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Amy Reeves
Nom ReevesPrénom(s) AmyÂge 18 ansDate de naissance 22 avril 1998Lieu de naissance New YorkStatut amoureux célibataireOrientation sexuelle hétérosexuelleClasse sociale Aisée mais sans plusÉtudes majeures HistoireÉtudes mineures Art PlastiqueJob écrire ici (facultatif)Choix de groupe #1 Lowell HouseChoix de groupe #2 Cabot House
GROUPE 1.
Je crois qu'on s'est tous posé cette question un jour, en quoi suis-je doué? Certains n'ont pas eu à se le demander longtemps d'autres ne le seront jamais. Mourir sans jamais savoir quel est votre talent.. C'est triste tout de même. Moi je fais partie d'une catégorie intermédiaire, mon talent je l'ai cherché, j'ai essayé une multitude de choses, toutes différentes de puis mes dix ans. Danse classique, gymnastique, théâtre, mathématiques.. Et encore beaucoup de matières que je ne pourrais pas citer. Et quand j'ai cru que je mourrais moi aussi sans jamais savoir mon utilité sur cette planète j'ai finalement trouvé mon refuge. Souvent notre talent est juste devant notre nez mais nous voulons toujours regarder plus loin, nous visons toujours plus haut, trop haut. C'est quand j'ai recommencé à dessiner sur un coup de tête que tout m'est apparu clairement, je n'avais peut-être pas qu'un seul talent. C'est bête de se dire qu'une personne ne peut contenir qu'un don, est-ce qu'un don ne peut pas s'apprendre par le travail? Si la passion et la motivation sont présentes il n'y aucunes raisons d'avoir des limites, on commence tous un jour et on se dit qu'on est clairement pas fait pour ça mais si on persévère on finit par faire quelque chose de mieux, on s'améliore pas à pas et puis on oublie le résultat, il finit par nous importer peu car la passion est là. C'est ce que je ressens quand je dessine, chante ou écris, je ne vois plus mon objectif des yeux, tout s'efface autour de moi et j'ai l'impression d'être seule au monde, la dernière humaine sur terre. Et à chaque œuvre que je créais, une partie de moi s'échappe pour y rester jamais, je ne suis plus la même ensuite, je comprends des choses sur moi-même, des choses que j'avais du mal à comprendre ou que je ne connaissais pas, c'est ça que je ressens quand je côtoie l'Art.
Je mentirais si je disais que petite j'adorais aller dans les musées avec mes parents. Comme la plus part des mômes je détestais cela, je me rappelle de ce jour où je suis allée dans le musée du Louvre, j'avais une treize ans déjà et je cherchais qui j'étais, on s'était moquée de moi à l'école car je m'habillais pas comme les autres, je préférais les jeans délavés aux jupes lissées et les sweat-shirts aux chemisiers, je m'habillais mal à cette époque-là, je n'avais que treize ans après tout, la mode me passait bien au dessus de la tête.. Mais les remarques vexantes qu'une camarade de classe m'avait dites ne m'avait pas laissé de marbre, quelques jours plus tard je partais dans la capitale de la France avec mes parents, cinq mois qu'ils préparaient ce voyage, cinq mois que je l'attendais. J'avais vu d’innombrables tableaux, même la Joconde, et tout ce que j'en avais tiré c'était que le Louvre était très grand et que c'était donc très facile de s'y perdre. L'art n'a pas toujours fait partie de mon quotidien mais si j'avais la chance de revoir ce musée un jour je serais comme un poisson dans l'eau, c'est-à-dire dans mon élément, parce que chaque tableau est une histoire différente sous un point de vue tout aussi original et mystérieux.
Voilà pourquoi cette maison sera parfaite pour moi, je serais dans mon élément.
GROUPE 2.
L'intégration. Cette chose m'as toujours posé problème, je ne fais pas partie des personnes étant capables de faire le premier pas, j'attends sagement qu'on vienne vers moi et dans quelques situations c'est très problématique. Mais il faut faire avec ses défauts c'est irréfutable, mais pourquoi ne pas les vaincre? Vaincre la peur de l'inconnue. L'impossible existe que si on croit qu'il est possible. Faire partie d'un groupe autre que sa famille a toujours été un sorte de rêve, avoir quelqu'un derrière toi quand ça va mal, avoir quelqu'un prêt à se démener pour t'aider quoi qu'il puisse arriver.. Maintenant que ma famille est loin je vais être confronter à moi-même et je vais bien devoir vaincre cette timidité pour ne pas me retrouver seule. Mais peut-être que me retrouver dans une maison où il n'y a que des filles m'aiderait. C'est vrai que quand je me retrouve devant la gente masculine je réagis comme une adolescente pré-pubère, je rougis, balbutie et baisse le regard vers mes chaussures, dans ce genre de situation j'ai envie de me tuer.. Une famille unie comme je peux l'avoir à New-York, une sorte de deuxième maison pour que je puisse me sentir comme chez moi car comment je pourrais arriver à me concentrer sur mes études si je ne me sens pas bien dans mes baskets?
Je crois qu'on s'est tous posé cette question un jour, en quoi suis-je doué? Certains n'ont pas eu à se le demander longtemps d'autres ne le seront jamais. Mourir sans jamais savoir quel est votre talent.. C'est triste tout de même. Moi je fais partie d'une catégorie intermédiaire, mon talent je l'ai cherché, j'ai essayé une multitude de choses, toutes différentes de puis mes dix ans. Danse classique, gymnastique, théâtre, mathématiques.. Et encore beaucoup de matières que je ne pourrais pas citer. Et quand j'ai cru que je mourrais moi aussi sans jamais savoir mon utilité sur cette planète j'ai finalement trouvé mon refuge. Souvent notre talent est juste devant notre nez mais nous voulons toujours regarder plus loin, nous visons toujours plus haut, trop haut. C'est quand j'ai recommencé à dessiner sur un coup de tête que tout m'est apparu clairement, je n'avais peut-être pas qu'un seul talent. C'est bête de se dire qu'une personne ne peut contenir qu'un don, est-ce qu'un don ne peut pas s'apprendre par le travail? Si la passion et la motivation sont présentes il n'y aucunes raisons d'avoir des limites, on commence tous un jour et on se dit qu'on est clairement pas fait pour ça mais si on persévère on finit par faire quelque chose de mieux, on s'améliore pas à pas et puis on oublie le résultat, il finit par nous importer peu car la passion est là. C'est ce que je ressens quand je dessine, chante ou écris, je ne vois plus mon objectif des yeux, tout s'efface autour de moi et j'ai l'impression d'être seule au monde, la dernière humaine sur terre. Et à chaque œuvre que je créais, une partie de moi s'échappe pour y rester jamais, je ne suis plus la même ensuite, je comprends des choses sur moi-même, des choses que j'avais du mal à comprendre ou que je ne connaissais pas, c'est ça que je ressens quand je côtoie l'Art.
Je mentirais si je disais que petite j'adorais aller dans les musées avec mes parents. Comme la plus part des mômes je détestais cela, je me rappelle de ce jour où je suis allée dans le musée du Louvre, j'avais une treize ans déjà et je cherchais qui j'étais, on s'était moquée de moi à l'école car je m'habillais pas comme les autres, je préférais les jeans délavés aux jupes lissées et les sweat-shirts aux chemisiers, je m'habillais mal à cette époque-là, je n'avais que treize ans après tout, la mode me passait bien au dessus de la tête.. Mais les remarques vexantes qu'une camarade de classe m'avait dites ne m'avait pas laissé de marbre, quelques jours plus tard je partais dans la capitale de la France avec mes parents, cinq mois qu'ils préparaient ce voyage, cinq mois que je l'attendais. J'avais vu d’innombrables tableaux, même la Joconde, et tout ce que j'en avais tiré c'était que le Louvre était très grand et que c'était donc très facile de s'y perdre. L'art n'a pas toujours fait partie de mon quotidien mais si j'avais la chance de revoir ce musée un jour je serais comme un poisson dans l'eau, c'est-à-dire dans mon élément, parce que chaque tableau est une histoire différente sous un point de vue tout aussi original et mystérieux.
Voilà pourquoi cette maison sera parfaite pour moi, je serais dans mon élément.
GROUPE 2.
L'intégration. Cette chose m'as toujours posé problème, je ne fais pas partie des personnes étant capables de faire le premier pas, j'attends sagement qu'on vienne vers moi et dans quelques situations c'est très problématique. Mais il faut faire avec ses défauts c'est irréfutable, mais pourquoi ne pas les vaincre? Vaincre la peur de l'inconnue. L'impossible existe que si on croit qu'il est possible. Faire partie d'un groupe autre que sa famille a toujours été un sorte de rêve, avoir quelqu'un derrière toi quand ça va mal, avoir quelqu'un prêt à se démener pour t'aider quoi qu'il puisse arriver.. Maintenant que ma famille est loin je vais être confronter à moi-même et je vais bien devoir vaincre cette timidité pour ne pas me retrouver seule. Mais peut-être que me retrouver dans une maison où il n'y a que des filles m'aiderait. C'est vrai que quand je me retrouve devant la gente masculine je réagis comme une adolescente pré-pubère, je rougis, balbutie et baisse le regard vers mes chaussures, dans ce genre de situation j'ai envie de me tuer.. Une famille unie comme je peux l'avoir à New-York, une sorte de deuxième maison pour que je puisse me sentir comme chez moi car comment je pourrais arriver à me concentrer sur mes études si je ne me sens pas bien dans mes baskets?
APRÈS LA BOMBE.
Je me souviens très bien de ce jour-là. Je n'avais que 15 ans à l'époque mais je ne sortais pas beaucoup, je n'avais qu'une ou deux amies qui ne pensaient qu'à travailler pour pouvoir un jour finir dans une grande université, j'avais le même but mais je ne passais pas ma vie le visage coller sur mes bouquins. Pour moi mon chemin était déjà tout tracé il fallait juste que je fasse correctement les choses, mes parents avaient confiances en moi et je n'avais aucunes raisons de douter, même si quelques fois j'avais peur, une boule se formait dans ma gorge, j'avais l'avenir dans mes mains moites, est-ce que je suis vraiment prête à l'accepter, à y arriver?
Bref, ce jour-là j'étais allée au lycée comme à mon habitude et j'étais rentrée à dix-huit heures car j'étais resté un peu plus longtemps au lycée pour finir un devoir que j'avais en commun avec une fille. Quand j'étais arrivée chez moi mes parents étaient absents comme à leur habitude et j'avais posé mon sac prêt des escaliers menant à l'étage, comme d'habitude. C'était une journée habituelle. J'avais exactement dix minutes pour regarder la télévision puis je devrais me décider pour faire mes devoirs. Je me suis donc laissé tomber sur le canapé et j'ai allumé l'objet à partir de la télécommande que je tenais dans ma main, l'écran s'est éclairé d'un coup et des images violentes me sont parvenues, une université détruite par endroit, des personnes inquiètes et un journaliste qui parlait très rapidement. La prestigieuse université, Harvard, celle où je comptais faire mes études de puis déjà quelques années, une alerte à la bombe. J'avais éteint l'écran plus tôt que prévu et j'avais commencé mes devoirs comme si je n'avais rien vue, j'avais été égoïste ce jour-là, car au lieu de penser aux personnes blessés ou mortes dans cet incident j'avais pensée à moi, à ma seule et unique personne. Et si cela recommencé? C'était stupide de penser cela mais j'avais peur, peur d'aller dans une université où je ne pourrais pas me trouver en sécurité, tout ce qui s'était produit était grave.. Des gens avaient perdus la vie dans un lieu qui disait être tant sécurisé, l'était-il vraiment? Je me souviens avoir passé une très mauvaise soirée, à table, mes parents n'avaient fait qu'en parler comme pour enfoncer le couteau dans la plaie, je ne connaissais personne à Harvard mais mes parents avaient certaines connaissances à Cambridge qu'ils s'étaient empressés d'appeler.
Je me souviens très bien de ce jour-là. Je n'avais que 15 ans à l'époque mais je ne sortais pas beaucoup, je n'avais qu'une ou deux amies qui ne pensaient qu'à travailler pour pouvoir un jour finir dans une grande université, j'avais le même but mais je ne passais pas ma vie le visage coller sur mes bouquins. Pour moi mon chemin était déjà tout tracé il fallait juste que je fasse correctement les choses, mes parents avaient confiances en moi et je n'avais aucunes raisons de douter, même si quelques fois j'avais peur, une boule se formait dans ma gorge, j'avais l'avenir dans mes mains moites, est-ce que je suis vraiment prête à l'accepter, à y arriver?
Bref, ce jour-là j'étais allée au lycée comme à mon habitude et j'étais rentrée à dix-huit heures car j'étais resté un peu plus longtemps au lycée pour finir un devoir que j'avais en commun avec une fille. Quand j'étais arrivée chez moi mes parents étaient absents comme à leur habitude et j'avais posé mon sac prêt des escaliers menant à l'étage, comme d'habitude. C'était une journée habituelle. J'avais exactement dix minutes pour regarder la télévision puis je devrais me décider pour faire mes devoirs. Je me suis donc laissé tomber sur le canapé et j'ai allumé l'objet à partir de la télécommande que je tenais dans ma main, l'écran s'est éclairé d'un coup et des images violentes me sont parvenues, une université détruite par endroit, des personnes inquiètes et un journaliste qui parlait très rapidement. La prestigieuse université, Harvard, celle où je comptais faire mes études de puis déjà quelques années, une alerte à la bombe. J'avais éteint l'écran plus tôt que prévu et j'avais commencé mes devoirs comme si je n'avais rien vue, j'avais été égoïste ce jour-là, car au lieu de penser aux personnes blessés ou mortes dans cet incident j'avais pensée à moi, à ma seule et unique personne. Et si cela recommencé? C'était stupide de penser cela mais j'avais peur, peur d'aller dans une université où je ne pourrais pas me trouver en sécurité, tout ce qui s'était produit était grave.. Des gens avaient perdus la vie dans un lieu qui disait être tant sécurisé, l'était-il vraiment? Je me souviens avoir passé une très mauvaise soirée, à table, mes parents n'avaient fait qu'en parler comme pour enfoncer le couteau dans la plaie, je ne connaissais personne à Harvard mais mes parents avaient certaines connaissances à Cambridge qu'ils s'étaient empressés d'appeler.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Après cette histoire de bombes j'avais compris qu'on est jamais en sécurité nulle part et j'avais peur d'un jour me retrouver dans une situation pareille, pourquoi quelque chose de si lointain me touchait autant? Peut-être parce que rien ne semblait s'arranger, au bahut ils ne parlaient plus que de ça, j'entamais ma dernière année de lycée quand les agressions ont commencées, des filles se faisaient agressées. Et pendant que certains élèves riaient et en parlaient comme si c'était une blague de mauvais gôut je tremblais de peur, parce que je savais qu'il n'y avait aucune échappatoire, ce sera mon université, si je ne suis pas admise que diraient mes parents? Je baisserais dans leur estime, peut-être même qu'ils ne m'aimeraient plus, mais comment ne pas avoir peur d'un lieu qui semble si dangereux et inconnu? Comment cette université pouvait-elle restée en tête de liste alors que les catastrophes s'enchainaient à une vitesse affolante, moi ça me faisait vraiment peur tout ça, je n'étais pourtant pas du genre à flipper pour un rien mais c'était si proche alors quand je m'arrêtais et que j'y pensais quelques secondes je me disais que c'était horrible, que de telles atrocités ne pouvaient pas se produire si proche de chez moi comme si j'éloignais les mauvaises ondes, pour moi le mal n'existait que dans d'autres pays, qu'il ne viendrait jamais toqué à ma porte car quand on regarde la télévision ça a l'air si loin.. Et puis ces agressions m'ont brusquement fait revenir à la réalité, la violence était proche, le mal était proche et qu'est-ce que je pouvais y faire? Rien, rien du tout.
Après cette histoire de bombes j'avais compris qu'on est jamais en sécurité nulle part et j'avais peur d'un jour me retrouver dans une situation pareille, pourquoi quelque chose de si lointain me touchait autant? Peut-être parce que rien ne semblait s'arranger, au bahut ils ne parlaient plus que de ça, j'entamais ma dernière année de lycée quand les agressions ont commencées, des filles se faisaient agressées. Et pendant que certains élèves riaient et en parlaient comme si c'était une blague de mauvais gôut je tremblais de peur, parce que je savais qu'il n'y avait aucune échappatoire, ce sera mon université, si je ne suis pas admise que diraient mes parents? Je baisserais dans leur estime, peut-être même qu'ils ne m'aimeraient plus, mais comment ne pas avoir peur d'un lieu qui semble si dangereux et inconnu? Comment cette université pouvait-elle restée en tête de liste alors que les catastrophes s'enchainaient à une vitesse affolante, moi ça me faisait vraiment peur tout ça, je n'étais pourtant pas du genre à flipper pour un rien mais c'était si proche alors quand je m'arrêtais et que j'y pensais quelques secondes je me disais que c'était horrible, que de telles atrocités ne pouvaient pas se produire si proche de chez moi comme si j'éloignais les mauvaises ondes, pour moi le mal n'existait que dans d'autres pays, qu'il ne viendrait jamais toqué à ma porte car quand on regarde la télévision ça a l'air si loin.. Et puis ces agressions m'ont brusquement fait revenir à la réalité, la violence était proche, le mal était proche et qu'est-ce que je pouvais y faire? Rien, rien du tout.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Vanish ou Wendy et j'ai 14 petits ballets. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une pub je crois. Je cherchais un forum dans le style école/pensionnat/université avec des personnages humains et c'est un des seuls que j'ai réussi à trouver sachant qu'il était actif et que le design ainsi que le codage était juste magnifique je n'ai pas hésité une seconde alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Amy Reeves de Lowell House. J'utilise Sabrina Carpenter comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par google. Je fais environ 400 voir 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Au niveau de l'activité je passerais souvent le week-end aisi que les jours où j'ai des autorisations spéciales étant donné que je passe mon brevet cette année il arrivera que je ne sois pas au maximum de mon activité en semaine..
Je souhaite ▲ [/font] adhérer un flood d'intégration (?) [/font] je ne veux pas être parrainé
Je recense mon avatar ▲ Sabrina Carpenter
si personnage inventé:
Mot de la fin ? ▲ Au niveau de l'activité je passerais souvent le week-end aisi que les jours où j'ai des autorisations spéciales étant donné que je passe mon brevet cette année il arrivera que je ne sois pas au maximum de mon activité en semaine..
Je souhaite ▲ [/font] adhérer un flood d'intégration (?) [/font] je ne veux pas être parrainé
Je recense mon avatar ▲ Sabrina Carpenter
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7087]►[/url] ► <span class="pris">SABRINA CARPENTER</span> ♦ “ Amy Reeves ”[/size]
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ♦ “ Pseudo ”[/size]
story of my life
CHAPITRE I: Mon enfance.
Je suis née à New York. Toute mon enfance est basée sur ce fait, je mangeais, j'étudiais, je dormais et marchais à New York. C'est là où se trouve mes amis, ma famille et toutes mes habitudes. Mes parents n'étaient pas très présents quand j'étais jeune mais je ne peux pas leur en vouloir, ils ont travaillés pour moi, pour me nourrir, pour que je puisse avoir les cartes de mon avenir dans mes mains. C'était ma nourrisse qui s'occupait de moi, elle s'appelait Mary, oui elle s'appelait, elle est morte quand j'ai atteint mes seize ans. Elle a toujours été là quand j'avais le cafard, quand je me sentais seule ou quand mes parents me manquaient, elle n'avait pas besoin de me prendre dans ses bras à tout bout de champ ou de me rassurer avec des mots doux, la seule et unique vue de son sourire me rassurait. J'ai toujours été une enfant solitaire, je n'avais qu'un ou deux amis et la plus part du temps je passais mon temps dans ma chambre à écouter de la musique ou à m'amuser avec mes poupées, ça n'a pas vraiment changé en grandissant, enfin sauf pour les poupées. J'ai commencé à faire du sport et à tester des choses à mes dix ans, avant ça je ne me posais que très peu de questions, pour moi ma vie a toujours été ce qu'il y a de plus banal, elle l'est toujours d'ailleurs. Je suis le cliché même de la petite fille seule et incomprise avec des parents absents essayant vainement de rapporter des bonnes notes à la maison pour attirer leur fierté. Et le plus désespérant c'est que je le sais et que je continue pourtant à espérer voir leurs yeux briller quand je leur explique que mes professeurs me félicitent sans cesse.
CHAPITRE II: Le collège.
Si je pouvais revenir dans le passé pour changer quelque chose ce serait sûrement celle-là. Mon entrée au collège.. J'avais hâte de rentrer dans la cour des grands, de goûter à la liberté.. J'aurais mieux fait de prendre des cours à domicile. Mes deux amis ont grandis, mais sans moi. Julian et Brianna. Le premier s'intéressait aux filles, les filles belles avec des formes, grandes sans trop l'être et qui rigolaient tout le temps à ses blagues pourries, il cherchait une petite amie comme si c'était le but d'une vie et chaque fois qu'il en quittait une il était dans les bras d'une autre le lendemain, il ne pouvait plus trainer avec moi parce que j'étais timide et que je lui faisais honte, il n'a pas osé me le dire mais je l'ai compris toute seule. Puis Brianna.. Elle c'était la mode et les garçons. Elle ne s'est pas gêné pour me critiquer quand j'avais le dos tourné, elle commençait à mettre des jeans et tee-shirts moulants puis des jupes courtes, et même avec les sanctions que lui affligeaient les professeurs elle continuait à en faire qu'à sa tête. Ils ont pris des chemins différents, c'est souvent comme ça le collège, on commence à grandir et à prendre en compte l'opinion des autres, certains se cachent sous une couche de maquillage ou un sourire crâneur pour ne pas affronter ce regard, cet opinion et ses avis qui ne sont pas bons à entendre touts les jours; et d'autres résistent à tout ça et se battent pour rester eux-même. Moi? Et bien, je ne faisais rien de tout ça, je ne changeais pas mon comportement mais je baissais la tête dans les couloirs pour qu'on me laisse tranquille et ça marchait, la plus part du temps. C'est à peine si on savait qui j'étais.
CHAPITRE: III: Le lycée.
Au lycée tout est plus simple tout en étant compliqué. Le niveau est plus élevé, le travail doit donc suivre avec mais les gens sont différents, pas tous évidemment, certains sont plus matures et ouverts, alors même si quelques moqueries subsistent l'ambiance n'est plus vraiment la même, je m'étais même fait quelques copains avec qui je pouvais resté quand la cloche sonnait pour annoncer la pause. Mais tout cela est vite lassant, il y a d'abord la seconde où nous découvrons les libertés du lycée et puis la routine s'installe. Et cette routine est banale et ennuyante, elle se résume en un mot: Travail. C'est ce que j'ai fais de mon temps pendant mes quatre années de lycée, tout était soigneusement prévu, l'heure à laquelle je me levais, déjeunais, rentrais, regardais la télévision, dessinais, écrivais, travaillais, dinais puis dormais. Mais mes notes étaient très bonnes et c'est ce qui comptait, chaque soir j'espérais que mes parents marquent une certaine fierté pour leur fille et chaque soir je m'endormais déçu mais espérant que le lendemain soit différent et c'est pathétique de ma part. Quand la fin de cette période est arrivée c'était l'heure pour moi de choisir mon orientation, je voulais être une artiste, je ne savais pas encore quoi exactement mais je voulais faire partie du monde de l'Art car je savais que ça me rendrais heureuse alors j'en ai parlais à ma parents et je n'aurais sans doute pas dû. Parce que voilà ce qui arrive quand vos parents contrôlent sans cesse votre vie, ils sont outrés quand vous décidez de prendre une décision toute seule. Ils me disaient sans cesse que j'avais toutes les cartes en main pour réussir ma vie et qu'il me fallait un emplois stable et qui me donnait assez d'argent pour vivre dans une belle maison et avoir la vie parfaite des films. Est-ce que c'est ce que je voulais? Non, sûrement pas. Mais est-ce qu'ils en avaient quelque chose à faire? Toujours la même réponse, non, sûrement pas.
CHAPITRE: XIV: L'université.
En grandissant j'ai toujours vu la vie en plus grand, les bâtiment était plus grand, ma façon de pensée et de voir les choses étaient plus approfondies ainsi que mes angoisses et mes espérances. Tout est toujours plus grand et plus fou. L'université c'est juste:ouahou. Surtout Hardvard, on sent que les gens ne sont pas là par obligation enfin pas que, ils veulent réussir leurs vies, ils ont de fortes ambitions et ils croient en ce qu'ils font et ça c'est vraiment merveilleux. J'essaie de vaincre ma timidité pour parler à tout ce beau monde mais c'est difficile, ma voix tremble, je n'arrive pas à sourire ou quand j'essaie ce sourire se transforme en grimace.. J'ai du mal. Mais j'ai enfin du temps pour moi, pour sortir, pour dessiner, chanter ou écrire ou pour m'amuser, mes parents ne sont plus là et j'ai l'impression qu'un poids sur mes épaules s'est enfin fait la malle. Et ça me fait un bien fou. J'ai l'impression d'avoir du pouvoir. Mais il manque quelque chose à cette vie, ou plus tôt quelqu'un. Quelqu'une, un garçon, une fille, n'importe qui, à qui je puisse faire confiance et qui me promettrait de toujours être là pour moi, je pourrais me confier et vivre des choses passionnantes avec cette personne, ma vie ne serait plus banale et à en dormir debout. C'est ça que je souhaiterais cette année, alors peut-être que si j'y pense vraiment très fort cette personne tombera soudainement du ciel pour venir changer ma vie, banale et ennuyante.
Je suis née à New York. Toute mon enfance est basée sur ce fait, je mangeais, j'étudiais, je dormais et marchais à New York. C'est là où se trouve mes amis, ma famille et toutes mes habitudes. Mes parents n'étaient pas très présents quand j'étais jeune mais je ne peux pas leur en vouloir, ils ont travaillés pour moi, pour me nourrir, pour que je puisse avoir les cartes de mon avenir dans mes mains. C'était ma nourrisse qui s'occupait de moi, elle s'appelait Mary, oui elle s'appelait, elle est morte quand j'ai atteint mes seize ans. Elle a toujours été là quand j'avais le cafard, quand je me sentais seule ou quand mes parents me manquaient, elle n'avait pas besoin de me prendre dans ses bras à tout bout de champ ou de me rassurer avec des mots doux, la seule et unique vue de son sourire me rassurait. J'ai toujours été une enfant solitaire, je n'avais qu'un ou deux amis et la plus part du temps je passais mon temps dans ma chambre à écouter de la musique ou à m'amuser avec mes poupées, ça n'a pas vraiment changé en grandissant, enfin sauf pour les poupées. J'ai commencé à faire du sport et à tester des choses à mes dix ans, avant ça je ne me posais que très peu de questions, pour moi ma vie a toujours été ce qu'il y a de plus banal, elle l'est toujours d'ailleurs. Je suis le cliché même de la petite fille seule et incomprise avec des parents absents essayant vainement de rapporter des bonnes notes à la maison pour attirer leur fierté. Et le plus désespérant c'est que je le sais et que je continue pourtant à espérer voir leurs yeux briller quand je leur explique que mes professeurs me félicitent sans cesse.
CHAPITRE II: Le collège.
Si je pouvais revenir dans le passé pour changer quelque chose ce serait sûrement celle-là. Mon entrée au collège.. J'avais hâte de rentrer dans la cour des grands, de goûter à la liberté.. J'aurais mieux fait de prendre des cours à domicile. Mes deux amis ont grandis, mais sans moi. Julian et Brianna. Le premier s'intéressait aux filles, les filles belles avec des formes, grandes sans trop l'être et qui rigolaient tout le temps à ses blagues pourries, il cherchait une petite amie comme si c'était le but d'une vie et chaque fois qu'il en quittait une il était dans les bras d'une autre le lendemain, il ne pouvait plus trainer avec moi parce que j'étais timide et que je lui faisais honte, il n'a pas osé me le dire mais je l'ai compris toute seule. Puis Brianna.. Elle c'était la mode et les garçons. Elle ne s'est pas gêné pour me critiquer quand j'avais le dos tourné, elle commençait à mettre des jeans et tee-shirts moulants puis des jupes courtes, et même avec les sanctions que lui affligeaient les professeurs elle continuait à en faire qu'à sa tête. Ils ont pris des chemins différents, c'est souvent comme ça le collège, on commence à grandir et à prendre en compte l'opinion des autres, certains se cachent sous une couche de maquillage ou un sourire crâneur pour ne pas affronter ce regard, cet opinion et ses avis qui ne sont pas bons à entendre touts les jours; et d'autres résistent à tout ça et se battent pour rester eux-même. Moi? Et bien, je ne faisais rien de tout ça, je ne changeais pas mon comportement mais je baissais la tête dans les couloirs pour qu'on me laisse tranquille et ça marchait, la plus part du temps. C'est à peine si on savait qui j'étais.
CHAPITRE: III: Le lycée.
Au lycée tout est plus simple tout en étant compliqué. Le niveau est plus élevé, le travail doit donc suivre avec mais les gens sont différents, pas tous évidemment, certains sont plus matures et ouverts, alors même si quelques moqueries subsistent l'ambiance n'est plus vraiment la même, je m'étais même fait quelques copains avec qui je pouvais resté quand la cloche sonnait pour annoncer la pause. Mais tout cela est vite lassant, il y a d'abord la seconde où nous découvrons les libertés du lycée et puis la routine s'installe. Et cette routine est banale et ennuyante, elle se résume en un mot: Travail. C'est ce que j'ai fais de mon temps pendant mes quatre années de lycée, tout était soigneusement prévu, l'heure à laquelle je me levais, déjeunais, rentrais, regardais la télévision, dessinais, écrivais, travaillais, dinais puis dormais. Mais mes notes étaient très bonnes et c'est ce qui comptait, chaque soir j'espérais que mes parents marquent une certaine fierté pour leur fille et chaque soir je m'endormais déçu mais espérant que le lendemain soit différent et c'est pathétique de ma part. Quand la fin de cette période est arrivée c'était l'heure pour moi de choisir mon orientation, je voulais être une artiste, je ne savais pas encore quoi exactement mais je voulais faire partie du monde de l'Art car je savais que ça me rendrais heureuse alors j'en ai parlais à ma parents et je n'aurais sans doute pas dû. Parce que voilà ce qui arrive quand vos parents contrôlent sans cesse votre vie, ils sont outrés quand vous décidez de prendre une décision toute seule. Ils me disaient sans cesse que j'avais toutes les cartes en main pour réussir ma vie et qu'il me fallait un emplois stable et qui me donnait assez d'argent pour vivre dans une belle maison et avoir la vie parfaite des films. Est-ce que c'est ce que je voulais? Non, sûrement pas. Mais est-ce qu'ils en avaient quelque chose à faire? Toujours la même réponse, non, sûrement pas.
CHAPITRE: XIV: L'université.
En grandissant j'ai toujours vu la vie en plus grand, les bâtiment était plus grand, ma façon de pensée et de voir les choses étaient plus approfondies ainsi que mes angoisses et mes espérances. Tout est toujours plus grand et plus fou. L'université c'est juste:ouahou. Surtout Hardvard, on sent que les gens ne sont pas là par obligation enfin pas que, ils veulent réussir leurs vies, ils ont de fortes ambitions et ils croient en ce qu'ils font et ça c'est vraiment merveilleux. J'essaie de vaincre ma timidité pour parler à tout ce beau monde mais c'est difficile, ma voix tremble, je n'arrive pas à sourire ou quand j'essaie ce sourire se transforme en grimace.. J'ai du mal. Mais j'ai enfin du temps pour moi, pour sortir, pour dessiner, chanter ou écrire ou pour m'amuser, mes parents ne sont plus là et j'ai l'impression qu'un poids sur mes épaules s'est enfin fait la malle. Et ça me fait un bien fou. J'ai l'impression d'avoir du pouvoir. Mais il manque quelque chose à cette vie, ou plus tôt quelqu'un. Quelqu'une, un garçon, une fille, n'importe qui, à qui je puisse faire confiance et qui me promettrait de toujours être là pour moi, je pourrais me confier et vivre des choses passionnantes avec cette personne, ma vie ne serait plus banale et à en dormir debout. C'est ça que je souhaiterais cette année, alors peut-être que si j'y pense vraiment très fort cette personne tombera soudainement du ciel pour venir changer ma vie, banale et ennuyante.
(Invité)