Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility The child that we are always remains in us | Liam
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The child that we are always remains in us | Liam

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De la fenêtre de ma chambre, je regarde le flot d’étudiants et de touriste se diriger vers la plage de sable fin se perdant dans l’océan, tandis qu’un soupir s’échappe de mes lèvres, je relâche le rideau et recule de quelques pas. Les plages bondées, très peu pour moi, pour le coup. Mais ce Spring Break, je compte bien en profiter, contrairement aux précédents. Si celui de 2016 était déprimant à cause de l’absence de mon petit ami, ex, à présent, je ne tiens pas à revivre la même expérience. Bonaventure présent ou pas. Je ramasse finalement mes affaires, constitué en grande partie, d’une simple serviette rangée dans un sac de plage, dans lequel je fous rapidement mon téléphone portable. Juste au cas où il y aurait une urgence, mais j’en doute. Je ferme à clé ma chambre d’hôtel, passe rapidement devant les ascenseurs pour prendre plutôt les escaliers. Le temps que l’ascenseur arrive, je serai déjà en bas de toute façon. Quelques connaissances croisées, un sourire adressé de temps en temps, je les regarde sortir, profiter du cadre paradisiaque que nous offre la Jamaïque, tandis que, de mon côté, je préfère me diriger vers la piscine, une séance au jacuzzi ne serait pas de refus non plus par la suite. Un nouveau sourire s’affiche sur mes lèvres, lorsque je constate que bon nombreux des transats sont libres au bord de la piscine. J’installe rapidement ma serviette sur l’un d’eux, enlevant aussi la robe qui couvre mon corps pour m’installer en maillot de bain, lunette de soleil sur le nez, dessus, sortant de mon sac un numéro d'us weekly. Enfin des vacances !
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"humpf...aie..." Putain ça n'était que la première soirée et j'ai déjà l'impression d'avoir ma tête prise au piège dans un étau. Ça promettait pour la suite des vacances. Bon alors première étape analyse de la situation, Visiblement j'ai toujours les même habits que la veille, relativement propre, ce qui était plutôt bon signe, et au premier coup d'oeil je reconnais facilement ma chambre. Finalement en dehors du faite que je suis endormis sur le sol je mettais pas si mal tiré de cette première craqué. Je me redresse et m'adosse contre le lit avant de m'allumer une cigarette. Je regarde la fumée danser dans la chambre et refait un rapide tour de mes souvenir de la veille. Deuxième bonne nouvelle, je n'ai aucune zone d'ombre. Je finis rapidement ma clope tout en massant ma nuque endoloris avant de partir prendre une douche. L'eau chaude apaise légèrement mes douleurs musculaire mais n'a aucun effet sur mon mal de casque. Il était temps de sortir mon arme secrète. Brossage de dents, petit coup de peigne, nouvelle chemise,short de bain, un jean pour contenir mes petites affaires et me voilà prêt à affronter une nouvelle journée de beuverie. Il n'y a pas grand monde dans les couloirs, pas plus dans le hall, la journée devait sans doute être bien entamé. La plupart devait être à la plage, je les rejoindrais une fois que j'aurais ingurgité mon remède traditionnelle contre la gueule de bois. Une fois au bar de l’hôtel je commande un grand café à emporter. Je n'ai pas encore vu à quoi ressemblait la piscine de l'établissement sa pouvais être l'occasion. Coup de chance, l'endroit était quasiment désert. Malgré le nombre évidente de place je décide de m'installer non loin d'une jolie blonde entrain de lire un magazine. Une fois installé je sorts une petite flasque de ma poche et en déverse une partie dans mon café. Un authentique Irish cofee avec un pur whisky du Kentucky. Y à pas dire je connais pas mieux comme remède contre la gueule de bois. En dégustant ma délicieuse potion magique je porte mon regard sur l'inconnue non loin de moi. Je ne sais pas pourquoi mais cette fille me disait étrangement quelque chose et ceux malgré ses lunettes de soleil et son visage dissimulé par le magazine. Bien vite mon regard ce porta sur le reste de son corps. Pas de doute cette fille était un vrais canon. Une nouvelle gorgé, une nouvelle clope et hop j'étais paré pour engager la conversation. "Piscine, transat, bronzage et magazine, pas de doute toi tu es ici pour te détendre. C'est un programme bien étrange pour un Spring Break." Avant d'attendre la moindre réponse j'avais déjà rapproché mon transat du sien. " Au faite moi c'est Liam" lui dis-je en souriant.
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J'ai besoin de sortir, prendre l’air, simplement sentir le vent s’engouffrer dans mes cheveux par une brise légère. Je n’ai besoin de rien d’autre en cet instant précis. Mes précédents Spring Break se sont révélé être une catastrophe finie, toujours synonyme de rupture amoureuse, d’inquiétude de ma part, de réflexion, m’obligeant à m’isoler pour pouvoir simplement me poser les bonnes questions. Et encore une fois j’ai l’impression que le schéma se répète. Comme l’année dernière, comme l’année précédente. Bonvanture et son opération pour le dos. 50 % de réussite, qu’il réussisse à remarcher sans canne, et 50 % pour qu’il rester coincer à vie dans un fauteuil. Comment suis-je censé réagir ? rester enfermé dans ma chambre jusqu’à avoir des nouvelles ? Je ne peux pas, je ne veux pas gâcher ses vacances, pour une fois, profiter pleinement de cette dernière avant de terminer l’année scolaire et de reprendre mon boulot de barmaid . Je finis par laisser tomber mes affaires dans un sac, à la va vite, rassemblant ce dont j’ai besoin pour être au bar de la piscine. Me rendre à la plage m’aurait permis de retrouver des amis, de me sentir moins seule mais… peut-être qu’au fond, j’ai besoin d’un peu de solitude, de repos malgré tout, c’est également ça, les vacances.

Je laisse tomber mes lunettes de soleil sur mon nez, laissant mes doigts, tourner un à un les pages de mon magazine, profitant simplement du soleil caressant ma peau de ses rayons. L’article concernant le compte en banque de Johnny Depp me fait doucement sourire, comme quoi, personne n’est jamais à l’abri d’une ruine, même les plus riche, ne sous entendant absolument pas Éliot bien sûr, il ne faut pas vivre au-delà de ses moyens, parfois il faut savoir rester modeste pour pouvoir vivre bien. Je commence la lecture d’un nouveau potin sur une célébrité à Hollywood, ou plutôt deux qui se sépare, étant rapidement interrompu par une voix, me faisant tourner le visage et baisser mon magazine pour regarder le jeune homme venu s’installer à mes côtés. « Pourquoi étrange ? Spring Break rime forcément avec drogue et alcool pour toi ? » demandai-je en haussant un sourcil par-dessus mes lunettes de soleil, que je fais descendre de quelques centimètres sur mon nez pour le regarder par-dessus. « Je t’en prie installes-toi. » dis-je avec un sourire au coin des lèvres, quelque peu ironique en le voyant rapprocher son siège. Je finis par retirer mes lunettes de soleil que je pose sur mes genoux avec mon magazine. « Mira… il n'est pas un peu tôt pour commencer le whisky ? » dis-je en laissant mon regard se poser sur son café.
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Mira & Liam

Pendant quelques minutes je me demanda, pourquoi avoir choisis la piscine pour boire mon café ? N'aurais-je pas étais mieux sur la plage, entouré de monde faisant la fête ? Ou alors en ville à flâner dans les rues ? Je savais pertinemment que la piscine était quasiment déserte à cette heure-ci. Ce pouvait-il qu'intérieurement recherchait un peu de solitude et de calme ? Impossible ! J'avais beau avoir un petit côté baroudeur, je n'étais pas un solitaire, j'aimais la compagnie d'autrui, encore plus autour d'un verre. La preuve, à peine étais-je installé dans un transat, qu’immédiatement je décidais d'engager la conversation avec l’unique inconnue de l'endroit. De toute façon le Spring Break n'était pas fais pour ce poser des question mais pour ce vider complétement la tête et surtout faire la fête !

Même moi je pouvais deviner sans mal que si une personne venait lire un magazine ici plutôt qu'à la plage c'est ce que cette dernière recherchait la tranquillité et le calme. Manque de chance pour elle, "timidité" n'avais jamais fais partit de mon vocabulaire. Et puis je ne sais pas vraiment pourquoi mais je voulais voir son visage. Mettons ça sur le compte de la curiosité. Jetais un rapide coup d'oeil sur la couverture de son magazine me fit sourire. Malheureusement la vie privé des stars ne pourra pas nous faire un sujet de discussion, ou alors très court. Peut-être que si j'avais le temps de sortir mon portable et de regarder je pourrais créer l'illusion de m'y connaitre ?

En tout cas sa première phrase fit mouche. Que pouvait-il répondre à ça ? Même si je n'étais pas un Mather, j'étais bel et bien la pour faire la fête et profiter de tous ce que pouvait m'offrir cette île. Enfin pour l'instant elle ne m'avait pas encore dit d'aller me faire foutre, tout espoir n'était pas perdu. L'espace d'un instant je put même apercevoir ses yeux au dessus de ses lunettes de soleil. De magnifique yeux aussi bleu que les miens. Puis finalement après avoir ignoré le sous entendu ironique de sa seconde phrase je pu enfin voir son visage. Comme je l'avais déjà deviné elle était vraiment belle, mais étrangement quelque chose d'autre que sa beauté m'interpellais. Je saurais dire quoi mais ce visage ne m'étais curieusement pas inconnu. Même chose pour son prénom. Finalement il fallut attendre ses derniers mots pour que lève mon regard de son beau visage. Je lui sourit avant de boire une nouvelle gorgé. " Il n'y a jamais d'heure pour un café très légèrement aromatisé au bourbon du Kentucky !" Je lui sourit à nouveau " En plus je crois qu'il n'y a pas meilleur remède contre la gueule de bois" Je fis une pause le temps de boire une nouvelle gorgé. " Heu... je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression de t'avoir déjà vu Mira...probablement sur le campus"



@Mira J. Hudson
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J’ai bien l’intention de profiter de mon spring break, que personne ne s’y méprend mais j’ai malgré tout besoin de ce moment de calme, où la simple idée de me poser, et de me détendre, ne me viennent à l’esprit, et où seul quelques nuages venant cacher la face du soleil pourrait me perturber un au minimum. Faire la fête, me coucher tard tous les soirs, je le fais déjà tous les jours à Harvard avec mon travail. Barmaid est un boulot de soirée et de nuit, mais de se faire… passer son temps entouré d’alcools n’est pas ce que je rêve au premier abord pour mes vacances. Contrairement à la piscine, une chaise longue, une serviette et un magazine pour passer le temps. Pour une fois que ce n’est pas un magazine de mode mais de célébrité en plus. Une nouvelle page tournée, je relève finalement mon regard vers la personne venue s’installe sur le transat à mes côtés. Rapidement l’odeur de l’alcool mélangé à son café ne tarde pas à titiller mes narines… trop d’expérience dans ce domaine malheureusement. Je lève légèrement les yeux au ciel sans nuages en voyant son côté, sans gêne à s’installer à mes côtés, à commencer la discussion. Je ne suis jamais contre le fait de faire des rencontres, bien au contraire, ce pour quoi je ne l’envoie pas balader d’un geste de la main, comme certaines personnes l’auraient fait, continuant même la conversation en commentant son café personnalisé. « Je ne suis pas fan de bourbon, mais c’est vrai qu’il ne doit pas y en avoir de meilleur que celui du Kentucky… et c’est une barmaid qui te dit ça. » dis-je avec un léger clin d’œil, finissant par poser finalement mon magazine, laissant mon doigt à la page où je suis arrivée malgré tout . « Ah oui, cette fameuse méthode… … Désolée de te décevoir mais elle est loin d’être bonne. Ça ne fait que retarder cette dernière, pas à l’éviter. »dis-je avec un sourire amusé aux lèvres, tout en haussant les épaules. C’est comme le fait de boire pour oublier, ça ne sert à rien, ça ne permet pas d’oublier, juste d’effacer légèrement ses dernières pendants quelques heures, comme lorsque l’on se décide à remettre à plus tard une activité ingrate… ça n’empêche qu’il faudra un jour ou l’autre la faire. Mes sourcils se froncent légèrement à ses dires, tandis que je laisse mon regard se poser sur les traits de son visage, essayant de retrouver dans ma mémoire une quelconque ressemblance avec une personne que je ne connaîtrai. Je ne suis pas du genre à oublier un visage, mais pourtant, lui ne me dit rien du tout. « Je ne suis pas sûr de te connaître moi par contre. » dis-je en continuant de froncer doucement les sourcils. « Oui peut-être sur le campus… Sinon peut-être en Californie, j’ai vécu à Louis Barbara quelques années… » dis-je en haussant les épaules, même si j’en doute également, et quant à Louisville, je ne suis plus la même petite-fille, plus personne ne me reconnaîtrait je crois.

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Mira & Liam

Que ce soit en amitié ou pour draguer, j'ai toujours étais une personne assez direct avec les gens. Que cette méthode fonctionne ou pas je m'en moquais, c'était la seule que je connaissais et donc que j'appréciais. Être franc et direct, permettait en général de surprendre les gens et de voir leur réaction instinctive. Il restait cependant encore un point sur le lequel je pouvais faire plus d'effort : mes manières. Mais bon un idiot d'Irlandais comme moi, ça ne change pas facilement. En tout cas Mira ne m'avait ni éconduit ni dévisagé. Au contraire elle avait même relancer la conversation au lieu de laisser un silence gêné s'installer au tour de cette piscine. J'avale une nouvelle grande gorgé quand elle m'apprit son métier. Barmaid, quelle métier pouvait rendre une femme encore plus sexy. C'était peut-être le faite que ce soit elle qui servent l'alcool, à moins que ce ne soit du à leur position derrière ce comptoir, ce dernier marquant un rempart infranchissable entre les clients et leur personnel rendant la barmaid encore plus désirable, bref je ne savais pas pourquoi mais les barmaid m'avaient toujours fais beaucoup d'effet. Je garde néanmoins mon calme et enchaine "Une barmaid qui s'y connait en Whisky, et bien, je vais boire plus souvent autours de la piscine si ça permet de faire des rencontres aussi cool " dis-je avec un grand sourire. " C'est vrais tu as raisons, ça ne fait que retarder le problème, mais si je parvenais à le retenir encore 6 jours ça serais parfait. J'aurais tout le temps de me remettre une fois à Boston, le Spring Break n'arrive qu'une seule fois dans l'année !." Je connaissais tout juste Mira et déjà je la trouvais attachante et naturel. De beaux cheveux blond, des yeux bleus désarment, un visage d'ange le tout fixé sur un corps débordant de sensualité, cette fille avait due faire chavirer plus d'un cœur. D'ailleurs je sens son regard ce poser sur mais je fais mine de ne pas y prêter attention et décide de m'allumer une nouvelle cigarette, après avoir engloutit la dernière goute de mon Irish cofee. Je lui souris et tout en prenant garde de ne pas lui souffler ma fumé en plein visage je lui dis " C'est bon je sais d'où je te connais, tu es Mira Hudson, la vice prez des Quincy ! C'est bon je te remets. Enfin de toute façon je ne vois que ça, car en dehors de l'Alabama, de la Jamaïque et de quelques voyages à Louisville dans le Kentucky y a des années je n'ai jamais quitté Boston" Je marque une nouvelle pose le temps de plonger mes yeux bleus dans les siens. " C'est impressionnant comme j'ai l'impression de t'avoir déjà croisé... finalement ta peut être raison, c'est un peu tôt pour le bourbon"



@Mira J. Hudson
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Boire peut faire du bien, peut nous permettre de nous lâcher, de décompresser, de ne pas se poser trop de questions et de simplement y aller. Oui l’alcool a quelques avantages comme ceux-là, mais il en a aussi de nombreux inconvénients, comme la perte de ses moyens tout simplement. L’alcool dans le sang, peut nous transformer en quelques minutes, une simple remarque qui pourrait nous faire rire en état de sobriété peut, d'un coup, nous faire péter un câble sans aucune autre raison que cet alcool qui nous pourrit de l’intérieur. Sans compter qu’il ralentit nos réflexes réduits notre vision, cause des centaines, ou plutôt, des milliers d’accidents chaque année. Oui, il y a toujours des bons, et des mauvais côtés, dans presque tous. La vie et toutes ces choses ne résumés que dans une balance au final, où il faut toujours peser le pour et le contre. Je relève finalement mes lunettes posées il y a encore quelques instants sur mes genoux, pour les placer sur le haut de mon crâne, bloquant quelques mèches de cheveux ayant tendance à me tomber devant les yeux, avant de reposer mon regard sur le jeune homme à mes côtés. Je lui adresse un sourire aux coins des lèvres avant de reprendre. « Je doute que ce soit le cas partout, disons que c’est surtout parce que moi-même je suis « cool » . » dis-je en riant légèrement, n’étant pas du genre à me vanter non plus ou à m’attribuer ce genre de qualité, mais le contexte me le permet je pense. Je suis en vacances après tout, je peux très bien me prendre pour ce que je ne suis pas non plus. « profite mais n’abuse pas je dirai… tu n’as peut-être pas forcément besoin d’alcool pour repousser ton problème dans un coin de ta tête pendant quelques jours… »dis-je en haussant les épaules. S’il est capable de l’oublier avec de l’alcool peut-être qu’il peut également l’oublier de son plein gré. Il n’a pas l’air d’être un alcoolique, pensai-je en le regardant. Mais après tout, ça ne veut pas dire grand-chose. J’ai l’occasion d’en voir à longueur de journée, et il n’y a pas vraiment de profil type. Même les types les plus séduisants, à l’allure parfaite peuvent avoir un faible pour un verre ou deux de whisky qui se résume souvent à la bouteille. Mais je ne vais pas faire ma rabat-joie , l’alcool n’est pas illégal, c’est certainement parce que le gouvernement ne voit rien à redire à ce sujet, et ce n’est pas mon rôle non plus… après tout si on l’interdit demain, je suis certaine de perdre mon boulot. Je le regarde distraitement allumer sa clope, et commençais à me resituer par rapport à mon poste à la Quincy House. Oui vice-présidente des oranges, j’ai l’impression que je suis plus connue que ce que je pensais. Est-ce un avantage ? J’en sais rien à vrai dire. Je vais pour répondre lorsque j’entends le nom de cette ville du Kentucky, refermant la bouche que j’avais ouverte. « Tu as déjà été dans tous ces endroits alors ? » lui demandai-je en évitant de paraître suspicieuse. Non il ne peut pas me reconnaître il ne peut pas m’avoir connu à Louisville...

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Mira & Liam

Ca faisait tout juste dix minutes que j'étais assis là à boire mon "café" que je pouvais déjà sentir mon crâne brûler sous le soleil. Ce dernier était décidément fatal en Jamaique, à moins que ce ne sois mon Irish cofee qui commençait à me monter à la tête. Faut dire que c'était la première chose que j’ingurgitais de la journée. Enfin mettons ce petit coup de chaud sur le compte du méchant soleil de l'île. De toute façon le regard que Mira posa sur moi me fit très vite oublié mon petit état de fatigue passager. Et puis ce sourire ! Ce sourire fatal qui avait du faire cracher plus d'un pourboire aux clients de la jolie barmaid. Même moi, sobre, je n'y étais pas insensible. En tout cas je l'avais fais rire, au moins c'était bon signe. Bon signe pourquoi par contre ? Bonne question. Je lui souris à nouveau avant de détourner mon regard le temps d'expulser ma fumé sur le côté " Héhé, l'alcool n'est pas un besoin mais un plaisir coupable, un peu comme manger du chocolat après minuit. A Boston je suis "relativement" sage, mais ici j'avoue que j'apprécie de me laisser aller" Je termine finalement mon "café" après deux longues gorgées. Ma mâchoire ce crispe légèrement, le temps que l'alcool descendent le long de ma gorge. Finalement je reprend mon sourire et poursuit " Et puis ca me permet de voir à quoi j'ai échappé en choisissant la Winthrop plutôt que la Mather... une cirrhose à 30 ans haha". Ca me paraissait plutôt un bon plan de la rassurer sur ma consommation d'alcool. Après tout derrière son comptoir elle avait du passer plus d'un pochtron. Je vais pour écraser ma clope dans le fond de mon gobelet à café quand je remarque très brièvement un tic étrange sur le visage de Mira. Cette dernière m'avait donné l'impression de vouloir parler mais au final il semblerait qu'elle c'était ravisé. Je me faisais surement des films. En tout cas elle me pausa une étrange question. Le genre de question qu'on pause quand on ne crois pas aux dires de la personne en face de soit. J'aurais compris ça si j'avais prétendue être partie en Inde, en Asie et autres destinations exotiques, mais pour un simple séjour en Alabama et quelques séjours dans le Kentucky c'était plutôt étrange comme réaction. Je décide répondre un sobre mais efficace " ouep, des destination très dépaysante, surtout Louiseville et son superbe quartier plein d'ivrognes et d'enfants battu, je me serrais cru à la maison..." Je viens tout juste de finir ma phrase quand je me rend compte de ma gaffe. Tourner en dérision ce genre de sujet m'avais toujours parus normal, après tout c'était mon quotidiens dans mon quartier à Boston. Mais devant des gens comme Mira ce genre de blague pouvait me valoir d'être affreusement dévisagé. Je décide donc d'enchainer immédiatement " Heu sinon toi ? A part la Californie, tu as voyagé ? Il parait que vous les Quincy être de sacré globe trotteur !" C'est dingue ce que j'étais fier de moi et de ma diversion ultra convaincante.



@Mira J. Hudson
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Un léger sourire aux lèvres, je ne peux m’empêcher de regarder le jeune homme à mes côtés. En le détaillant, je constate en effet que les traits de son visage ne me sont peut-être pas totalement étrangers, pourtant je suis certaine de ne jamais l’avoir croisé sur le campus d’Harvard. Je ne sais pas comment c’est possible, n’étant pas originaire de Boston à la base, et la plupart des élèves de Californie, préfère se rendre à Berkeley, qui est une université bien reconnue également, et ayant le mérite de se trouver dans un cadre idyllique, ou même encore l’université de Santa Barbara, où j’ai grandi, qui est nettement plus petite mais pour les budgets plus légers… le choix est présent, alors je ne vois pas pourquoi une personne viendrait se perdre à Boston, comme ce fut mon cas. Non je ne peux pas l’avoir rencontré au lycée. « Manger du chocolat tout court te rend coupable. » dis-je en riant avec un clin d’œil à son intention. Le chocolat est un plaisir qu’il est difficile de restreindre me concernant, même si j’ai une très grande préférence pour les bonbons. Mais je ne peux me permettre de le juger, après tout, nous sommes en vacances. Les Springs Break sont les vacances du lâcher prises, du laisser aller comme il le dit si bien. « Ah les Winthrops… oui être beau parleur valent mieux qu’être alcoolos… même si tous les Mathers ne sont pas comme ça. » dis-je en haussant les épaules, mes deux acolytes de choc étant à la Mather Bon je les ai rencontrés sur mon lieu de travail mais ce n’est qu’un détail ça. Je referme quelques instants les yeux en m réinstallant confortablement sur mon transat le regard rivé devant moi cette fois, tandis qu’il commence à parler de Louisville, d’un des quartiers où les signalements à l’aide sociale à l’enfance étaient monnaie courante. Mais ce n’est pas dans ce quartier que j’ai grandi à Louisville. Non mon quartier était beaucoup plus chic. Le genre d’endroit où les apparences sont trompeuses. Où le simple fait d’être banquier et d’avoir un sourire de star hollywoodienne vont rend appréciable, vous permettra de chasser le doute dans tous les esprits. « tu as vécu à Louisville ? » demandai-je finalement, après quelques secondes de réflexion. Louisville est une grande ville. Je n’ai pas de raison de devenir paranoïaque. Une chance sur un million pour que le jeune ne m’ait déjà croisé dans les rues de cette dernière. « Comment ça crut à la maison ? » demandai-je ensuite, ne pouvant m’empêcher de tourner mon regard vers lui. Est-ce-que lui aussi a souffert durant son enfance . De la même façon que moi ? Si ce n’est que cela ne semble pas le déranger d’en parler, contrairement à moi... « A vrai dire, je n’ai jamais quitté les États-Unis avant d’arriver à Harvard . Voyager est quelque chose que j’ai toujours voulu faire, mais je n’en ai pas vraiment eu les moyens. Je peux simplement me vanter d’avoir parcouru ce pays d’Ouest en Est en voiture. » dis-je avec un petit sourire. Le roule 66, seule, réellement libre pour la première fois de ma vie. « Mais j’ai vécu dans différents États : Le Kentucky en fait partie, ainsi que l’Ohio et la Californie donc avant de venir dans le Massachusetts. »

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