Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPlease don't stop the music ▬ Bambi.
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


Please don't stop the music ▬ Bambi.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Please don't stop the music.
Bambi et Annalynne.



Si j'aurai pu hésiter lorsqu'elle me l'a proposé, le fait est que je ne l'ai pas fait. Moins que ce qu'on aurait pu le penser en tous les cas. Ou juste à peine une seconde, par réticence à laisser Tobias trois jours, sauf qu'en ce moment, j'ai des envies, de mordre ma propre vie. Je veux voir autre chose, je veux croire une nouvelle fois reine d'un monde que je suis capable de contrôler, péter de tunes et prête à tout envoyer valser. Plus femme que mère, sans avoir peur de me perdre. Alors malgré ce qui a pu se passer hier, à son bar, et qui reste encore un flou parsemé de noir … J'ai prit l'avion, avec une foutue once d'appréhension, mais je l'ai prit, et lorsqu'elle est venue me chercher, je lui ai d'abord balancé « Promets moi que ces trois jours vont me changer les idées. » Parce que même si le temps passe, que la date d'anniversaire de notre rupture remonte maintenant à presque quatre mois, il est vrai que ça me peine encore lorsque la nuit j'embrasse le froid.

Hébergée dans la chambre de mon amie, j'ai, depuis ce matin, bordélique dans l'âme, déjà prit mes aises. Laissant traîner mes affaires ici ou là. Et d'un œil avisé, je regarde la panoplie de tenue que j'ai déversé sur son lit afin de déterminer laquelle je vais bien pouvoir porter. « C'est quel style déjà ? » La discothèque où elle veut me traîner, qui est dans le complexe hôtelier si j'ai bien assimilé. Ce n'est pas que je n'ai pas confiance dans les vêtements que je pourrai glisser sur mon dos, c'est juste que … merde ça fait un bail que je ne suis pas sortie de manière officielle dans ce genre d'endroit, sans me contenter d'aller boire un dernier verre à la sortie du Nirvana, entre collègues, juste ça. Je me sens presque trop vieille, de ce fait c'est en grognant, que j'observe une dernière fois, avant d'aller choper la moitié de noix de coco pouvant contenir le cocktail que le room service a bien voulu me monter. Une longue gorgée est avalée, avant que mon amie n'arrive jusqu'à moi, presque prête, me rappelant à quel point je peux être à la traîne … Je lui offre donc un sourire faussement excusé et las.
made by black arrow
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Please don't stop the music

Annalynne & Bambi

Inviter Annalynne à passer un moment avec elle, c'était plus qu'une évidence, mais surtout une promesse. Aux yeux de Bambi, cela lui permettrait de se changer les idées, d'être à nouveau courtisée éventuellement ou ne serait-ce que passer une bonne soirée dans un environnement tout autre. Certes, les problèmes et la déprime seraient toujours là au matin, mais l'oubli pendant quelques heures n'avait jamais fait de mal à personne... voilà pourquoi, pour l'occasion, l'italienne s'était faite belle avec une jolie robe rouge relativement courte, un maquillage soigné, laissant ses cheveux tomber en cascade contre ses épaules nues. Il faisait encore une belle chaleur à Negril, bien loin des températures encore hivernales de Boston, par conséquent, une petite robe d'été suffisait amplement pour se couvrir. Tu es prête ma chérie ? lança-t-elle d'un ton enjoué, avant de constater qu'Annalynne n'avait pas encore fini ses préparatifs. Qu'importe, elles n'étaient pas attendues à une heure précise et pouvaient donc s'y rendre quand elles le voulaient ! Le sourire d'excuse empli de lassitude la fit soupirer. Sois pas désolée, on est pas pressée tu sais ! Si tu veux, ta Bambi ici présente peut te donner un coup de main, elle est pas belle la vie ? Prendre la vie du bon côté, une qualité qu'on ne pouvait que difficilement ôter à l'italienne.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Please don't stop the music.
Bambi et Annalynne.



« Tu es prête ma chérie ? » La bonne humeur de Bambi se fraie un chemin jusque dans mes veines. Une seconde, j'en oublie pour de bon Cambridge, et je réalise que c'est exactement ça que je suis venue chercher ici. Un brin d'utopie. Le manque s'amenuise, et je le fonds dans mon verre aux embruns de vie parfaite sous les cocotiers. « Sois pas désolée, » à la vérité, je ne le suis que de moitié. « on est pas pressée tu sais ! » évidemment, mais si l'on peut ne pas arriver à la fin de la soirée, je me dis que ce serait pas mal quand même. Une autre gorgée, un sourire, allégé. « Si tu veux, ta Bambi ici présente peut te donner un coup de main, elle est pas belle la vie ? » Belle j'en sais trop rien, il faut dire que depuis quelques mois la mienne s'est noircie, sur le coup, je m'empêche de penser à lui, mais c'est sûrement grâce à l'alcool qui s'est légèrement mêlé à mon esprit, que je hoche le visage de façon positive, avant de lui répondre finalement. « Rouge pour toi, donc on élimine celle là. » Et je vais vers le lit, mettre en boule la robe rouge qui aurait pu être sur moi. Ne reste qu'une noire, ainsi qu'une blanche un tantinet nacrée. L'une femme fatale, l'autre plus estivale. Et calculant l'ambré de ma peau, je m'incline vers la seconde, en la désignant du doigt. Pudique pour pas un sous, je me retrouve rapidement en sous-vêtement devant mon amie, avant de glisser sur la dentelle, la texture légère de mon choix. « Alors ça va ? » Que je lui demande en me tournant vers elle et pour le coup, ma trousse de maquillage pour aller chercher mon rouge à lèvre et souligne par habitude ma bouche sans même me regarder. Pince mes lèvres, et lui lance d'un air de défi « Et si on allait passer une bonne soirée ? » De celles que l'on oublie jamais.  
made by black arrow
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Please don't stop the music

Annalynne & Bambi

Vrai que Bambi avait opté pour une robe d'un joli rouge, et fut amusée de voir Annalynne rouler en boule son exemplaire rouge sur le lit. Il valait mieux que leurs couleurs soient différentes, et l'italienne ne perdit pas une miette des gestes et propos de sa meilleure amie qui décida d'elle-même de sa tenue. Cette couleur te vas vraiment à ravir ! s'exclama-t-elle alors, une fois le choix fait. Elle ne fut pas plus gênée que son amie de la voix se déshabiller, la pudeur n'étant plus vraiment un problème depuis que la jeune maman avait vu de près ses cicatrices et brûlures. Si les rôles avaient été inversés, Bambi aurait probablement agit de la même manière envers Annalynne. Je confirme, ce choix était fait pour toi et pour cette soirée ! reprit-elle en la voyant appliquer sur ses lèvres un peu de maquillage, sans même se regarder dans un miroir. La force de l'habitude dans sa plus grande expression. Mais à l'invitation de la belle brune, l'italienne s'approcha, s'empara de son bras et reprit, d'une voix déterminée : je suis sûre qu'on attend plus que nous, c'est parti mon kiki ! Et elles quittaient déjà la chambre, bras dessus bras dessous. L'ambiance de la soirée battait déjà son plein, le fait est. A peine arrivée qu'on leur souriait pour les saluer en grandes pompes. Tu veux boire un petit quelque chose ou danser un peu d'abord ma chérie ?

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Please don't stop the music.
Bambi et Annalynne.



« Cette couleur te vas vraiment à ravir ! » Sa bonne humeur, elle est presque palpable, c'est un enthousiasme qui fait du bien, qui fait un doigt d'honneur au chagrin. Et je ne mentirai pas, c'est ce dont j'avais besoin. D'ailleurs, elle surenchérit lorsque le tissu tombe finalement sur ma peau, et si ma confiance a été au mois de décembre, quelque peu amputé, ce soir, il est clair qu'il n'est plus aucune question de douter. « Je confirme, ce choix était fait pour toi et pour cette soirée ! » En un sourire je la remercie avant de lui proposer une bonne fois pour toute, de nous mettre en route. Une oeillade lancée sur le joli bordel que j'ai apporté avec moi, je m'approche tout de même afin de siroter une dernière fois mon cocktail, puis elle vient s'accrocher à mon bras. Je ne suis pas fanatique, du côté tactile, des gestes amitiés – et même d'amour – qui peuvent parfois découler de ce genre de relation, mais je me laisse faire, sans trop rechigner, parce que l'ambiance s'y porte et que je ne voudrai pas la gâcher. Non, durant ce weekend rien ne doit venir nous agacer, ou distendre ce côté léger qui s'est naturellement imposé.

« je suis sûre qu'on attend plus que nous, c'est parti mon kiki ! » Et bien que cela soit ridicule à souhait, je me perds à prononcer. « Peut-être, qui sait. » d'un air railleur, appréciant ce parfum d'ailleurs. On descend, on traverse le hall de l'hôtel, on croise des gens qui sont pleins de vie, le coeur en fête, et j'avoue en avoir déjà, qui tourne, la tête. Les soirées étudiantes, je passe mon temps à les dénigrer, à dire que je vaux mieux, que pour moi ce n'est pas assez. Mais qu'importe qui je pourrais croiser ce soir, je me sais capable d'assumer, d'être venue me perdre dans cette destination de spring break pour savoir à ma manière comment panser mes plaies. Béantes, géantes, comme le vide qu'il a laissé. On passe l'entrée et puis … « Tu veux boire un petit quelque chose ou danser un peu d'abord ma chérie ? » Sa jeunesse m'emballe, et je suis persuadée que mon esprit déraille. « Tu oses me poser la question ? » que je tente de lui dire malgré le brouhaha ambiant, mais au cas où elle n'entendrait pas, je suis certaine que mon expression parle pour moi, c'est un cocktail que je veux, évidemment. C'est toujours côte à côte qu'on s'approche malgré la foule du bar qui se trouve en retrait. L'exotisme se parsème partout, dans les décorations, dans de faux cocotiers. Un brin de palmiers. Du vert dans toutes ses teintes déclinées. Mon corps s'imprègne déjà de la musique, et mon regard s'égare quand on en vient à s'accouder sur le comptoir. Mes mains tapotent sur le bois laqué, et oisivement, je lui demande, juste avant de me décider à commander « Et ton cher et tendre, il est où ce soir ? » Sait-on jamais, s'il avait une part de possessivité … Ajoute à l'arrivée du serveur, à la peau hâlée. « Un délice des îles et … ? » me tournant vers ma comparse pour qu'elle puisse achever ma phrase en lui donnant le nom de ce qu'elle veut ingurgiter avant d'aller – possiblement – se déhancher.   
made by black arrow
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Please don't stop the music

Annalynne & Bambi

Le simple fait qu'Annalynne lui renvoie sa question avec humour la fit rire aussitôt. Effectivement c'était une question idiote ! Bambi l'avait entendue malgré le brouhaha ambiant. Il fallait dire que l'italienne avait hautement l'habitude de ce genre de soirée, ou il valait mieux mettre de côté les grandes discussions et autres débats... s'amuser en buvant un coup ou en se remuant le popotin était plutôt l'idée principale, surtout en vue de faire se changer les idées à sa meilleure amie. Ciarán passe un moment avec ses deux meilleurs potes sauf erreur. Ce sont ses vacances à lui aussi, je ne veux pas le museler ! Lorsque l'on est à Boston il ne les voit pas tant que ça parce qu'on est toujours ensemble... admit-elle sans préciser pour autant sa récente installation d'avec son homme. Il valait mieux éviter le sujet en présence d'Anna pour le moment. et un autre délice des îles, je te suis sur ce coup là ! s'exclama-t-elle vis à vis du cocktail, avant de reprendre quasi instantanément : et ton petit bout, comment il va ?

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Please don't stop the music.
Bambi et Annalynne.



J'ai pour coutume de ne pas vraiment assister à ce genre de soirées, me tient, le plus clair de mon temps loin de tout ce qui peut toucher à l'univers des étudiants. Plus habituée à la langueur des nuits passées au Nirvana, c'est trop légèrement que je m'imprègne de l'atmosphère de ce club, qui est à des années lumières du mien. Je m'essaie à l'oublie dans un autre pays, tente de relativiser sur ce qui a pu m'arriver durant cette dernière année écoulée. Comme si toute une vie avait pu se dérouler lors de ces mois où le contrôle m'a totalement échappé. Je m'intéresse même, à son couple, ayant fait le deuil du mien … Enfin, tout du moins, je m'en convaincs. J'ai pu vivre sans lui avant de le connaître et je saurai survivre à son absence. Comme si … comme si rien, voilà, c'est aussi simple que cela. « Ciarán passe un moment avec ses deux meilleurs potes sauf erreur. Ce sont ses vacances à lui aussi, je ne veux pas le museler ! Lorsque l'on est à Boston il ne les voit pas tant que ça parce qu'on est toujours ensemble... » Mes sourcils se haussent, mon visage approuve en un synonyme d'un « Oh je vois. » certes s'étouffer lorsqu'on est avec quelqu'un n'est jamais la meilleure des solutions. Mais après tout, pour ce que j'en sais moi. Bien loin d'être experte lorsqu'il s'agit de parler d'amour.

Elle commande finalement le même cocktail, et j'en souris, c'est dingue comme cet acte s'en trouve plus facile ici. Cet aparté semble quelques secondes me changer. Plus libérée. J'apprends à me délier de ces chaînes trop longuement portées. « et ton petit bout, comment il va ? » Presque honteuse, j'avoue que l'espace de quelques minutes j'en avais mit de côté aussi ce petit être à qui j'ai donné la vie. Délaissé pour weekend en faveur d'une mère ayant le besoin de se retrouver sous peine de se voir bientôt arriver au point de non-retour dans son naufrage non maîtrisé. « Bien. » prononce ma voix, alors que nos cocktails arrivent finalement. « Il grandit à vu d'oeil. » à chaque instant, me surprends de ses sourires, et me peine lorsque je reconnais son père dans ses rires. Mais j'ai du mal à être comme toutes ses mères, fières et a étaler sans cesse les exploits de leurs enfants. « Il est surprenant. » Chaque jour découvrant un monde si grand. Mais je me préfère pudique sur ce sujet, ressassant parfois à quel point j'ai pu le rejeter avant même qu'il ne soit né. « Mais ce soir ... » de ma langue j'attrape ma paille afin de boire gorgée. « Je ne suis pas maman. » Je suis juste Anna, et je te promets que ça importe pour moi.
made by black arrow
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Please don't stop the music

Annalynne & Bambi

Entendre Annalynne parler de son fils fit plaisir à Bambi, certes, mais l'italienne ne manqua pas de remarquer le rien d'amertume qui demeurait dans chacun de ses mots, de ses gestes. Elle adorait son petit bout, c'était l'évidence même, plus évident qu'un nez au milieu d'une figure mais ce dernier devait lui rappeler sans arrêt son histoire avec Clay, la complexité de celle-ci et leur rupture. La brunette s'en voulut aussitôt de sa question et, malgré son sourire rassurant, ne manqua pas de serrer la main de sa meilleure amie quelques instants pour l'apaiser. Félicitations alors pour ça fit-elle tout de même, car c'était ce qu'il fallait dire, et ce que Bambi pensait en toute sincérité. Ce soir, je ne suis pas en couple et tu n'es pas maman ! On est juste deux nénettes qui vont picoler et s'éclater sur le dance floor... mieux comme programme ma biche ?

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Please don't stop the music.
Bambi et Annalynne.



Le fait est que je me suis égarée entre deux mondes, deux eaux troublées, j'ai toujours pensé que d'une quelconque manière ma destinée était étroitement écrite, sans croire qu'elle pouvait l'être à la craie. Si simple à effacer pour pouvoir recommencer. D'abord mon père, mon avenir tracé, Alan, et leurs projets, ensuite Clay, le début de notre histoire, le chaos … le paradis, là j'ai cru que tout était défini, mais une famille unie – celle qu'il disait vouloir dès le départ – j'aurai du comprendre que ce n'était qu'un mensonge déguisé, que ça ne pouvait pas lui suffire, même si j'avais choisit de m'en contenter. L'enfer. Un véritable enfer, voilà ce que je vis, et je suis venue chercher un apaisement factice ici, l'espace de deux jours pour me fourvoyer, pour apprécier la main de mon amie venant trouver la mienne parce qu'elle comprend combien ça me fait du mal de penser à eux ici. Ceux qui se devaient d'être les deux hommes de ma vie. Une si belle connerie. « Félicitations alors pour ça. » Pour Tobias qui grandit ? Je ne suis pas certaine d'y être pour quelque chose, je me dis plus que je suis l'ombre dans son monde. Bien trop égoïste et mauvaise pour être bonne dans ce domaine. Mais j'essaie, je me démène, alors que ce n'était pas – de base – dans mes gênes. « Ce soir, je ne suis pas en couple et tu n'es pas maman ! On est juste deux nénettes qui vont picoler et s'éclater sur le dance floor... mieux comme programme ma biche ? » Toujours sa légèreté, toujours le mot pour mieux faire passer les contrariétés. Je sais pertinemment que ce n'est qu'un aparté, mais en un sourire je souligne ses mots, les approuve en un hochement de tête significatif, et bois encore longuement une gorgée de mon cocktail aux délices d'ici. Mes lèvres que je mordille, j'en deviens un brin gamine quand je réfléchis à mes prochains actes. « T'as déjà eu une leçon de danse de la part de la propriétaire d'un club de strip ? » Un énorme sourire. Je ne vais évidemment pas me déshabiller, je pense juste à la seconde partie de sa phrase et du fait d'aller se déhancher. Danser sans y penser. A mille lieux de la danse classique qu'assidûment on m'a forcé à pratiquer, juste s'amuser. Et pose mon verre, n'en ai que faire s'il est volé, nous sommes toujours a temps de recommander. J'attrape sa main, et la traîne sur mes pas à l'aide d'un « Allez viens. » Oublier le temps, et envoyer se faire foutre mon chagrin.
made by black arrow
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Please don't stop the music

Annalynne & Bambi

Bambi n'était évidemment pas une danseuse professionnelle mais ici, il n'était pas question de remporter un concours... à part de boisson, peut-être. L'éclate resterait leur maître mot de ce soir, l'italienne l'avait bien intégré et s'y accrochait comme à une barre de pôle-danse pour ainsi dire. Elle s'amusait d'avance de les imaginer beurrées comme des petits Lu à se déhancher même jusque tôt le lendemain matin. Tant pis. Ici, Annalynne n'était pas jeune maman, Bambi n'était pas future médecin, donc elles ne devaient rien en avoir à cirer. Non jamais mais je ne demande qu'à apprendre ma chérie ! s'exclama-t-elle en ponctuant ses nouveaux propos d'un petit clin d’œil on ne peut plus complice. La brunette se doutait bien que sa meilleure amie n'avait pas dans l'idée qu'elles se déshabillent devant toute une assemblée... car il n'en serait pas question - Ciarán n'aurait pas fini de lui en vouloir pour ça dans le cas contraire - mais elle avait bien saisi qu'ici, la danse primerait. Allez montre moi en premier j'ouvre grand mes yeux ! fit-elle après avoir lâché sa main avec douceur.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)