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"prout" eugénie, 4 ans et demi - (wilhël)

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pouet prout, pipi caca — Donc, Alexander était introuvable ce qui avait le don de me mettre hors de moi puisqu’en bonne paranoïaque que j’étais, j’avais le don de me faire tout un tas de film dans ma tête. Et disons qu’aucune des images pouvant se dérouler dans mon esprit n’était dans la catégorie positive. Possessive ? Peut-être un peu trop. Mais je détestais ne pas savoir où il était, ce qu’il faisait et à quel moment. Fallait dire aussi que les antécédents de notre relation ne m’aidait pas réellement à être sereine vu les trahisons et les mensonges qui avaient rythmés notre quotidien mais.. Fallait vraiment que j’apprenne à me détendre, rien qu’un peu. Alors plutôt que lui envoyer un énième message me faisant passer pour une harceleuse, je glissais mon téléphone dans la poche arrière de mon jean préférant trouver n’importe quoi pour me divertir. Donc ouais, concrètement, je faisais des efforts. Pénétrant dans la salle commune de la Mather House, j’apercevais Wilhelm assis sur l’un des fauteuils l’air.. Ailleurs ? Arquant un sourcil, je venais prendre place sur l’accoudoir esquissant un léger sourire. « Toi, t’as la tête de quelqu’un qui a besoin de parler. » Et moi, je suis là pour t’écouter. Alors vas y, ne te gêne pas. Tu sais qu’avec moi y a pas besoin de faire dans la demi-mesure. Bien loin de là même.

@Wilhelm Von Rosenwald
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Mélancolique. Voilà comment Wilhelm se sentait ces derniers temps. Bien évidemment, cette phase arrivait juste après une phase maniaque ce qui le rendait un peu plus fou aux yeux de tout le monde. Il n'était pas facile pour le mather d'avancer en étant pleinement lui-même. Il avait beau prendre son traitement, il y avait des moments où il avait plus de mal à suivre, des moments où tout lui semblait possible, voir un peu trop possible et à l'inverse comme ces derniers temps où tout lui semblait noir. Tout cela à cause d'une discussion avec son père, le grand tyran de sa vie. Ce dernier voulait que Wilh rejoigne l'équipe de natation afin d'excellent dans plusieurs domaines. Bien sûr, le jeune homme ne voulait pas. Il détestait l'eau, les piscines et la natation. Il détestait ça car dès son plus jeune âge, il avait été forcé à la limite du traumatisme et depuis ce jour, il avait une réelle aversion pour cette discipline. Et dire que le brun avait pensé qu'en quittant l'Allemagne pour les USA il allait serait tranquille, il avait tout faux. Rien ne pouvait arrêter Von Rosenwald et la faible santé de Wilhelm était bien souvent mise à l'épreuve, le faisant passer une fois de plus pour un faible. Son portable ne faisait que vibrer depuis quelques heures déjà, car la seule personne s'inquiétant réellement pour lui - sa mère - avait entendu dire qu'il ne se sentait pas bien et à chaque fois que son fils se trouvait dans une phase dépressive, elle avait toujours peur que le mather pousse la chose à l'extrême - le suicide. C'était une mère, il ne pouvait pas lui en vouloir. Mais il n'avait pas non plus envie de décrocher son portable à tout bout de champs, alors il l'avait simplement passé en silencieux, glissé au fond de sa poche. Et que faisait le jeune homme ? Il était assis dans un fauteuil à déprimer, attendant simplement que le temps passe. « Toi, t’as la tête de quelqu’un qui a besoin de parler. » Il ne l'avait même pas vu venir Azraël. « Hum ? » qu'il demandait en relevant à peine la tête bougeant légèrement alors qu'elle prenait place sur l'accoudoir de son fauteuil.
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pouet prout, pipi caca — Tu peux balancer tout ce que tu veux, tout ce que tu retiens au fond de toi. Même si ça engendre le fait de me dire que ça ne me regarde pas et que je devrais apprendre à me mêler de mon propre derrière. Je m’en fiche tant que tu te décharges un peu. Parce que vraiment, j’ai de l’affection pour toi. Tu comptes, c’est juste comme ça. T’es mon amie et je veux ton bien alors te voir comme ça, quasi mélancolique, ça ne m’enchante pas. Je me doute que peut-être, tu voudrais en parler à n’importe qui mais pas à moi. Au fond, t’as le droit de le faire. Mais si jamais rien qu’une seconde tu ressens le besoin de te livrer à ma personne, je suis là. Je ne ferais pas spécialement de commentaire mais j’écouterais du début à la fin et probablement que par la suite, je t’entraînerais chez le vieux disquaire du point pour flâner entre les pochettes des vieux albums avant de finalement aller boire un coup avec toi dans l’un des bars abandonnés qui trône sur la septième. Sauf que t’as pas l’air là, t’as pas l’air de faire attention à ma présence et ne la remarque qu’à la dernière seconde comme si je venais vraiment de te tirer de ton flot de pensée. Et je sais que t’es de mauvaise humeur, ça se voit dans ta posture et tes réactions mais puisque tu te décales pour me laisser de la place, j’en conclus que je ne te dérange pas non plus plus que ça. Je lève les yeux au ciel et passe ma main dans tes cheveux, mauvaise habitude que je traîne d’Alex avant d’essayer de capter ton regard. « Je disais que t’avais l’air d’avoir besoin de parler. » Sauf que vu tes réactions, je suis pas certaine que tu sois vraiment dans le mood de le faire après réflexion. « Mais on peut aussi juste aller faire un tour si tu veux juste te changer les idées. » De toute manière, je ne t’ai jamais forcé à rien, c’est pas aujourd’hui que je vais commencer.
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En réalité, si Wilhelm n'était pas de bonne humeur, ce n'était pas la peine de chercher plus loin. Il était comme ça, c'était sa nature et rien n'y personne ne pourrait le changer. Sauf peut-être son traitement et les personnes du cercle médical qui le suivent. Vous voyez le genre ? Il était irrécupérable dans ce genre de moment et malheureusement, Azraël ne pourra pas jouer les héroïnes et réussir à le faire changer d'avis. « Je disais que t’avais l’air d’avoir besoin de parler. » En réalité, il avait bien compris ce qu'elle avait dit. Il n'avait juste pas envie de parler. C'est pourquoi il avait simplement marmonné, la faisant répéter sans le vouloir. La petite brune venait repousser les cheveux de la tête de mule en arrière, le faisant reculer doucement en fronçant les sourcils. Il n'était définitivement pas baisant aujourd'hui et malheureusement, le visage d'ange de la belle qui était en train de s'asseoir à ses côtés n'allait rien pouvoir y changer. « Mais on peut aussi juste aller faire un tour si tu veux juste te changer les idées. » - « Faire quoi ? » demanda t-il sèchement en la regardant soudainement. Pourquoi est-ce qu'elle était là d'abord ? Elle avait pitié de le voir comme ça ? Parce qu'il allait survivre hein, ce n'était pas la première fois et ça n'allait pas être la dernière non plus.
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pouet prout, pipi caca — Donc en fait, on peut faire ce que tu veux. Sortir, rester à traîner là, aller boire des verres où juste se coucher sur le perron et admirer le ciel. Moi, tout me vas au fond. Je n’aime juste pas te voir comme ça. Peut-être parce qu’au fond, je me préoccupe un peu trop de toi. Mais quand j’aime, ce n’est pas à moitié, ça a toujours fonctionné comme ça. Disons que chez moi, il n’y a pas de double nuance. C’est ou je donne tout ou je ne donne rien. Et là, en l’occurrence, je donne tout. Et je vois à ta tête que t’as pas envie. Probablement même que je t’agace bien plus que de raison mais toi, tu me connais assez pour savoir que je ne vais pas abandonner si facilement. Tu peux bien faire ta tête de con que ça ne va pas me faire fuir. N’oublions pas que je suis mariée à Alexander et qu’il est probablement la plus grande tête de con que j’ai pu rencontrer en ce monde. Alors non, ça ne m’effraie pas ta mine renfrognée et les pseudos éclairs qu’il me semble décerner dans tes yeux. « Ce que tu veux, t’as besoin de quoi ? » Oh crois pas que je n’entends pas la sécheresse dans ta voix. Probablement même que tu vas m’envoyer chier mais je ne renonce pas. Un léger soupir, je m’humidifie les lèvres avant de plonger mon regard dans le tien. « T’as même le droit de m’hurler dessus, t’as l’air d’en avoir foutrement envie. » Et même si je ne t’ai rien fais à proprement parler, vas-y, lâche toi. « Mais je vais pas bouger d’ici. » Même si t’as l’air d’en avoir foutrement envie.
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Elle ne comprenait donc pas qu'elle dérangeait ? Parce qu'il était sacrement de mauvaise humeur de mather et il n'avait envie de rien faire avec personne. C'était pour cela qu'il était dans la pièce de vie en fait. Il se disait qu'à cette heure, il serait tranquille, qu'il n'y aurait personne. Dans sa chambre étudiante, il avait avec lui deux colocataires et plus ça allait, plus il songeait à se trouver un appartement en ville. Il la laissait s'installer pour ne pas paraître plus désagréable qu'il ne l'était déjà. « Ce que tu veux, t’as besoin de quoi ? » Il ne préférait pas répondre pour ne pas devenir méchant. Il la regardait quelques seconde, le temps que lui faire un regard noir et le temps aussi pour elle de se remettre à parler. « T’as même le droit de m’hurler dessus, t’as l’air d’en avoir foutrement envie. » Nop, il ne valait mieux pas. Wilhelm quand il pétait les plombs il était digne d'un mec à interner alors il ne valait mieux pas qu'il s'énerve sur la petite brune. Il n'en ferait qu'une bouchée. « Mais je vais pas bouger d’ici. » - « Tu es horriblement chiante. Je veux juste qu'on me laisse tranquille... » souffla-t-il dans un long soupir. Il voulait simplement ne plus entendre sa petite voix. Il venait passer sa main sur son visage avant de se relever rapidement faisant en sorte qu'Azraël tombe à la renverse dans le siège où il se trouvait. C'était le moment pour lui de partir avec des grandes enjambées vers l’extérieur, mettant sa veste en deux temps trois mouvements. Il allait peut-être réussir à la semer ou peut-être qu'elle allait se rendre contre qu'elle était agaçante.
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pouet prout, pipi caca — Je ne comprends pas en fait. Je veux dire, t’es super désagréable pour le coup et forcément, c’est pas super plaisant. Mais.. J’ai pas envie d’abandonner parce que je crois au fond de moi que t’as trop l’habitude de ce schéma. Tu vas mal et les gens autour de toi ne font pas attention, ne s’attarde pas sur ta personne, te laisse tomber. Je ne compte pas te laisser tomber, c’est mort. Alors même si tu m’envoie chier avec puissance, je vais insister. Tant pis si tu te mets à m’hurler dessus sans t’arrêter. « Je suis chiante mais tu m’aimes quand même. » Du moins, je me plais à le dire. Puis au fond, je suis certaine que tu ne me trouves pas aussi insupportable que ça. Faudrait juste que t’apprennes peut-être à t’ouvrir un peu plus. Que t’arrêtes de repousser ceux qui sont autour de toi. Et d’un coup, il quittait le canapé. Moi, je glissais m’enfonçant un peu trop dans les coussins pendant que lui préférait prendre la fuite. Génial. Le suivre ou pas ? Tel était la question. Je poussais un soupir me redressant finalement, partant à sa poursuite. Et peut-être que ça me donnait quelques tendances psychopathe de faire un truc pareil mais je m’en foutais. Passant à mon tour les portes de la mather house. « La politesse c’est quand quelqu’un te tends la main, tu ne l’envoie pas chier. » Je suis peut-être insupportable à te courir derrière avec ma voix de crécelle mais faudrait que t’arrêtes de m’envoyer balader quand j’essaie juste d’être sympa avec toi quoi. « Je te demande pas de me raconter ta vie si t’en as pas envie, je voulais juste te changer les idées. » Et jusqu’à preuve du contraire, ce n’était pas une mauvaise intention.
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« Je suis chiante mais tu m’aimes quand même. » Est-ce qu'il l'aimait ? Elle était gonflante quand même alors c'était vraiment délicat de répondre à cette question à ce moment précis. Wilhelm était de mauvaise humeur et n'avait aucune envie qu'on vienne lui tirer les vers du nez. Il voulait simplement être tranquille, juste qu'on l'oublie pendant un moment. Le mather se leva d'un bon, laissant tomber la jeune femme sous tous les aspects, à la fois dans le fauteuil, mais aussi en prenant la fuite vers l’extérieur. Prendre l'air, ça allait lui faire un bien fou. Evidemment, il ne fallait pas très longtemps au minimoys pour courir après lui et le rattraper. « La politesse c’est quand quelqu’un te tends la main, tu ne l’envoie pas chier. » Il s'arrêta aussitôt pour lui faire face, le regard mauvais. « La politesse c'est quand quelqu'un veut être tranquille, on ne vient pas s'acharner sur lui » Sérieusement... Ce n'était pas elle qui allait lui faire la moral. « Je te demande pas de me raconter ta vie si t’en as pas envie, je voulais juste te changer les idées. » - « Je. n'ai. pas. envie. » s'exclamait-il en détachant chaque mot. Il aimait pas la façon dont elle le faisait passer pour un dépressif qui avait besoin des autres. Au fond, c'était elle qui avait besoin de ça.
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pouet prout, pipi caca — Enfin je sais pas, t’as pas besoin de te montrer aussi désagréable avec moi. Je t’ai rien fait de mal, c’est même tout le contraire à vrai dire. Du coup forcément, j’apprécie pas tellement ta manière de te comporter parce qu’au fond, tu pourrais être un minimum aimable. C’est avec ce genre de comportement qu’on finit par se retrouver seul et crois-moi, je suis bien placée pour en parler. M’enfin, de toute manière, y a un moment où je vais arrêter d’insister parce que je ne suis clairement pas le genre de fille à courir derrière les gens et encore moins pour me faire envoyer chier comme de la merde derrière. J’ai des limites quoi. « Excuse-moi de me soucier de toi. » Je ne savais pas encore que c’était quelque chose de mauvais ou de répréhensible en fait. Mais t’inquiète, le message est passée. « Ok, c’est bon j’ai compris ! » Reste tout seul, démerde toi. Bien-sûr que je suis vexée parce que forcément, je t’aime bien et je comprends pas pourquoi tu me repousse comme ça. Mais j’vais pas forcer plus, je ne suis pas sado au point d’aimer me faire envoyer sur les roses toutes les deux secondes. Je levais les mains en signe d’abandon reculant de quelques pas. « Fais comme si j’étais jamais venue me préoccuper de toi. » Ouais voilà, fait ça. De toute façon, je ne suis plus à ça près venant de toi. Mais y a un moment où faudra sérieusement que t'apprennes à te remettre en question en fait.
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Il n'était pas d'humeur et quand Wilhelm était comme ça, valait mieux le laisser tranquille. Il pouvait rapidement péter un plomb pour être franc. Il n'aimait pas qu'on s’inquiète pour lui, surtout s'il n'avait rien demandé à personne. Et cette fois-ci, c'était Azraël qui avait décidé de lui casser les couilles en le forçant à parler alors que très clairement, il était bien mieux quand il était tout seul. « Excuse-moi de me soucier de toi ». Il lâcha un long soupir avant de la regarder d'un regard noir. « Je ne t'ai rien demandé Azraël ». Il n'avait jamais demandé à ce qu'on se soucis de lui et ça ne risquait pas de changer maintenant. Il voulait être seul et s'il le fallait, il allait l'envoyer chier pour. Ouais, parce que quand il était de mauvaise humeur le mather, il n'y avait plus de filtre quand il parlait. « Ok, c’est bon j’ai compris ! » - « Dieu merci » s'exclama-t-il avec sarcasme. Enfin elle avait donc compris. Elle allait donc partir ? Non, bien sûr que non. « Fais comme si j’étais jamais venue me préoccuper de toi. » - « Pas de soucis » s'exclama-t-il une dernière fois avant de se remettre en marche sans se retourner. Quelle journée de merde sérieusement.
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