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(Matt) Brother Forever

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“Brother forever"
Matt & Andréa
Tu avais envoyé un message rapide à ton frère pour parler. Tu aimais bien parler avec lui, surtout ces temps-ci. Ces temps longs, trop longs pour savoir ce que ton cœur va faire. Tu ne voulais pas l’inquiéter davantage, tu ne voulais pas lui dire que tu avais passé ta nuit à l’hôpital. Mais tu allais mieux, toujours mieux, c’est toujours comme ça avec toi. Personne ne s’inquiète pour toi, tu t’inquiètes toujours pour les autres. Mais tu souris faiblement, en voyant l’horizon. Un ciel bleu, une chaleur assez tenable, tu étais bien là. Tu n’étais pas trop en froid avec toi-même pour une fois. Vêtue alors de tes lunettes de soleil sur ton nez, tu regardas le paysage qui s’offrait à toi. Tu avais ta boisson en main, seule chose qui te manquait, c’était ton frère. En parlant du loup, tu vis de petit rouge arrivé, pourtant, tes yeux étaient encore à regarder le paysage. Un sourire faible, tu te levas pour le saluer. Difficilement, mais tu le fis, parce qu’une accolade familiale vaut bien toutes les boissons du monde entier. Et une fois de plus, tu t’appuyas à l’accoudoir pour t’asseoir, tu souris « Tu as l’air fatigué frangin, qu’est que tu as encore fais cette nuit.. En fait non, je veux pas savoir » Tu laissas ton corps rire à cette remarque alors que tu te calmas ensuite pour regarder la vue. C’était une vue parfaite, la vue du monde entier à votre portée, tu aimais cette vue parfaite. Mais tu aimais aussi passer du temps avec ton frère. Tu pris une gorgée de ta boisson, qui ressemblait plus à un thé qu’à un café. Tu n’en savais rien en fait. Tu ne voulais même pas savoir en fait. Et tu attendis qu’il parle en premier. Tu as toujours voulu qu’il parle en premier. Parce qu’après tout, tu étais certes le prince héritier, tu seras peut-être le futur Roi de Monaco, mais il restait ton petit frère, ta petite partie de toi encore vivante dans cette maladie de dingue.

@Matt P. Grimaldi (Matt) Brother Forever 1001568715
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Cela fait 6 mois que je suis arrivé a Harvard avant cela je me trouvais en France, en famille. L'a famille me manque surtout ma mère dont j'ai toujours était plus proche que de mon père. J'aime mon père aussi mais j'ai plus de complicité avec ma mère. Ce matin je me suis levé de bonne heure pour aller courir. Deux petites heures de course a pied histoire de faire passer la Vodka administrée la veille. Une fois rentrée au campus je rejoins ma chambre pour prendre une douche. L'eau coule sur mon visage, mon corps musclé, mon espris est ailleurs lorsque mon téléphone portable sonne … un SMS … je coupe l'eau attrape une serviette de bain et l'enroule autour de ma taille puis me dirige vers mon portable qui se trouve sur mon lit. Un Sms d'Andréa. Qui me demande de le rejoindre si j'ai un moment a lui consacrer. De suite je lui répond positivement et cherche des vêtement a enfiler avant de quitter ma chambre.
Une fois sur les lieux je me rapproche de mon frère et le salut d'en un rituelle habituelle … un truc bien a nous. Je m'installe a coté de lui et regarde droit devant moi. Je souri a ses paroles mais pour une fois ce n'est pas ce qu'il pense. « j'ai assez mal dormi pour tout te dire … j'étais seul … difficile a croire je te l'accorde mais c'est pourtant vrai. » ça m'arrive parfois …. de mal dormir !! de faire des cauchemars et ça depuis mes 8 ans, le jour ou j'ai appris que mon frère était malade. Alors je n'ai même pas besoin de lui expliquer les raisons pour laquelle j'ai mal dormi il le devinera bien lui même, il me connaît par cœur mon frère. « tu n'es pas au meilleurs de ta forme aujourd'hui … toi t'a encore une fois pas pris ton traitement … avoue !! » Je soupire, assis au sol, jambes repliées, bras croisés et posés sur les genoux, menton posé sur mes mains.

@Andréa L. Grimaldi
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Matt & Andréa
Matt représentait la seule famille qui te restait réellement. Tes parents étaient là, certes, bien trop occupés à essayer de trouver un arrangement pour savoir qui montra sur le trône à ta mort. Ils envisageaient déjà le pire, alors que tu comprendrais que ta santé se détériorait lentement. Alors Matt était là, tous les jours que Dieu faisait pour toi et tu lui serais jamais reconnaissant pour ça. Bien sur, à votre poignée de secrète, tu souris aussitôt à sa réponse. Tu tournas la tête vers lui, pour déposer ta main sur son épaule opposée à toi. Tu savais que c’était difficile de dormir seul, surtout pour lui mais tu ajoutas « T’inquiète pas, je parie qu’une belle femme, ce soir, sera dans ton lit. Promis » Tu souriais une nouvelle fois, tournant la tête vers le paysage. Tu n’avais pas l’habitude de quitter ton chez toi, surtout pas en ce moment, tu étais un peu plus fatiguée chaque jour et tu te calmais niveau activité. Petit ours quoi. Mais tu souris faiblement, tu savais pourquoi il ne dormait plus, mais tu essayais de le rassurer par des choses qu’il comprenait. Il avait toujours copris. « Je sais que c’est difficile, mais tu sais que je suis là, toujours là, quoi qu’il arrive. Et même si, je suis à l’autre bout de la ville, ou à quinze millimètres, je serais là en quelques secondes ok ? Ca va aller, ça va passer… » Tu te mens à toi-même sur cette dernière phrase, mais tu préfères ça à lui dire que rien ne sera comme avant. Tu l’écoutes finalement avant de sourire doucement. Il te connaissait beaucoup trop à ce que tu voyais. Mais pour une fois, ce n’était pas ça.. Ce n’était plus ça malheureusement. « J’ai pas dormi, mais j’ai pris mon traitement papa, promis. » Tu souris un peu plus, ta mère se passant dans tes cheveux, tu en profites pour souffler un peu et t’allonger dans l’herbe tranquillement. Ainsi, tu regardas le ciel. Beau était-il. Mais tu étais perturbé par ton frère, il fallait que tu lui dises, et rapidement.   « J’ai vu Olivia hier… Donc, les deux débiles de Médicis sont là aussi je crois. Je pense qu’il va falloir que tu me retiennes de ne pas les frapper et de les envoyer à l’hôpital. Ou inversement alors, je te retiendrais, ou je ferais semblant pour que tu les éclates, t’as plus de force que moi ces derniers temps. » Tu rigolas doucement, toussant légèrement, pour reprendre ton rire. Au moins, vous étiez d’accord sur ces points là.

@Matt P. Grimaldi (Matt) Brother Forever 1001568715
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Je passais beaucoup de temps avec mon frère, il en avait besoin et moi aussi. Mais il prennait tout a la légère comme ci ce n'était pas grave, comme s'il allait bien et pourtant ce n'était pas le cas. Il était un peu comme moi je suis pas du tout le genre de mec qui se lamente sur son sort. Je suis du genre positif a trois mille pour cent et je suis même conveincu que mon frère va réussir un jour a guérir et ça, ça serait la plus belle des victoires, «  tu va certainement pas me croire mais j'ai l'impression d'avoir perdu la main depuis que nous avons posé le pied sur le sol Américain. » Et oui car en France c'était pas du tout la même histoire, là il pouvait dire que je ramenais une fille différente chaque soir. Plus maintenant, si c'est une par semaine , et encore, c'est beaucoup.
Il me dis ensuite de pas m'inquiéter et que ça va passer. Je veus bien le croire sauf qu'il sait autant que moi qu'il y a des haut et des bas. A certain moment il va aller bien et a d'autre se sera tout le contraire. « Bien sur que ça va aller !!! t'es un Grimaldi merde et puis c'est toi qui montera sur le trone » … Histoire foutre encore plus la merde dans la famille et de faire taire les mauvaise langue !! Il me dis qu'il est fatigué et qu'il a pris ses cachets. Je souris a ses paroles. Puis Il me signal qu'il a vu Oliv … et que ses pingouins de frangin son certainement dans le coin eux aussi. « décidément il vont pas nous lacher ceux la … Fait moi confiance si j'en croise un je le renvois directement au pays » un bon coupde poing bien placé et op il s'envole direction la France sans passer par l'aéroport. Mon frère avait besoin de se changer les idée du coup je m'intéresse a sa vie sentimental car de ce coté la on se raconte tout mais.... vraiment tout !!! « J'ai cru voir que tu étais souvent en bonne compagnie, tu va m'en laisser quelque une pas vrai ? » Mon frère est beau gosse … dans la famille on est canon du coup on est plus souvent entouré de fille que de mec.
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Matt & Andréa
Ton frère était devenu en quelques années la personne la plus importante de ta vie, outre le fait aussi qu’il était devenu ta famille en seulement quelques mois. Il était présent lors de ta maladie et malgré ses cauchemars, tu faisais difficilement rôle du grand frère heureux. Se voiler la face, dire toujours du bien de l’autre, ta mère n’arrêtait pas de le répéter qu’il fallait être gentil avec tout le monde et donner le meilleur de soi même. Alors avec Matt, c’était ce que tu faisais sans cesse. « A Monaco c’était normal de se faire draguer par le prince. Ici, c’est plus complexe de dire que tu es prince. Personne ne te croit, enfin sauf les journalistes .. » Tu rigoles à cette remarque alors que tu passes ta main dans tes cheveux rapidement. Tes lunettes de soleil sur le nez te font du bien, tu n’as pas l’impression d’être n’importe qui, mais tu as l’impression d’être un mec qui partage un moment avec son frère. Une chose est sure, ce sera à renouveler et rapidement. Mais bien sur, il faut toujours parler de ton état. Tu as l’impression que ce sont les autres qui sont malades et non toi. Des fois c’est amusant, mais il est vrai que c’est toujours sympathique venant de la part des autres. Mais venant de la part de Matt, c’est même touchant. C’est comme ça, il a toujours pris soin de toi, prenant le rôle du grand frère et toi, du petit frère. C’est ainsi et ça ne risque pas de changer, jusqu’à ce que finalement .. Tu t’en ailles. Tu l’écoutas avant de rire, pas de fortement, évitant de tousser quand même « Alors, t’as intérêt à vite devenir médecin mon petit ! J’ai pas envie de vivre avec cette maladie toute ma vie ! Un Grimaldi ne meurt jamais seul ! » Tu lui souris grandement, même si au fond, tu aurais préféré pouvoir dire que tu avais toute ta vie devant les yeux. Mais c’est faux, tellement faux. Il te reste pas plus de dix ans à vivre et encore, c’était si tu restais au lit toute la journée. A croire que la vie avait décidé pour toi, dès ta naissance. Tu souris néanmoins à sa remarque. Les De Médicis, les emmerdeurs de premières, les enfoirés, les criminels, les .. Bref. Toujours à faire chier lors des repas de famille, des photos de famille ou même des représentations. Tu aimais les gens, mais eux, il est vrai qu’ils te sortaient pas les yeux. Tu souris en coin   « Te laisse pas démonter, ce sont des personnes qui n’ont aucun respect envers personne. Qui aurait cru que notre oncle soit aussi manipulateur avec notre mère. J’ai bien envie de vivre, de me marier et de faire un enfant, rien que pour les regarder pleurer sur les sorts ! » Tu es violent ce matin, mais cette famille est d’une horrible tragédie. Qui aurait sérieusement cru que ces derniers, sous leurs apparences gentils et doux, soient en fait de grand manipulateur, accentué par autant de principes et de vanités. Tu en as même plus rien à faire d’eux, tellement leurs vues et impossibles. Mais le sujet change et heureusement pour toi, tu es plus calme, ton cœur s’accélère moins et tu es plus détendu. Tu souris à la remarque de ton frère alors que tu rigoles un peu plus. Tu rigoles, cela ne t’étais pas arrivé depuis bien longtemps. « Attends ? Tu lis les magasins people depuis quand ? Je crois que j’ai arrêté de les lire quand ils t’ont surnommé, le prince au mille femmes ou conquêtes. T’abuses Matt. » Mais tu détournes le sujet. Tu ne t’attaches plus, plus depuis cet été où la sentence était tombée. Personne ne le sait, personne ne le saura jamais. Tu ne voulais plus t’attacher, tu ne voulais plus faire souffrir, alors tu changes de conversation, tu veux oublier ton cœur, ton amour pour les femmes mais aussi tu veux parler de lui. « Et toi alors ? Est-ce qu’on aura la chance de rencontrer une femme qui restera dans ta vie plus de deux mois ? » Tu lui souris en coin, tu as envie de savoir aussi, c’est normal, c’est ton frère après tout.  

@Matt P. Grimaldi (Matt) Brother Forever 1001568715
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Il est vrai qu'en france c'était bien plus simple, il faut dire que lors des nombreuses soirées que mes parents organisaient, il y avait pas mal de filles et le statue de jeune prince les fascinaient faut l'avouer. « oui et puis c'est aussi pour ça que je suis venu a Boston … voir si la vie normal peu me plaire aussi sauf que je dois t'avouer que la famille me manque parfois » Surtout maman !! J'ai toujours était plus proche de ma mère, celle qui a toujours pris soin de nous, celle qui soigne nos bobo en tout genre mais aussi celle qui nous montre quel chemin prendre pour réussir une vie pleinnement épanouie,
Si j'ai choisis de faire médecine c'est en parti par passion mais aussi pour guérir des gens. Les maladies rares me fascine et j'ai vraiment envie de devenir un grand médecin. Le genre de médecin que l'on contact de l'autre bout du monde car c'est le meilleur … tu vois le genre … J'ai les épaules pour y arriver, « Il me semble que je t'ai fais une promesse un jour … sois en sur !! Je vais la tenir » Un soir, en France, ou Andréa n'allait vraiment pas bien du tout je lui ai promis de le débarraser de cette putin de maladie de merde et je tiendrais ma promesse.
Je souhaite vraiment que mon frère rencontre une fille bien et qu'ils fondent une famille mais pour ça il doit accepter de vivre avec sa maladie et elle aussi. Sauf que la plupart des filles ont peur lorsque mon frère parle de sa maladie … ce qui prouve encore une fois que les filles biens ne court pas les rues. « j'ai vraiment envie de te voir heureux … comme avant !! » Parler de cette maladie nous minait le moral a chaque fois qu'on l'évoquait. Je décide donc de lui remonter le moral et de parler de tout autre chose. Bien sur que je lie les magasines, mais j'ai aussi des yeux partout ce qui m'a permi de voir mon frère trainer avec quelque fille au campus. « le prince aux milles conquètes …. j'ai adoré ce passage … les parents un peu moins je dois l'avouer. » Je fais une grimasse car moi ça m'a bien fait rire. Puis je m'allonge a coté du frangin et regarde le ciel moi aussi, Il nous arrivait souvent de partager de tels moment en France et a Borton c'était pareil on ne voulait pas perdre cette complicité si importante pour nous deux,
Puis il parle de moi … et me demande si je compte me poser avec une fille un jour. Je soupire puis rassemble mes mains derière ma tête. « La chance je sais pas … mais tu sais aussi bien que moi que je suis très difficile a vivre ... » Trouver LA fille qui me coresponde … je sais même pas si elle existe vraiment. Je suis super difficile en amour, tout comme super difficile a vivre du coup c'est un peu mal partie pour trouver LA fille de ma vie.
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Matt & Andréa
Ton frère avait toujours été plein d’espoir dans cette quête de vie, et pourtant, toi, tu n’en avais plus. Plus du tout, et ce qu’il faisait mal c’était qu’avec tout ça, tu te détruisais intérieurement. Tu souris à sa remarque, elle était pourtant si réellement mais tu n’avais aucunement envie de le détruire encore une fois. Tu étais un monstre. Et tu faisais que malheureusement, quand tu partiras, toute leur vie s’écroulera. Tu baisas la tête. « Matt .. T’as intérêt de te bouger les fesses pour avoir ce diplôme .. » Tu tournas la tête vers lui alors que tu souris faiblement. Tu n’avais pas non plus envie de lui dire qu’il te restais qu’une dizaine d’années à peine et malgré le fait que tu sois plus fatigué que d’habitude, tu essayas de ne rien faire paraitre. Tu plissas tes deux lèvres entre elles, fermant tes pensées pour regarder une nouvelle fois le ciel et les merveilles du monde. Tu souris comme un idiot à sa remarque, tu commenças même à rire. « Je suis heureux comme ça. Rien que d’être allonger avec toi, comme des personnes sans abris. En plus, je dois avoir ce nouveau garde du corps qui traine dans les parages. Il faut que je te le présente. L’ancien c’était une armoire à glace, lui, c’est une double armoire à glacer mon dieu. Tu devrais le voir, comment c’est drôle. » Tu avais rapidement balayer le fait d’être heureux, tu ne voulais pas parler de bonheur et encore moins de vie heureuse, surtout avec tes problèmes en ce moment. Tu ne savais pas si le mot heureux était dans ton vocabulaire en plus. Alors bien sur, quand tu passas ta main dans tes cheveux, tu attendis quelques secondes après ses paroles pour ajouter.   « Imagine comment maman a hurlé pendant des heures pour savoir qui avait écrit ça. En même temps, c’est ça d’être populaire à Monaco. J’imagine déjà la tête de maman quand elle va découvrir que son fils est pire à Boston. » Tu souris en coin. Et finalement, tu rigolas à tes propres paroles. Ce genre de moment tu en as rarement avec ton frère tout simplement parce qu’il est tout le temps pris ou même toi. Mais d’un côté, tu te sens bête, toi qui aurait cru que le fait que vous soyez toujours ensemble, ça soit parfait pour votre relation, manque de bol, c’est tout le contraire et tu te sens bête face à ça. Tu le tournas la tête vers lui avant de hocher la tête positivement « C’est vrai, tellement difficile à vivre. J’en reviens toujours pas que tu n’es pas encore trouvé chaussure à ton pied, faudrait peut-être qu’une jour tu présentes une vraie fille à papa et maman. Ils risquent d’être vexer à force. » Tu commenças à rire doucement, avant de te tenir la poitrine pour éviter d’avoir trop mal. Tu souris doucement puis tu ajoutes « D’ailleurs, le fameux bal de l’été arrive à grand pas et papa m’a demandé d’aller l’aider à organiser tout ça. Tu veux pas venir avec moi ? » Toutes les saisons sont une excuse pour organiser un bal ou même une réception en sachant que tes parents étaient très danseurs et aventuriers de ce genre de soirées. A croire que tu étais tout le contraire.

@Matt P. Grimaldi (Matt) Brother Forever 1001568715
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Mon frangin me dit de me bouger les fesses pour avoir mon diplôme et pour pouvoir exercer. Il a raison mais je ne peux pas aller plus vite meme si je passe beaucoup de temps a l'hopital en temps que bénévole, cette expérience ne compte pas vraiment pour espérer avoir mon diplôme plus rapidement. « Je vais faire mon possible tu me crois pas vrai. » j'étais la a coté de lui et le voilà qu'il me parle d'un truc que je ne comprend même pas mais de qui parle t'il ? « une armoir a glace ? » j'ai peur sur le coup mon frère perd la tête ?. Je le regarde lorsqu'il parle de maman et il me dit que lorsqu'elle va savoir que je suis pire a Boston  elle va …. me démolir oui je sais !!! « Pire a Boston ? Tu plaisante la j'espère ? » J'ai pas couché avec une fille depuis qu'on est a Boston tu le crois ça ? Oh non faut pas que je lui dise ça sinon il va se moquer de moi et puis j'ai une raputation a tenir moi merde !!
Puis finalment il me dis que je devrais penser a essayer de me poser sentimentalement et de présenter une fille avec qui je veux faire un bout de chemin avec elle … sauf que j'en ai pas envie moi …. enfin pas pour le moment. « Tu sais ce que j'en pense moi de tout ça pas vrai... » Oui depuis que Cordélia est partie, m'a quitté sans rien dire sans aucune excuses ni nouvelle j'ai profité pour me venger des femmes et de les prendre pour des jouets sans ressentir aucun remort ni sentiment. J'ai tout simplement pas envie de me poser c'est aussi simple que ça, car je fais plus confiance au femme et est persuadé qu'elle sont bonne qu'a nous faire du mal. « tu l'a vue ou Cordélia Toi ? » Euh la question qui n'a rien avaoir. En plus le « toi » dans la phrase prouve qu'il n'est pas le seul a être tombé sur elle. En effet je l'ai vu moi assi je lui ai même parlé ….Puis il me demande d'aller avec lui a Monaco pour aider papa a préparer le bal del'été. « Bien sur que je veux, revoir la famille va nous faire le plus grand bien j'en suis sur … sauf si tu parle de mes petits explois a Boston bien sur !! » Dis je en rigolant.

@Andréa L. Grimaldi
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Matt & Andréa
Matt ou ton amour de vie. Il est vrai que depuis l’annonce de ta maladie, plus rien ne va et là, c’est encore pire, tu sens les secondes s’écouler petit à petit vers un univers qui te fait peur. Tu aurais pu lui hurler dessus de bouger son cul mais au lieu de ça, tu lui tape gentiment l’épaule à sa remarque. « Va plus vite alors frangin. » Tu lui souris grandement. Tu rigoles de ça, mais tu as mal intérieurement parce que tu sais parfaitement qu’il fait son possible et c’est ce que tu trouves admirable. Il est admirable. Il n’a jamais flanché devant personne, te protégeant plus que la plupart des gens, même devant tes parents et vous voilà à Boston, grâce à lui, tu vivais les plus belles années de ta vie. A sa question, tu relèves la tête pour essayer de trouver le nouveau garde du corps de ton père pour lui montrer le gars à deux bancs de là. « Lui c’est armoire à glace ou le mec que j’ai trouvé dans l’appartement la semaine dernière à boire son café. Je te jure Matt, j’ai vraiment de plus en plus peur de lui sérieux. Mate moi ses cuisses, il faut le double de mes bras .. » Tu rigoles doucement pour reposer ta tête, alors que le ciel ne change pas d’une semelle. Tu souffles même lentement plusieurs fois. Tu as besoin de respirer à voix haute alors que tu prends ton temps quand même pour essayer de te calmer, éviter les crises, ce que tu fais tous les jours en fait. Et le sujet dérive sur Cordélia, tu lèves les yeux au ciel. « Cette fille est la peste, elle t’a détruit. Je t’ai vu une seule pleurer pour une fille et plus jamais de ma courte vie, je veux revoir cette chose dans tes yeux, il est hors de question qu’elle te revoit, et encore moins qu’elle fasse sa fière à tes côtés. Tu me connais Matt, je vais la détruire si je la vois. Et si elle pointe le bout de son nez, je ferais tout pour la mettre dehors. Tu peux me traiter de protecteur mais je ne veux pas que tu souffres encore frangin. Je veux que tu sois heureux avec une fille qui te correspond et qui te correspondra jusqu’à la fin de ta vie… » Oui parce que tu es comme ça, tu veux le bonheur de tes amis, de ta famille avant de devoir partir. Si elle le voulait, il fallait d’abord de te convaincre en premier lieu, chose complexe mais finalement, tu l’écoutas pour hausser les épaules lentement. « Peut-être qu’on s’est revu au café et qu’elle m’a fait tombé ma boisson, peut-être que je l’ai menacé et elle a fait la même chose, peut-être que j’ai failli la mettre à terre… Peut-être .. Je dis bien peut-être. » Et puis, quoi ? Qu’est que cela se sera la prochaine fois que vous allez vous voir ? La guerre ? La mort ? Ou un meurtre. Tu souris néanmoins quand tu lui posas la question. Ta mère et ses bals de dingue, toujours à vouloir préparer ça des années en avance. Mais cela te fait plaisir que ton frère veuille venir. Tu rigoles même à sa remarque, avant de tousser deux fois. « Attends, je dis rien aux parents si tu promets de ne pas me laisser seul avec l’oncle De Médicis, il va encore vouloir me tenir toute la soirée, pour se montrer en parfait oncle celui-là. Je compte sur toi frangin » Tu lui souris, passant une main dans tes cheveux avant de souffler pour regarder le ciel bleu. Cela te faisait penser à Monaco et ces petits jardins secrets ou vous alliez souvent avec ton frère quand vous étiez petits. Les joies de vouloir être comme tout le monde, mais cela t’avait toujours très bien réussis d’être comme tout le monde. La preuve. Peu de photographe te prenait en photo parce que ta vie était trop banale, et aussi parce que tu avais appris à ne plus t’en soucier à fois. Et les habitudes ne changent pas avec toi, bien au contraire.

@Matt P. Grimaldi
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