Invité
est en ligne
Invité
Bambi & Séraphin
eat the spaghetti to forgetti your regretti
T'es comblé, fini les repas préparés en moins de dix minutes et qui feront grogner ton estomac l'heure suivante car ce n'est pas assez riche en énergie pour te permettre de tenir debout jusqu'au lendemain. Aujourd'hui tu sors de ta caverne où tu étais enfermé depuis la veille pour réviser encore et toujours pour en savoir plus, tu troques ton livre de biologie pour ton sac à dos et ton blouson doublé non pas pour escalader l'Everest, mais te rendre au centre-ville. Ça te fait pas vraiment loin de la Quincy House, mais quand on voit les rafales de vent faisant presque plier les arbres et s'envoler les grands-mères les distances prennent un nouvel angle. Te voilà enfin équipé pour affronter le monde extérieur, mais le parcours en vaut la chandelle puisque tu as rendez-vous à Mike's pastries dans le but de prendre un bon kilo que tu perdras d'ici la semaine prochaine vu ton métabolisme de crevette d'eau douce. Si tu n'étais pas contre la fourrure tu te serais volontiers enroulé dans une peau de bison avec une écharpe en renard pour te maintenir au chaud, mais plutôt mourir de froid que de faire ça. Tu arrivais les yeux brûlants et pleurant dans la pâtisserie, reniflant à la manière d'un petit enfant au bord des larmes tant les bourrasques t'avaient attaquer durant ton trajet. Tu te débarrassais vite de tes affaires en apercevant Bambi bien au chaud au fond de la pièce, endroit stratégique à côté du radiateur ce qui n'était pas pour te déplaire.Buongiorno cugina. Que tu prononçais maladroitement, ton italien n'avait jamais été très bon et encore moins depuis que tu vivais à Boston, un Français parlant américain et pour le coup italien ça n'était pas de tout repos. Tu enlaçais quelques secondes ta cousine en évitant de la frigorifier avec tes mains froides avant de prendre place sur ta chaise, attrapant sans attendre le menu déposé sur la table. Je ne sais pas toi, mais cette tempête me donne une faim de loup, je pourrai manger un mammouth s'ils existaient encore. Peut-être même deux, ou trois à voir si tu étais capable d'emmagasiner autant de calories d'un coup.
@Bambi C. Corleonesi
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bambi venait juste d'arriver au Mike's Pastries qu'elle se plaçait déjà bien au chaud à côté du radiateur. Cela lui permit d'ôter son manteau, ses gants et les différentes couches de vêtements lui donnant l'impression d'être un véritable oignon pour mieux s'installer plus confortablement et se mettre à checker son smartphone et plus précisément Instagram, chose qu'elle faisait toujours en cas d'attente. Ce qu'elle attendait au juste ? Son cousin bien sûr ! Séraphin en personne, avec qui elle avait rendez-vous et qui ne devrait plus tarder. Ce damoiseau, elle l'adorait. C'était son bichon. L'italienne veillait sur lui depuis toujours et inversement car ils se connaissaient depuis tous petits, avaient faits les pires conneries de gosse ensemble et gardaient, même encore aujourd'hui, cette complicité que beaucoup ne pouvaient que leur envier. D'ailleurs, sitôt arrivé, Bambi reconnu sa voix et leva son regard d'un bleu océan pour lui offrir un gigantesque sourire en guise de bienvenue. Oui, elle était ravie de le voir et ne le cachait en aucune façon. Elle se releva pour l'enlacer quelques secondes avant de se rasseoir. Buongiorno mi bellissimo ! Bambi aurait pu continuer toute la conversation en italien mais elle préféra reprendre en français, car cela lui permettait de pratiquer : déconne pas j'ai suuuuper faim ! Et soif aussi ! Je pourrais boire la mer et les poiscailles avec ! Je vais demander les cartes de suite mais avant... comment tu vas mon bichon ? fit-elle avant de lever la main histoire qu'on leur amène effectivement les cartes.
@Séraphin A. De Fay
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bambi & Séraphin
eat the spaghetti to forgetti your regretti
Ça te faisait du bien de revoir ta cousine, loin de ta famille alors que tu étais plutôt du genre fils à papa et maman, c'était comme prendre une bouffée d'oxygène en plein milieu d'un endroit pollué par les gaz toxiques. C'était ta petite escapade de la journée, un moment passé dans une Italie imaginaire que tu avais pourtant souvent visiter durant ton enfance pour visite à cette branche des tiens qu'était les Corleonesi, les De Fay de l'autre côté de la frontière un peu plus dans le sud. Même si vous étiez nés à des milliers de kilomètres l'un de l'autre et que vous n'aviez en commun que ta tante, sa mère, tu ne pouvais pas t'empêcher de vous trouver un air de ressemblance à moins que cela soit une envie si réelle que tu avais fini par y croire. Je ne sais pas si ils le prendraient bien si tu venais à vider les cours d'eau du quoi, mais fais toi plaisir. Tu répondais dans un hoquet de rire, l'appétit c'est de famille aussi et ça va avec cette spécificité de ne pas prendre un gramme, voilà vos points communs sont bien cachés mais ils sont là, tu le savais. Tu remerciais le serveur venant vous tendre les menus, tes yeux glissant le long de chaque produit en oubliant presque la question de ta cousine. Ça va, ça va ... Comme d'habitude, rien de pire, mais rien de mieux pour l'instant je dois dire. Non pas que tu étais un pessimiste bien au contraire, mais il fallait bien reconnaitre qu'en ce moment la vie du petit De Fay n'avait rien du meilleur feuilleton de l'année. Tu attrapais machinalement un petit pain présent dans la corbeille sur la table, le portant à ta bouche pour calmer ton faim tonitruante. Je paris que toi, par contre, tu as une vie bien remplie. Je me trompes ? Tu la pointais du doigt avec un clin d'oeil, tu sens tout venir, encore plus quand il s'agit de ta cousine.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bambi avait souvent le mal du pays, autant être honnête. Elle rêvait de retourner dans sa Sicile natale ne serait-ce que pour un weekend, le seul problème, c'était le temps. Ses études de médecine ne lui en laissaient guère, et plus récemment, son temps libre était entièrement consacré à son cher et tendre. De plus, l'Italie était un pays européen qui impliquait un décalage horaire important dès qu'il fallait y retourner... et puis, si son frère aîné, Fabio, lui manquait, ses parents nettement moins, autant être honnête. Ouais pas faux... j'aurais pas mal de monde sur le poil je crois ! Pas que les poissons... mais quand bien même, Bambi faisait partie d'un mouvement de défense des animaux, ce n'était pas pour les tuer derrière ! Elle suivit néanmoins Séraphin en lui chipant un petit bout de pain au passage, tandis qu'il lui confiait que de son côté, rien de bien neuf ne s'était déroulé dans sa vie. Effectivement, on ne pouvait pas en dire autant chez l'italienne, qui esquissa aussitôt un petit sourire amusé et attendri. Quand j'te dis que tu as loupé ta vocation de voyant, tu me crois jamais ! Bah en fait... figure-toi que je me suis lancée dans une colocation pour quitter un peu le campus et avoir mon propre rythme, parce que mes stages de médecine sont de plus en plus nombreux, souvent je bosse la nuit et à la Cabot j'empêche tout le monde de dormir... enfin bref ! J'ai tenté de prendre un coloc' lambda, sauf que le type bah c'était un pervers, un jour il a pété un plomb, il m'a déchiré ma robe, du coup j'ai appelé Ciarán au secours, on a réussi à le mettre KO en attendant les flics et ça s'est bien terminé mais j'ai eu le trouillomètre à zéro... j'étais prête à abandonner l'histoire de coloc' et finalement... mon beau brun s'est proposé pour le remplacer !
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bambi & Séraphin
eat the spaghetti to forgetti your regretti
T'as pas souvent des anecdotes de folie à raconter, tu considères ta vie calme et banale jusqu'à ce que tu partes à gauche et à droite avec le club humanitaire ou même de par ton propre gré. Enfin si il t'arrive d'être entrainé dans des expériences improbables mais ça n'arrive pas tous les jours et depuis janvier on t'avais doublé tes horaires à l'hôpital donc tes sorties devenaient de plus en plus rares et maintenant il allait falloir carburer pour le second semestre. T'écoutais Bambi, une fois lancée dans la conversation il était difficile de l'arrêter et ça depuis votre enfance, les deux pipelettes de la famille que vous étiez, mais avec le temps tu avais appris à parfois jeter la clé qui fermé ta bouche pour laisser la parole aux autres. Tu ouvrais un peu plus les yeux à chaque mots prononcés, visualisant la scène dans ton esprit, Harvard est un véritable aimant à danger faut croire, t'y as encore échappé jusqu'à aujourd'hui mais les histoires aussi étranges que celle de ta cousine n'étaient pas des cas isolés. Preuve que de rester en chambre de confrérie c'est beaucoup plus prudent que de s'aventurer dans la jungle de Boston. Tu te moques un peu parce que l'histoire a eu une bonne fin, toi aussi si tu pouvais tu irais prendre ton propre appartement dans un coin reculé de la ville, mais faute d'en avoir les moyens tu préfères ta petite tanière chez les Quincy que tu occupes depuis ton arrivée, t'aimes bien cette chambre un peu étroite mais confortable. Tu reposais le menu sur la table en te servant un verre d'eau, attrapant au passage celui de Bambi qui devait être assoiffée après son long monologue. C'est un peu un couteau suisse ton Ciarán visiblement, tu peux le dégainer dans n'importe quelle situation et il saura gérer comme un agent du FBI. Tu souriais en portant ton verre à tes lèvres, heureusement qu'elle avait trouvé quelqu'un pour lui venir en aide, dans tous les cas tu serais venu aussi à sa rescousse mais on ne peut pas dire que dans le genre impressionnant tu sois le premier sur la liste.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les propos de son cousin firent soupirer Bambi une fois son récit terminé. Le pire, c'est qu'il n'avait pas tort. Jusqu'ici, il ne lui était pas arrivé grand chose, puisqu'elle se trouvait dorlotée dans une chambre à la Cabot House. Qu'est-ce qui lui avait pris de vouloir un appartement en ville, au juste ? Le désir de liberté, sans doute. L'envie de ne plus se prendre de réflexion dans la poire au sujet de son rythme de boulot, ou de vie tout simplement, lié à ses études de médecine. Un peu de tout ça mélangé, et la voilà partie pour la grande vie en solo. Bien mal lui en avait pris, tiens... mais d'un autre côté, le simple fait que Ciarán se soit aujourd'hui proposé pour être son coloc rattrapait pas mal de choses. Tu te sens bien à la Quincy dois-je comprendre ? Vrai qu'en confrérie on risque moins de sales trucs... quoique, Harvard a quand même vécu des sales trucs par le passé ! Force est de constater. Elle se servit à son tour un petit verre d'eau pour étancher une soudaine soif, avant d'éclater de rire aux propos de Séraphin. Là encore... un point pour lui ! Déconne pas t'as trop raison ! Bon en même temps il veut être chirurgien, s'il sait gérer les situations comme ça, on pourra lui faire confiance pour une opération aussi ! Heureusement qu'il m'a aidée. J'suis trop dépendante tu crois ?
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)
:: Corbeille :: Archives 2012-2019