaisait à la fille. Il haussa les épaules. « J'sais pas du tout. Une chose est sure c'est qu'elle ne me repousse pas. Elle est en couple pourtant mais on s'est embrassé. AHHH, ça m'saoul. » grogna-t-il. Son amie lui demanda de qui il s'agissait. Ezio vint déglutir bruyamment. Allait-il lui dire la vérité ? Il ferma les yeux et se pinça les lèvres. « C'est Anja, une Quincy, j'sais pas si tu connais. » dit-il faiblement. Putain, il lui faisait confiance pour lui avouer une telle chose. Teresa était la seule au courant de son identité. Un large sourire vint orner son visage, heureusement pour lui, elle ne pouvait pas le voir. Putain, saloperie de sentiments de merde !
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