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« Are you sure this water is sanitary ? » Pv. Lawrie.

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« Are you sure this water is sanitary ? »
lawrie & lily




Negril, jour 4, lundi 6 mars.
Quatrième jour. Déjà. Lily n’avait pas vu passer les trois premiers, tant ce Spring Break revêtait des allures de rêve. La Jamaïque n’était pas la première destination où elle aurait pensé se rendre par elle-même, mais puisque l’occasion s’était présentée, il aurait été complètement idiot de s’en priver. Surtout depuis qu’elle prévoyait de quitter l’université, et de fait, de renoncer à tous les événements organisés par celle-ci. En plus Lawrence avait décidé de venir lui aussi, ce qui l’avait vraiment ravie. Cela leur permettait de passer plus de temps ensemble, même si ce voyage allait sans doute être un parcours du combattant pour éviter de croiser leurs connaissances respectives lorsqu’ils seraient « ensemble ». Surveiller leurs arrières était le prix à payer pour profiter du décor paradisiaque. C’était un faible coût finalement, quand on y pensait. Quoiqu’il en soit ce jour-là, la journée se divisait en deux parties : une matinée libre, et une après-midi consacrée à la découverte de la forêt avec le reste du groupe. Lily s’était donc levée avant l’aube, dans l’idée d’aller profiter de la lumière du lever de soleil. Sans bruit elle avait laissé un mot sur la table de chevet pour lui indiquer où elle se rendait, voulant laisser Lawrence se reposer s’il en avait envie, et s’était rendue en direction de cette petite crique, non loin du complexe hôtelier, qu’ils avaient aperçu en se baladant la veille. Pas un chat si tôt le matin. L’endroit idéal pour apprécier le lever de soleil et dessiner un peu.

Assise sur un rocher, un pied traçant des ronds dans l’eau et l’autre replié devant elle, elle portait sensiblement la même tenue que la veille, idéale pour l’endroit, à savoir : un maillot de bain une pièce coloré échancré dans le dos (elle ne pouvait pas mettre de deux-pièces, devant absolument éviter que la peau encore sensible de la cicatrice de son opération prenne le soleil), un paréo noué autour de la taille, et un large chapeau posé sur le sommet de son crâne. Blanche qu’elle était, mieux valait sortir couverte, au risque de virer au rouge écrevisse en moins de deux. Son carnet sur les cuisses, un morceau de fusain entre deux doigts, elle était si concentrée qu’elle l’entendit à peine arriver, ne percevant qu’un bruissement dans son dos. « Bonjour. Tu as bien dormi ? » murmura-t-elle avec douceur, un sourire au coin des lèvres en levant la tête pour déposer un baiser sur ses lèvres. Visiblement il avait prévu d’aller se baigner. « On dirait une mer d’huile tant c’est calme … mais fais attention quand même, on ne voit pas trop le fond. » dit-elle du bout des lèvres en avisant le fond de l’eau par-dessus son carnet de dessins.
La Jamaïque, un enfer pour ceux qui ne savent pas bien nager, et qui ont peur des eaux profondes. Comment allait-elle réussir à y échapper pendant tout le voyage ? Jusqu’à présent elle s’en était plutôt bien sortie, à recours d’excuses (bidons, entre nous). Espérons que cela dure. Elle avait honte de devoir lui avouer qu’elle ne savait pas nager.


@Lawrence H. Austen   :ella:

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Les trois premiers jours m'avaient été fort utiles pour découvrir un peu ce coin de paradis sur lequel je n'avais encore jamais mis pied. Des souk aux marchands fruits juteux, en passant par les rues boisées vides de voitures, les danses effrénées et torrides, la langue latine et le rire des enfants courant derrière les ballons de foot dans la ville, ce spectacle me fit chaud au cœur. Voilà longtemps que je n'avais pas profité de vacances bien méritées sur une terre sableuse et isolée. Evidemment, dans le mouvement, j'avais envoyé plusieurs messages à Lily, sachant qu'elle aussi participait à ce voyage – d'où la raison de ma présence en Jamaïque plutôt qu'ailleurs, soyons honnêtes – afin de savoir si nous pourrions passer au moins une idée ensembles, rien que tous les deux, lors du séjour. Le troisième jour au soir, nous nous sommes donc retrouvés pour passer la nuit ensemble. Le lendemain matin, c'est un mot posé sur la table de chevet qui me réveilla, alors que la jeune femme était déjà sortie. Bien décidé à profiter de sa présence autant que faire se peut, d'autant plus que nous devions sans arrêt faire attention aux regards des uns et des autres, notamment ceux de nos connaissances mutuelles pour éviter qu'ils ne découvrent notre « relation », je passais en vitesse un short en lin par dessus mon maillot de bain rouge vif qui mettait en valeur ma tignasse rousse, ainsi qu'un bermuda kaki, j'enfilais une paire de tennis ainsi que mes lunettes et une casquette pour passer « inaperçu », avant de refermer la porte de la chambre derrière moi. Direction le grand marché que je commençais à bien connaître après y avoir fait plusieurs fois mes emplettes, et rejoignit après quoi la jeune femme. On aurait dit une actrice de cinéma avec son long chapeau et son maillot de bain. Il lui allait à merveilles d'ailleurs. « Bonjour...plus ou moins, et toi ? » ronronnais-je en me penchant pour déposer un baiser sur ses lèvres. Un jour sans doute devrais-je lui avouer que j'étais...insomniaque. D'ailleurs, je ne dormais généralement jamais avec mes conquêtes. Elle était bien la première, et cela me déstabilisait, bien que la volonté de disparaître aussitôt l'amour fini ne m'avait jamais traversé l'esprit dans son cas. « Tant mieux, je pourrais faire quelques plongeons sans risquer de me prendre un rocher en pleine tête au passage. » soufflais-je avec humour en tentant d'apercevoir ses premières esquisses. « Artiste un jour, artiste toujours, hum ? Je peux voir ? Qu'est-ce que tu dessines ? » lui demandais-je en faisant déjà descendre mon short, et levant les bras pour faire passer mon tee-shirt par dessus mes épaules. « Tu n'as pas envie de te baigner plutôt ? L'eau a l'air bonne. »

FICHE ET CODES PAR ILMARË


@Lily-Rose S. Hopkins

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« Ça va oui. Je dors mieux en ce moment. » répondit-elle avec sincérité, car pour une fois, elle avait réellement bien dormi. Cela allait mieux depuis quelques semaines, les terreurs nocturnes se faisaient de moins en moins fréquentes. Il fallait dire aussi qu’elles avaient souvent lieues par « épisodes », surtout lorsqu’elle était contrariée. Cela avait été particulièrement fort après l’opération, mais depuis quelques semaines, elle avait le sentiment de se reposer davantage.  Et puis elle dormait d’autant plus lorsque Lawrence était à ses côtés, comme si le savoir présent la rassurait en un sens, et jetait un voile protecteur sur son sommeil léger. Elle avait cru remarquer que lui ne dormait que très peu, sans oser le questionner à ce sujet. « Tu as réussi à fermer un peu l’œil quand même ? » s’enquit-elle du bout des lèvres, sans s’attarder sur le sujet. Le temps était bien trop clément et la journée trop belle pour la débuter sur une note négative, avec une conversation houleuse sur ses sombres pensées nocturnes. « Un rocher en pleine … Que … Quoi ?! » D’instinct elle plissa les yeux, tentant de distinguer les fameux récifs au fond de l’eau lustrale. Il n’allait quand même pas sauter de l’un de ces rochers ? C’était beaucoup trop haut (environ trois mètres pour les plus surélevés, mais dans l’esprit de Lily terrifié par les eaux profondes, cela représentait au moins un saut d’une dizaine de mètres). « Tu ne vas pas sauter de là quand même ? » s’inquiéta-t-elle en se cramponnant à son carnet de dessins comme s’il était capable de lui fournir une réponse, mais évidemment cela ne fut jamais le cas. « Noon ! Ce ne sont que des gribouillages inachevés, interdiction de regarder. » se défendit-elle d’instinct en ramenant le carnet devant sa poitrine, lui jetant un petit regard furibond au passage. « Je te montrerais quand j’aurais terminé … Peut-être. » Si t’es sage, faillit-elle ajouter, se rappelant en même temps qu’elle ne lui avait jamais réellement montré son travail, ni aucune de ses esquisses d’ailleurs. Son univers créatif était un terrain qu’elle gardait jalousement pour l’instant, comme si elle avait peur qu’il parvienne à  lire dans sa fibre créative toutes les émotions qu’elle était incapable d’exprimer totalement en réalité. De la tristesse la plus infinie à la joie la plus indicible, tous ses dessins et les sujets qu’elle choisissait de dépeindre représentaient tout ce qu’elle était dans l’habit le plus cru, le plus fragile aussi. Chaque esquisse était une page d’un journal intime, parfois violente, qu’elle mettait souvent du temps à partager avec ceux qui lui étaient proches. « Oh je n’en doute pas … Elle doit être bonne oui … » Air distrait, faussement concentrée sur son morceau de fusain qui n’allait pas tarder à rendre l’âme, elle évitait à tout prix de croiser son regard. Finalement elle haussa les épaules, son nez se fronçant légèrement alors qu’elle ajoutait : « Mais ... heu, je suis bien ici. Sur la terre ferme … Et sèche … Et ferme. » Sourire de circonstance, clairement forcé cela dit. « Je suis sure que tu vas en profiter pour nous deux. Tu as pieds au moins ? Fais attention il paraît qu’il y a pas mal de vives et autres poissons qui se cachent sous le sable dans l’eau, et qui piquent … » Impression soudaine d’être une mère poule, alors qu’elle déployait sa jambe jusqu’alors repliée pour tâter l’eau avec ses bouts de pieds.




@Lawrence H. Austen  

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« Tant mieux, c'est bien. » murmurais-je en apposant une légère caresse sur sa joue. « Oui, un petit peu, ne t'en fais pas. Heureusement, je n'ai jamais eu besoin de beaucoup d'heures de sommeil pour récupérer. » lui confiais-je dans un sourire. En attendant, mon petit effet avait fonctionné à merveilles. Non pas que je voulus lui faire peur, mais l'eau était bien trop tentante pour ne pas m'y prélasser. Et puis, il y avait forcément des rochers, même infimes, au fond de l'eau non ? « Si, pourquoi pas ? » Est-ce qu'elle craignait que je ne me casse quelque chose dans mon plongeon ? « Tu sais, je ne te l'ai jamais raconté mais j'ai sauté de bien plus haut dans ma jeunesse. Tu es déjà allée en Ecosse ? Les falaises sont splendides et les sauts prodigieux. On était une bande de copains qui... » Je m'interrompts, voyant la mine défaite qu'elle affichait. Mieux valait en rester là sous peine qu'elle ne m'attache au premier tronc d'arbre. « Aucune importance. Je te raconterai un autre jour. » Pas demain la veille. Pas tant qu'elle serait aussi effrayée à l'idée qu'il ne m'arrive malheur. Allons bon, ce n'était qu'un tout petit saut de rien du tout. « D'accord. Je ne regarderai plus. » Levant les deux mains au ciel comme si elle pointait un fusil chargé contre mon torse, je pouffe de rire en retirant mes chaussures, dernier obstacle avant de rejoindre l'eau bleutée. « Tu es tellement mystérieuse en ce qui concerne tes talents d'artiste. » Reproche dissimulé ? Je finirais par les apercevoir tôt ou tard ses esquisses. « C'est ce qui te rend encore plus attirante, et moi, un peu plus suspicieux chaque jour. » la taquinais-je en m'asseyant à ses côtés, le temps d'effleurer le bassin du pied. Pourquoi était-elle aussi réservée en ce qui concerne ses œuvres d'art ? Craignait-elle que je ne me moque ? Je n'avais pas la fibre artistique. Tiens, serait-ce le problème ? De songer à ce que je comprenne par son travail/hobby et que mon indifférence s'affiche sur mes traits ? Alors qu'au contraire, je ne demandais qu'à partager sa bulle et ses pensées, quelles qu'elles soient. Jamais je n'aurais eu l'indélicatesse de critiquer, je ne désirais au contraire que comprendre pour mieux évaluer avec elle dans notre relation. « Sur la terre ferme hum... » répétais-je à demi-mots en la fixant comme un objet curieux. Si j'ai pied ? « Je suis un bon nageur, ne t'inquiète pas. » Bravo Lily, tu as presque réussi à détourner mon attention. « Tu sais mon ange, si j'y songeais deux minutes, je dirais que tu me caches quelque chose. Comme le fait d'être aquaphobe par exemple. » susurrais-je à son oreille en passant un bras autour de ses épaules pour la rapprocher. « Mais peut-être que je me trompe, qui sait. Quoiqu'il en soit, je ne connais personne qui résisterait à un tel paysage. Et encore moins qui essaierait sans cesse d'éviter d'y nager. » ajoutais-je en dégageant l'une de ses mèches recouvrant partiellement ses yeux. « Lily, qu'est-ce qui ne va pas ? »

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@Lily-Rose S. Hopkins
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En vérité Lily avait toujours envié tous ces jeunes, de son âge ou non, qui s’amusaient à sauter de hauteurs grandioses dans l’eau lustrale. En sortie scolaire cela lui était déjà arrivé de les observer, de loin, avec sa bouteille d’oxygène sous le bras, en se disant que cela devait être une sensation sans égale de se jeter ainsi dans le vide. Mais bien sûr elle avait toujours eut peur aussi, de cette sensation qui étreint les poumons lorsque vous vous retrouvez la tête sous l’eau. Pour elle qui avait autrefois des difficultés à respirer cela revenait à suffoquer en quelques secondes, et à manquer immédiatement d’oxygène. C’est peut-être pour cela qu’on n’avait jamais jugé utile de lui apprendre à nager : pour lui éviter des élans de panique inutiles. Même Jonathan n’avait jamais suggéré de le faire. Il faut dire aussi qu’ils n’étaient jamais partis en vacances ensemble au bord d’un lac par exemple, ou de la mer. Apparemment selon lui il y avait des choses plus importantes dont il fallait s’occuper à l’époque, et il n’avait pas eu totalement tort. « Non jamais, mais ça me plairait de voir ça, c’est magnifique paraît-il … » Surtout les Highlands, elle avait toujours eut envie de les parcourir. Un jour peut-être. « Tu sautais … des falaises ? » l’interrogea-t-elle, les lèvres entre-ouvertes, l’air mi-inquiet, mi-curieux. Les jeunes … Tous inconscients. Surtout en Ecosse, qui sait ce qu’il pouvait y avoir au fond des eaux ! N’y avait-il pas une légende de Loch Ness, créature mystique qui rôderait au fond des eaux obscures ? Rien que de penser qu’un gros serpent puisse venir lui chatouiller les pieds, cela lui faisait froid dans le dos. Enfin bref … Il avait compris. Elle était entrain de virer au livide. Il faudrait qu’il lui raconte ces anecdotes-là une fois qu’elle aurait exorcisé sa peur des profondeurs. « Je ne sais pas si on peut parler de « talent », mais disons que … Je n’aime pas trop … Montrer ce que je fais. » Une pudeur étrange à ce sujet ? Oui sans doutes. Les seules esquisses et toiles qu’elle avait consentit à montrer, Lenore avait vraiment dû sortir des arguments de choc pour qu’elle la laisse faire. A sa remarque un sourire énigmatique naquit à la commissure de ses lèvres, et c’est presque un regard attendri qu’elle lui lança, hochant la tête sur le côté. « Tu n’as aucune raison d’être suspicieux. Que veux-tu que je te cache au gré de pages blanches franchement ? » Et pourtant, et pourtant … D’un geste furtif, elle réajusta son chapeau sur le sommet de son crâne, scrutant le fond de l’eau avec un peu trop d’insistance. « Que … Quoi ? Moi te cacher quelque chose ? Mais non. Je ne suis pas aqua … Aquatruc. » répondit-elle précipitamment, avec une détermination feinte, histoire de le convaincre. Mais entre nous, Lily ne savait pas mentir. Surtout à lui. Elle avait de plus en plus de mal à lui cacher lorsque quelque chose la contrariait. C’était ça l’intimité entre deux personnes ? Ne plus pouvoir se cacher comme avant ? Terrifiant. « Mais tout va bien voyons. Regarde, je vais venir, d’accord ? » D’un bond, elle s’était levée, dénouant son paréo au passage pour le laisser retomber sur le sol, ôtant son chapeau d’un même geste précautionneux. « Mais heu … Pars devant tu veux ? Va vérifier si elle est bonne … Tâter le terrain … Il faut que … Que je m’attache les cheveux tiens. » Excuse minable, mais qu’elle prit néanmoins au vol, farfouillant dans son sac en toile pour en sortir … Une baguette en bois. Ça ferait l’affaire, à défaut d’une barrette, ou d’un élastique. Se rapprochant du bord, le corps de plus en plus tendu, tout en effleurant l’eau du bout du pied (au cas où elle la mordrait, on ne sait jamais) elle releva négligemment ses boucles au-dessus de son crâne, les tournicotant autour de la baguette dans un chignon à l’équilibre précaire. « Tu es sur que cette eau n’est pas toxique ? J’ai vu un reportage sur la pollution de l’eau en mer méditerranée, et il paraît que dans un verre tu peux trouver l’équivalent d’un antalgique et d’un contraceptif. C’est peut-être pareil dans les Caraïbes … Imagine que je boive la tasse. Je ne sentirais plus rien après. Et je deviendrais stérile. » Les yeux ronds comme des soucoupes, toujours à scruter la surface de l’eau comme si elle lui donnait le vertige, elle arrivait presque à se convaincre de son propre bobard, ses doigts de pieds s’enfonçant dans le rocher comme pour s’y accrocher.

@Lawrence H. Austen   Richard

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