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Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman

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feat. Teresa Oman
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Teresa Nòwackòwska
NomNòwackòwska. Je t'épargne de l'écrire sur ton petit papier (bah genre tu prends pas des notes pour savoir qui je suis ?) T'as vu j'suis gentille. C'est ukrainien. Ça écorche la gorge et le palais,  ça danse sous la langue pour sortir langoureusement devant les dents, histoire de le déchiqueter d'un bon coup de canines. Prénom(s)Teresa. Comme la gentille mamie. Crois pas que je sois aussi gentille hein, c'est juste mes parents qui ont du pensé qu'un brave dieu se pencherai sur mon berceau. Loupé. Magdalena, le second. Ça aussi abrèges avec Magda. Ton crayon te remercira. Âge20 ans, mais dans deux jours 21. La majorité aux usa, on applaudit. Date de naissance 28 février 1996. Àun jour prêt, je fêtais mon anniversaire tout les quatre ans... j'aurai 5 ans quoi. Lieu de naissanceKiev la grande. À ce qu'il paraît c'est joli, mais bon, je m'en rappelle pas, j'avais 8 mois quand on est partis pour Boston.Statut amoureuxCompliqué. On s'éternisera pas là dessus, tout le monde s'en fout. (Murmures dans la salle : ah mais non, c'est le moment le plus drôle !) Non mon gars, je te ferai pas la joie de t'avouer que je suis célibataire.  Orientation sexuelleHétérosexuellement maniaque d'une personne. Ça fait peur. Classe sociale Moyenne, j'ai jamais manqué de rien mais mon compte en banque n'est pas plus rempli que ça. Études majeures Architecture. Papa maman voulaient du prestigieux. Études mineures Musique. Ce que je voulais réellement. Job vendeuse dans une librairie, un rêve de gosse. Choix de groupe #1Lowell House Choix de groupe #2 Mather House

 
LOWELL HOUSE
    J'ai toujours eu cette âme d'artiste. Mes parents ne comprennent pas que je vibre et que mes yeux pétillent devant Magritte ou Mondrian, du street art et des graffitis de Banski... Ils ne comprennent pas non plus que je puisse danser sur un rythme de jazz, de l'électro ou du classique. Ils ne voient pas où peut m'emmener le cinéma, la sculpture, la photographie, le dessin, la peinture, la musique, la poésie... Mais moi je sais juste que l'Art ça me branche. C'est ce que je veux faire plus tard, ce que je veux être. En véritable touche à tout, je sais plutôt bien manier une mine de plomb, maîtriser des couleurs avant de les balancer sur une toile, et puis je joues. De la harpe. On croirait pas, mais j'me débrouille ayant déjà enchaîné quelques concours même. Non Lowell ou rien.
   
MATHER HOUSE
    Parce Je suis assez barrée pour la maison avec mon caractère à vous faire commettre un meurtre. Parce que je suis assez anti conformiste pour essayer de les comprendre. Parce que j'aime faire la fête. Nan soyons sérieux, j'adore faire la fête. Je bois, je fume plus ou moins légalement et j'ai déjà touché aux vilains cachetons qui t'envoient loin, loin et qui te font un mal de tête à te l'arracher toi même. Ils sont gueulards, inssuportables et complètement pétés, comme toi en gros...  
APRÈS LA BOMBE.
    Trop jeune encore pour suivre les cours à l'université, j'ai eu la chance de ne pas y être. Et personne de ma connaissance y était, enfin je crois... Alors mon ressentit sur toute cette histoire, comment vous dire que... j'en ai pas ? Eh attention, je suis pas une sociopathe dénuée de tout sentiment de compassion, j'trouve ça triste et malheureux au possible ce qu'il c'est passé, les morts, la panique... J'aurai réagi de la même façon évidement. Mais ça m'atteint pas du tout, c'est tout. Je n'ai aucune famille à pleurer, aucun ami à soutenir, aucun petit frère à rassurer. Si, un truc qui me fait sortir de mes gonds : on a osé toucher à l'architecture. Bon sang, mais c'est fragile les vieilles pierres, il faut en prendre soin !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    Les agressions, ça ne me concernait pas. Là encore je n'étais pas sur le campus, et même si je suivais les actualités avec assiduité, passionnée par tout ce qui concernait Harvard de près ou de loin, je ne ressentais qu'un pauvre sentiment de compassion envers ceux qui devaient flipper à chaque instant. Pourtant, la prise d'otages, j'étais là. Au McDonald's avec ma mère, cachées sous des tables dans le noir, avec des gens hurlant et pleurant à la mort. J'étais terrifiée et un peu excédée par ma mère, mélodramatique au possible à implorer un dieu quelquonque de nous épargner, le tout en dialecte ukrainien. Bien la discression. Toujours est il que cet incident m'a laissé des séquelles,  que je considère irréversibles. J'ai peur du noir, de la foule et des contacts physiques trop forts. Facile pour se sociabiliser ça... 
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
    Harpiste de talent ayant remporté trois grands concours, deux à l'échelle nationale et un à l'échelle internationale + adore peindre à la bombe, et pas que dans les endroits autorisés + jamais sans son téléphone, connectée à longueur de journée + allergique au maquillage, elle n'en portera jamais + complètement obnubilée par les chats, elle s'est toujours dit que l'amour de sa vie était un persan. Puis c'est beaucoup simple à vivre qu'un garçon + juive + profondément attachée à sa famille même si elle ne le montre pas + déteste le chewing-gum + adore le vent, la pluie, l'orage et les éclairs + se drogue au chocolat  

 
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story of my life
Welcome to the new age
1996 - 2011 • Mazel Tov
J'ai du mal à dire que je suis ukrainienne. Pourquoi ? À vrai dire, j'en sais rien. Juste que je me sens pas comme telle. D'après mes parents, je devrais être fière de mes origines. De ce chemin qu'elles ont parcouru. En fait, je crois que j'ai du mal avec mes parents. On est pas pareils eux et moi. Ils me comprennent pas. Eux ils ont vécu là bas. À Kiev, je veux dire. Ils ont vu les révolutions et les mouvements de paix, il se sont battus pour leurs idéaux. Moi, j'ai poussé deux trois cris, donné quelqu'es coups de pieds, mangé, bu, bref, j'étais bébé quoi. Et puis on est partit. À cause de mes grands parents paternels je crois, qui n'acceptait pas la famille hétéroclite que nous formions. Une mère tout ce qu'il y a de plus orthodoxe, un père juif, ça fait pas bon ménage. Oh je sais ce que tu penses, toi là, qui ose plonger dans ma mémoire et la briser à coup de casse noix : sérieusement ? Une histoire de religion ? Mais on est au moyen âge ! Oui mon gars, on est au moyen âge. Toujours est il qu'ils ont quitté le pays. Après toutes ces batailles, ils ont été incapables de se dresser devant l'autorité parentale. Elle est belle la liberté d'expression. C'est peut être pour ça que je parle autant, que je ne me laisse jamais marcher sur les pieds. Je crois que j'ai peur de ne pas pouvoir faire ce que je veux... Mais désolée, inconnu, toi qui parcourt le tréfonds de ma pensée, je pars un peu dans tout les sens, comme les vieillards radotant. Alors, on y retourne ? Soit. On est arrivés à Boston quand j'avais huit mois, autant dire que je ne m'en souviens pas. Les photos jaunies rappellent juste un vieil appartement miteux, un chat, un nourisson brun, deux adultes tristes... on pourraient en faire une nouvelle de Poe. Tu aimes Poe inconnu ? Personnellement je l'adore. J'ai commencé à lire à cinq ans, et à cinq ans, j'ai aimé Poe. Les gens me trouvent un peu... étrange. Je vois pas pourquoi. J'ai aucun accent, pas de grosses lunettes rondes, pas de cicatrices, pas de troisième pied... « Pas de troisième pied ? C'est plutôt rassurant je trouve ! J'ai toujours pensé que les gens avec trois pieds étaient plus intelligents. Peut être parce que dès là naissance, ils apprennent l'équilibre...  »

Je relève la tête, rouge et énervée au possible. Qui trouble mon calme ? Sérieusement, même dans un parc pour gosses de la banlieu de Boston on n'est pas tranquille à quatre heures du matin ? Je me retourne, histoire de faire face à une silhouette quelquonque, bloquée par la barrière de mon banc, mais qui trouve quand même un moyen de lire par dessus mon épaule à la lumière faiblissante d'un téléphone. C'est un garçon. Grand, brun et je dans la nuit, je ne peux en dire plus. Mais je crois qu'il sourit. « Tu connais des gens avec trois pieds ? Moi j'ai toujours pensé que les gens aveugles étaient les plus intelligents. Au moins, ils ne jugent pas avant d'avoir essayé. Et arrête de lire par dessus mon épaule, c'est personnel. Va t'assoir sur la balançoire en face au pire, si tu veux qu'on discute. » Étonnamment, il m'a obéit de suite et j'ai pu voir ses yeux. Il sont fabuleux ses yeux. Grands et verts. J'ai fermé les miens pour anéantir toute forme de comparaison. J'aime pas perdre. Pourtant, quelques secondes plus tard, mes paupières subissaient une pression tandis que les deux mains de mon mystérieux interlocuteur maintenait mes iris grand ouvert. « Les ferme pas. Moi j'les aime bien. J'm'appelle Aran, et si ça peut te rassurer, j'suis pas un serial killer. » J'ai pas pu m'empêcher de rire. Lui un tueur ? Ça ne m'avait même pas effleuré l'esprit. « Teresa. Et qui te dis que je n'en suis pas une moi ? » Il s'est levé, se laissant tomber sur le banc, près de moi. Il a allumé une cigarette puis m'a tendu le paquet, l'air de dire " t'en veux une ? " et j'ai accepté. J'avais quinze ans à peine, des rêves pleins la tête, les poumons pleins de fumée et je faisais la rencontre d'Aran. Le garçon qui allait changer ma vie.

Sappé comme un prince, au moment idéal
2012 - 2013 • tout le tour du monde
« Tu es stressée ? Tu as soif ? Tu as faim ? Ma chérie, tu m'écoutes ? Teresa est ce que tu es stressée ? » Je soupire comme une ado. Oui je suis stressée maman, évidement que j'ai le trac. Ma robene ferme pas, du coup je me trouve trop grosse, du coup je suis mal dans ma peau, du coup je perds confiance en moi et si je perds confiance en moi je perds tout court. Et en cette occasion c'est juste impossible. J'ai pas fait tout ce chemin pour terminer à la dernière place. Mais je souffle un grand coup, me calme et tout sourire affirme à la folle qui me tient de mère : « Non maman je ne suis pas stressée. Je vais très bien même. Si tu pouvais te calmer et m'aider à fermer ma robe ce serait encore mieux pour mon moral, je te jure. Et je veux bien de l'eau, s'il te plaît. »  Elle me tend la bouteille d'un coup, me faisait sursauter, manquant de faire tout tomber. Dans un mélange d'ukrainien et d'anglais de vieille école, elle s'adresse à mon père, taciturne. « Michief, je sais qu'elle ment. Elle est stressée ! Oui oui chérie, je sais que tu es stressée. Michief ! Dis lui que tout les grands artistes sont stressés avant de monter sur scène. Michief ! » Le regard de mon géniteur croise le mien dans un éclat. Il est tout aussi fatigue que moi par le babillage incessant de ma mère. Pourtant avec lui pas besoin de paroles, mais un simple contact de main à main suffit à me détendre un peu. Depuis que je suis toute petite c'est comme ça. C'est lui qui m'a poussé à entrer au concervatoire, à y faire mes preuves. La fermeture remonte d'un coup, je suis prête. Enfin presque. J'attends, j'attends encore la dernière pièce du puzzle, celle qui me donnera les forces nécessaires à l'épreuve, derrière le rideau rouge. Le téléphone vibre, c'est bon. Un simple message d'Aran s'affiche " Pour moi, tu es la seule gagnante. Je t'aime. " Moi aussi je l'aime, je l'aime de tout mon petit coeur d'artiste. De harpiste. C'est l'heure.

Ma harpe est posée au beau milieu des planches de bois. Dans la pénombre en face de moi, je distingue quelques têtes chauves. Le jury. Aujourd'hui c'est la finale du Concours Classique International, une compétition regroupant les meilleurs jeunes musiciens, chanteurs lyriques et danseurs du monde. Grâce à mes victoires aux états unis, j'ai pu être sélectionnée pour venir à Paris. J'aurai aimé y aller avec Aran mais on pouvait pas, c'était trop cher. Ma robe sintille dans l'éclairage, et je m'assois doucement, l'air presque bloqué dans ma poitrine. J'inspire doucement, comme Aran me l'a apprit. Mes doigts cornés se posent sur les cordes, tendues à l'arc. Et les premières notes coulent. J'oublie tout, me laissant emportée par le courant des tangos d'Albenitz...

À ma plus grande suprise, j'ai gagné le concours, faisant mon entrée dans le grand monde de la musique classique, enregistrant un disque avec les plus grands. Je vivais comme dans un rêve. Pendant un an, je fis le tour du monde avec des artistes reconnus pour la tournée internationale. Je montais même à dos d'éléphant ! Nous ne revenions que très rapidement à Boston et j'avais à peine le temps de voler quelques baisers à Aran. Mais, en juin 2013, tout fut terminé. Brusque retour à la presque normale, revenue à Boston auréolée de tout ma jeune gloire, personnellement je ne rêvais que d'une chose : revoir Aran pour la nuit entière.  

Death inside my head
2014 – 2017 • j'sais plus qui j'suis
Il n'est jamais venu. Et il ne viendra jamais plus. Un bus. Un bus en a décidé autrement. Un bus a bousillé ce qui devait être ma première nuit d'amour. Un bus a emporté dans sa chute mon âme tout entière. Un bus en glissant sur le bitume détrempé a fait dérapé ma vie. Il aurait dû vivre plus que moi, faire de grandes choses et terminer centenaire. On était censé passer notre vie ensemble, voyager, plonger dans les océans, parce qu'il avait toujours rêvé de voir la grande barrière de corail. Mais il est mort et moi avec. Le journal dit que le bus est tombé dans un ravin à cause de la pluie torentielle de ce soir là. Qu'il avait prit feu, que tout les passagers avaient péri. Les mots imprimés noir sur blanc n'ont aucun sens. Aran va venir, dans un instant il toquer à la porte et vous vous enfuirez pour un monde meilleur. Ça fait trois jours que je l'attend. Ma mère pleure de me voir pleurer. Elle refuse que j'aille à la cérémonie organisée par la ville. De toute façon, je crois que je n'en aurai pas le courage. Sans lui je suis quoi ? Je suis si faible. Il était la face lumineuse du miroir, celle qui te renvoyait ton image en pleine face pour te décider à changer tes imperfections. Moi j'étais là face sombre qui te balançait tes quatres vérités à la figure sans autre forme de délicatesse, l'inaccessible qui avait prit la grosse tête après sa victoire. Après ça, je me suis transformée en épave. J'ai arrêté la harpe, mon niveau s'est dégradé, j'ai quitté le circuit international. Une véritable descente aux enfers digne des pires clichés. J'ai commencé à boire, à sortir plus que de raison, à consommer des trucs pas toujours franchement licites, je graffais dans les rues de Boston... Au début, mes parents laissaient passer, préférant les moments où j'étais complètement amorphe, prostrée sur mon lit à ne rien faire d'autre que pleurer sur ma vie minable, aux moments ou j'étais une véritable excitée, frôlant le danger, frôlant la mort, pour essayer un peu à chaque fois, de rejoindre Aran...

C'est mon père qui a décidé de m'amener au cimetière. Un jour de gros chagrin, comme ne cessait de répéter ma mère. D'après, elle j'arrivais pas à faire mon deuil, d'après moi, je voulais juste pas faire mon deuil. Le tombe blanche, immaculée de toute expression exceptée son nom entier. Des fleurs partout, volaient dans la tempête. Il avait toujours adoré le vent, et j'avais toujours adoré qu'il adore ça. Mon père m'a laissé, et je me suis assise sur le gravier mouillé. Je sas pas pourquoi j'ai parlé à cette pierre tombale. A travers elle, je parlais à mon unique amour sûrement. « Aran... J'arrive pas. J'arrive pas à t'oublier, j'y arrive plus sans toi. Tu me manques et tu me manquera à jamais je suppose. Tu te souviens des mémoires que j'écrivais quand on étais gosses ? J'les ai terminé. J'ai écrit un immense chapitre sur nous. » Bloquée, je ne sais plus quoi dire. Ses yeux, ses yeux m'inspiraient toujours, et désormais je n'avais plus ma source. « Je sais que de là où tu es, tu me dis de me relever, de continuer. De reprendre la musique peut être ? De faire des études, de pas gâcher ma vie. Je t'entends. Mais ça n'aurait pas la même saveur sans toi, tu comprends ? À ton avis, qu'est ce que je dois faire ? » J'ai attendu, comme dans ces films débiles. Un arc en ciel, une biche, un stroumph, c'que tu voulais. Il n'y a rien eu. «MAIS RÉPOND BORDEL ! » Je ne me souviens pas de la suite. Mon père dit qu'il m'a trouvée, effondrée, la peau écorchée par les cailloux, morte de fatigue et de tristesse. J'ai chopé la grippe ce jour là.  

Way down we go
2017 • Les hautes lumières
Je sais pas comment j'ai fait pour remonter la pente. Si tant est que remonter soit le bon mot. M'aclimater, m'habituer, résister, oui, mais remonter, non. Ma mère affirme que c'est grâce au psy et au rabbin. Surtout au rabbin. Mais oui c'est clair. Aucun de ces deux hommes ne m'a aidé. Prescrire des pilules et des prières ça ne marche pas, que j'vous prévienne au cas ou. Enfin soit, autant le dire : je suis acceptée à Harvard. En cursus d'architecture. Je sais que c'est grâce à mon oncle, le frère jumeau de mon père, ancien élève et ancien major de promo, un vrai génie. Je suis sûre qu'ils rêveraient tous que j'intègre Dunster ou Eliot, peut être même Cabot, mais je ne vise que Lowell. Je sais pas pourquoi mais je ne peux m'empêcher de penser au destin. J'y ai jamais cru réellement mais pourquoi pas. Aran m'accompagne dans cette aventure, je le sais. Bon dieu que ça fait niais dit comme ça. J'ai peur de ne pas savoir où aller, comment me comporter. J'suis normale, faut pas croire, mais... J'ai repris la harpe aussi. Un vrai désastre, on dirait une débutante. Débutante, c'est ce que je suis au fond. Tout reprendre à zéro, c'est ce qu'il aurait voulu. Alors ok, un... deux.... trois... j'y retourne.  

       
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Bienvenue parmi nous  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 3850463188
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Bienvenue chez toiiiii !!  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 1946740601 :oriane:  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 1881567943
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Teresa  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 4205929361  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 4205929361 cette fille est tellement magnifique hanwii
J'aime bien ton pseudo, même si le nom de famille est un peu incompréhensible à prononcer  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 1881463262
En tout cas, elle a l'air d'avoir un sacré caractère 🇧🇬

welcome sur ILH et bon courage pour ta fichette Vic
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Bienvenue parmi nous hanwii
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bienvenue have fun  Teresa Nòwackòwska ► Teresa Oman 2109348208
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