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romarthur + way down we go

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Cause they will run you down, down til the dark, and they will run you down, down til you fall
feat.Romarthur
« Ca va aller ? » Sa tête dans mon cou, elle acquiessa en resserrant son emprise. Elle venait d'apprendre qu'elle avait une cousine, que sa mère avait une soeur, une famille qu'elle ne connaissait pas. Et je la connaissais maintenant assez pour dire à quel point elle allait mal, elle qui n'a jamais vraiment connu sa véritable famille. « Je vais devoir forcément y retourner un jour...» souffla-t-elle en remontant sa tête.  « Merci d'être venu en tout cas »  Je lui caresse doucement la joue. Elle n'avait pas à me remercier, c'était ce que faisais les..."copains" non ? Même si notre relation était secrète et qu'on était dans une réserve comme dans un placard à balais.  « Quand tu veux, bébé. Je viendrais toujours à toi, si tu en a besoin. » Elle me sourit timidement, m'embrassa furtivement, et commença à ouvrir la porte.  « J'aurai besoin d'un petit service au passage...» Elle se retourna, intrigué, alors que je lui expliquais que Roman, l'un de mes potes les plus proches était à l’hôpital et que j'avais promis de passer le voir. A vrai dire, j'avais tout autant besoin de le voir aussi, pour vider mon sac. A quelqu'un d'extérieur, A quelqu'un qui ne connaissait pas ma situation. Liam était trop impliqué pour m'aider réellement à voir juste. Alors, je demandais à Oswald de m'aider à retrouver Roman, et à me glisser dans sa chambre, malgré la fin des visites. Elle roula des yeux mais accepta.

Quelques minutes plus tard, je toquai à la porte de la chambre avant de m'y glisser. Roman était allongé dans ce lit, et mon coeur se serra. Béquilles à la main, je tenais encore debout, malgré une certaine douleur constante, et son visage s'illumina à cette surprise.  « Oui, ordre du médecin. Mes jambes vont mieux, même si je douille à marcher » embrayais-je avant qu'il ne dise quoi que ce soit. Je m'approchais du lit, lentement, et désigna le bout :  « Je peux ? J'ai du mal encore à rester totalement debout, mais faut que je me force pour remuscler mes muscles. » Il acquiessa et me fit une petite place. « Alors, Bro, comment tu vas ? Qu'est ce qui s'est passé ?»


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feat.Romarthur
Tu es couché dans ce lit avec plusieurs perfusions que tu ne connais que trop bien. Une poche de sang et l'autre, tout un tas de vitamines et autres truc qui aide ton corps à se battre, plus tôt dans la journée, c'était de la morphine qui faisait place dans tes veines. Tu connais que trop bien ce traitement, traitement spécial rechute comme tu le nomes. Parce qu'il ne faut pas se voiler la face, tes sautes d'humeur ainsi que tes évanouissements répétitifs ont été signes d'une rechute leucémique. Une énième. Celle-là, surement causée par le tresse et l'anxiété de ta situation avec Carter. Ce qui t’énerve le plus, c'est que tu viens de te réconcilier avec cette dernière mais il est interdit pour toi de te rendre au S.Break pour cette année, ton état ne le permet pas. Tu souris tout en faisant une place à ton ami qui venait de passer la porte te surprenant. La chaise roulante, c'est fini pour lui. Place aux béquilles ! Tu rigoles intérieurement car tu sais très bien qu'il va galérer avec ces choses en métal, ahah. Tu finis par baisser les yeux en acquissent d'un sourire, tout de même. Ca va, bien qu'il ne me laisse pas partir aux soleil cette année, avec vous. J'avoue que cela m'aurait fait du bien de changer d'air, m'enfin... Tu souffles, relevant la tête. J'ai de nouveau fait une rechute mais celle-là, c'est pas d'la merde, vieux. Les médecins sont très inquiets et je dois bien admettre, que moi aussi. Tu déglutis, tu sais quand ce sont des rechute fortes ou faibles, tu le sens et celle-là te donne du file à retorde, encore plus que la précédente. Et si jamais ça se passait mal ? Tu parles jamais de tes peurs vis à vis de ta maladie, de ton ressenti face à elle. Tu gardes toujours pour toi mais tu n'es pas infaillible et même si tu veux protéger les autres de ton état et de la possibilité que tu pisses passer ton arme à gauche, Arthur est capable d'entendre tout ça, tu le sais. S'il y a bien une ^personne capable d'entendre ta faiblesse, c'est bien lui. Mais tu sais que je trouverais le moyen d'aller en Jamaïque. Conclus-tu.


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feat.Romarthur
Voir Roman comme ça, dans ce lit d’hôpital me laissait pas indifférent. Ça faisait remonter en moi cette mauvaise période dont je commençais à peine à m’en remettre. Mais ça n’était pas non plus plaisant de voir un ami aussi mal. Roman, c’était un ami proche, un frère de cœur, dont j’avais du mal à laisser tomber. J’avais fait une erreur en embrassant Carter une fois, et j’avais aussitôt avoué mon crime à Roman, dans le seul but de conserver cette amitié. Si j’avais redouté qu’il me frappe, il ne le fit pas, parce qu’il savait que ça ne signifiait rien, que j’avais mes faiblesses et que j’essayais cependant de me rendre meilleur. La seule qui arrivait à le faire ces derniers temps, c’était Oswald, et c’était aussi elle ma venue dans cette chambre. « Ça va, bien qu’il ne me laisse pas partir aux soleil cette année, avec vous. J’avoue que cela m’aurait fait du bien de changer m’enfin... » J’haussais les épaules en désignant mes jambes. « Je n’y vais pas non plus, si ça peut te consoler » L’envie n’y était pas, j’avais envie de rester avec Oswald et James. Et puis quand bien même, j’avais à peine récupérer mes jambes…elles avaient encore du mal à me soutenir, alors partir faire la fête pendant des jours, sans pouvoir réellement en profiter, à quoi bon ? « J’ai de nouveau fait une rechute, mais celle-là, c’est pas d’la merde, vieux. Les médecins sont très inquiets et je dois bien admettre que moi aussi ». Je déglutis sauvagement. S’il ne parlait pas de sa maladie aux autres, moi j’avais toujours su. Mais à chaque rechute, c’était une gorge et un cœur serré, avec la simple hantise de ne pas pouvoir aider mon ami. « Et si jamais ça se passait mal ? » « Frère, t’es là. Arrêtes de penser à mal, regardes-moi. On fait des miracles. T’as vaincu toutes les autres, tu vaincras celle-ci. » Je souris légèrement en déposant une de mes mains sur le bout de ses jambes par réflexe. Juste histoire de lui dire que, j’étais là si besoin. « Mais tu sais que je trouverais le moyen d’aller en Jamaïque » Je me mis à rire aussitôt. « C’est bien toi ça ! A peine as-tu des pensées négatives que tu te relèves déjà ! La rechute, elle est du à Carter et à la grossesse ? » Demandais-je par curiosité. Probablement, mais j’avais simplement besoin de savoir comment il allait de ce côté-là. Je déglutis, et finit par avouer : « Si je suis venu ici, aussi, c'est pour te parler Roman, j’ai besoin d’un avis extérieur. Je suis pas bien doué pour ce genre de…chose » Des vraies relations. Une relation fidèle. Avec une fille bien. Non, ça, c’était pas moi. Pourtant, c’est ce qui m’arrivait, et c’est ce que je désirais.

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Tu souris face à sa remarque et il a raison. Tu peux être au fond du gouffre, tu trouveras toujours un moyen de voir la lumière. C'est l'une de tes principales qualités, d'ailleurs. J'ai pas le droit d'être égoïste maintenant, je vais être père. Oui, cela t'as fait peur et tu as voulu retourner ta veste mais tu as vite repris tes esprits à coup de pied au cul et tu commences à t'y faire à cette idée. Tu attends même ton fils avec impatience, ce petit bout qui te donne la force de te battre. Certainement, je ne vois que ça. J'ai jamais été aussi angoissé, apeuré et en colère sur un temps très court. Tu secoue la tête, forcé d'admettre que ces derniers jours n'ont pas étés de tout repos entre ta capacité à être un connard né et ses mensonges. Tu lèves le regard vers ton ami et tu soupires. Tu sais, c'est pas pour rien si j'ai été élu le lâche du mois à Harvard. Plaisantes-tu. C'est vrai que tu peux pas trop te permettre de lui donner des conseilles sur l'amour, toi-même t'as pas su assumer tes propres sentiments, bien que ces derniers temps, tu en as appris des choses là dessus. Je suis pas doué pour ce genre de chose, non plus mais poses-toi les bonnes questions et crois-en mon expérience. Que serais-tu capable de faire pour elle, que serais-tu capable d'abandonner pour elle mais surtout, serais-tu capable de vivre sans sa présence à tes côtés ? J'ai mis longtemps à pouvoir répondre à ces question et j'en ai fait des erreurs avant de pouvoir répondre négativement. A cause de ça, j'ai bien failli la perdre. Protège-là comme ci ta vie en dépendait, ne la fait pas souffrir inutilement si tu l'aimes. Le chemin sera long jusqu'au sevrage. Tu marques un temps et tu lâches un petit rire. Crois-moi, cela en vaut la peine, au final. Tu es certain qu'il tient à elle, sinon, il ne te poserait pas cette question mais tu peux pas vraiment agir à sa place à part le guider au mieux pour qu'il ne fasse pas les même erreurs que toi.


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« J’ai pas le droit d’être égoïste maintenant, je vais être père » A cette simple remarque, je lui souris. C’était dur à croire, mais c’était vrai. Si je savais que malgré les embrouilles et les obstacles il serait sans doute un bon père, j’avais vraiment encore du mal à le réaliser. On parlait de Roman, grande gueule, un poil insolant, qui se souciait bien plus de son bonheur que des conséquences qu’il pouvait avoir. Ce n’était que lorsqu’il parlait comme ça que je commençais à comprendre qu’il allait vraiment être papa. « J’en reviens toujours pas, Roman. Je veux dire…toi et Carter, ok. Mais rajoutez un petit mec à l’équation, c’est…impensable. » Je me frottais le front un instant puis relaissa ma main retomber bêtement. Tout ça me semblait à des années lumières pour moi, et quand je voyais à la vitesse sa vie avait basculé, je me disais que…mieux valait qu’on reste couvert avec Oswald. « Certainement, je ne vois que ça. J’ai jamais été aussi angoissé, apeuré et en colère sur un temps très court » Je me m’y à rire. « En même temps, bon sang, vous êtes les pires têtes de mules que je puisse connaître ! » Ils étaient pires qu’Oswald, pour dire ! « Elle t’a pas mené la vie simple, et toi non plus. Faudrait que vous appreniez à discuter, même si ça vous écorche les lèvres ! » Si la communication n’était plus un souci avec Os, entre eux…C’était les montagnes russes. Et j’avais toujours proclamé que c’était leur souci principal. « Tu sais, c’est pas pour rien si j’ai été élu le lâche du mois à Harvard » « Oh, sérieusement, y’en a plein qui aurait fait pareil » Moi y compris. J’aurai probablement paniqué, paniqué et encore paniqué. C’était même certain. Finalement, je lui disais que j’étais aussi là pour une autre raison, en plus de prendre de ses nouvelles, et il embraya comme s’il attendait ce moment depuis longtemps. Était-ce vraiment évident franchement ? Nous qui tentions de rester discrets, quelque chose me disait que ce n’était pas si évident. « Je ne suis pas doué pour ce genre de chose, non plus, mais poses-toi les bonnes questions, et crois-en mon expérience. Que serais-tu capable de faire pour elle ? (…) » A cette simple question, mon esprit divergea. Je serai capable probablement de tout. D’abandonner ma vie, mes études, mon titre, ma famille pour elle. Elle était rentrée simplement dans ma vie, et plus j’y réfléchissais, plus je ne la voyais pas dedans. « (…) A cause de ça, j’ai failli la perdre. Protège comme si ta vie en dépendait, ne la fait pas souffrir inutilement si tu l’aimes. Le chemin sera long jusqu’au sevrage. Crois-moi, cela en vaut la peine au final » Je souris face à mon ami. Il était dingue de Carter. Un aveugle le verrait. Je ne lui avais même pas parlé d’Oswald, qu’il savait déjà quoi me répondre. « Tu te parler à toi-même, avoue. Je n’ai même pas eu le temps de te parler d’Oswald et moi, que tu m’as fait une belle tirade. » On se mit à rire tous les deux avant que je reprenne : « Je suis jamais tombé amoureux, Roman. Jamais de ma vie. J’ai longtemps considéré les femmes comme des objets. Et puis, elle était là, un jour. Elle m’a rendu la vie infernale, pourtant je ne sais pas par quelle magie, elle m’a éclairé. Et ça me fait littéralement flipper. Elle veut une relation secrète, loin des médias. Tu sais, combien les médias peuvent être casse-couille. Mais, je ne sais pas, j’en veux toujours plus. Sauf que…à en vouloir plus, je me demande si je suis dans le vrai. Et si, ce n’était pas du tout réciproques… ?!» Je me posais sans doute trop de questions, elle me l’avait déjà dit. Mais, la concernant, je me poserai toujours des milliards de questions. « Je serais capable de tout, pour elle. Et c’est bien ça le souci. »

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