Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLisades || Le temps passe mais rien ne t'efface.
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Lisades || Le temps passe mais rien ne t'efface.

A. Hades de Belgique-S.

Âge : 31
Lieu de naissance : Belgique, le pays des frites et de l'accent prononcé, il parrait, et de France aussi.
Quartier d'habitation / Colocation : vide. Un coeur, ça sert a pomper le sang, rien d'autre. ( mais le coeur solidement cadnassé par mon anglaise )
Situation sentimentale : l'hôtel le plus luxueux de Boston
Études / Métier : Prince de Belgique, héritier de l'Oréal
Date d'inscription : 13/08/2016
Pseudo & Pronom(s) IRL : Rory (she/her)
Icon : Lisades || Le temps passe mais rien ne t'efface. H8vAfyug_o
Faceclaim : Douglas Booth
Crédits : HOODWINK
Multicomptes : R. Axel Vanderbilt (S. Carson) ♔ Anciennement Dante D. Basini & Kingsley Z. Ward-A. Z. Néo Force & Emilia S. de Bourbon
Description (1) :

⋆ — a king can’t be a king
without the strength of his queen

HADES DE BELGIQUE-S
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01. Je m’appelle Anastase Hades Thaddeus de Belgique Schueller 02. Dans ma famille, tout le monde m’appelle Anastase, en soirée, je me présente sous le nom de Thaddeus au petit peuple mais mon prénom, c’est Hades tout le monde m’appelle comme ça. 03. Je suis le fils du roi de Belgique et l'arrière petit fils du fondateur de L’Oréal 04. D’ailleurs, je reprendrais la direction de L’Oréal plus tard, c’est mon but. 05. Je suis un emmerdeur, je l’ai toujours été et je le serais toujours. J’aime faire chier le monde. 05b. Je fais 1m84 06. Je suis allergique aux fraises, je deviens tout rouges quand j’en mange. 07. Je pourrais me nourrir exclusivement de glace Ben & Jerry’s, j’en serai trop heureux. 08. J’ai 1 frère jumeau Abc Zeus Camille de Belgique Schueller, l’héritier au trône de Belgique, que j’appelle Abé ou ABC et une petit sœur d’un an d’écart, Agathe Asia Jeanne de Belgique Schueller que j’appelle Clauclau. 08bis. J’avais aussi un petit frère, on avait 15 ans d’écart, il s’appelait Arthur Poséidon Winston de Belgique Schueller, il a été enlevé l’année dernière, le drame de ma vie, je n’en parle jamais. 9. Je suis un très bon joueur de piano, j'ai même eu mon sésame pour le conservatoire, je sais jouer de tous les styles de musiques, du classique au moderne. Genie des notes, j'avais pour habitude de jouer dans les gares ou pour mon petit frère, quand il a disparu, j'ai arrêté 09bis. J’ai peur des mendiants. Enfin pas vraiment, mais ils me dégoûtent quoi. Quand mon père m’a obligé à servir à la soupe populaire, j’ai dû me prendre 10 douches de suite pour être sûr de ne pas être malade. 10. Je suis du genre surprotecteur avec Clauclau depuis l’enlèvement de Tutur. Tu la touches, je te bouffe, qu’on soit claire. Tu la regardes dans la rue quand elle est avec moi, je t’embrouille car en plus, je suis possessif. Tes yeux n’ont pas à toucher cette beauté pure et si jamais elle te porte de l’intérêt pour moi, tu ne seras jamais assez bien pour elle. 11. Je joue les pères avec Clauclau. Abc et moi veillons à ce qu’elle ne s’habille pas vulgairement. Une fois après lui avoir répété maintes et maintes fois que non c’était moche ce qu’elle avait mis, et trop court et qu’elle ne nous a pas écouté, pris de colère, Abc lui a lancé du Ketchup dessus pour salir sa robe et moi c’est simple, j’ai pris les ciseaux et j’ai coupé toutes ses fringues moches et trop courtes. Comme ça, elle était obligée de mettre un truc mieux. Si elle pouvait se balader en jogging, ça m’irait, les gens la regarderaient moins. 12. Je n’ai jamais connu l’amour, du moins, je l’ai jamais avoué, je fuis ce sentiment comme la peste. Si tu venais à entrer dans mes critères et me plaire vraiment, je finirais par te quitter. 13. Je n’ai absolument pas la notion de l’argent, je dépense sans compter. 14. Je suis un fêtard bourgeois né, je sors tout le temps, je suis peu chez moi et j’aime cette vie. 15. Je déteste le jaune, je n’en porterai jamais. 16. Je ne suis pas méchant, juste froid. Je ne suis pas le plus chaleureux du monde mais on ne me changera pas. 17. Mon cercle d’amis est fermé. 18. Je suis fan de gin tonic, j’en bois comme du petit lait. 19. J’adore les vautours, ces oiseaux me passionnent. Ils sont mal aimés à tord, moi je les trouve majestueux. 20. J’aime la mer. Je pourrais passer des journées sur un bateau sérieusement. 21. Je profite de la vie, je vis à fond, sans trop me soucier du reste. Demain, on verra demain. Profitons de l’instant présent. 22. Je suis un phobique de l’attachement. Quand on s’attache on souffre. 23. J’aime mon confort, vraiment. 24. J’aime pas trop partager mon lit, sauf avec Clauclau et Abc, si Clauclau est au milieu. 25. J’aime les belles choses. 26. Je suis un électron libre, un libre penseur et un marginale, je n’aime pas les règles, les limites, pour moi, elles sont faites pour être dépassé. 27. Si j’ai un coup de mou, je vais à la plage, ça m’apaise, ça me calme. 28. Quand j’aime, je donne tout, il y a qu’à voir ma relation avec Clauclau, Tutur et Abc. 29. Je suis un passionné. Je sais jouer du piano et de la guitare mais je suis réaliste, je n’irais jamais là dedans. En plus j’ai arrêté le piano, Tutur adorait que j’en joue, depuis qu’il n’est plus là, je ne peux plus. Je sais dessiner aussi mais ça je ne le dis pas, c’est secret. Je suis aussi un joueur de poker du tonner, je fais même des tournois, je pourrais y jouer des nuits entières. 29bis. Je me sens responsable de la disparition de Tutur et je garde secrètement l’espoir de le retrouver un jour. 30. Je rajouterai des trucs à cette liste si des idées me viennent, mais pour le moment, non.


⋆ — we all grow in different directions
yet our roots remain as one

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(blood)Abélard Zeus Camille de Belgique-Schueller aka ABC ou Caca est mon frère jumeau, encore mieux, ma moitié, mon partenaire de crime, mon meilleur allié, nous sommes inséparables et ma vie sans lui serait bien naze. Si vous me trouvez insupportable, attendez de nous avoir tous les deux dans la même pièce. ✻ Agathe Asia Jeanne de Belgique-Schueller aka Clauclau est ma petite soeur, d'un an ma cadette, son seul défaut est d'être une fille mais je l'aime de manière inconditionnelle. Si tu la touche, qu'on soit claire, j'te bouffe. Clauclau est la personne qui a le plus de mérite, elle nous support



⋆ — you got a fetish for my love
i push you out and you come right back

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(present) ✻ CLEO CLEO CLEO ONLY CLEO.
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(past)M. Théa Glaswell est une blonde sexy, séduisante et charmante, ma meilleure amie pendant longtemps, je me suis rapproché encore plus d'elle après avoir arrêté de voir Zia, pour me venger de Abélard qui m'avait séparé d'elle et je suis sorti avec elle, ce qui était au début une vengeance, une farce, s'est transformé en sentiments très puissant, mais elle a perdu son argent et pour elle, mais surtout pour moi, c'est un peu la honte de sortir avec une fille presque SDF... Je m'en suis voulu, je me suis excusé, lui proposant de se voir en cachette parce que bon, je m'en voulais mais elle restait pauvre... Elle n'a pas voulu, elle n'a jamais répondu. Je lui en veux de n'avoir jamais répondu et elle m'en veut de mon comportement, les retrouvailles pendant le SC sont donc explosives .. ✻ Zia R. Villanueva est la fille de mes rêves. Elle est faites pour moi, j'en suis persuadé mais je suis probablement son enfer. Je suis son contraire et quand elle fait ressortir le meilleur en moi, elle ne peut pas avoir confiance avec ma personnalité ... On a flirter, je la voulais comme je n'ai jamais désiré une fille mais Abc nous a séparé. Il y a eu des évènements par la suite comme l'enlèvement de Arthur et j'ai arrêté de lui parler, je ne voulais pas la décevoir pas qu'elle me voit comme ça... Et maintenant, je pense encore à elle, je crois que mes sentiments ne sont pas passé mais elle, elle est tout sauf heureuse de me revoir ...
(les amants maudits)Lisa-Rose Wertheimer Because happiness is not a place not a destination. Happiness is a state of mind and I don't need a map to point me in the right direction. I have you, in front of me, and that's good enough for me.

Description (2) :

⋆ — i'm just lookin' for some real friends
all they ever do is let me down

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(best)Ariana Von Liechtenstein aka Aria ou Ari est ma meilleure amie, je la connais depuis toujours et je lui voue une loyauté sans faille, elle sait tout de moi, je sais tout d'elle, on se connait depuis toujours et on ne pourrait se passer l'un de l'autre. ✻ Kalista S.-Petrova est ma seconde meilleure amie, entre nous, ça a immédiatement accroché, dans le genre fou rire et complicité on est des pro, on est très proches, très souvent ensemble, on est les meilleurs. ✻ Noah Arjen d'Aremberg c'est mon meilleur ami d'enfance lui aussi. On faisait une bande tous ensemble avec Ari et Abé et cette grande asperge est juste comme moi, un espère d'abruti pas si méchant, donc on ne pouvait que s'entendre non ? M'bref, il gère m'voyez ? On détruit les gens ensemble, c'est un frère pour moi, on se connait depuis tout petit et je pourrai donner ma vie pour lui.
friends - ✻ Veïa Alvisio est une douce italienne que j'apprécie beaucoup, elle est belle, drôle, elle bob la lune et elle a résisté à mes charmes, après avoir digéré ce refoule, on a apprit à s'apprécier et nous voila maintenant amis, avec un point qui diffère quand même ... Veia aime les choses simples, moi l'argent ... Alors on alterne, un coup on fait des trucs super et un coup des trucs de merdes.. On s'arrange quoi. ✻ Ael C. Raudenfeld est un super ami lui aussi, c'est un ami d'enfance qui a malheureusement pris énormément de poids, j'ai été son coatch d'enfer pour l'aider et je suis fier du résultat et de lui quand même, on s'apprécie mais on se cherche quand même, c'est marrant.



⋆ — i hope karma slaps you
in the face before i do

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uc.

RPS en cours :
past:
Warnings : Propos racistes, homophobes et sexistes. Addictions. Violence verbale et physique et excès de colère.


RPS : 29
Messages : 16234
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A. Hades de Belgique-S.
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STUDENT › proud member of harvard university
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t65465-anastase-hades-thaddeus-de-belgique-schueller-adam-gallagherRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t106962-a-hades-de-belgique-schueller-456-546-2124#3889390Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t65477-a-hades-de-belgique-s-carpe-diemProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t65526-http-instagram-com-hadesdbs
Elle me manque, genre tout le temps, chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas y penser, je lutte de toutes mes forces pour ne pas flancher, pour ne pas craquer. Une douce illusion, la stupidité humaine, parce que dans le fond, je le sais, je l'ai dans la peau, je la veux près de moi, je ne peux l'oublier. Me passer d'elle est le plus dur que j'ai à faire en ce moment. J'essaye de continuer de rire mais mon sourire s'éteint, ma joie s'étouffe, elle est partie depuis 1 ou 2 mois, je ne sais plus vraiment, le temps m'échappe ... Le temps n'est plus rien quand elle est loin et il passe cruellement lentement. Surtout qu'en plus de ça, Noah est lui aussi aux abonnés absents ... Je suis seul. Foutrement seul et mon unique plaisir est d'admirer mes œuvres de destructions mises en place par les autres et d'essayer de réconcilier Abélard et Cole histoire qu'ils me foutent la paix. L'alcool rend parfois son absence plus supportable ou l'empire, je ne sais plus trop. Tout ce que je sais, c'est que les verres se suivent, les verres se vident un peu trop mais je ne suis pas accro, non, c'est à elle que je suis addict. A tel point que parfois, je la hais, je la hais d'être revenue dans ma vie, d'être comme elle est, d'être restée assez longtemps pour que je l'aime, pas assez pour l'empêcher de partir, de m'avoir donné l'impression que le bonheur était possible. Je la hais d'être elle, je l'aime d'être comme elle est. Un putain de paradoxe que je ne peux pas vraiment gérer.

On se l'était promis, pas de contact, pas de message, pas d'appel, pas de lettre, pourtant c'est à la saint-valentin qu'elle brise le silence quand je reçois quelques mots. Des mots foutrement beaux qui m'ont donné envie de sourire, de sauter de joie ou de me jeter dans le vide aussi.

lettre d'une Reine à son Roi:

Alors j'ai moi aussi brisé le silence, j'ai pris un stylo, une feuille de papier et j'ai essayé de répondre, j'ai essayé d'écrire. J'ai dû recommencer 1000 fois, j'avais jamais eu autant mal à la main, mais rien à foutre, j'avais juste pas envie d'écrire de la merde, qu'elle soit déçu de ma lettre, qu'elle pense que ce ne sont que des mots. Alors je lui ai envoyé cette lettre, c'est d'un ringarde, mais sur le coup, je m'en tape. Je veux qu'elle sache.

lettre d'un Roi à sa Reine:

Et le silence et la solitude sont revenus lentement, doucement, mon sourire s'est estompé, ma mélancolie a reprit le dessus et je suis resté là, à regarder les trains passer, à regarder le ciel s'assombrir et périr. Noah n'est toujours pas rentré, elle non plus. Je tais son nom mais je pense à elle. J'ai envie de l'appeler 4 000 fois par jour, de lui demander de rentrer, mais la raison prend le dessus, je ne peux décemment pas. Je ferme donc ma valise, espérant que cette foutue douleur partira pendant ces vacances de fêtes. Le spring break, le genre de lieu que j'adore. L'alcool, la débandade, les maillots de bain, la mer et le calme, un peu de foutu calme. J'espère simplement que personne ne me mettra en rogne car je suis d'humeur exécrable, comme un gamin, je suis prêt à tout casser. Je suis prêt à tout détruire. Tout saccager car rien n'a d'importance. Je suis seul. Dans un monde trop grand. Je suis trop lucide, trop bien pour vivre parmi des crasseux. Entouré de débile. Je suis trop bien pour eux tout simplement et seul quelques personnes trouvent grâce à mes yeux.

Mais un appel change tout, remet tout en perspective, un appel bref, même pas pour moi, c'est Abélard qui l'a eu. Son grand père est mort. Son enterrement à lieu dans 2 jours. Elle se sent probablement mal mais ne le dit pas, ou du moins, Abé ne me confit pas ce détail. Elle ne va probablement pas bien, trop mal pour dire quoi que ce soit, je crois que leur appel fût bref, rapide, pas très long, elle nous invitait juste à venir si on voulait. Mais elle le sait pourtant, c'est une évidence : bien entendu que l'on veut. Alors on s'est retrouvé dans un avion, en première classe, j'ai été incapable de dormir, j'étais stressé, comme un gosse qui revoit sa meuf après longtemps d'absence, de séparation, j'étais pas bien, j'ai rien pu manger, avaler, j'étais nerveux, Abélard a mis ça sur le coup du vol, car il sait que je ne suis pas fan de l'avion personnellement, sauf quand il y a du champagne et un vrai pilote qualifié. Pour la cérémonie, j'ai mis mon plus beau costume. Je me suis mis sur mon 31 car malgré la mort, j'avoue, je remercie quand même papy, il me permet de la voire, même juste 5 minutes... J'aurai voulu me mettre à côté d'elle, à l'église, au cimetière, lui tenir la main et mettre ça sous le coup de l'émotion, mais cet abruti d'Abélard s'est imposé entre nous. Quel con. Résultat, moi j'avais mes mains dans mes poches, et c'était lui qui tenait la sienne. J'ai eu envie de le tuer, toute la cérémonie, sérieusement quel connard ! Il me vole ma reine ! A cause de lui, j'ai même pas pu croiser son regard plus de 10 secondes. Et la messe a été interminable. Si proche mais si loin finalement. Le seul moment où Abélard m'a laissé l'approcher c'est quand il a fallut lui souhaiter nos condoléances, autant dire le pire moment de la messe. Mais pourtant, yeux dans les yeux pendant un instant, un court instant, j'ai savourer ce court moment de temps volé, j'ai admiré son visage et ses traits tirés par la tristesse qu'elle cache derrière un visage fermé, et ses yeux dans les miens, je lui hurle intérieurement que je suis là. Je me penche vers elle et embrasse sa joue avec douceur et l'attire à moi pour une brève accolade. Son parfum me revient aux narines et je me sens en sécurité, bien, pendant un court moment, au milieu d'un instant affreusement triste qu'est un enterrement. Je suis là pour toi ... juste quelques murmures, que personne sauf elle n'entend et je me sépare d'elle, un véritable crève coeur, un dernier regard et j'avance pour laisser la place aux autres.

C'était une belle cérémonie, mais j'ai cru que nous ne pourrions pas nous débarrasser d'Abélard qui n'a cessé d'offrir qu'il pouvait rester un peu plus. Moi, de mon côté, j'ai dis que j'avais un rendez vous politique pour ne pas partir maintenant, pour repousser mon départ. J'ai presque jeter mon frère dans l'avion pour être enfin tranquille. Nous l'avons accompagné, Lily et moi, et il n'arrêtait pas de parler. Il n'arrêtait pas de l'accaparer et je n'avais rien à dire. Foutu frangin. Le voir monter dans l'avion était une libération qui aurait presque pu se lire sur mon visage, mais je suis resté le plus possible impassible. Lily lui fait au revoir de la main et moi, je l'avais déjà oublié, je la regarde elle, je l'admire. Mes yeux bruns la dévore comme pour graver chaque mouvement qu'elle fait dans ma mémoire. Quand elle tourne enfin le regard vers moi, ma reine, mon coeur bat à la chamade, j'ai l'impression que je vais crever sur place. Mes yeux se plantent dans son regard bleu océan et un sourire se fraye un chemin jusqu'à mes lèvres, un putain de sourire. Je lui tends la main, silencieux, ne la lâchant pas d'un instant. Elle est là, près de moi et je compte bien profiter de ces quelques instants volés que l'on se permet enfin. Ma reine ... Enfin tu es à mes côtés, si tu avais comme le temps est long quand tu n'es pas là..

(A. Hades de Belgique-S.)


Winners don’t make excuses.
   “That’s the difference between you and me, you wanna lose small, I wanna win big.” ♕ Sial
   
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Je ferme les yeux et comme à chaque fois, c'est le même souvenir qui vient s'imposer à mon esprit. Inlassablement. Encore et toujours. J'me suis tellement répétée cette histoire que j'arrive plus vraiment à discerner ce qui est vrai et ce qui faux. Ce que j'm'invente et ce qui s'est réellement passé. Y'a pourtant ces petits détails qui ne changent pas, qui sont toujours les mêmes. Ces petits détails qui continue à me briser le coeur et tordre les entrailles. Ce dernier regard que tu m'as lancé alors que nos yeux se croisaient pour la dernière fois et puis tes lèvres qui se sont mises à bouger au tout dernier moment. Juste avant que l'appareil prenne de l'altitude et que tu ne deviennes plus qu'un point indissociable du reste. J't'aurai fixé jusqu'à la dernière seconde, jusqu'à m'en faire mal aux yeux tellement je les plissais pour continuer à te voir. J't'ai fixé comme si j'avais besoin de mémoriser chaque détail de ta personne avant qu'on s'impose ce silence, cette distance. Parce qu'en montant dans cet avion, qu'en m'éloignant de toi, une partie de moi à fini par avoir peur de t'oublier. Parce qu'au moment où je me suis assisse dans ce siège, tout ces doutes que j'essayais d'enfouir au plus profond de moi sont venu m'assaillir de toute part. Alors j''t'ai fixé encore plus fort. J'ai pas lâché ce dernier contact visuel, à la recherche d'une quelconque réponse. D'un quelconque réconfort. De quelque chose qui me dirait qu'on s'est pas fait des illusions, que notre bulle a réellement existé, que ces dernières semaines n'avait pas été qu'un joli rêve. Que tout ce qu'on s'infligeait n'était pas sans raison. Parce qu'on n'avait jamais été doué avec les mots, quand il s'agissait de nous deux. Et que nos regards et nos silences en disaient plus que ce qu'on saurait jamais se dire. Parce que moi, j'avais encore tellement de chose à te dire, à te faire comprendre. Mais c'était trop tard. J'étais résignée à ne pas faire machine arrière. Il fallait que je monte dans cet avion. Il fallait que je rejoigne ma famille. Il fallait que je m'éloigne de toi avant qu'il ne me reste aucune issue. T'as fini par disparaître de mon champ de vision et j'ai pas pu m'empêcher de me laisser aller. De laisser aller les larmes qui menaçaient de couler alors qu'on se faisait nos adieux. J'ai pleuré silencieusement tout le long du vol. Mais quand je suis arrivée à NY, mon masque avait repris sa place. J'étais redevenue la Lily aussi froide et inaccessible que vous m'aviez appris à devenir. L'étincelle qu'on pouvait discerner dans mon regard a disparu et à présent, y'a comme un faux contact dans mon sourire.

Deux mois. C'est le temps qui s'est écoulé depuis que j'ai pris cet avion. Deux mois qu'on tient notre foutu promesse. Qu'on ne se voit pas, qu'on ne s'appelle pas, qu'on ne s'écrive pas. Malgré notre petit écart et ces deux lettres qu'on s'est permis. Et putain Hadès, si tu savais comme je meurs d'envie de saisir mon téléphone et de composer ton numéro. Si tu savais comme je voudrais faire le chemin inverse et venir te retrouver. Venir m'enfermer dans cette suite qu'est la nôtre et oublier le monde qui nous entoure. Tous les oublier. Mais je peux pas. Je peux plus jouer à ça. Je peux plus me contenter de ce rôle là et de la voir elle accrochée à ton bras. Parce que c'est pas sa place, c'est la mienne. C'est moi ta Reine. Et y'a personne d'autre que nous pour le savoir. Je meurs à petit feu, d'être aussi loin de toi. Tu hantes chacune de mes journées. Chacune de mes nuits. Et c'est pas non plus une vie. Tu sais, j'ai vraiment essayé de t'oublier. Parce que ça serait tellement plus facile. J'aurai tellement moins de mal à trouver le sommeil et à me lever de mon lit le matin. Je serai pas condamnée à vivre dans nos souvenirs, à essayer de me tenir debout au milieu de ce qu'il reste de notre bulle. Je passerai pas mes nuits à chercher ta main. Et à me demander combien d'autres prendront ma place. J'en viens à te détester de provoquer toutes ces choses en moi. Sauf que ça m'aide pas non plus à t'oublier. Pourrais-je même un jour t'oublier ? Je suis bien trop lucide pour connaître la réponse depuis longtemps. Je pourrai essayer ce que je veux. Je pourrais me persuader de milles choses, je pourrais me bercer d'illusions, je pourrais me raconter des histoires mais rien de ce que je pourrais faire ne me fera t'oublier. T'es de ces personnes qui marquent l'existence des gens et tu sais Hadès, t'as marqué la mienne à tout jamais. Depuis cette nuit à Paris, je sais que je suis foutue. Cette distance et ce silence qu'on s'impose ne vont pas me sauver aujourd'hui. Mais dis moi mon Roi, est ce que toi ça t'aide ?

Je suis toute seule ici et j'ai confiance en personne. Ou presque. Je passe mon temps entre Columbia et l’hôpital, où je reste de longues heures au chevet de mon grand père. Je le regarde dormir pour la plupart du temps. Mais y'a des jours où il est éveillé, des jours où je peux lui parler même si lui ne peut plus me répondre. Mais y'a son regard qui me fixe. Et cette main qui essaye d'étreindre la mienne. Je me sens pas aussi bien que quand je tiens la tienne. Mais je me sens quand même un peu moins mal, un peu moins seule. Je peux deviner à son regard qu'il n'est pas dupe. Qu'il ne croit pas aux mensonges que je lui raconte et que les banalités que je lui sers ne lui sont pas d'un grand intérêt. Sauf que si je me mets à parler de toi, j'ai peur de pas pouvoir m'arrêter. J'ai peur que les doutes me dévorent et que ton absence finisse par creuser un trou béant dans ce qu'il me sert de poitrine. Je ne parle jamais de toi. Mais t'es toujours dans un coin de mes pensées Hadès. Comme un fantôme qui aurait du mal à rejoindre l'au delà. En quelques jours, l'état de mon grand père s'est complètement détérioré, jusqu'à ce que son coeur lâche. J'étais à ses côtés quand il a baissé les armes et j'ai pas bougé. J'suis restée jusqu'au dernier moment. J'lui ai tenu la main jusqu'à la dernière respiration. Jusqu'à ce que ses yeux se ferment pour la dernière fois. Et que mon coeur soit lui, complètement brisé. J'crois que j'aurai pu hurler de douleur et de désespoir. Que j'aurai pu tout casser sur mon passage. J'aurai pu négocier avec le diable pour qu'on me l'enlève pas, lui aussi. Encore une fois, j'aurai pu me noyer sous cette vague de solitude qui ai venu tout d'un coup envahir mon être tout entier. Mais au lieu de ça, j'ai juste quitter les lieux pour aller me perdre dans la foule insignifiante.

Je suis restée des heures dans les rues de NY, à marcher sans aucun but précis. Sans aucune destination. Je voulais éteindre la douleur qui me consumer de l'intérieur. Je voulais hurler ce désespoir qui allait m'engloutir toute entière. De mes yeux, j'ai cherché ta silhouette dans les moindres recoins de la ville avant de rentrer chez moi, retrouver ce lit froid que j'occupe depuis des semaines. M'enfermer dans cette chambre qui n'est pas vraiment la mienne. Et puis j'ai fini par appeler Abélard sans me soucier de l'heure qu'il était et mon coeur s'est pincé quand sa voix s'est fait entendre de l'autre côté du monde. J'en avais oublié que c'était le Spring Break. Mais j'avais besoin de lui, j'avais besoin de toi. Je pouvais pas traverser ça sans votre présence à mes côtés. Je pouvais plus taire cette envie de te voir, ce besoin de t'avoir mes côtés. Encore moins dans un moment pareil. Je me suis servie des circonstances pour réclamer ta présence et je me suis mise à attendre ce jour tant redouté. J'allais enfin te voir.

Je me suis levée ce matin là, partagée entre l'impatience de te voir et la tristesse que la perte de mon grand père me procure. Je me sens vide et à bout de forces, mais y'a cette certitude qui me fait tenir debout. Tu seras là. Et si t'es là, alors j'ai plus de raison d'avoir peur de m'effondrer. Parce que tu sera là pour me ramasser à la petit cuillère et pour me construire. Mais pour combien de temps ? Une nuit, tout au plus ? Est-ce que t'aura assez de temps pour me remettre sur pieds ? Est ce que demain je me sentirai mieux ? Je sais très bien qu'une fois que ta main aura encore lâché la mienne je me sentirai toujours aussi vide et incomplète, mais j'évite d'y penser là tout de suite. J'essaye de me focaliser sur le fait que je vais enfin te voir. Que nos retrouvailles vont enfin avoir lieu. J'en aurai avancé le temps tellement je suis pressée de sentir à nouveau la chaleur de ta main contre la mienne. Tellement j'ai hâte de me noyer dans tes yeux et d'oublier le monde qui nous entoure. J'ai été physiquement présente durant tout le temps où la cérémonie s'est déroulé. Mais j'étais mentalement ailleurs. Je pouvais sentir la main d'Abélard se glisser dans la mienne et me traîner derrière lui, mais j'étais trop occupée à ne pas encore croiser ton regard. J'entendais les mots de mon meilleur ami mais je ne rêvais que d'entendre les tiens. Que d'entendre ta voix s'adresser à moi une nouvelle fois. Je sais pas exactement ce qui s'est dis pendant cet enterrement. La seule chose que je continue à entendre, c'est les quelques mots que tu as finis par m'adresser en guise de soutien. Et je peux encore sentir tes lèvres se poser discrètement contre ma joue, pretextant le moment de présenter ses condoléances à la famille pour faire un premier pas vers moi. La cérémonie s'est terminée aussi vite qu'elle a commencé et la foule a fini par se disperser pour ne laisser que nos trois silhouettes debout devant le tombeau encore ouvert de mon grand père. J'y suis restée encore de longues minutes, le temps de faire mes adieux. Et puis nous somme parti, nous avons fini par accompagner Abélard jusqu'à son avion. Après deux mois à éviter tout contact, j'allais enfin te retrouver. J'allais enfin t'avoir pour moi toute seule.

Je ne sais pas quand est-ce que je le reverrai. Mon meilleur ami me manque aussi mais c'est de toi que j'ai besoin là tout de suite pour ne pas perdre pieds. C'est de tes mots que j'ai besoin. Alors je dis au revoir à mon meilleur ami. Lui promettant de prendre soin de moi et de lui donner de mes nouvelles. De toute façon, je l'appellerai ce week end. Pour le petit rituel qu'on s'est inventés depuis mon départ, notre conversation hebdomadaire. Je lui fais au revoir de la main et je regarde son avion quitter le sol new yorkais. Nous laissant enfin seuls. Et maintenant qu'il n'y a plus que toi et moi, je n'ai plus besoin de refréner toutes ses envies qui me taraudent depuis que tu respires le même air que moi. Je me retourne enfin vers toi et te surprends à m'observer. Tu lèves les yeux vers moi et enfin, nos regards viennent à nouveau se croiser. Mes yeux bleus viennent enfin se perdre dans les tiens. Je peux sentir mon coeur battre à tout rompre, est ce que t'entends combien il bat à cet instant ? C'est parce que j'attendais ça avec tellement d'impatience Hadès. J'en ai rêvé toutes les nuits et enfin, j't'ai là devant mes yeux. Je te bouffe du regard et toutes les pièces du puzzle viennent reprendre leur place. Noyée dans tes yeux, je me sens plus aussi perdue. Plus aussi incomplète. Et maintenant que tu me tends cette main qui m'a tellement fait défaut, je n'ai plus peur de laisser toute cette peine m'envahir. Parce que j'suis humaine et que face à toi, je sais pas faire semblant. Et alors que ma main vient à nouveau retrouver la tienne, je peux sentir mes larmes couler contre mes joues. Je pleure de tristesse, je pleure de joies. Je pleure de la perte que je viens de subir mais aussi de ta présence que j'ai tant recherché. Je fais même un pas vers toi, parce que t'as été assez loin de moi comme ça et que j'ai besoin de te sentir contre moi encore une dernière fois. Et dans toutes ces larmes, j'arrive quand même répondre à ton sourire. J'arrive quand même à trouver la force de te montrer combien je suis aussi heureuse et soulagée de t'avoir face à moi.
(Invité)
A. Hades de Belgique-S.

Âge : 31
Lieu de naissance : Belgique, le pays des frites et de l'accent prononcé, il parrait, et de France aussi.
Quartier d'habitation / Colocation : vide. Un coeur, ça sert a pomper le sang, rien d'autre. ( mais le coeur solidement cadnassé par mon anglaise )
Situation sentimentale : l'hôtel le plus luxueux de Boston
Études / Métier : Prince de Belgique, héritier de l'Oréal
Date d'inscription : 13/08/2016
Pseudo & Pronom(s) IRL : Rory (she/her)
Icon : Lisades || Le temps passe mais rien ne t'efface. H8vAfyug_o
Faceclaim : Douglas Booth
Crédits : HOODWINK
Multicomptes : R. Axel Vanderbilt (S. Carson) ♔ Anciennement Dante D. Basini & Kingsley Z. Ward-A. Z. Néo Force & Emilia S. de Bourbon
Description (1) :

⋆ — a king can’t be a king
without the strength of his queen

HADES DE BELGIQUE-S
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01. Je m’appelle Anastase Hades Thaddeus de Belgique Schueller 02. Dans ma famille, tout le monde m’appelle Anastase, en soirée, je me présente sous le nom de Thaddeus au petit peuple mais mon prénom, c’est Hades tout le monde m’appelle comme ça. 03. Je suis le fils du roi de Belgique et l'arrière petit fils du fondateur de L’Oréal 04. D’ailleurs, je reprendrais la direction de L’Oréal plus tard, c’est mon but. 05. Je suis un emmerdeur, je l’ai toujours été et je le serais toujours. J’aime faire chier le monde. 05b. Je fais 1m84 06. Je suis allergique aux fraises, je deviens tout rouges quand j’en mange. 07. Je pourrais me nourrir exclusivement de glace Ben & Jerry’s, j’en serai trop heureux. 08. J’ai 1 frère jumeau Abc Zeus Camille de Belgique Schueller, l’héritier au trône de Belgique, que j’appelle Abé ou ABC et une petit sœur d’un an d’écart, Agathe Asia Jeanne de Belgique Schueller que j’appelle Clauclau. 08bis. J’avais aussi un petit frère, on avait 15 ans d’écart, il s’appelait Arthur Poséidon Winston de Belgique Schueller, il a été enlevé l’année dernière, le drame de ma vie, je n’en parle jamais. 9. Je suis un très bon joueur de piano, j'ai même eu mon sésame pour le conservatoire, je sais jouer de tous les styles de musiques, du classique au moderne. Genie des notes, j'avais pour habitude de jouer dans les gares ou pour mon petit frère, quand il a disparu, j'ai arrêté 09bis. J’ai peur des mendiants. Enfin pas vraiment, mais ils me dégoûtent quoi. Quand mon père m’a obligé à servir à la soupe populaire, j’ai dû me prendre 10 douches de suite pour être sûr de ne pas être malade. 10. Je suis du genre surprotecteur avec Clauclau depuis l’enlèvement de Tutur. Tu la touches, je te bouffe, qu’on soit claire. Tu la regardes dans la rue quand elle est avec moi, je t’embrouille car en plus, je suis possessif. Tes yeux n’ont pas à toucher cette beauté pure et si jamais elle te porte de l’intérêt pour moi, tu ne seras jamais assez bien pour elle. 11. Je joue les pères avec Clauclau. Abc et moi veillons à ce qu’elle ne s’habille pas vulgairement. Une fois après lui avoir répété maintes et maintes fois que non c’était moche ce qu’elle avait mis, et trop court et qu’elle ne nous a pas écouté, pris de colère, Abc lui a lancé du Ketchup dessus pour salir sa robe et moi c’est simple, j’ai pris les ciseaux et j’ai coupé toutes ses fringues moches et trop courtes. Comme ça, elle était obligée de mettre un truc mieux. Si elle pouvait se balader en jogging, ça m’irait, les gens la regarderaient moins. 12. Je n’ai jamais connu l’amour, du moins, je l’ai jamais avoué, je fuis ce sentiment comme la peste. Si tu venais à entrer dans mes critères et me plaire vraiment, je finirais par te quitter. 13. Je n’ai absolument pas la notion de l’argent, je dépense sans compter. 14. Je suis un fêtard bourgeois né, je sors tout le temps, je suis peu chez moi et j’aime cette vie. 15. Je déteste le jaune, je n’en porterai jamais. 16. Je ne suis pas méchant, juste froid. Je ne suis pas le plus chaleureux du monde mais on ne me changera pas. 17. Mon cercle d’amis est fermé. 18. Je suis fan de gin tonic, j’en bois comme du petit lait. 19. J’adore les vautours, ces oiseaux me passionnent. Ils sont mal aimés à tord, moi je les trouve majestueux. 20. J’aime la mer. Je pourrais passer des journées sur un bateau sérieusement. 21. Je profite de la vie, je vis à fond, sans trop me soucier du reste. Demain, on verra demain. Profitons de l’instant présent. 22. Je suis un phobique de l’attachement. Quand on s’attache on souffre. 23. J’aime mon confort, vraiment. 24. J’aime pas trop partager mon lit, sauf avec Clauclau et Abc, si Clauclau est au milieu. 25. J’aime les belles choses. 26. Je suis un électron libre, un libre penseur et un marginale, je n’aime pas les règles, les limites, pour moi, elles sont faites pour être dépassé. 27. Si j’ai un coup de mou, je vais à la plage, ça m’apaise, ça me calme. 28. Quand j’aime, je donne tout, il y a qu’à voir ma relation avec Clauclau, Tutur et Abc. 29. Je suis un passionné. Je sais jouer du piano et de la guitare mais je suis réaliste, je n’irais jamais là dedans. En plus j’ai arrêté le piano, Tutur adorait que j’en joue, depuis qu’il n’est plus là, je ne peux plus. Je sais dessiner aussi mais ça je ne le dis pas, c’est secret. Je suis aussi un joueur de poker du tonner, je fais même des tournois, je pourrais y jouer des nuits entières. 29bis. Je me sens responsable de la disparition de Tutur et je garde secrètement l’espoir de le retrouver un jour. 30. Je rajouterai des trucs à cette liste si des idées me viennent, mais pour le moment, non.


⋆ — we all grow in different directions
yet our roots remain as one

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(blood)Abélard Zeus Camille de Belgique-Schueller aka ABC ou Caca est mon frère jumeau, encore mieux, ma moitié, mon partenaire de crime, mon meilleur allié, nous sommes inséparables et ma vie sans lui serait bien naze. Si vous me trouvez insupportable, attendez de nous avoir tous les deux dans la même pièce. ✻ Agathe Asia Jeanne de Belgique-Schueller aka Clauclau est ma petite soeur, d'un an ma cadette, son seul défaut est d'être une fille mais je l'aime de manière inconditionnelle. Si tu la touche, qu'on soit claire, j'te bouffe. Clauclau est la personne qui a le plus de mérite, elle nous support



⋆ — you got a fetish for my love
i push you out and you come right back

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(present) ✻ CLEO CLEO CLEO ONLY CLEO.
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(past)M. Théa Glaswell est une blonde sexy, séduisante et charmante, ma meilleure amie pendant longtemps, je me suis rapproché encore plus d'elle après avoir arrêté de voir Zia, pour me venger de Abélard qui m'avait séparé d'elle et je suis sorti avec elle, ce qui était au début une vengeance, une farce, s'est transformé en sentiments très puissant, mais elle a perdu son argent et pour elle, mais surtout pour moi, c'est un peu la honte de sortir avec une fille presque SDF... Je m'en suis voulu, je me suis excusé, lui proposant de se voir en cachette parce que bon, je m'en voulais mais elle restait pauvre... Elle n'a pas voulu, elle n'a jamais répondu. Je lui en veux de n'avoir jamais répondu et elle m'en veut de mon comportement, les retrouvailles pendant le SC sont donc explosives .. ✻ Zia R. Villanueva est la fille de mes rêves. Elle est faites pour moi, j'en suis persuadé mais je suis probablement son enfer. Je suis son contraire et quand elle fait ressortir le meilleur en moi, elle ne peut pas avoir confiance avec ma personnalité ... On a flirter, je la voulais comme je n'ai jamais désiré une fille mais Abc nous a séparé. Il y a eu des évènements par la suite comme l'enlèvement de Arthur et j'ai arrêté de lui parler, je ne voulais pas la décevoir pas qu'elle me voit comme ça... Et maintenant, je pense encore à elle, je crois que mes sentiments ne sont pas passé mais elle, elle est tout sauf heureuse de me revoir ...
(les amants maudits)Lisa-Rose Wertheimer Because happiness is not a place not a destination. Happiness is a state of mind and I don't need a map to point me in the right direction. I have you, in front of me, and that's good enough for me.

Description (2) :

⋆ — i'm just lookin' for some real friends
all they ever do is let me down

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(best)Ariana Von Liechtenstein aka Aria ou Ari est ma meilleure amie, je la connais depuis toujours et je lui voue une loyauté sans faille, elle sait tout de moi, je sais tout d'elle, on se connait depuis toujours et on ne pourrait se passer l'un de l'autre. ✻ Kalista S.-Petrova est ma seconde meilleure amie, entre nous, ça a immédiatement accroché, dans le genre fou rire et complicité on est des pro, on est très proches, très souvent ensemble, on est les meilleurs. ✻ Noah Arjen d'Aremberg c'est mon meilleur ami d'enfance lui aussi. On faisait une bande tous ensemble avec Ari et Abé et cette grande asperge est juste comme moi, un espère d'abruti pas si méchant, donc on ne pouvait que s'entendre non ? M'bref, il gère m'voyez ? On détruit les gens ensemble, c'est un frère pour moi, on se connait depuis tout petit et je pourrai donner ma vie pour lui.
friends - ✻ Veïa Alvisio est une douce italienne que j'apprécie beaucoup, elle est belle, drôle, elle bob la lune et elle a résisté à mes charmes, après avoir digéré ce refoule, on a apprit à s'apprécier et nous voila maintenant amis, avec un point qui diffère quand même ... Veia aime les choses simples, moi l'argent ... Alors on alterne, un coup on fait des trucs super et un coup des trucs de merdes.. On s'arrange quoi. ✻ Ael C. Raudenfeld est un super ami lui aussi, c'est un ami d'enfance qui a malheureusement pris énormément de poids, j'ai été son coatch d'enfer pour l'aider et je suis fier du résultat et de lui quand même, on s'apprécie mais on se cherche quand même, c'est marrant.



⋆ — i hope karma slaps you
in the face before i do

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Ma reine, si tu savais comme le temps est long sans toi. Finalement tu n'es pas si loin que ça, en comparaison, ma Belgique natale est à des années lumières de moi, comparé à toi qui est à New York. Pourtant, je me sens seul, ma seule compagnie est le fantôme de tes souvenirs dans cet suite, dans cet hôtel, loin de tout, caché du monde où on laissait exploser notre bonheur et notre passion. Cette passion dévorante qui s'emparait de mon être, de mon tout. Quand tu étais là, je ne pouvais décrocher mon regard de toi. Mes yeux étaient captif de ton image, comme si d'avance je savais que le destin nous séparerai à nouveau, cette fois ci, pas par lâcheté mais par courage, persuadé que ça serait le mieux pour toi. Parce que moi, tout ce que je voulais, c'était voir un putain de sourire sur ton visage. Je ne voulais plus te voir triste ou me parler d'elle, cette femme qui partage ma vie aux yeux du monde alors que tu partages mon lit. Tu m'as à toi, entièrement mais pour les autres, c'est elle ma femme. J'aurai voulu réussir à te protéger de tout ça, d'elle, de cette prophétie merdique qu'on m'impose. De ce choix qui n'est pas le mien, mais je ne peux pas. Comment le pourrai je ? Tu dois faire face à la réalité, aussi laide soit-elle et mon être entier t'appartient, mais c'est notre secret. Un secret trop court. Alors je devais te laisser partir.

Je souviens encore de ce jour à l'aéroport car ce sont les dernières images que j'ai de toi dans ma tête. Tu étais belle comme une nuit de pleine lune. Éblouissante comme notre étoile. A couper le souffle. Tes cheveux blonds tombaient en cascade dans ton dos. Dans le taxis, je n'ai pas été capable de parler ou de lâcher ta main, je ne pouvais pas te regarder car te regarder était trop dur, je n'aurai pas pu tenir cette promesse que je t'ai faite. Quand nous sommes arrivé à l'aéroport, souviens toi ma reine, j'ai attrapé ta valise, je l'ai trainer. Gentleman je ne suis pas, mais avec toi, c'est naturel. Et en marchant, j'avais la nette impression d'être un juif, qu'on emmène dans un camps d'extermination. Tous les deux pas, j'avais envie de m'arrêter, de me stopper, mais il fallait être fort, alors je t'ai accompagner poser ta valise et j'ai hais l'hôtesse quand elle nous a souhaité bon voyage à tous les deux alors que nous allions vers le guichet d'enregistrement, car je ne partais pas avec toi ce jour là ma reine. Nous ne fuyons pas ce monde cette fois ci, non, nous l'affrontons, avec dignité et lucidité. Cette foutue lucidité finira par nous tuer. Tu as enregistrer ton billet et fût le temps des au revoir. Mon coeur s'est brisé encore plus quand tu es venue dans mes bras pour la dernière fois avant longtemps. On savait tous les deux qu'on ne devait pas craquer. Et je n'ai pas oser te faire de promesse, de peur de ne pouvoir les tenir. Nous sommes restés silencieux. Dans notre bulle, un long moment, jusqu'au dernier appel. Et ta main a lâcher la mienne. Et tu m'as prouver toi, par ta présence que j'avais encore un coeur. Cette pompe à sang, en partant tu l'as brisé. Jusqu'au bout, j'ai voulu te retenir. Te supplier de rester. Jusqu'au dernier moment, je t'ai fixé pour ne pas t'oublier, ton corps qui est ma carte préférée. Je me souviens encore, dans les bras l'un de l'autre, je pouvais passer mon temps à te contempler.

Maintenant ma reine, le sommeil s'est perdu sur la route et ne vient plus m'enlever. Il n'y a que tes souvenirs qui me sortent de la folie de ce monde. Plus dur, plus froid, plus intransigeant, je suis prêt à tous contre le monde car le monde semble être contre nous. Je suis prêt à tout faire péter car ces connards ne sont pas pour nous. Et j'ai ressenti ces crises de manque, d'angoisse même, je te cherchais dans la rue, je te cherchais dans l'appartement. J'ai résister à t'appeler des milliards de fois et à te texter des millions. J'ai eu peur d'oublier ta voix alors je regardais une vidéo snapchat que tu m'avais envoyer une fois en boucle. Je me souvenais de ton rire grâce à ce message vocale que tu m'avais laissé il y a longtemps, quand nous étions à Rio la magnifique. Je me suis souvenu de ton image en regardant tes photos. Je le concède, je suis accro. Alors quand ta lettre est arrivée, d'instinct, j'ai su que c'était toi. Et mon coeur s'est étonnamment ressouder en lisant tes mots. Savoir que je te manque au moins un peu me fait chaud au coeur. Et je t'ai répondu. C'était une incartade à nos promesses mais un besoin devenu vital. Je voulais que tu saches, je voulais te le dire et on le sait, les paroles ne sont pas notre truc, les actes et les mots le sont alors j'ai couché sur le papier mon manque pour toi et mon désarroi sans toi. Je n’attendais pas de réponse, je savais que je n'en aurai pas. Cette lettre était comme une bouteille à la mer que je te jette. Tu ne pouvais pas répondre car tu avais déjà tout dis avant.

La libération s'éprend de moi quand j'apprends que je vais te revoir. Je compte les jours, les heures, les minutes. Bien trop en manque, je ne pensai plus qu'à ça ma reine tu sais. Je ne pensai plus qu'à toi. Tu es mon obsession. Tu es ma maladie, ma plus douce folie, mon anti douleur, ma dose de coke, ma parcelle de bonheur. Les circonstances étaient tristes, c'est vrai. Mais égoïstement, je m'en foutais parce que te voir était tout ce qui comptait. J'avais enfin une bonne excuse pour te retrouver. Enfin une bonne excuse pour t'avoir près de moi. Et quand je t'ai vu, j'ai tout de suite vu ta beauté intacte. Tu étais certes abimée par la tristesse et la fatigue, mais par les flammes de l'enfer, je me serai damner pour pouvoir te regarder encore et encore. Bien entendu, nous avions peu de temps, car le temps est notre ennemie lui aussi. Le temps est ce seul luxe que nous ne pouvons pas nous offrir ma reine, mais tant pis, je m'étais promis de savourer chaque seconde à tes côtés. Seulement bien entendu, mon frère, protecteur et trop égocentrique s'est concentré sur toi, me privant de tes bras de longue heure. Je n'ai eu qu'un moment volé trop court à tes côtés, retrouvant un bref instant ton parfum, ta chaleur. C'était foutrement court mais Dieu que c'était bon.

Nous voila à présent ma reine, à l'aéroport. Dans ce lieu ou dernièrement je t'ai dis au revoir, mais cette fois ci, nous restons ensemble, encore un peu. Le temps de pousser Abélard dans l'avion, le temps de le regarder disparaitre, tu lui dis au revoir mais moi, je suis trop occuper à t'admirer dans un silence religieux. De toute façon, Abélard n'était pas concentré sur moi alors il ne remarqua rien. Il est enfin disparu de mon champs de vision. Il n'y avait plus que toi. De toutes façons, il n'y a que toi, comme toujours pour moi. Le coeur battant, je suis comme un gosse un soir de Noel quand il apprécie la fête. Je ne te le dis pas, mais je le sais : mon plus beau cadeau c'est toi. Mes iris brunes se perdent dans le bleu de tes yeux quand enfin tu me regardes. Quand tes prunelles bleues se posent sur moi, je me sens enfin exister, je me sens enfin vivant. C'est comme ci je revivais. Car toi ma reine, tu me vois. Tu me vois moi, entièrement, comme personne ne le fait. Tu m'acceptes, avec mes nombreux défauts, avec ma perversion, mon esprit tordu et tortueux, tu aimes même mon sadisme et dégoût pour l'espèce humaine. Tu es mon double féminin. La perfection à mes yeux. Alors je te regarde en silence et te tends la main. Pour retrouver un bref contact avec toi. Pour te retrouver toi. Pour m'assurer que ce n'est pas un rêve, que tu es bien là. Car bon nombre de fois, mon esprit m'a jouer des farces, me faisant croire à ta présence quand l'alcool entrait en moi. Mais là, tu es là. Je t'adresse mon sourire le plus brillant et ta main rejoint la mienne. Les masques tombent et je te vois pleurer. Si tu savais comme tu es belle quand tu pleures. Je comprends tes larmes car j'ai les même en moi qui semblent se faire un chemin. C'était trop long sans toi ma reine. Et entre deux gouttes d'eau salé, tu me souris et il est juste tellement sincère. Tu fais un pas vers moi et je franchis la dernière distance qui nous sépare, je franchis cette barrière invisible entre nous. De mon bras libre, je te plaque contre moi, les yeux brillants. Ta tête enfouie dans mon cou, je caresse avec douceur d'une main, tes cheveux blonds comme un ange, et de l'autre, je serre ta main un peu plus. J'entends ton coeur qui bat trop vite ou bien c'est le mien ? Nos coeurs battent à l'unissons, reprenant eux aussi leur habitude. Ils se sont trop manqué il faut croire. J'ai envie de pleurer tant je suis bien près de toi, tant j'ai souffert de ton absence, tant j'ai mal de te voir pleurer. Les mots ne sont rien pour nous dans un moment pareil. A quoi bon gâcher l'instant de paroles inutiles ? Pour quoi faire ? Nous n'avons pas besoin de ça. Les silences aussi parlent, disent des choses. Nos silences racontent les histoires les plus merveilleuses du monde. Nos silences comptent notre amour, alors que tu es là, lover dans mes bras. Reprenant cette place qui est à toi. Cette place que personne n'aura jamais. Cette place qui est faites sur mesure pour toi. Ma reine ... un simple murmure, pour dire haut et fort que tu es mienne. Je pourrai tomber à genoux devant toi, tu es tellement merveilleuse, toi, ta beauté et ta puissance. Toi et ton pouvoir sur moi. Je ne crois en aucune religion, mais c'est certains, je suis Lilyste, Lilytien et Lilyman. Tu es ma religion. Ma force, ma faiblesse. Toi et seulement toi. Tu as cette place dans mon coeur que personne n'a. Et c'est peut être interdit, je m'en contre fou. Ma vie sans toi est sans saveur, sans raison, sans sens, sans goût. Alors je te serre un peu plus dans mes bras, ton corps frêle contre le miens, la froideur de ton être contre mon torse, tes cheveux blonds s'emparent en partie de mon visage, ton parfum enivre mon air. Tu es là. Je ne rêve pas. Nous sommes ensembles. Pour peu de temps et demain sera encore plus dur mais nous sommes ensemble, encore un peu. C'est tout ce qui compte.

(A. Hades de Belgique-S.)


Winners don’t make excuses.
   “That’s the difference between you and me, you wanna lose small, I wanna win big.” ♕ Sial
   

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