Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBut the changing of winds and the way waters flow. Life is short as the falling of snow. [ Lukà ]
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But the changing of winds and the way waters flow. Life is short as the falling of snow. [ Lukà ]

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Je savais que le Spring Break était en Jamaïque, et je savais que le climat y était tropical. Tout le monde trouve ça génial, mais moi, j'ai l'habitude de ma Russie natale et j'ai cette passion farouche pour le froid et la neige. La patinoire me manque, la glisse du hockey aussi. Donc évidemment, je ronchonne en russe sur l'étouffante chaleur et la moiteur ambiante. J'ai chaud, et j'avais besoin de passer ma journée dans l'eau. Ce samedi, c'était quartier libre, alors j'en ai profité pour faire une activité aquatique. Un chapeau de paille sur la tête, j'attends le bateau qui doit emmener un petit groupe faire du snorkeling au dessus des coraux à la découverte de la vie marine. Et  même si la température de l'eau me paraît encore trop chaude par rapport à ce que j'aime, ça sera toujours mieux que le soleil qui frappe ma peau. J'ai déjà réussi à bronzer, en quelques jours, et parfois, je me dis que mon géniteur doit avoir une peau qui aime le soleil. J'essaye de l'imaginer quelques fois, sa façon d'être, son physique, ses goûts... mais ça se termine toujours en insultes envers lui et un sms envoyé à mon père adoptif pour lui dire que je l'aime. D'ailleurs, je sors mon portable et lui envoie une photo du paysage avant d'enfin voire au loin notre bateau qui arrive au bord de la plage. Ce genre de mms, ça doit lui changer des hématomes après le hockey, de la patinoire, des coéquipiers en tenue, des articles de presse... Et je pense qu'il va ramener un peu le soleil sur St Petersbourg. Je range mon portable rapidement dans mon sac en bandoulière et attends que la bateau se rapproche. Le vent vient jouer avec mes cheveux détachés. J'en ferme les yeux jusqu'à ce que je sente mon chapeau quitter sa place sur ma tête. Je l'attrape de justesse alors qu'il allait finir sa trajectoire dans le dos d'un homme, mais dans mon élan, je frôle son dos du bout des ongles. Le russe sort instinctivement de ma bouche. « Merde ! Excuse moi. » Comme s'il allait pouvoir comprendre quelque chose...



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J2 – Nous sommes samedi. J’ai atterri vendredi et je n’en reviens pas. Le programme du jour : Visite de l’hôtel et ses environs notamment les plages paradisiaques. Et je tombe sur qui ? Une charmante demoiselle. Ses courbes gracieuses en feront chavirées plus d’un homme.  Je me retourne et c’est elle ! Elle m’a effleuré le dos pour rattraper son chapeau. Une grande brune aux yeux amendes me parlait russe en Jamaïque ? Le Spring Break offrait beaucoup d’opportunité aux nouvelles rencontres et celle-ci en était une, fort surprenante.  Je lui répondis en Russe également : «  T’inquiète pas, le principal c’est que le chapeau n'a rien, non ? »



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Je ronchonne. En fait, je me rends compte que je ronchonne tout le temps. J'suis certaine que Nolan me le dirait, un truc du style : « T'aimes pas le climat, qu'est ce que tu fiches ici alors ? » Et je ne sais pas pourquoi, mais cette idée me plaît. Mais je n'ai pas le temps d'y penser plus longtemps puisque mon idiot de chapeau s'envole. J'étais prête à traduire ma phrase en anglais, mais le jeune homme se retourne vers moi et me répond en russe. Doublement merde. Je souris, pour la surprise et pour son humour. J'ai envie de lui sauter dans les bras en fait. Putain, j'espère qu'il vient sur le bateau lui aussi parce que ça me fait réellement plaisir de parler dans ma langue natale. Je ne connais personne sur le campus qui parle russe, et parfois, quand j'appelle mon meilleur ami resté en Russie, j'ai presque l'impression de ne plus parler correctement, et que je mets une petite touche d'accent américain. Et Lasko se fiche toujours de moi. Je me redresse et installe le chapeau sur mon crâne, en le tenant d'une main pour qu'il ne s'envole pas une nouvelle fois. L'autre main tendue vers lui. « Noé enchantée ! Je ne pensais vraiment pas trouver un compatriote en Jamaïque... Tu montes sur le bateau toi aussi ? » Ouais, parce que j'ai grave envie de savoir d'où il vient, ce qu'il fait et qu'il me parle de mon pays qui me manque tant. Et s'il ne vient pas ? Tant pis, je louperai le snorkeling.



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J2 – « Lukà enchanté de même, euh… je n’monte pas sur le bateau, j’ai le mal de mer  mais vas-y si tu veux ». C’était faux seulement un prétexte pour qu’elle vienne en terre ferme avec lui. Il lui ajouta : « Je préfère me poser sur la plage et siroter des cocktails ».  Il prit la direction d’un coin tranquille sous un cocotier et installa sa serviette. Il enleva son t-shirt et alla directement à la mer. Son torse musclé était parfaitement dessiné. Le soleil était au rendez-vous. Il ne manquait plus que la charmante Noé pour pimenter la journée.
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Le mal de mer ? Franchement ? J'ai du mal à y croire, mais bon, chaque personne a ses faiblesses alors pourquoi pas. J'installe mon sac correctement sur mes épaules et observe la scène. Il va s'installer à l'ombre d'un cocotier, enlève son tee shirt et va se baigner. Je reste un peu bête là, tenant mon chapeau contre le vent. Mon regard se pose alternativement sur la bateau qui arrive et le jeune homme qui se baigne. Observer les fonds marins ou parler ma langue natale encore un petit moment. Le choix fut rapidement fait, je vais toucher deux mots au capitaine du bateau et lui demande de venir me chercher dans quelques heures. Il acquiesce, et de toute façon, s'il ne revient pas, je pourrais encore le faire une autre journée. Je vais poser mon sac non loin de ses affaires, et fait quelques pas pour aller vers le petit bar de plage installé juste à côté de nous. Je commande un cocktail et retourne m'installer sur un transat, lunette de soleil en place. Je meurs de soif, je meurs de chaud. Cette île n'est vraiment pas faite pour moi. Je sors un éventail de mon sac et l'utilise comme s'il pouvait être aussi efficace que la climatisation de l'hôtel. A travers les verres opaques de mes lunettes, j'observe le jeune russe dans l'eau. Siroter un cocktail sur une plage paradisiaque, c'est pas ça les vacances ?



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