Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJazmas x sourire, juste pour faire croire qu'on a arrêté de souffrir
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Jazmas x sourire, juste pour faire croire qu'on a arrêté de souffrir

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sourire, juste pour faire croire qu'on a arrêté de souffrir ↬ Spring Break. Spring Break. Spring Break. Il ne s'était jamais senti aussi seul. A cause de quoi ? A cause de lui, de sa famille, de son compte en banque, de son manque de confiance envers les autres, des autres. Il en avait marre. Mais, ce n'était pas de sa faute. A chaque fois qu'il avait essayé d'accorder sa confiance à quelqu'un, on la piétinait, comme si ce n'était qu'une vulgaire chaussette. Et aujourd'hui, il avait du mal à la donner. Surtout aux filles. La plupart étaient plus amoureuses de ce qu'il a que de ce qu'il est. Comment ne pas arrêter de penser que l'humain est bon après ça ? Il se baladait sur la plage, le soir tombait. Il commençait à faire plus frais que la journée. Mais il avait quand même un bermuda, et un débardeur léger. Il portait ses chaussures, vans, à la main pour ne pas qu'elles prennent le sable. De l'autre, il fumait une clope. Une vieille habitude, et ça ne lui faisait même pas mal au porte monnaie contrairement à d'autres qui avaient au moins cette raison pour s'arrêter. Et lui, il avait quoi ? Personne pour lui faire la morale. Alors qu'il se baladait, il vit une jeune femme jouer de la gratte sur la plage. C'était beau, c'était doux. Elle était brune, les cheveux long visiblement, métisse, même un peu plus que métisse. Il s'approcha d'elle. Ce soir, il n'avait pas envie d'être seul. Alors il décida d'aller lui taper la discussion. "C'est beau, ce que tu fais. Je suis Thomas, et toi ?" Pour une fois qu'il était sympa, qu'il se présentait. Espérant qu'elle n'allait pas le rembarrer.
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Je ne savais pas bien ce qui m'avais mener jusqu'ici.
Le silence ?
Ou au contraire, le bruit des vagues ?
En contemplant l'eau je me rendais compte d'à quel point j'étais loin des block et des litres de bitume qui m'avaient vu grandir. Quelque part dans mon cœur je savais que ça me manquait mais là, tout de suite, le son de l'eau était si apaisant que j'avais l'impression d'être née pour vivre ce moment précis. J'avais ma guitare prêt de moi, mon éternelle compagne dans les moments de solitude. Je décidais d'entamer une de mes compositions personnelles.
Une mélodie douce.
Mélancolique.
Quelque chose qui allait bien avec l'instant présent.
C'était rare que je joue des airs aussi triste, j'étais plutôt du genre à vouloir partager mes joies en musique plus que mes peines. Mais ça m'était venu si naturellement que je n'avais sue m'arrêter. Et des questions me traversaient l'esprit : avais-je eu raison de tout sacrifier pour venir jusque Harvard. Est-ce que le travail que je fournissais suffirais ? Est-ce que tout ce que je faisais était suffisant ?
Des larmes brouillaient soudainement ma vue : je savais maintenant pourquoi je ne jouais jamais d'airs tristes.  Au même moment, alors que je ne m'y attendais pas j'entendis une voix derrière moi. J'eus un léger sursaut et essuya mes larmes avant qu'elles ne s'écrasent sur mes joues. Je me tournais pour voir à qui j'avais affaire.
Pas lui.
Son visage ne m'étais pas inconnu puisque je l'avais déjà vu à plusieurs reprise à bord de sa magnifique voiture. Oh, il ne m'avait rien fait et concrètement tout ce que je lui reprochais c'était le fait qu'il était riche. Je soupirais en le voyant : je n'allais pas jouer les malpolies tout de même. « Merci. Je pensais être seule sinon je me serais arrêté de jouer. » ; j'avais du mal à masquer ma tête emplie de préjugés. Je posais ma guitare prêt de moi et fixait l''eau qui allait et venait sur le sable.
(Invité)