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I wish I could just take your pain away (Landry)

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Ma nervosité était palpable et j’étais persuadée qu’il était presque possible de la voir se dessiner autour de moi, jusqu’à pouvoir l’attraper. Mon retour avait été parsemé de nouvelles déchirantes et parmi celles-ci, se trouvaient celle de la mort de la sœur de Landry. Je me souvins du moment où mon employée m’annonça la nouvelle, cherchant ses mots, jouant avec ses doigts et évitant à tout prix de croiser mon regard. Il n’y avait que deux choses qui faisaient réagir les gens de cette façon, la mort, ou la culpabilité et je l’eus deviné avant même qu’elle n’ouvre les lèvres. Ma première réaction fut le choc sans doute, puis la panique, panique provoquée par l’impuissance. Je ne savais que trop bien, que la perte était quelque chose de dévastateur et j’avais appris dans la douleur que le temps n’y faisait rien. Cela faisait un mois jour pour jour qu'il l'avait perdu. Comment étais-je censé aider celui avec qui j’avais partagé une grande partie de ma vie en sachant que la douleur qu’il ressentait n’allait jamais disparaitre, qu’il allait s’en accommoder et devenir forcément quelqu’un de différent. Je ne savais pas quoi faire, la peur de voir souffrir quelqu’un qu’on aime, cette anticipation de la douleur et cette recherche de solutions qui n’existaient pas … J’avais beau tourner et retourner les choses dans mon esprit, je me devais d’aller le voir. Enfilant mon manteau, je me dirigeai vers ma cuisine pour attraper une bouteille de vin et un crumble préparé par l’employée de maison avant de monter dans la voiture et indiquer à mon chauffeur l’adresse de mon ami. En approchant de chez lui, je me souvins que moi-même, lorsque j’avais été touché par le deuil, j’avais détesté cette tradition qui consistait à apporter de la nourriture à la famille, le manoir avait été envahi de plat cuisiné alors que je n’arrivais à rien avaler.  La voiture s’arrêta et j’eus ce petit regard triste en direction de son appartement, je l’aimais tellement Landry qu’il m’était impossible de ne pas me mettre à sa place. J’inspirai longuement avant de descendre et d’aller sonner à sa porte, plat et vin en main. Toutes les questions que j’avais en tête semblaient s’effacer, maintenant je n’avais envie que d’une chose, le prendre dans mes bras et lui faire savoir que j’étais là.
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I wish I could just take your pain away
feat Gabrielle

Après ma journée légèrement mouvementée en compagnie de Leonor, j’avais décidé de prendre une journée off aujourd’hui parce que je n’avais toujours pas la tête à me rendre en cours. Mes professeurs savaient pleinement ce que je vivais à l’heure actuelle alors ils n’avaient rien dit quant à ma décision de rester loin des bancs de l’université pendant quelques jours, surtout que comme la veille je devrais assister à des conférences de presse et faire des shooting photos aujourd’hui. Cette fois pour le journal local de Boston et par-dessus le marché je devrais être en vedette du journal sportif, en compagnie de la Grande Star du football américain, Tom Brady. Je ne pourrais jamais me retrouver à son niveau puisque je n’avais pas encore emmené les Revolutions jusqu’au plus haut sommet de la MLS mais je comptais le faire un jour ou l’autre, c’était mon objectif en tant que capitaine et meilleur joueur de la franchise. Une fois tout cela terminé, je retournais chez moi pour m’occuper un peu de ma nièce et future fille, ça m’aiderait à ne pas penser à autre chose… Même si en regardant bien Naélie, je ne pouvais pas m’empêcher de voir qu’elle ressemblait beaucoup trop à sa mère : ma sœur jumelle morte un mois jour pour jour… Rien que d’y penser, je ne pus m’empêcher d’éprouver l’envie de pleurer à chaudes larmes mais je m’étais promis de ne pas craquer et tout faire pour rendre ma nièce heureuse, telle était la promesse que j’avais faite à ma sœur avant qu’elle ne lâche son dernier soupir… Elle me manquait terriblement mais je savais qu’on ne pouvait revenir en arrière… Fin bref, je saluais la nourrice de Naélie qui m’expliquait que la petite dormait paisiblement dans son berceau alors je ne pus m’empêcher d’aller la voir et la porter tout doucement dans mes bras pour lui donner un baiser sur le front, avant de la reposer avec toute cette même douceur. Le bébé s’était mis à me serrer le doigt, ce qui m’attendrit tellement. « Ta maman serait heureuse de te voir en si bonne santé, mon p’tit cœur. Saches que je t’aimerais toujours très fort et qu’Ivy t’aime très fort aussi » murmurai-je à l’enfant avant de quitter la pièce. Lorsque je retrouvais la nourrice, elle m’indiqua qu’une personne venait de sonner alors je me décidai à l’ouvrir sans me douter qu’il s’agirait de ma meilleure amie d’enfance… « Gabrielle ?! Que fais-tu là, chaton ? » dis-je d’un air surpris mais heureux de voir l’une des femmes les plus importantes de ma vie. Elle m’avait tellement manqué.
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J’aimais Landry, je veux dire, je l’aimais vraiment comme on aime un membre de sa famille, comme on aime un frère. C’était ce qu’il était au fond, mon frère même si nous ne partagions pas le même sang, il était sans doute la personne qui me connaissait depuis le plus longtemps. Je m’en voulais de ne pas avoir été là avant, de ne pas avoir su et surtout d’avoir été responsable de notre éloignement depuis quelques mois. Il avait été là quand j’étais au plus mal et je l’avais embrassé, parce que … parce que j’étais perdue et à la minute ou c’était arrivé, ou il y avait eu ce malaise entre nous, j’avais su que c’était stupide. Je m’en voulais d’avoir causé cette distance entre nous, notre lien était beaucoup trop précieux pour se laisser effacer par ce genre de bêtises. Je me trouvais là, devant sa porte, mon cœur tambourinant dans ma poitrine, il avait eu besoin de moi et moi je n’avais pas été là et ça me rendait folle intérieurement. La porte finit par s’ouvrir et je fus heureuse de voir son visage, comme je l’ai toujours été quand il passait à la maison, ou encore quand je suppliais mes parents de m’amener jouer chez lui. Le plat dans une main, la bouteille dans l’autre je le pris dans mes bras plus ou moins habilement. « Qu’est-ce que je fais là ?  » Lui murmurai-je tendrement « je suis désolée de ne pas avoir été là avant  » de ne pas avoir su avant pour sa sœur et d'avoir été coincé dans le Vermont plutôt qu'à ses cotés . Il m’avait manqué, c’était indéniable et il faisait clairement parti de ceux dont j’avais besoin pour vivre, il faisait partie de mes essentiels. Je déposai un baiser sur sa joue, y laissant d’ailleurs une trace de rouge à lèvres « je ne te dérange pas j’espère  » et même si je dérangeais et qu’une quelconque demoiselle était là, c’était mon Landry, mon frère et elle n’avait qu’à s’en accommoder. « J’ai amené de quoi manger … et de quoi boire aussi » lui dis-je avec un léger sourire  « tu as un peu de temps pour du crumble et verre un de vin ?   » et pour moi, parce que je m’en voulais de n’être là que maintenant, voulant rattraper le temps perdu.
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