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Degage ta petite culotte de là !

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Paris était cassé de partout mais il affichait un air heureux. Ce voyage se passait à merveille et voilà déjà cinq jours qu’ils crapahutaient dans l’état du Yucutan. Aujourd’hui, cela avait été vraiment sportif : entre la randonnée dans la jungle et la descente en rappel de plus de trente mètres, tous ses muscles réclamaient un peu de repos. « Je suis pas mécontent qu’on soit enfin au lit… Putain j’ai l’impression d’être un petit vieux atteint d’arthrite » rigole-t-il alors qu’il se laissait tomber dans le lit avec un soupire de plaisir. La Dunster House et leurs invités avaient trouvé refuge dans un campement atypique : des huttes dans les arbres. Privilège de Président, Paris avait le droit de partager la sienne uniquement avec sa femme. Ces derniers jours, ils avaient du se farcir le reste du peuple donc question intimité, vous repassiez. Eh oui, leur budget n’était pas extensible non plus. « Quoique, je devrais plutôt dire, je ne suis pas mécontent d’être enfin qu’avec toi madame Maconahey » dit-il avec un sourire séducteur. Oui, s’il y avait bien une chose qui pouvait à nouveau redonner des forces à ce grand dadais, c’était bien une partie de sexe endiablée avec sa femme. D’ailleurs, il n’attendait guère de réponse de sa part car monsieur se la jouait aventureux en se glissant entièrement sous la couette pour venir déposer une trainée de baisers le long des jambes de sa chère et tendre, bien décidé à déclencher une envie chez elle. Il ne s’attendait toutefois pas à ce que la porte de leur hutte ne s’ouvre à la volée. « Putain mais… Capucine ?! Qu’est-ce que tu fous ici et surtout qu’est-ce que tu fous à moitié à poil ?! » gueula-t-il en tentant de cacher les yeux de Summer. Hors de question qu’elle assiste à un tel spectacle. Si quelqu’un devait lui faire mouiller sa petite culotte, ce serait lui et pas une autre personne.

@C. Summer Maconahey @Capucine Vickers



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Ça pour une aventure, c’était une aventure !! Je ne crois avoir été autant crevée depuis un bail. La randonnée, ça me connait….mais j’avoue qu’en règle général, je la prépare et surtout je fais en sorte de ne pas l’associer à plusieurs jours consécutifs d’activité intense. Mais découvrir le Mexique au travers de toute cette organisation ? Rien de mieux. Paris et Jimmy avait assuré pour nous offrir un voyage Dunster digne de ce nom…En parlant de Paris, il semblait être tout aussi épuisé que moi. J’étais déjà allongé dans le lit, à lire une ou deux brochures sur le cadre du coin, mais aussi pour me repérer sur une carte en vue des prochaines activités, quand le Président Dunster se glissa dans le lit en soupirant « Un petit vieux carrément ?? Je t’aurais rien proposé un massage pour ton arthrite mais….comment dire : si tu es vieux, je suis dans ce cas tout aussi bien que toi. Du coup, euhm, ce n’est pas sûre que j’arrive à contracter mes doigts, tu vois ? » Tout en lui disant ces mots, j’avais lâché ma paperasse pour mimer mon incapacité à plier correctement les phalanges, imitant ainsi des mains faussement crispé devant les yeux de Paris. Je riais légèrement de mes conneries, avant de rassembler tous les papiers, et de les former en tas pour les mettre de côtés sur le sol de notre hutte.

Je connaissais suffisamment mon époux pour savoir que même s’il se qualifiait de vieux, il y a quelque chose pour lequel il gardait toute sa jeunesse et sa vigueur. Et pour ma part, je n’étais la dernière pour sauter sur l’occasion quand elle se présentait. Donc, quand Paris passa sous la couette pour venir déposer des multiples baisers sur mes jambes, je gloussais comme une gamine à la sensation de chatouille qu’il provoquait, avait même soulevé la couette pour le regarder faire en lui disant « Tu parles d’un petit vieux !!! » Des mains, je cherchais à ramener Paris à moi, pour un baiser passionnée quand soudain, la porte de la hutte s’ouvrir à grand battant, sur une Capucine….en petite culotte !! Enfin du peu que j’en ai vu, il m’a semblé qu’elle était affublée de ce simple sous-vêtement !! Oui parce que bon, La seule chose que je pouvais voir là, maintenant, c’était l’obscurité provoqué par les doigts de Paris sur mes yeux. « Mais hey, qu’-… qu’est-ce que tu fais bon sang ?! » lui demandais-je un peu agacée tandis que je cherchais aveuglément à m’assurer que mon propre corps lui, était bien couvert par les draps. Hey mais ? Au fait ?!! Si Capucine est en petite culotte, ça veut dire qu’elle est tout bonnement en train de se donner en spectacle devant Paris ??! Ni une ni deux, je posais moi aussi une main devant les yeux du Dunster pour lui cacher la vue. « Si je dois rien voir, TOI.NON.PLUS ! »


@Paris A. Maconahey @Capucine Vickers



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L'alcool avait coulé à flot. Et à en juger par le tas de préservatifs usagés qui traînait sur le sol -bon y en avait que deux- Capucine savait qu'elle avait passé une bonne soirée. Enfin, les ronflements du type allongé dans le lit l'agaçait. Terminant la bouteille de tequila qu'ils avaient monter dans la chambre de José-Luis. José-Luis. C'était clairement pas le prénom qui l'avait poussé à se laisser draguer par se type. Non, c'était clairement l'alcool. L'étudiante observa le visage endormi de l'homme et fixa sa moustache avec une attention particulière. Non mais, sans déconner, il avait quel âge ce mec ? Haussant les épaules sans se poser plus de questions, Capucine se leva pour enfiler sa culotte. Et... ce fut tout. Attrapant le sombrero qui traînait sur le sol en manqua de s'écraser par terre parce que la terre avait décidé de se rapprocher dangereusement, Capucine quitta la chambre. Posant le sombrero sur son crâne, la demoiselle déambula en titubant, cherchant la chambre de Paris et Summer.

Pas tellement consciente de l'heure ni de sa tenue, la demoiselle entra dans la chambre de ses amis sans frapper en meuglant. « Y a d'la tequila iciiiiii ??? » À peine avait elle franchit la porte que les deux têtes firent leur apparition de sous la couette. Paris semblait à la fois étonné et pas très content qu'elle soit là. Vacillant sur place, Capucine se mit à geindre dans une moue triste. « Ah mais pourquoi tu me cries après... ? Tu me cries toujours après... » Capucine chouinait d'une petite voix fluette telle une petite fille de cinq ans qui se faisait gronder par son père. La brune ferma la porte dans son dos et fixant les deux amoureux qui se cachaient mutuellement les yeux. Haussant un sourcil, elle se dit qu'il n'y avait pas qu'elle qui avait trop bu dans cette pièce. « C'est un nouveau jeu sexuel que vous avez inventé ? » Et enfin, elle se mit à fouiller dans les placards pour tenter de trouver de l'alcool, se jugeant pas assez ivre pour l'heure. « Z'avez pas une putain de bouteille ? » Son sombrero sur le crâne, Capucine fouillait, sortant parfois un caleçon de Paris pour le balancer dans la pièce. « C'est moche... » Elle finit par se tourner vers les deux amoureux et vint se hisser sur le lit, se collant dans le dos de Summer en souriant stupidement. « J'ai passé... une... su... per... soirée !!!! On a baisé... deux fois ! Mais... On a bu surtout... Beaucoup... José-Luis ! Mariachi de père en fils.. J'ai une photo attendez... » Capucine posa sa main sur sa cuisse pour fouiller dans sa poche mais elle se rendit compte qu'elle ne portait rien. Baissant les yeux, Capucine haussa les sourcils. « Ah bah non... » Elle avait oublié ses affaires chez le type donc la clé de sa chambre, son téléphone aussi. Accessoirement ses vêtements. « J'ai perdu mon téléphone... » Et le short qui allait avec aussi visiblement.
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Paris était vanné mais il s’agissait là de la bonne fatigue. Il adorait le sport, cela lui avait toujours permis de se vider l’esprit -bien qu’il avait une autre activité en tête avec le même résultat mais ça, c’était une autre histoire ou pas. « Han moi qui comptais sur toi pour un massage… Pfff petite vieille va » taquina-t-il sa femme avec un sourire amusé. Il n’arrivait toujours pas à croire qu’ils se trouvaient au Mexique tous les deux, dans une hutte en haut des arbres. Le truc de dingue mais qui lui faisait pousser des ailes… Lubriques les ailes. Paris ne tardait d’ailleurs pas à se glisser sous la couette, remontant entre les jambes de sa femme, la chatouillant au passage. « Tu es ma cure de jeunesse bébé » s’amuse-t-il à lui répondre avant que la porte de la chambre ne s’ouvre sur sa meilleure amie qui, visiblement avait plus qu’un coup dans le nez. Son premier réflexe avait été de beugler et de dissimuler cette dernière aux yeux de Summer. « Je veux pas que tu la vois à moitié à poil » s’écria-t-il alors que Capucine recherchait des traces d’alcool dans leur chambre. « Y en a qui aimerait bien tirer leur coup aussi » grommela-t-il alors que Summer lui mettait également une main devant les yeux. « Qu’est-ce qui t’arrive ?! » tente-t-il de demander à Capucine sans s’énerver. Dans le fond, il ne comprenait pas trop… Elle, coucher avec un mec ?! Comme ça ? Genre ça lui prend comme une envie de pisser de se faire ramoner la cheminée alors qu’elle n’avait pieuté avec personne depuis Jorah ?! Soit le mec était carrément baisable, soit elle avait un problème. Celui de Paris, c’était qu’elle se colle à moitié à poil contre SA femme. « La naine, tu sais que je t’adore mais t’es à poil ou presque là » grogna-t-il en sortant du lit en boxer -puisqu’il ne portait rien d’autre à ce moment-là afin de contourner le lit pour attraper un bout du drap et la ficeler dedans. « Y a pas que ton téléphone que tu as perdu… Qu’est-ce qui t’arrive ? » lui redemande-t-il en lançant un regard désolé à Summer. « Je te jure, d’habitude, elle a pas l’alcool lourd » grommela-t-il en soulevant la miss pour pouvoir s’installer entre les deux femmes. Hey il y avait une bisexuelle dans la place, il prenait des mesures !



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Y’as pas 36 000 expressions pour qualifier l’état de Capucine en ce moment même : elle est complètement faite, bourrée ; une véritable éponge imbibée de tequila ! Et comme si ce n’était pas assez, elle en redemandait maintenant, dans cette chambre ! D’ailleurs pourquoi ici ? Je veux dire, elle s’est perdue ou quoi ? Vu son entrée fracassante, quelque chose me dit qu’elle savait très bien où elle allait, vu qu’elle ne s’étonnait même pas de notre présence dans les lieux. J’avais les yeux caché par la main de Paris, et j’en avais de même avec les siens, avant de me rendre compte que d’un point de vue extérieur, on avait sans doute l’air de deux gros idiots. Mais franchement à choisir, je préférais cela plutôt que de le regard de mon mec traîner sur sa pote en petite culotte. Surtout qu’elle n’était pas désagréable à regarder, bien au contraire. ** si tu penses ça, c’est justement pour cela que Paris te cache les yeux à toi aussi **

Capucine se demandait si notre jeu de cache-yeux était un nouveau délire sexuel, et je gloussais à la remarque avant de retirer la main de Paris, et de chercher à en savoir plus sur ce que Capu' trafiquait dans la chambre. Quand je fis nos fringues valdinguer dans la pièce, j’avais eu envie de bondir du lit en lui suppliant d’arrêter, mais…je n’avais pas grand-chose sur moi, là à vrai dire, et je ne voulais pas détrôner Capu' et sa petite culotte ! Paris se mit à râler et pour ma part, je n’avais fait que soupirer par dépit : en fait, en l’état je ne voyais pas quoi faire que de rester planquer sous les couettes et laisser Paris gérer sa meilleure amie. Je me repositionnais donc de côté sur le lit, prête à reposer la tête sur l’oreiller quand je sentis une présence s’installer derrière moi. Là forcément, je me retournais « Euh…t’as l’intention de dormir ici ? » lui demandais-je avant qu’elle ne se lance dans le résumé de ta soirée. Je me pinçais les lèvres pour ne pas rire – parce que, quand même, il fallait que je donne l’impression première d’être agacée – et la laissais chercher une poche inexistante, suivant sa main du regard qui se posait sur sa cuisse « Oh mince alors ! » exagérais-je quand Capucine déclarait avoir perdu son téléphone « C’est quand même super important un téléphone…bien plus important que de perdre son pantalon » là encore, je feintais une compassion pour ce téléphone perdu, prenant un ton tout de même bien moqueur parce que clairement, c’était pas tous les jours que j’allais pouvoir découvrir une Capucine bourrée et presque à poil. Paris lui, avait finalement perdu patience, et s’était levé du lit pour tenter de gérer son amie. Mais sans succès. A la place, il s’installa entre Capucine et moi, et je comprenais bien vite que son but était de nous séparer physiquement. ** J’ai compris le message, Paris. Mais là, si tu veux, y’a comme un hic ** « Euuuhhh, excuse-moi là, mais…tu fais quoi ?! Tu veux peut-être que je change de position pour te faire face et qu’on vienne toutes les deux te dorloter ??! » Déclarais-je en me redressant vivement sur un coude pour observer Paris avec un air qui en disait long sur mon état d’esprit. Ni une ni deux, j’attrapais mon oreiller de l’autre main pour le passer par-dessus Paris et le coincer entre lui et Capucine, enfonçant bien l’oreiller avec mon poing « Elle vient de te dire qu’elle avait baisé avec un mec. Pas une fille. UN.MEC ! donc… »


@Paris A. Maconahey @Capucine Vickers



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Capucine fixait le couple, le regard vitreux. Elle les fixait mais ne les écoutait pas réellement. Enfin, elle s'en foutait pas mal qu'ils s'engueulent pour une paire de nibards qu'ils ne toucheraient jamais. Ni l'un ni l'autre. Capucine haussa les épaules avant d'agiter les mains. « Laisse tomber Paris, tu passe ton temps à la sauter. Ça va ta bite va pas tomber parce que tu la ramones pas pendant cinq petites minutes... Putain ! » Enfin, l'étudiante se colla dans le dos de Summer. Surtout pour avoir un câlin. Elle l'aimait bien la blonde qui avait calmé l'autre grand queutard qui lui servait de pote mais qui était pas super sympa ce soir là. Mais ce geste eu le don de déclencher un conflit intra-conjugal quant à savoir qui irait contre Capucine mais au final, l'étudiante se retrouva emmaillotée dans le draps du lit et bousculée par Summer qui s'acharnait sur un pauvre oreiller. Qu'elle continue à remuer Capucine comme ça et elle allait aller vomir dans sa valise. Soupirant doucement, Capucine les fixait tour à tour avant lever les yeux au ciel. « Je baiserai avec aucun de vous deux même si on me filait les clés du monde et tout l'argent qu'il possédait... Vous êtes trop écœurant... »

L'étudiante se mit à remuer, gardant un bras contre le draps pour le tenir sur son petit corps puis elle se leva, manquant de se vautrer en marchant sur le draps. Puis, elle se posa sur le sol, face au couple, en tailleur. « Hum... Il a couché avec une fille alors... Moi aussi... Même s'il veut pas... Je voulais pas non plus qu'il couche avec elle mais il l'a fait sans rien me demander de mon avis donc... Je vois pas pourquoi j'aurais pas fait pareil hein ? Hein que j'ai raison ? Vous aussi vous trouvez que j'ai raison hein ? Oui, j'ai raison ! » Pas forcément mais dans son état, elle avait raison et elle ne voulait pas entendre parler d'autre chose. « EN PLUS ! » Capucine leva son index en taguant toujours, fermant les yeux l'un après l'autre. Le draps retomba sur ses hanches ce qui lui fit baisser la tête dans une moue boudeuse. « Attendez... » Elle remit le draps en place en peinant comme c'était pas permis. C'était à se demander si elle le faisait exprès. Capucine remua pour remettre le draps en place et soupira doucement. « Voilà... Donc... Euh... Sinon, je suis amoureuse mais ça on s'en fout, j'ai enfin fait ramoner ma cheminée après quatre longues années d'abstinence ! » Puis soudain, elle haussa les sourcils, comme prise d'une révélation. « Est ce que je vous dérange ? Vous voulez que je parte ? Je dois retrouver mon téléphone ! Vous auriez pas un t-shirt? » Puis elle s'allongea sur le sol pour compter les poils de la moquette.
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Déjà cinq jours qu'ils avaient décollé de Boston et qu'ils s'amusaient tous au Mexique. Jimmy était entouré de beaucoup de personnes externes qu'il appréciait, de sa maison cherie et il avait même ses deux meilleurs amis près de lui : Kacy et Clay. Que pouvait-il rever de mieux ? Peut être qu'inviter Calliopéa aurait été la cerise sur le gâteau, mais elle travaillait tout le temps et recevait un maigre salaire.

Quoi qu'il en soit, a cette heure-ci, Jimmy venait tout juste de sortir de la salle de jeu de l'hôtel dans laquelle il avait fait une partie de billard avec Clay, Landry et Brent. Le Dunster avait passé une excellante soirée, quoi que trop alcoolisé pour lui puisqu'il se baladait a présent sans tshirt.  S'étant séparé de leur groupe, Clay et Jimmy montaient vers leur chambre, l'un avec beaucoup plus de difficulté que l'autre. Soudain, en passant par une des entrées dédiées au étages, un homme moustachu passa près du duo et les bouscula. Un objet métallique venait de tomber de sa poche et Jimmy le ramassa en titubant. Il cria « Hey, enfooiiiré de mexicain .. ! T'as laissé tomber, un truc.. !» Mais l'homme était déjà trop loin pour écouter et surtout pour discuter en anglais avec eux. Jimmy s'appuya sur Clay pour regarder le téléphone, il le deverouilla et haussa des sourcils « Mais .. euh c'est un telephone de meuf ça naan ? ». Il commença a rire de plus en plus jusqu'à soupirer. « Pfiouuu ça lui apprendra a pigeonner les gens ! »

Ils remontèrent et Jimmy s'arrêta en plein chemin, comme frappé par une solide lucidité. Il regarda son meilleur ami et lui dit « Je devrais peut etre chercher la propriétaire nah ? Je vais passer pour un voleur apres putain ..» hoqueta t-il « Rentre dormir toi, je te rejoins des que j'aurais rendu le téléphone. » il reçu une petite claque amicale qui le reveilla un peu et regarda Clay s'éloigner. Il sorti le telephone de sa poche et le regarda un instant en se maintenant d'une main contre le mur du couloir. Il parcouru ainsi tout l'étage en criant et en riant a ses propres blagues, il toquait aux portes en demandant qui avait pu perdre son téléphone sans se rendre compte quil dérangeait tout le monde.

Arrivé pres de la chambre de Paris et de Summer, ce dernier eu d'abord envie de faire le moins de bruit possible. Il tocqua et sappuya contre la poignée de la porte par mégarde qui s'ouvrit à la volé. Il fut propulsé un peu en avant et faillit se casser la figure. Sonné, il s'excusa tout de même les yeux clos en riant sans apercevoir quiconque pour l'instant. « Désolé je voulais pas vous deranger hahaha » Il ouvrit cette fois-ci ses yeux et fut coupé dans son élan quand il aperçu non pas deux mais trois personnes dans cette chambre. Il resta le regard bloqué sur Capucine qui était allongé sur le sol. Relevant les yeux vers le lit parental il regarda son colocataire « Je savais pas que t'étais open pour les plans a trois mec »  lui dit il en ricanant. Il se reprit, sorti le smartphone de sa poche et répéta l'incessant speech qu'il répétait à chaque fois qu'il toquait à une porte « Ahem en fait j'veux rentrer chez moi, mais j'ai trouvé un téléphone et je veux pas passer pour un voleur... vous connaissez la propriétaire ? » hoqueta t-il en se grattant cette petite barbe quil n'avait pas taillé depuis leur arrivé au Mexique.
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Paris n’allait quand même pas devoir s’excuser de sauter Summer quand même ?! « Je te signale que je suis un peu dans ma chambre alors excuse-moi de vouloir avoir une partie de jambe en l’air avec ma femme. C’est dans la constitution et dans les droits de l’homme » grommela-t-il avant qu’un manège ne commence entre les époux pour savoir qui de l’un ou l’autre serait le plus jaloux. Sur le coup, Paris avait réagi comme à son habitude à savoir comme un con. Il était ainsi : il gueulait et posait les questions ensuite ; Seulement, voir sa meilleure amie aussi triste et surtout amoureuse le calma dans la seconde. C’était la première fois qu’elle avouait être amoureuse depuis Jorah et Paris la fixait silencieusement. Il n’y avait plus aucune trace de colère ou d’agacement sur son visage mais une profonde tendresse. Il était heureux pour elle car c’était presque inespéré que Capucine retrouve l’amour. « Reste là ma puce » dit-il en douceur avant de se relever pour aller fouiller dans son armoire où il sortit non pas un mais deux T-shirt. Calmement, comme il pourrait le faire avec sa fille, il habilla Capucine. « Donne moi ton bras… L’autre maintenant » grommela-t-il avant d’attraper sa tignasse hirsute afin de la faire passer par le col du t-shirt trois fois trop grand pour elle. « T’es amoureuse de qui ? Ce type a intérêt à l’être aussi sinon je lui casse les deux genoux et je lui fais bouffer de la merde par le nez » grogna-t-il prêt à protéger Capucine contre tous les dangers. S’il avait bien compris, le mec en question s’était tapé une autre femme. Bordel, allez comprendre une nana bourrée aussi… « Babe, habille toi, je sens que la nuit va être longue » dit-il en lançant son deuxième T-Shirt à Summer car il comptait bien ramener sa meilleure amie dans le lit. Enfin ça, c’était avant que la porte ne s’ouvre sur un Jimmy bien entamé.

« Mais putain ! Y a marqué que c’était une réunion pour les éponges ici ou quoi ? » gueula-t-il alors qu’il se trouvait près de Capucine, les mains sous ses avant-bras, prêt à la soulever. C’est vrai que sous un certain angle, on pourrait s’imaginer qu’ils faisaient un ménage à trois mais… « Jimmy, t’es bourré et c’est bien la seule chose qui me pousse à pas t’en coller une là maintenant ! Non on ne fait rien de sexuel dans cette piaule !! Et j’aimerai bien pourtant » gueula-t-il avant de se rendre compte de ses propos. « Et je parle uniquement de Summer et moi ! » précisa-t-il en lançant un regard désolé en direction de sa femme. « Aucune idée… enfin je crois ! Capucine a paumé son téléphone. C’est le tiens ? » répondit-il à Jimmy avant d’interroger sa meilleure amie ou plutôt l’éponge qui lui servait de meilleure amie.



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Une Capucine bourrée, c’était apparemment une Capucine susceptible ! Et vulgaire par-dessus le marché. Je l’écoutais s’en prendre à son meilleur ami, non sans grimacer quand elle sous-entendait que Paris me ramonait « Quel poésie et délicatesse, ça m’en fous la larme à l’œil, vraiment ! » Ouais, mais certainement pas d’émotions ! Je secouais la tête avant de vivement chercher une solution pour mettre un mur fictif entre Capucine et Paris qui s’était introduit entre nous deux. On argumentait tous les deux sur le fait que ni l’un ni l’autre ne devait se mettre à câliner la jolie brune pour la consoler, mais cette dernière décida d’y mettre en terme en nous rembarrant –encore une fois- avec une classe qui la caractérise. « Oh dieu soit loué, elle nous trouve moche et imbaisable ! On est sauvé !!» ironisais-je en levant les yeux au ciel, avant de m’effondrer sur le lit pour m’allonger, tête contre le matelas.

C’est alors que Capucine déblatérais tout un tas de truc que je n’avais pas bien saisi au départ. Elle parlait d’un mec qui avait couché avec une autre fille, chose à laquelle elle n’était pas d’accord alors avait fini par en faire de même. Plus elle avançait dans son récit, plus mon regard de fronçais, mon nez se plissait jusqu’à ce qu’elle annonce de but en blanc qu’elle était amoureuse….amoureuse ??!! Je me relevais d’un bond pour m’asseoir sur le lit en attrapant les draps avec moi pour me couvrir, et je la cherchais du regard pour finalement la voir par terre. Là, mon côté curieux c’était mis en marche : « Attend-tend-tend ! Tu quoi ? T’es amoureuse de qui ?? du mariachi ? José j’sais-pas-quoi là ? » Elle n’allait pas vite en besogne ? Y’as pas 5 minutes elle nous disait avoir baisé deux fois avec ce mec sans donné l’impression d’être pourvue d’un sentiment, et maintenant elle en était amoureuse ?? Nan : ça ne collait pas….du coup….quand elle dit avoir fait de même que ce fameux mec mystère – à savoir, qu’il a couché avec une autre – ça sous-entend que le José bidule chouette, elle s’en est servi, que ce n’est pas lui l’homme mystère !! Mais alors qui ???

J’allais lui posé tout un tas de questions sur le sujet, tandis que de son côté Paris la relevait pour qu’elle s’installe sur le lit, quand soudain : Jimmy ? Nan mais c’est quoi ce délire ?!!! C’est écrit quoi sur le panneau de notre chambre « Entrée libre » ??? Je gardais la bouche ouverte, stupéfaite et interdite, alors que le jeune homme se mettait à s’imaginer ce que l’on aurait pu redouter…Bon bah : si jamais on avait déjà une réputation Paris et moi, là c’est sûr !! Elle n’est plus à faire ! Heureusement que j’avais eu le temps d’enfiler le t-shirt que Paris m’avait refilé !! J’allais m’égosiller, comme Paris, hurler au scandale, taper une gueulante contre le manque totale de pudeur et puis…finalement ? NON. J’ai rien fait : comme une fatalité, j’avais fini par soupirer et abdiquer. Adieu la soirée intime et romantique, place à la soirée porte ouverte !!

Je me rejetais à nouveau sur le lit pour m’affaler comme une crêpe, récupérant au passage mon oreiller avant d’ironiser à nouveau : « Jimmy !! Quelle surprise. On t’attendait…A tout hasard, t’as invité des potes à toi ? Nan parce que là, il va falloir prendre un ticket. Je ne suis pas sûre qu’on puisse tous tenir dans cette chambre. »


@Paris A. Maconahey @Capucine Vickers @Jimmy Bodovsky



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Paris criait. Non, il meuglait. Il avait la carrure d'un ours et la grande gueule d'un ours. Il braillait toujours avant de se rendre compte que ça ne servait à rien. Capucine fit une moue triste, fixant Paris et Summer de ses grands humides et innocents -ahah-. Un peu plus, et elle avait huit ans. « Pardon Summer... Pardon Paris... » gémit elle d'une petite voix qui prouvait bien que c'était l'alcool qui la faisait parler. Elle avait un grand respect pour Summer -Paris un peu moins mais elle le respectait quand même- et même si elle était complètement imbibé de tequila, elle n'en avouait pas moins ses fautes. Et s'il y avait bien une chose qu'elle ne voulait pas, c'était de s'attirer les foudres de la magnifique blonde. Déjà parce qu'elle adorait ce petit bout de femme qui avait réussi l'impensable, voire l'impossible -à savoir, devenir la seule et unique femme de Paris- mais aussi parce qu'elle ne souhaitait pas diviser Paris entre la femme de sa vie et sa meilleure amie. Et clairement, Summer n'avait rien pour déplaire à Capucine. Alors que la brune venait de cracher le morceau, au lieu de fixer ses amis avec un large sourire, elle s'était allongée pour compter les poils de la moquette mais avait abandonné en grommelant qu'elle était toute emmêlée.

Capucine se sentit redressée alors qu'un t-shirt lui passait sur le visage. Une fois la tête passée, elle afficha une large sourire débile en voyant le visage de Paris. « Hey ! Salut ! Ça faisait longtemps ! » Avant de se mettre à glousser. Mais elle s'arrêta bien rapidement parce que, même s'il était doux dans ses gestes, Paris remuait Capucine. « Dou... Doucement... Je m'sens pas bien... » Capucine sourit de nouveau lorsque Paris lança un t-shirt à Summer, profitant pour lui faire coucou de la main. « Summer ! Tu es là aussi ! » Et voilà que Paris avait les mains sur les avant-bras de la brune pour la soulever, la porte s'ouvrir. Capucine balança sa tête vers l'arrière pour tenter de voir quelque chose. « C'est qui ? J'vois pas ! Ah, c'est Jimmy ! » Et soudain, parce que ça parlait de téléphone, Capucine s'anima. Elle se dégagea doucement de Paris et fila à quatre pattes vers Jimmy pour prendre le téléphone. « Mon téléphone ! Merci ! » Puis, occupée à trifouiller dans son téléphone comme si plus personne n'existait et, bien sur, n'ayant répondu à aucune question, Capucine alla tranquillement s'installer sur le lit, à côté de Summer. Collée à elle en fait. Heureuse d'avoir retrouvé son téléphone, Capucine le fourra dans l'élastique de sa culotte puis regarda Summer avant de venir lui murmurer à l'oreille. « Tu le dis pas à Paris hein... Mais c'est Isaiha qui a volé mon cœur... » Capucine se recula en pinçant les lèvres et en hochant la tête comme si elle venait de lui annoncer le scoop du siècle. « Eh ouais... Lui même. En personne ! » À ses mots, Capucine dégaina son téléphone pour montrer l'échange de sms à Summer, cachant l'écran pour que Paris ne regarde pas. José-Luis ? Connais pas.
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