BETTY PAGE ► amy hood

MATHER HOUSE
    Amoureuse de sa liberté, Betty aurait bien du mal à se voir ailleurs qu'à la Mather House. Elle est toujours présente quand il s'agit de faire la fête et de repousser ses limites. De plus, la Mather House prône une vraie image de cohésion qui plaît à Bettty, la voyant comme une seconde famille. C'est enfin un endroit où elle se sentirait à sa place, où elle ne sera pas jugée pour ses actes, ses pensées, ses envies. Une maison où il fait bon vivre et où l'on a envie de rester pour la totalité de ses études. C'est ce que Betty recherche ici à Harvard, une maison solidaire et unie, avec une part d'anti-conformisme.

    DUNSTER HOUSE
    Malgré son goût pour la fête, Betty n'en est pas moins une mauvaise élève, au contraire. Elle sait ce qu'elle veut et elle est déterminée à l'avoir. Elle se bat pour son futur et ses convictions, pour réussir à vivre de ce qu'elle aime, de sa passion pour le cinéma. C'est une acharnée du travail, du travail qui paie. Obstinée et ambitieuse, elle est prête à se sacrifier pour obtenir les meilleurs résultats possibles. Elle sait s'investir à tous les niveaux quand il le faut et ne fait jamais les choses à moitié. Elle réussit alors à atteindre l'équilibre parfait entre scolarité et soirées étudiantes.

APRÈS LA BOMBE.
    Betty est arrivée à Harvard en septembre 2016, bien après tout ces événements tragiques. Elle ne les a donc connu qu'à travers les récits faits par la presse, les journaux télévisés. Elle a toujours eu du mal à comprendre ce sentiment de haine qui anime certaines personnes. J'veux dire, elle aussi elle casse quelques trucs quand elle est énervée, mais de là à mettre une bombe dans une université comme Harvard... Faut vraiment être pas net. Elle se dit que c'est un fou de plus, qui s'est finalement décidé à agir après des mois ou des années de préméditation. Ou un coup de tête. Mais on pose pas une bombe sur un coup de tête, faut s'y etre préparé quand même. En bref, elle dit que c'est un gros malade ce mec, heureusement qu'elle ne connaissait personne à Harvard à cette période là.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    Betty a eu la chance, si on peut dire ça comme ça, d'arriver à Harvard après tout ces malheurs. Ni elle ni ses proches n'ont donc connu l'ambiance morbide qui régnait dans l'université. Pourtant, certains visages sont restés tristes. Betty essaie de ne pas penser à tout ça. À quoi bon ressasser le passé sans arrêt ? Elle a un profond respect pour ceux qui ont perdu des proches au cours de ces drames. Elle espère simplement que des événements de la sorte ne se reproduiront plus à Harvard, compromettant le degré de sécurité de l'établissement.

ITEM LIBRE (FACULTATIF).