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i'm back. that pleases you, hem? (edelweiss)

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I'M BACK. THAT PLEASES YOU, HEM ?
maxeïs :heaart:

« Si je le faisais Edelweiss, j'aurais craqué immédiatement et je serai revenu vers toi. Ce n'était même pas envisageable ! » Dans le sens où tu devais impérativement te faire opérer si tu ne voulais pas te laisser mourir à petit feu. Puis quand tu lui as dit qu'elle n'était pas la seule dans l'histoire. Tu parlais bien évidemment de toi. Dans ta tête il avait eue qu'Edelweiss après ta rupture officielle avec Kaya. Tu voulais clairement qu'elle continue de vivre, qu'elle puisse profiter de sa jeunesse, de sa joie de vivre. Tu ne pouvais pas lui demander de t'attendre. Ce n'était même pas pensable pour toi. Tu ne pouvais pas lui demander de faire des concessions dans sa vie pour toi. Finalement, tu viens à lui avouer la vérité. La vérité sur ton départ. C'était en cause de ta maladie. De ta putain de tumeur au cerveau. Celle qui a ruiné ta vie pendant quatre longs mois interminable. « Je ne pouvais pas te demander de faire des concessions pour un homme qui était en train de mourir Edelweiss. Mets-toi à ma place cinq petites minutes. Je ne voulais pas que tu me vois faible ... » Ce n'était pas un drame quand même ! Tu l'as épargné de toute cette souffrance et, maintenant elle te fait culpabiliser. Pourquoi ? Puisque tu as préféré lui laisser vivre sa vie au lieu d'être au petit soin pour un homme malade. Tu étais tellement énervé, que tu venais d'exploser le miroir d'un coup de poing. Les débris se retrouvent sur le sol de la chambre d'Edelweiss. Tu laissais la jeune femme dans un état pitoyable avant de partir de la chambre en furie avec la main en sang ... la blessure était bien plus grave que prévu. Mais, tu t'en fichais un peu tellement la colère grandissait en toi. « Quoi ? » Dis-tu énervé ... Elle avait les larmes aux yeux et elle te suppliait de rester. À quoi bon ? Tu n'étais qu'un connard qui ne pense qu'à sa gueule. « Tu peux rien faire pour ça ... » Répliques-tu en regardant la blessure. Pourtant, elle continue de te supplier ! Tu finis par céder et tu retournes dans la chambre d'Edelweiss. Une fois la porte refermée, tu viens à t'asseoir sur le lit de la jeune femme pendant qu'elle récupérait sa trousse de secours. Tu lui tends la main pour qu'elle puisse panser ta blessure. « Pourquoi tu t'excuses ? » Ce n'était pas à Edelweiss de s'excuser mais, bien à toi. Il y a certaines choses que t'aimerais dire à la jeune femme mais, ta fierté est bien trop grande pour te le permettre.
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Maxeïs ♥

« Moi j’avais envie de ça, je n’attendais que toi. » Ta voix s’étrangle et des larmes roulent sur tes joues. Tu aurais préféré qu’il te prévienne, tu es prise d’une soudaine angoisse : et s’il avait disparu sans que tu ne t’en rends compte ? Comment aurais-tu appris son décès ? Est-ce qu’au moins quelqu’un t’aurait mis au courant un jour ? Tu te mets à frissonner, un monde sans lui n’est pas un monde, du moins pas l’image que tu te fais du tien. « Et je te le répète : je voulais être là pour toi, faible ou non, si tu étais parti définitivement je… je n’aurais pas pu m’en remettre. » Tu baisses la tête, tu sens un poids s’enlever de ton cœur. Tu réalises que tu l’aimes encore comme au premier jour. Concrètement, il ne s’est jamais réellement rien passé entre vous, ce ne sont que des bribes d’histoire qui ont vu le jour. Des caresses, des baisers, rien de plus, rien de concret et absolument pas une relation et pourtant ton cœur bat d’un mouvement intensif dès qu’il est près de toi. Tout à coup, tout s’enchaine, ton miroir explose, du sang tâche ton mur ainsi que tes meubles et ton sol et tu te lèves, presque implorante. Tu plaques les mains contre ton cœur et tu sursautes, tu n’es pas habituée à tant de colère chez lui, surtout envers toi. Tu t’immobilises un instant, tu as peur de la situation, peur de lui sans pour autant savoir pourquoi. Tu décides de fermer les yeux et de t’approcher de lui, après avoir pris une grande respiration. C’est égoïste de ta part, mais tu ne souhaites pas qu’il parte, tu veux tout tenter pour le soigner et le garder auprès de toi. Tu le supplies donc de rester puis tu le fais asseoir sur ton lit pendant que tu pars chercher ta trousse de secours. Tu t’assois alors près de lui et tu t’excuses avant de te confondre dans un silence pesant. Tu souffles tout en te pinçant les lèvres, tu ne sais pas pourquoi tu es désolée, tu sais que tu ressens ce sentiment, c’est tout. Tu es tout simplement confuse par son retour. Tu regardes alors sa blessure pour éviter son regard, tu verses du désinfectant dessus, tu vérifies qu’il n’y a pas de verre incrusté, tu nettoies à nouveau la plaie et tu sors des bandages. « Je suis désolée de réagir comme ça, de te mettre hors de toi. C’est juste que ton départ m’a fait beaucoup de mal, parce que tu m’as manqué et que je pensais débuter quelque chose avec toi. Depuis… il s’est passé des choses, des choses que j’ai du mal à affronter et j’ai l’impression de perdre pied… »
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maxeïs :heaart:

« Je ne pouvais pas ... pas dans l'état où je me trouvais. » J'étais tellement minable, que je n'avais pas envie de voir quiconque. Ni même qu'on est pitié de mon état de santé. Je n'avais pas envie qu'on me voie être faible face à cette maladie qui m'a rendu tellement mal. Puis si elle voulait vraiment de mes nouvelles, elle pouvait très bien m'envoyer des messages aussi. Je ne suis pas le seul fautif dans l'histoire, non plus. Il faut mettre un terme à tout cela au bout d'un moment. « Tu ne veux pas te mettre à ma place deux secondes? » La discussion tourne en rond. Ça commence vraiment à m'énerver tout ça. J'ai beau lui expliquer les choses, elle ne veut pas l'entendre. Elle n'est pas la seule que j'ai laissé à Harvard lors de mon départ. J'ai laissé ma meilleure amie, la personne qui était la plus importante pour moi. Pourtant, elle ne m'a pas fait une crise comme celle qu'Edelweiss est en train de me faire. Je ne comprends pas sa réaction. J'étais tellement énervé que je viens à briser le miroir de la jeune femme en mille morceaux, j'ai la main ensanglantée. La blessure était plus profonde que je l'avais imaginé. J'étais parti après lui avoir dit que c'était une connerie d'être venu la voir. Pourtant, elle vient à me rattraper pour me dire qu'elle voulait me soigner. Je n'ai pas eu le temps de décliné l'offre qu'elle vient à m'attraper l'autre bras pour me tirer jusqu'à sa chambre. Je pénètre une nouvelle fois dans la chambre pour m'asseoir sur son lit en attendant qu'elle arrive avec sa trousse de secours. Quand elle vient à verser du désinfectant, je viens à grimacer légèrement tout en regardant la blessure qui n'arrêtait pas de saigner. « Tu ne penses pas que j'aie eu mal de vous laisser en plan comme ça ? J'ai eu mal au cœur de devoir parti aussi brutalement. J'aurais aimé vous prévenir mais, je n'avais plus le temps. Je suis désolé si mon départ a fait basculer ta vie dans le mauvais sens. Ce n'était pas ce que je désirais, réellement. »
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Maxeïs ♥

« D’accord… » Tu peux le comprendre, tu ignores dans quel état il était, après tout ce n’est pas rien ce qui lui est arrivé. Mais tu ne demandais pas grand-chose, juste un petit mot pendant son départ, même si celui-ci n’expliquait rien ce qui se passait dans sa vie, juste un petit au revoir. Mais visiblement il ne comprend pas ta façon de voir alors tu préfères abandonner parce que tout ceci ne vous mènera à rien. Tu plantes ton regard dans le sien une bonne fois pour toutes. « Et toi dans la mienne. » Comment contacter un homme après qu’il soit parti sans même un simple au revoir ? Ni même un message ? Tu souffles longuement. Tu ne veux pas qu’il réponde, au contraire, tu veux que cette discussion se termine, très rapidement. Tu n’as pas été agressive ni lascive, au contraire, ta voix est fatiguée, tu abandonnes et tu lui fais comprendre pour qu’il n’envenime pas plus les choses. Il explose pourtant ton miroir et tout bascule. Tu as envie de fuir, de le voir partir et pourtant tu prends sur toi et tu préfères lui adresser les premiers secours. Tu gardes un long silence alors qu’il grimace sous l’effet du désinfectant. Tu es dans tes pensées, tu es tellement loin que tu oublies d’écouter le début de sa phrase et pourtant, le reste te fait mal. Alors que tu termines ton bandage, tu relèves tes yeux pleins de larmes vers lui pendant que des perles coulent déjà sur ton visage. « Je ne t’en veux pas pour ça. Tu avais tes raisons et je ne peux pas t’en vouloir voir la gravité. Mais je m’en veux à moi-même, je m’en veux de m’être laissée happer par la destruction et la tristesse à cause de ton départ. Tu m’as manqué et dans la souffrance j’ai fait des conneries absurdes, c’est pour ça que je n’arrive plus à me regarder en face. Et te regarder toi… c’est comme si je me regardais directement, mais en pire car je vois le regard que tu me portes en ce moment même. »
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maxeïs :heaart:

Dans sa façon de te répondre, ce n'était pas la voix que tu connais. Ce n'est pas la voix de ce bout de femme quelques peu innocente et douce. Tu l'as reconnait clairement pas. Il faut dire aussi que cette femme qui se tient devant toi, tu ne sais pas comment la prendre. Tu n'arrives pas à la cerné, ni même à l'apprécier. Elle a totalement changé en quatre mois, cela t'attriste grandement. « On n'arrivera jamais à se mettre d'accord. » Il est évident qu'on ne sera jamais sur la même longueur d'onde. Elle te reproche des choses comme tu peux lui en reprocher. Tu étais tellement énervé par cette discussion sans fin, tu viens à exploser le miroir avant de t'enfuir de la chambre encore une fois. Pourtant, elle vient à te rattraper aussitôt pour calmer les choses. Peut-être. Tu t'assois sur le lit après que t'es retourné dans sa chambre. Tu ne parlais pas. Tu ne préférais rien dire pour éviter d'envenimer les choses. La tension entre vous était déjà à son paroxysme. Il ne fallait pas en rajouter. Tu la laisses finir ton bandage tout en serrant légèrement les dents. Puisque de toute évidence, la douleur était présente. « De mon côté, je suis désolé d'être parti sans t'avoir laissé une lettre qui t'expliquait mes raisons. Je m'en rends compte aujourd'hui. Vaut mieux tard que jamais, n'est-ce pas ? » Dis-tu à l'encontre d'Edelweiss en lui caressant la joue. « De quel regard tu parles ? » Puisque tu regardes Edelweiss de la même manière que tu pouvais la regarder il y a quatre mois.
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Maxeïs ♥

« Non… » C’est tout ce que tu peux répondre. Ta voix se brise et tu sais pourquoi. Au fond le problème n’est pas là, il ne s’agit pas de toi et Maxence mais bien de toi. Tu n’es plus la même qu’il y a quatre mois. Après ton viol, tu pensais ne pas pouvoir tomber encore plus bas et bien tu te trompais. Aujourd’hui tu n’es plus brisée… c’est encore pire que ça, tu as l’impression de ne plus exister, de ne plus avoir le droit de faire partie de ce monde. Le peu d’amour-propre dont’il te restait n’existe plus, tout a disparu, tout n’est que ténèbres et ce à causer d'Enzo. Tu regardes ailleurs, affronter le regard de Maxence devient bien trop dur pour toi car tu sais qu’il ne comprend pas ce qui se passe et tu ne peux pas lui en vouloir. Tu as envie de hurler, de frapper tout ce qui bouge, de pleurer jusqu’à ce que tu te sentes flétrir comme une fleur dénuée de toute vie. Tu t’exécutes alors pour tenter de le soigner mais tu es une piètre infirmière. Tu souffles longuement, tu fermes les yeux puis tu avales lentement ta salive. « Je suis désolée moi aussi, réagir comme ça, ce n’est pas la bonne chose à faire. J’aimerais tellement que l’on fasse table rase de tout ça, qu’on oublie tout… » Tout oublier, tu aimerais tellement. Tu as tellement envie d’oublier ce qui te terrorise dès que tu fermes les yeux. Rien que d’y penser, tu as des frissons partout dans le corps et tu as envie de pleurer. Tu termines alors le bandage de Maxence puis tu relèves la tête, tu es une petite fuyarde. « Rien, tu devrais oublier ça, tu ne comprendrais pas, ce sont des bêtises. Tu devrais plutôt aller te faire soigner, je ne suis pas très douée pour ça visiblement. » Des bêtises qui peuvent pourtant t’enfermer à tout jamais, te faire perdre la vie même…
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