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au voleur ! (clay)

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au voleur !
clay fitz. cooper & andrea cermolacce
Je meurs de chaud. Je n'en peux plus et j'ai encore forcé sur les activités aujourd'hui. Ne me demandez pas pourquoi j'ai fais ça mais je l'ai fais, conne et bien idiote comme je le suis. Je devrais arrêter de me battre pour les épreuves parce que je suis juste enceinte de quatre mois et celui là, j'aimerais bien qu'il reste où il est jusqu'au bout. Genre vraiment. Je crois que cette fois-ci, je ne me relèverais pas si je venais à perdre le bébé. Enfin, je me dirige vers les douches du camping pour aller me rafraîchir parce que j'en ai vraiment besoin et c'est rien de le dire. En plus, j'ai sué comme une vache toute la journée sous ce soleil. Franchement, il fait moins chaud en Australie quoi ! et pourtant c'est l'été là haut. C'est peut être le vent qui change. Et ça change vraiment beaucoup en fait, quand j'y pense. Je me déshabille dans une cabine et y laisse mes habits. J'enroule une serviette autour de moi et retire ma prothèse pour la laisser dans la cabine. Je sautille jusqu'à la douche, me tenant aux murs pour ne pas me casser la gueule et je prends mon temps sous la douche. Sauf que lorsqu'il est temps de renfiler mes affaires, rafraîchie au possible et je fais le chemin jusqu'à la cabine et je m'abaisse pour mettre ma prothèse sauf que... " Ma prothèse ?! " J'ouvre grand la bouche et mes yeux glisse sur le mur droit de la cabine. " Ma prothèse ! On m'a volé ma prothèse ! " Hurlais-je en me tenant à la porte, me sentant vaciller. Non mais ça serait la blague de l'année là ! " Qui m'a volé ma prothèse ! " finis-je par beugler comme si on m'avait volé un million de dollars. Mais en vrai, je préfèrerais amplement qu'on me vole cette somme plutôt que ça... Genre vraiment.

@Clay Fitz. Cooper face viens là musclor et porte moi à la chasse au batard qui a volé ma prothèse :loukas: (elle est juste appuyée sur l'autre mur btw au voleur ! (clay) 166564858 mais le soleil lui a tapé sur le crâne)
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« Au voleur ! »

— Andrea & Clay
Toujours entre les affres conflictuels de ma situation, à savoir celles qui nourrissent mes moments de solitude, j'erre serviette à la main jusqu'à ces pseudo salles de bain qui nous ont été de façon très sommaire dévoilées. J'ai répondu présent à l'invitation du Dunster mais je n'en reste pas moins une pièce rapportée de ce puzzle humain qui ne se mêle à une aucune de leurs petites activités. Sauf en ce qui concerne cette courte randonnée aux cotés de Jimmy histoire de parler librement sans avoir à être juger par cette bande d'écervelés. C'est une décennie qui creuse ce fossé entre l'homme que je suis et ces étudiants désœuvrés.

Je n'ai pu, il est vrai, m'empêcher de faire un détour par la bar juste avant afin d'y distiller le peu de fierté qu'il me restait, conversant avec le barman fort satisfait et soulagé de pouvoir deviser avec un homologue sorti depuis bien longtemps de la puberté. Alors d'une gaucherie et d'une démarche incertaine, la paume plaquée contre le ciselage d'un mur finement craquelé par le temps et les graffitis qui sont venus s'y rajoutés, je me pose face au premier lavabo croisé, les traits harassés pour m'y asperger. Chaque geste me prend, me semble-t-il, une éternité et seul le goutte à goutte frénétique de ce robinet aussi fuyard qu'un panier percé me retient à la réalité.  Me frayant un chemin d'ailleurs jusqu'aux méandres de ma lucidité, mes doigts détrempés viennent tirailler mes traits jusqu'à ce que d'une brève œillade sur les alentours mon attention ne se fige sur cette petite annotation: " Jeune femme cherche bête de sexe pour soirée arrosée 702-115-7356 " Le numéro est à ne pas s'y tromper américain et la calligraphie encore intacte ne peut laisser planer le doute quant à sa datation. Il suffit juste de faire preuve d'un peu de déduction: Nous sommes le seul groupe arrivé tantôt en provenance du Nord et les derniers, d'après le registre, ont levé le camps depuis quelques jours déjà. Entre autres, la feuille A4 placardée sur la porte stipule bien le passage des femmes de ménage depuis leur départ. Par conséquent, celle qui souhaite tant prendre son pied n'est autre que l'une des étudiantes du groupe parmi lequel je ne veux évoluer. Même dans un état de semi-ébriété, je reste capable de logique et fort de ce constat, je n'en réprime pas moins un rire teinté de mépris avant d'être interrompu par l'arrêt brutal de cette douce mélopée qui s'échappait de la cabine cloisonnée dans mon dos: quelqu'un vient de couper l'eau. Soit.

Alors dans l'idée de ne croiser du regard celui qui s'apprête à sortir de là, mon torse s'abaisse jusqu'à effleurer le marbre et plonge la tête dans cette fraicheur astringente, clairement tenté d'y rester le plus longtemps que me le permettra ma volonté. Quelques secondes et d'entre les échos sourds de mon pouls se fait entendre une voix, plutôt féminine d'ailleurs, qui semble éprouver la nécessité de partager son affliction. Résigné, je quitte le confort de cet havre aquatique en faveur de cette vision décharnée, écorchée d'une femme nouée dans les pans de sa serviette mais à qui l'on prête une attention toute particulière d'emblée. Sa différence saute inéluctablement aux yeux. " Qui m'a volé ma prothèse ! " Et si l'on dit souvent que l'inégalité ne doit pas être une barrière à la sociabilité, j'éprouve pourtant une difficulté flagrante à la regarder, à lui répondre ne serait-ce qu'un mot par crainte que mes paroles ne soient mal interprétées. Le tact me fait défaut et cela, tout mon entourage le sait. Je me détourne alors de ce spectacle pour chasser du revers de la main les derniers sillons découlant lentement de mes traits. " Je ne suis qu'un visiteur, " nullement témoin, encore moins coupable du forfait qui l'ampute de sa mobilité. " Mais si je peux être d'une aide. J'ai rien de mieux à foutre de ma soirée. " Parce qu'il pourrait être divertissant de lui faire comprendre qu'elle et toutes ses congénères, un peu plus complètes certes, ne sont que des pourries gâtées qui ne savent strictement rien faire d'autre que de profiter du malheur des autres. Une vérité que je souhaite voir tomber comme un couperet. Cela dit la situation est d'un risible qu'il est tentant de s'en moquer. " Tu... Devrais essayer d'appeler celle-là." Ma main balaye machinalement les airs jusqu'à pointer du pouce le numéro tracé à indélébile. " Elle semble vouloir prendre son... pied, ou le tien.  "
 MAY

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clay fitz. cooper & andrea cermolacce
Un road trip. Pourquoi est-ce que j'ai décidé de venir au road trip des Dunster ? Pour m'intégrer ? Ouai, c'est surement ça. Sauf que je suis usée, fatiguée et enceinte alors pour s'intégrer, j'ai connu plus flatteur. En plus, avec les chaleurs qu'il fait, ce n'est pas l'idée du siècle. J'ai vraiment été idiote sur ce coup là et alors que je prends ma douche, je me dis qu'il ne faudrait pas qu'il m'arrive quelque chose là. Non parce que je suis en équilibre sur une jambe, ayant préféré ôter ma prothèse pour me doucher tranquillement et pour pouvoir me masser un peu. Ma peau est brûlante, encore plus à l'extrémité de mon membre manquant et l'eau fraîche me fait un bien fou. Je souffle doucement, un sourire se dessinant sur mon visage. On ne vit qu'une fois après tout. Je prends mon temps, un petit trop surement parce que lorsque je sors, ma prothèse a disparu et je panique rapidement. Comment vais-je faire ?! Et surtout, je n'ai absolument aucune envie que mes amis dunster me voient comme ça. " Je ne suis qu'un visiteur, " Je le regarde et ouvre grand les yeux, à deux doigts d'hurler et de paniquer. Mais ça ne sert à rien. Calme toi Andrea. Personne n'a besoin d'une prothèse, ce sont surement des gamins qui s'amusent. Et ça me dégoute rien que d'y penser. Au milieu de la pièce, appuyée sur le mur, je regarde partout autour de moi. J'ai l'air d'un putain de flamant rose comme ça, génial. Il va falloir que j'appelle Paris. Et s'ils ont volé autre chose, comme mon téléphone ? Je déglutis difficilement et le regarde, mon regard suivant son bras quand il pointe un numéro du doigt. " Tu... Devrais essayer d'appeler celle-là. Elle semble vouloir prendre son... pied, ou le tien. " Je lis l'inscription et me re-concentre sur lui. " Tu te crois drôle ? " Non parce que là, j'ai pas franchement envie de rire en fait. " Ça m'aurait fait mourir de rire en temps normal mais là... un peu moins " Lâchais-je sèchement en sautillant pour m'approcher des lavabos. " Puis que tu n'es qu'un visiteur, t'en aurais pas vu un autre, de visiteur ? Un visiteur qui serait parti avec quelque chose m'appartenant ? " Demandais-je en le regardant droit dans les yeux. " Ou alors t'as envie de jouer au prince qui aide la princesse en détresse ? Bien, princesse en détresse " Soufflais-je, en rechignant légèrement. " Mon sauveur ! " Criais-je presque en tombant dans les bras de l'homme face à moi. Il va me prendre pour une folle. Mais le soleil a tapé toute la journée... " Voilà, tu m'as sauvé. Où elle est ? " Simple et efficace. Et fou. Tout comme moi.

hj; non désolée, je ne t'ai pas oublié (emo) @Clay Fitz. Cooper au voleur ! (clay) 2511619667
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« Au voleur ! »

 Andrea & Clay
Sa vision s'égare sur les nombreuses marqueteries taguées du sceau des crétins qui sont venus ici et elle daigne enfin faire entendre sa voix dans un cracha de réprimandes qui me sont destinées... A qui d'autre en même temps? Je suis le seul ici à perdre mon temps en l'écoutant. " Tu te crois drôle ? " L'humour noir n'est pas au gout de tout l'monde il faut croire. " Ça m'aurait fait mourir de rire en temps normal mais là... un peu moins "  Parce qu'elle est infirme depuis peu peut-être? A en juger par le moignon sous son genoux, une vision de que je ne saurais contempler plus longuement au risque d'être écœuré à chaque fois qu'une femme sortira détrempée, ce n'est pas un accident récent qui l'a mutilée. C'est sans compter cette faculté, cette aisance malgré l'absence de sa prothèse, forte habituée à se mouvoir malgré son handicap jusqu'à parvenir à mes cotés.  Sans plus m'attarder sur son cas visiblement désespéré, les divers ustensiles nécessaires à mes commodités sont un à un installés sur cette surface de céramique lézardée, la serviette enclavée entre cette vétuste robinetterie et le miroir rongé par l'humidité. " Puis que tu n'es qu'un visiteur, t'en aurais pas vu un autre, de visiteur ? Un visiteur qui serait parti avec quelque chose m'appartenant ? " Pour sur, et j'aurais certainement trouvé curieux mais surtout très frustrant qu'un gars ai besoin d'un cache sexe aussi grand...

" Ou alors t'as envie de jouer au prince qui aide la princesse en détresse ? Bien, princesse en détresse " Pardon? Je n'ai pas le temps de me retourner vers elle qu'elle glousse subitement et se laisse pratiquement tomber, faisant valser la bombe à raser et la lame qui se trouvaient à portée. Complètement cintrée... Elle a beau être estropiée, elle pèse son poids et je devine aisément où les kilo superflus sont allés se loger: dans ce ventre un peu plus rond que ce qu'il n'est permis aux étudiantes chastes et cultivées. " Voilà, tu m'as sauvé. Où elle est ? " Néanmoins elle récupère très vite de sa folie, toujours vautrée dans mes bras lorsque je tente de la rétablir, de lui faire regagner un semblant d'équilibre afin de vaquer à mes propres occupations. " J'ai pas l'temps pour ces conneries." C'est pas l'tout, mais j'ai quitté les fous sur le tarmac de Boston il y a quelques jours et ce n'est pas pour m'en coltiner d'autres ici. Échine courbée et genoux fléchi, je marque un temps d’arrêt lorsque mes doigts empoignent le rasoir et l'observe par crainte d'être infecté par une quelconque saloperie... " Moi qui pensais que les Dunster étaient réfléchies et saines d'esprit. " Loin de se faire engrosser surtout lorsqu'elles sont réduites de moitié. Et très lentement mon image se reflète de nouveau à mesure que je puise dans mes forces afin de me relever, paume fermement campée sur le lavabo qui ne demande qu'à céder et ploie moi-même à l'hilarité, un dernier regard balancé via cette vitre argentée sur nos visages de déterrés." Te reste plus qu'à... sautiller jusqu'aux objets trouvés."

 MAY


@Andrea Cermolacce
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