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Alekseï s’était levé tôt ce matin-là. Il savait qu’il allait devoir sévèrement travailler vu la montagne de dossiers qu’on lui réclamait. Pourtant, il n’aimait pas rester enfermé dans une bibliothèque trop longtemps. Son truc à lui, c’était le sport. Faire souffrir son corps, et toujours travailler davantage. Ça, c’était se sentir vivant.
Il avait donc décidé de démarrer sa journée bien avant la majeure partie de ses camarades. Il devait être 5h30 du matin, et le campus s’éveillait doucement. Il avait d’ores et déjà demander un accès au stade de hockey pour pouvoir s’entrainer comme bon lui semblait en dehors des horaires, pourtant nombreux, où sa présence était exigée. Il profitait de ces moments plus solitaires pour patiner plus librement ou faire du renforcement physique. Peu importait finalement, il fallait simplement qu’il puisse se défouler.
Pourtant, ce jour-là, le jeune russe se contenta de quelques tours de stade, suivis par des exercices musculaires classiques. Après avoir jugé qu’il avait assez travaillé, il décida finalement de se rendre dans la grande bibliothèque pour avancer sur les dossiers demandés. Il prit sa douche, se changea rapidement, et prit la direction du « Old Harvard ».
Lorsqu’il arriva, la bibliothèque semblait bien calme. Il y avait bien sur des lève-tôt qui étaient déjà en train de plancher sur leurs différents examens, mais, au vu de la taille du lieu, ça paraissait dérisoire. Il chercha alors à s’installer tranquillement, posant son sac sur la chaise à côté de lui, puis ouvrant ses différents livres qu’il avait pris le soin d’apporter, avant de s’y plonger assidument.
Il était aux alentours des 8h30 et les étudiants semblaient affluer peu à peu dans les lieux. Installé légèrement à l’écart, Alekseï restait concentré sur les devoirs qu’il avait à rendre. Son statut de boursier ne le mettait en effet pas à l’abris. Il devait réussir, sur le plan sportif mais aussi sur le plan éducatif, et démontrer cette réussite en affichant des notes et des statistiques impeccables. Il n’avait pas le droit à l’erreur.
Pourtant, le jeune homme adorait cette situation. Il aimait les défis, quels qu’il soit, et la récompense qui se trouvait au bout du chemin promettait d’être belle. Il allait réussir, quoi qu’il en coûte. Il serait le nouveau visage du hockey Russe, et il exporterait aux Etats-Unis le titre qui l’avait toujours accompagné lors de sa jeune carrière. Alekseï Issaïev, le jeune prodige. Il l’avait mérité. Et il le mériterait encore.
Il avait donc décidé de démarrer sa journée bien avant la majeure partie de ses camarades. Il devait être 5h30 du matin, et le campus s’éveillait doucement. Il avait d’ores et déjà demander un accès au stade de hockey pour pouvoir s’entrainer comme bon lui semblait en dehors des horaires, pourtant nombreux, où sa présence était exigée. Il profitait de ces moments plus solitaires pour patiner plus librement ou faire du renforcement physique. Peu importait finalement, il fallait simplement qu’il puisse se défouler.
Pourtant, ce jour-là, le jeune russe se contenta de quelques tours de stade, suivis par des exercices musculaires classiques. Après avoir jugé qu’il avait assez travaillé, il décida finalement de se rendre dans la grande bibliothèque pour avancer sur les dossiers demandés. Il prit sa douche, se changea rapidement, et prit la direction du « Old Harvard ».
Lorsqu’il arriva, la bibliothèque semblait bien calme. Il y avait bien sur des lève-tôt qui étaient déjà en train de plancher sur leurs différents examens, mais, au vu de la taille du lieu, ça paraissait dérisoire. Il chercha alors à s’installer tranquillement, posant son sac sur la chaise à côté de lui, puis ouvrant ses différents livres qu’il avait pris le soin d’apporter, avant de s’y plonger assidument.
Il était aux alentours des 8h30 et les étudiants semblaient affluer peu à peu dans les lieux. Installé légèrement à l’écart, Alekseï restait concentré sur les devoirs qu’il avait à rendre. Son statut de boursier ne le mettait en effet pas à l’abris. Il devait réussir, sur le plan sportif mais aussi sur le plan éducatif, et démontrer cette réussite en affichant des notes et des statistiques impeccables. Il n’avait pas le droit à l’erreur.
Pourtant, le jeune homme adorait cette situation. Il aimait les défis, quels qu’il soit, et la récompense qui se trouvait au bout du chemin promettait d’être belle. Il allait réussir, quoi qu’il en coûte. Il serait le nouveau visage du hockey Russe, et il exporterait aux Etats-Unis le titre qui l’avait toujours accompagné lors de sa jeune carrière. Alekseï Issaïev, le jeune prodige. Il l’avait mérité. Et il le mériterait encore.
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